La Déchéance de Caroline - 06

Informations sur Récit
Retour en Europe - 3ème partie.
3.9k mots
4.71
4k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Le mardi matin, arrivant à son travail, dans la tenue habituelle (mini-jupe, chemisier, hauts talons, pas de sous-vêtement), elle a la surprise d'être accueillie par sa Maîtresse.

Celle-ci la suit dans son habituel bureau. 3 tenues vestimentaires sont installées sur sa table de travail.

D'emblée, la femme du Président lui indique les nouvelles instructions qu'elle devra respecter :

-Maintenant que tes collègues t'ont baisée, il n'y a plus de fausse pudeur à avoir. A partir de demain, et jusqu'à la fin de la semaine, tu viendras ici dès que tu arrives et tu te changeras. Tu serviras ensuite le café à tes collègues. Convaincue par tes compétences, j'ai décidé, ma chère, en accord avec mon époux, d'augmenter tes responsabilités. A partir de maintenant, ta première tâche du matin consistera à satisfaire les besoins primaires d'Albert et d'Ernest. Pareil le soir avant de partir, tu les soulageras de toute tension Bref, tu es devenue la préposée au vidage des couilles des travailleurs mâles œuvrant au sein de cette institution. Interdiction, évidemment, de toucher à mon mari! Compris, petite salope?

-Oui, Maîtresse!

La journée est un véritable calvaire et les heures s'écoulent avec une terrible lenteur. Des questions assaillent l'employée : comment fuir cet endroit maudit et cette monstrueuse femme? Elle a beau réfléchir, elle ne trouve aucune issue. En parler à son mari? Il risque, sous le coup de la colère, de demander le divorce et dans la foulée, vu les preuves amassées, de demander la garde exclusive des enfants. Malgré ces longues réflexions, elle ne voit pour le moment aucune autre issue que celle de se soumettre aux perversités infâmes de Charlotte. Le tout, et c'est le pire, devant les yeux narquois de ses collègues, spectateurs amusés de sa lente déchéance.

Le soir venu, prise de remords bien qu'étant pourtant la victime, elle fait l'amour à son époux de manière passionnée, presque maladive. Ce qui ne manque pas de surprendre son conjoint, qui ne peut toutefois que se réjouir de cette ardeur sexuelle inhabituelle.

Le mercredi arrive trop vite. La peur au ventre, elle arrive au boulot et enfile la première robe imposée par sa tourmenteuse. La tenue qu'elle est obligée de porter ce jour présente 2 graves inconvénients. D'abord, l'ourlet arrive presque à son entrejambe. Il suffit qu'elle se penche un peu pour que ses lèvres vaginales soient exposées à la vue de tout un chacun. Ensuite, le haut, fait de pure dentelle, n'a pas été conçu pour masquer les seins. D'autant que la taille étant beaucoup trop étroite, Caroline découvre avec horreur que ses mamelons sont clairement visibles.

Tel un zombie, la jeune femme sort de son bureau. Après avoir reçu une injonction d'Albert et servi le café à ce dernier, elle glisse sous son bureau, ouvre la braguette du vieux garçon et, son slip abaissé, commence à lui prodiguer une fellation, malgré le dégoût absolu qu'elle ressent. Elle accueille ensuite et avale dans la foulée le sperme de ce dernier. Quelques minutes plus tard, c'est au tour d'Ernest de réclamer son dû.

Appelant la Cheffe de cabinet, il l'invite à se positionner face à son bureau, jambes écartées. Après lui avoir relevé sa robe, dévoilant son cul nu, ses mains, dans la foulée et après avoir enduit son anus de lubrifiant, se posent sur les fesses de la Directrice pour mieux les écarter et positionner son membre imposant contre son œillet. Le chauffeur s'arque - boute et sans se préoccuper le moins du monde de sa « partenaire », commence à s'enfoncer dans son fondement, avançant inexorablement, centimètre par centimètre, indifférent aux cris poussés par cette dernière. Restée un instant muette, la bouche bée, les yeux exorbités, elle est martyrisée, malgré le lubrifiant dont il l'a enduite, par cette énorme queue, dure comme du béton. A chaque poussée, elle hurle de douleur. Jamais elle n'aurait imaginé pareille sensation de brûlure. Plus pour reprendre son souffle que par compassion pour la femme qu'il est en train de sodomiser, Ernest marque un temps d'arrêt. Avant de reprendre de plus belle. La fille est littéralement éperonnée, à coups d'estoc, le membre viril poursuivant son va-et-vient brutal avant, quelques minutes plus tard, d'envoyer un flot de sperme dans le rectum ainsi profané. La jeune femme, après avoir émis un long râle rauque, laisse tomber sa tête sur la table. Comme paralysée, elle n'émet plus ni le moindre son ni ne fait le moindre mouvement, affalée sur le bureau, le corps en sueur, les cheveux mouillés et le regard vide. Elle est brisée, liquéfiée, son œillet encore béant suite aux assauts subis. Suite à nouvel ordre du Black lui enjoignant de nettoyer sa queue, elle s'exécute, supportant péniblement le mélange de sperme et de lubrifiant resté sur la pine qui vient sauvagement de profaner sa petite porte.

Le lendemain, toujours suivant les instructions de sa Maîtresse, elle porte une robe de couleur chatoyante : un rouge vif taillée dans une matière très fine, qui permet de distinguer le contour de ses mamelons. Le corsage est coupé si bas que l'on peut voir son nombril. Le vêtement est vaguement drapé le long de ses seins, mais nul doute que le moindre mouvement ne manque pas d'exposer ceux-ci.

La jupe, elle, est fendue jusqu'à la taille d'un côté. Elle est si serrée qu'elle reste ouverte sur plusieurs centimètres à hauteur de la hanche nue. Elle s'avère bien sûr honteusement courte. La journée s'écoule de manière horrible : la tenue est si raccourcie qu'à chaque fois que la jeune femme s'assoit, il lui est impossible de ne pas exhiber la totalité de son entrejambe. De même, lorsqu'elle se penche, elle expose systématiquement sa poitrine et est obligée de réajuster son haut, ce qui n'empêche nullement un sein de sortir de temps à autre, pour le grand plaisir de ses collègues. Le matin, comme le soir avant de rentrer à la maison, elle est obligée de s'offrir à Albert et à Ernest, le premier utilisant sa bouche et sa chatte, le second, visiblement adepte de la sodomie, éjaculant dans le fondement de la Directrice.

Enfin, le vendredi, dernier jour de la semaine, Caroline est habillée avec la robe qu'a choisie l'épouse du Président Parmentier : par rapport à toutes celles qu'elle a déjà portées, celle-ci semble assez conservatrice. Elle est très courte, certes, comme toutes les précédentes, le dos est nu mais les seins sont couverts. Toutefois, à peine est-elle arrivée que sa Maîtresse, à nouveau présente à son arrivée au travail, l'invite à se tourner et délie en partie la sangle située derrière son cou et qui permet de maintenir le vêtement en place.

La Cheffe de Cabinet écarquille les yeux pendant qu'elle agit de la sorte car elle a compris ce qu'elle faisait : le lien retient maintenant le devant de la tenue de manière plus lâche qu'avant, exposant ses seins de chaque côté du vêtement. Au même moment, la sonnette de la porte du bureau retentit. Charlotte invite sèchement sa soumise à aller ouvrir :

- C'est le facteur je suppose. Va l'accueillir!

Gênée au plus haut point par son accoutrement, elle s'exécute néanmoins, n'ayant guère le choix.

Alors qu'elle invite le postier à pénétrer avec sa marchandise, elle devient blême en reconnaissant l'un de ses jeunes voisins, qui vient d'être engagé comme intérimaire.

- Ahm... Ahmed?

- Bonjour Madame! répond celui-ci, découvrant avec surprise la robe portée par la Directrice et posant son regard sur la poitrine à moitié découverte qu'elle lui présente.

- Vous vous connaissez? interroge l'épouse de Parmentier.

- C'est un voisin... murmure Caroline.

- Ah bon! Comme c'est intéressant! persifle la Comtesse. Venez mon jeune ami! Suivez - moi! Nous serons plus à l'aise dans le bureau de Madame la Cheffe de Cabinet!

A peine celui-ci et la jeune femme sont-ils rentrés dans la pièce que la Charlotte referme la porte rapidement, avant de lancer à sa soumise, d'un ton ne souffrant aucune discussion :

- A poil, salope! Et ne fais pas ta mijaurée! Habituellement, tu es moins prude!

Et devant le regard ébahi d'Ahmed, la Directrice défait, la tête baissée, la sangle qui maintient sa robe, ce qui a pour conséquence de faire tomber celle-ci par terre. L'adolescent ne manque pas de se repaître de ce corps splendide au sexe presque entièrement épilé, juste orné par un fin ticket de métro. L'épouse du Président ne manque pas de s'adresser au jeune facteur, d'un ton enjoué :

- Elle est jolie, hein, Ahmed! Cela te dirait, un de ces jours, de bien t'amuser avec elle?

-Oh oui, Madame! s'exclame le jeune homme, comme si l'on venait de lui offrir un nouveau jouet.

-Et bien, nous arrangerons cela prochainement! Donne -- moi ton numéro de GSM! Tu verras comme elle est chaude, sous ses airs de pétasse! N'est-ce pas, Caro?

-Oui, Madame la Comtesse.

Pendant quelques jours, la Cheffe de Cabinet ne voit plus sa tortionnaire au bureau. Quotidiennement, elle doit toutefois, matin et soir, satisfaire les envies de ses 2 Collègues. Un soir, en début de semaine, est reçoit un appel de Charlotte :

- Préviens ton mari! Ce week-end, tu viens avec moi dans la maison de campagne! Je passe te chercher samedi matin! Tu resteras avec moi jusqu'au lundi soir!

Le samedi matin arrive et après un rapide au revoir, la Directrice se retrouve dans la voiture de sa Maîtresse qui lui a ordonné, cette fois, de s'installer au milieu de la banquette arrière.

Celle-ci ne prend pas directement le chemin habituel et, après un petit détour de 10 minutes, s'arrête devant la maison d'Ahmed. Celui-ci en sort rapidement, accompagné d'un autre garçon visiblement de son âge, à savoir une petite vingtaine d'années, lui aussi d'origine magrébine et visiblement prénommé Mourad.

Madame Parmentier se retourne vers la Cheffe de cabinet :

- Tu es contente? Tu vas avoir 2 jeunes bites bien dures à t'occuper durant 3 jours! A cet âge-là, ils sont fougueux et récupèrent vite! Ils vont te défoncer, salope!

Déjà les 2 jeunes s'assoient de part et d'autre de la jeune femme. Le cabriolet étant petit, surtout à l'arrière, les 3 corps se retrouvent bien vite serrés les uns contre les autres.

La voiture roule désormais sur l'autoroute. Profitant d'un parking désert, la Comtesse se gare dans un coin de celui-ci, avant d'ordonner à Caroline de se déshabiller :

- Il est temps de montrer à nos 2 amis tes gros nichons et ta chatte! Enlève ton chemisier et ta mini-jupe! Garde tes chaussures à hauts talons et écarte tes cuisses en grand!

Puis tendant un tube de gel chauffant à Ahmed, elle indique à celui-ci ce qu'il y a lieu de faire :

- Passe - lui cela sur ses lèvres vaginales, son clito et son anus! Elle adore et elle va être toute excitée! Vous pouvez aussi la filmer avec vos GSM! Cela vous fera un beau souvenir!

Alors, pendant plusieurs longues minutes, les jeunes auscultent le corps de la malheureuse, caresse la poitrine, la malaxe, s'amuse à lécher les pointes, à les faire durcir entre leurs doigts. Leurs mains explorent ensuite les lèvres vaginales, titille longuement le clitoris. Sous l'effet de ces attouchements, couplé à l'action du gel, la respiration de la Directrice s'accélère. Charlotte intervient :

-- Arrêtez, les jeunes! Sinon, elle va jouir tout de suite! N'oubliez pas de lui mettre un doigt dans le cul!

Puis s'adressant à sa soumise :

- N'est-ce pas que tu aimes cela?

- Oui, Madame la Comtesse...

Les 2 arabes continuent leur auscultation du corps de la Cheffe de cabinet. Reprenant la parole, l'épouse de Parmentier donne maintenant de nouveaux ordres à la jeune femme :

-Allez, petite salope, il est temps de les remercier! Sors leurs queues, branle - les lentement et quand elles seront bien raides, mets -- les dans ta bouche! Montre -leur comme tu es une bonne suceuse! Il reste une petite heure de route : tu garderas leurs queues en bouche, de manière alternée. Je t'interdis de les faire juter avant qu'on arrive!

Caroline s'exécute : suçotant les glands, elle change de bite dès qu'elle sent que son propriétaire est au bord de l'éjaculation. Elle commence à avoir mal à la mâchoire. Concentrée sur sa tâche sordide, elle entend vaguement, de temps à autre, les coups de klaxon de certains chauffeurs routiers lorsque sa tortionnaire s'amuse à les doubler lentement pour les faire profiter du spectacle d'une femme nue à l'arrière taillant une pipe à des jeunes. Elle est soudain sortie de sa torpeur par la voix de l'épouse du Président :

- On arrive dans 5 minutes! Fais - les jouir et avale tout!

Elle redouble d'efforts et, tandis que la voiture se gare devant la maison de campagne, nettoie la 2eme queue qui vient de se vider dans sa bouche. Tandis que les bagages sont sortis, la Cheffe de cabinet, toujours nue et vêtue de ses seuls hauts talons, se voit passer une laisse autour du cou et est emmenée dans l'une des chambres.

A peine arrivée, elle est invitée à se mettre à 4 pattes sur le lit. Charlotte entreprend alors, de faire courir ses doigts sur les lèvres vaginales de la future quadragénaire puis de triturer délicatement son clitoris. Après 10 minutes de pareil traitement, Caroline ne peut retenir un orgasme, malgré la honte qu'elle ressent d'être branlée par une femme devant 2 jeunes hommes qui regardent la scène avec fascination. Un nouvel ordre de sa Maîtresse fuse immédiatement :

- Allez, la chienne, maintenant que tu as pris ton pied, il est temps de faire bander tes amoureux! Une bite dans la bouche et une dans le cul! Et mets-y du cœur!

En moins de 10 minutes, les 2 Arabes se soulagent dans les orifices de la pauvre Cheffe de cabinet.

- Notre chienne a l'air soumise, aujourd'hui! constate Madame Parmentier, en s'adressant à Ahmed. Avant d'ajouter : - Nous allons voir maintenant si elle est réceptive!

Joignant le geste à la parole, elle s'approche de la Directrice, attache 2 cordelettes afin d'enserrer ses tétons, les passe ensuite dans son dos par-dessus ses épaules et l'invite également à mettre ses mains derrière elle. Elle attrape ensuite lesdites dextres et fixe l'une des ficelles à chacun des pouces. Elle s'applique à régler leur longueur, afin de soutenir les seins, mais aussi en les raccourcissant de telle manière que, malgré ses mains positionnées au plus haut près de ses épaules, les globes mammaires restent en tension perpétuelle et, surtout, maximale.

Elle tire plusieurs fois les dextres de sa soumise vers le bas, juste par jeu. Elle s'amuse à voir ses loches se tendre et se soulever sous la traction, ainsi que l'expression de son visage grimaçant à chaque fois qu'elle sent ses mamelons supporter le poids de sa poitrine. L'épouse du Président prend un peu de recul, observe son jouet, semble satisfaite de son œuvre et part chercher une autre cordelette.

Elle parcourt cette fois le ventre de Caroline et finit sa course sur son sexe, ses doigts commençant à titiller son clitoris. La suite du traitement proposé traverse alors l'esprit de la Directrice qui imagine, avec terreur et l'espace d'un instant, les conséquences de cette corde sur son bouton d'amour :

- Non, pas là, Madame la Comtesse, s'il vous plaît! Ce sera trop douloureux, trop sensible... Je vous en supplie...

Les supplications de la Directrice n'y font rien : le bras de sa Maîtresse entoure ses hanches pour éviter qu'elle ne se soustraie à ses caresses. Elle décapuchonne le clitoris et commence à le branler. Celui-ci, contrastant avec la finesse des lèvres vaginales, devient gros devant la sollicitation effectuée! Son objectif ayant été atteint, Charlotte attache le cordon, le serrant sans compassion mais dans les limites du supportable, avant de passer la cordelette entre les fesses de la Cheffe de Cabinet. L'autre extrémité du lien étant scindé en deux, elle en attache, là encore, chaque partie à l'un des pouces, de telle façon que ses mains soient à mi - chemin entre ses seins et son bourgeon. Aidant la collaboratrice de son époux à se mettre à genoux, cuisses bien écartées, elle la détaille, un sourire triomphant au visage :

- Voilà, chienne! Tu as maintenant un vrai choix : tu peux soulager la tension sur ton clito si tu tires sur tes seins et inversement! Je te laisse avec tes préférences.

Cela doit faire une bonne demi-heure que Caroline couine de douleur, son clito et ses tétons la lançant en continu. Elle a l'impression qu'ils ont doublé de volume. Chaque mouvement devient un vrai calvaire, un petit filet de bave coule sans interruption de sa bouche.

Sa Maîtresse se lève enfin du canapé, dans lequel elle sirote un verre de vin. Elle demande alors à Ahmed de présenter sa bite à la jeune femme bondée et de la coller contre sa bouche. Elle précise alors ses intentions :

- Je te détacherai quand tu l'auras fait jouir, salope. Lui et, bien sûr, son ami ici présent! Tu es d'accord, chienne?

Arguant qu'elle ne pourra pas le sucer dans cette position, où elle totalement immobilisée, la Directrice la supplie de la délier, mais Charlotte se contente de lui répondre :

- Une bonne gobeuse se débrouille quelle que soit la situation. Au boulot!

Vaincue, elle se met en action, mais chaque mouvement de tête crée des frottements très rugueux sur son capuchon. La douleur devient intenable. La Cheffe de Cabinet se concentre sur le sexe qui coulisse dans sa bouche, pour le faire jouir le plus rapidement possible en se servant de sa langue, désormais rompue à ce type d'exercice.

Malgré tous ses efforts, cela lui prend quand même 15 minutes avant de sentir le sperme envahir son palais. Il se vide enfin, pense-t-elle. Le répit est de courte durée, car déjà le membre de Mourad se présente sous ses narines. Là encore, la jeune femme use de toute sa technique orale pour obtenir un résultat rapide. 10 minutes suffisent cette fois pour obtenir une éjaculation abondante contre sa glotte!

- Tu vois que tu sais le faire! ironise l'épouse du Président, en lui caressant les cheveux pour lui faire comprendre qu'elle est contente d'elle. Elle la détache, s'affaire sur ses tétons, dénoue les liens, tandis que l'afflux du sang provoque chez Caroline une immense douleur qui lui fait serrer les dents à chaque libération. Il en va de même pour son clitoris. Elle masse alors ses seins et son bouton d'amour pour faciliter un retour à la normale, tant au niveau volume que de la couleur initiale.

Charlotte se tourne alors vers Ahmed :

- Maintenant, va faire pisser la chienne dans le jardin!

Et la Maîtresse de renchérir immédiatement en s'adressant cette fois à la Cheffe de Cabinet :

- Allez, vite! Et n'oublie pas, les animaux ne parlent pas. Donc tu t'exprimeras uniquement en aboyant!

La Directrice, anéantie, pliant les bras et les jambes sur le sol, suit docilement son

« jeune maître ». Sa dépravation semble sans limite. D'autant qu'il lui est ordonné de japper d'une voix parfaitement claire. Elle est consciente du ridicule de sa situation.

Ahmed, alors qui la promène, lui tapote doucement sur la tête, en la flattant : - Tu es un bon toutou! A présent, il est temps de faire pipi! Allez! Et comme le font les chiens : à 4 pattes, contre un arbuste, la jambe bien levée. Vite, exécution, chère voisine!

En pleurant, Caroline, qui n'est plus que l'ombre d'elle-même, prend la pose demandée, et un long jet doré jaillit de sa vulve pour s'écraser au pied d'un arbre.

Après le repas du soir, elle est invitée à Madame Parmentier à partager sa couche avec les 2 jeunes.

Allongée entre eux, et suivant les instructions reçues, elle commence par dégrafer chaque pantalon et entreprend de sucer les deux queues déjà dressées. Une fois les 2 bites bien dures, la Directrice entreprend de poursuivre sa fellation sur Mourad, tandis qu'elle sent derrière elle l'autre garçon poser son gland sur ses lèvres vaginales et, après plusieurs tentatives infructueuses, introduire la totalité de son sexe dans la chatte sans défense. Ne pouvant se retenir, Ahmed éjacule rapidement.

12