La Descente aux Enfers de Jessie 15

BÊTA PUBLIQUE

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Kévin surveille leurs réactions. La bouche de Christy s'ouvre et elle se met à pleurer. Brenda fusille Kévin avec un regard noir. Le garçon continue :

- Pour le moment personne ne peut voir la deuxième page à moins d'avoir l'application sur son téléphone. Mais ça va changer. Marcus passera à son travail et à l'université, et distribuera des notices à toute personne intéressée en leur montrant où et comment ils peuvent télécharger l'application. Donc tant que vous obéissez, personne ne verra la deuxième page. Mais dès que celle-ci sera activée, il n'y aura plus de retour en arrière, vous serez nos putes à utiliser comme bon nous semble.

Kévin regarde Brenda qui est visiblement en colère.

- Calme-toi Brenda, je n'ai pas activé ton code. Toutefois tu dois t'occuper des esclaves. Tant qu'ils feront tout ce qu'on demande, ton code ne sera pas activé. Mais si tu n'arrives pas à les faire obéir, tu les rejoindras. Je pense que c'est une motivation suffisante pour toi.

Kévin regarde la détresse qui s'affiche sur le visage de Brenda, puis il dit :

- Venez, il est temps de partir.

Il se tourne vers la porte. Jessie et Christy se lèvent pour le suivre, mais il dit alors :

- Esclave Jessie, reste là et prend soin de Ben, il attend un paiement intégral. Assure-toi que ça paie aussi pour Janice, elle sera bientôt là.

Kévin franchit la porte, suivi de Brenda et Christy. Jessie reste dans le hall pendant un moment, le haut toujours autour de la taille. Elle se tourne et regarde Ben debout de l'autre côté de la pièce. Son sourire vicieux envoie des frissons le long de la colonne vertébrale de la femme. Elle est confuse. Au début elle pensait que les frissons étaient dus à la peur, mais au fond d'elle-même elle sait qu'elle est excitée par ce que l'homme pourrait lui faire. Depuis que Maître Kévin a pris les commandes ce matin, elle est toute excitée. Elle a besoin d'être baisée et durement. Et il n'y a rien qu'elle ne ferait pas pour que ça se produise.

Ben se tient près du comptoir et regarde Kévin donner des instructions à Jessie. Lorsque le garçon est parti suivi de ses deux autres esclaves, le tatoueur a du mal à se retenir de se jeter et baiser l'esclave presque nu dans son magasin. Il regarde l'horloge et voit qu'il n'est que dix heures. « Bon j'ai presque deux heures avant l'arrivée de l'autre cliente » pense-t-il.

Il se dirige vers la porte et retourne le panneau pour indiquer que le salon est fermé. Il verrouille la porte et se tourne vers Jessie en lui disant :

- A genoux salope, et suis-moi.

Jessie gémit et sait qu'il ne faudra pas longtemps avant que la bite dure de l'homme soit enterrée au fond de son corps. Elle rampe derrière lui, presque en bavant. Ben la conduit à l'arrière du magasin puis à son appartement. Il déverrouille la porte et s'écarte pour laisser passer Jessie à quatre pattes. Dès qu'elle est entrée, il la pousse du pied sur le sol.

- Sur le ventre esclave, et va au milieu de la pièce.

Jessie sent l'humiliation traverser son corps et la montée d'excitation qui l'accompagne. Elle se demande si elle laisse une trace derrière elle alors que sa chatte fuit.

Ben regarde la femme glisser sur le sol. Il voit son corps rougir et trembler alors qu'elle se rapproche du milieu de la pièce. Quand elle arrive enfin à l'endroit où elle doit être, Jessie s'arrête et attend d'autres instructions. Sa formation est tellement ancrée dans son esprit qu'elle ne pense pas à faire autre chose. Lorsque Ben frappe son cul avec sa ceinture elle n'hésite pas à dire :

- Un! Merci Maître, puis-je en avoir un autre!

La douleur atteint sa chatte qui mouille encore plus. Ben commence à fouetter son cul en s'assurant de ne pas oublier un centimètre de peau. Il laisse la femme sangloter et se tordre sur le sol, le cul rouge vif.

Bientôt il attrape une poignée de cheveux et tire Jessie sur ses pieds. Le cuir chevelu et le cul de Jessie sont en feu, mais son corps apprécie chaque seconde de cet état. Elle est malmenée et elle n'a plus aucun contrôle sur quoi que ce soit. A partir du moment où elle a commencé cette aventure, c'est ce qu'elle a voulu, être entièrement possédée, être utilisée comme un outil pour le plaisir des autres et ne plus avoir le contrôle de ce qui lui arrive.

Lorsque Ben la pousse contre une table et enfouit sa bite au fond de sa chatte, elle est sur le point de jouir. Il lui faut toute sa maîtrise pour se retenir.

Ben est au paradis, la salope soumise prend sa bite comme une bonne pute. Sa chatte dégoulinante agrippe sa queue comme un étau, la serrant pour essayer de la traire. Il recule en regardant la femme se débattre pour le garder en elle. Cette fois-ci, il donne un grand coup de rein pour la pénétrer profondément et il sent son gland heurter son col. La petite douleur ressentie l'incite seulement à recommencer encore et encore à perforer cette chatte.

Jessie n'en peut plus. L'homme lui martèle le sexe comme s'il était possédé. Et c'est exactement ce dont elle a besoin. Il ne se passe que quelques minutes avant qu'elle ne crie :

- OH MON DIEU, PUIS-JE JOUIR MONSIEUR!

- Non salope! N'ose pas jouir ou je te punirai! Répond-il.

Jessie porte son bras à sa bouche et mord dedans, tandis que son autre main descend sur son mamelon pour le pincer. Elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour éviter de jouir sur la magnifique bite qui l'empale. Quand Ben laisse échapper un grand gémissement et éjacule profondément dans son ventre, il crie :

- JOUIS! JOUIS! JOUIS MAINTENANT!

Jessie l'entend et elle laisse son corps exploser de plaisir, son jus dégoulinant sur ses jambes. Elle s'effondre sur la table, la bite enfouie dans son sexe étant la seule chose qui la maintient debout. Quand la queue commence à débander et à sortir de la grotte chaude et humide, Jessie glisse sur le sol. Ben se penche, saisit sa tête et glisse son membre flasque dans la bouche qui s'ouvre instantanément.

Il faut environ dix minutes à Jessie pour reprendre tous ses esprits. Ben l'aide à se relever et il la conduit dans le couloir jusqu'à sa chambre. Il la pousse sur le lit et monte sur elle. Pendant l'heure suivante ils baisent. Il n'y a pas d'amour, juste du sexe effréné. Ben lui martèle tous les trous que Jessie lui offre volontiers. Les dernières semaines d'entraînement ont préparé son corps à ce traitement. Elle prend l'homme puissant et en demande encore plus. Enfin ils tombent dans le sommeil, complètement épuisés. Leurs corps sont rassasiés et aucun des deux n'a plus la force de bouger.

C'est la sonnette du salon de tatouage qui les sort de leur coma sexuel. Ben se lève et enfile son pantalon. Il se dirige vers la porte et dit en sortant :

- C'est l'autre esclave, je dois retourner au travail.

Jessie reste allongée pendant un moment, savourant la baise qu'elle vient de subir. Son corps la picote encore après trente minutes. Elle sait qu'elle reviendra avec plaisir pour plus de tatouages si son Maître l'ordonne.

Jessie attend que Ben termine. Elle sait que ça ne sera pas long. Effectivement, environ une heure plus tard, il revient dans la chambre en souriant.

*****

Quand Janice arrive au salon de tatouage, la porte est verrouillée. Elle sait qu'elle est là où elle est censée être, mais elle ne sait pas quoi faire. Quand elle voit la sonnette elle se décide à la pousser et elle prie. Ce matin est le pire de sa vie. Elle a été surprise en train de dominer sa rivale par son fils. Sa fille Christy est soumise à celui-ci et maintenant elle aussi. Et elle a été obligée de faire les cours de Jessie ce matin habillée en salope. La première classe a été choquée que la directrice adjointe, Mme WILSON enseigne presque nue. Les chuchotements et les rires étaient presque constants. Et Janice n'a pas demandé pourquoi, ça l'aurait obligé à répondre à des questions pour lesquelles elle n'avait pas de réponse.

Le cours suivant fut pire, car la nouvelle a dû se propager rapidement. A la fin du troisième cours, Janice était désorientée nerveusement. Elle s'agitait constamment sur sa chaise en essayant de garder ses seins et son cul couverts. Heureusement ensuite elle a pu s'échapper pour venir ici.

Maintenant elle prie pour que quelqu'un ouvre la porte afin qu'elle puisse respecter les ordres. Quand un homme arrive de l'arrière du magasin, elle s'effondre presque de soulagement.

- Merci d'être venu. Êtes-vous Ben? Demande-t-elle.

- Oui c'est moi. Tu dois être l'esclave que j'attends. Entre et déshabille-toi. Répond-il.

Janice entre rapidement et laisse tomber sa robe. Elle est complètement nue. Ben sourit et la conduit vers la chaise qui est bien en vue de la rue. Janice a peur, car le salon n'est pas loin de l'université et elle craint qu'un de ses collègues la voit.

Heureusement, personne ne passe devant la vitrine. Ben travaille rapidement sur le tatouage. Dès qu'il a fini, il ordonne à Janice de s'habiller et de retourner au travail. Janice pousse un soupir de soulagement, elle était sûre qu'elle devrait le baiser. Au lieu de ça, il la pousse par la porte et verrouille derrière elle. Elle sourit et retourne à l'université.

Ben revient dans son appartement et est surpris quand il entre dans sa chambre et voit Jessie. Elle est à genoux sur son lit, le cul pointé en l'air. Avec ses mains derrière elle, elle écarte largement ses fesses. Elle tourne la tête et lui sourit. Ben reste figé dans l'embrasure de la porte.

- Je pense que vous avez oublié quelque chose et je me suis dit que je devais vous donner un pourboire.

*****

La journée de Janice ne s'est pas améliorée. La situation s'aggrave à chaque cours qui passe. Au moment où le dernier cours prend fin, elle n'enseigne plus, mais se trouve dans une classe d'étude bruyante. Lorsque la cloche sonne la fin des cours et que les étudiants passent la porte, elle pousse un soupir de soulagement. Lorsque le dernier élève est sorti, elle se précipite vers la porte pour la fermer et la verrouiller. Puis elle retourne s'asseoir sur sa chaise. Son esprit est confus, mais son corps est en feu. L'humiliation et les jeunes garçons lorgnant son corps la laissent dans un état d'excitation accrue. Elle a besoin de s'apaiser. Janice attend près d'une demi-heure avant de se glisser par la porte de la classe et de courir vers sa voiture.

Lorsqu'elle arrive chez elle, elle voit sa fille Christy attendre près de l'entrée. Elle ne sait pas quoi dire. Christy se tient devant elle, vêtue d'une nuisette pourpre transparente avec un micro string violet assorti. A ses pieds elle porte une paire de talons hauts roses. Janice commence à parler , mais Christy l'arrête.

- Maman, ne dis pas un mot, je dois expliquer certaines choses. J'ai d'abord besoin que tu te déshabilles. Ce n'est pas une tenue appropriée pour la maison. A partir de maintenant tu te déshabilles avant de franchir la porte. Dans la maison tu es autorisée à porter seulement des tenues approuvées. Pour aujourd'hui, j'ai certaines choses pour toi.

Elle attrape la main de sa mère et la tire dans sa chambre. Sur le lit est déposé un haut à bretelles transparent boutonné entre les seins. Il est ouvert sur sa poitrine et laisse son ventre découvert. Il arrive juste au-dessus de sa taille, laissant son cul et sa chatte exposés. Pour finir un petit string qui tient sa chatte serrée.

Janice se regarde dans le miroir. Dans d'autres circonstances, elle aurait aimé cette tenue. Mais d'être forcée à la porter la fait se sentir moins libre.

Sa fille ne la laisse pas s'attarder trop longtemps avant de saisir sa main et la tirer ver le bureau. Dès qu'elles entrent, Janice remarque qu'il n'y a plus de chaise.

- Nous ne sommes pas autorisées à nous asseoir sur des chaises. Nous devons nous agenouiller ou nous asseoir sur le sol.

Christy se penche et clique sur la souris pour réveiller l'ordinateur. Kévin apparaît à l'écran. Janice le regarde fixement alors qu'il commence à parler.

Kévin regarde sa nouvelle esclave et sourit. Pour une femme plus âgée, elle est bien conservée. Il va adorer la dresser pour qu'elle devienne l'esclave soumise qu'elle est destinée à être.

- Esclave Janice je veux que tu écoutes attentivement, car je ne le dirai qu'une seule fois. A partir de ce moment tu feras exactement ce qu'on te dit. Sans exception. Comme je suis sûr que ta fille t'a expliqué quelques règles, je vais les préciser maintenant.

Tu n'es autorisée à porter que ce que nous approuvons dans la maison. Si nous n'avons rien dit alors tu restes nue

Tu n'es pas autorisée à jouir sans permission. U échoues, ton code sera activé et tu auras d'autres punitions.

Tu ne parleras que lorsque que tes maîtres te parlent. Si tu veux dire quelque chose tu devras demander la permission.

Tu n'as pas le droit de t'asseoir sur des meubles. Tu dois t'agenouiller ou t'asseoir sur le sol.

Il n'y a qu'une chambre à partager et un seul lit maintenant. Vous déciderez qui de vous deux prend le lit.

Votre nourriture vous sera fourni et vous aurez du temps pour soulager votre vessie et vos intestins. Profitez de ces opportunités, car vous ne saurez pas quand vous aurez de nouveau l'occasion.

La personne qui dort dans le lit portera une cage de chasteté avec des sondes pour son cul et sa chatte. Ces sondes seront branchées à une commande à côté du lit. Je suis sûr que vous apprécierez les vibrations tout au long de la nuit. N'oubliez pas que vous ne pouvez pas jouir sans permission.

La personne dormant sur le sol aura un plug et sera ballonnée jusqu'à sa libération le lendemain matin.

Chaque matin, à six heures vous viendrez vous agenouiller devant cet écran. Vous recevrez alors des instructions sur comment vous vêtir et quand vous pourrez vous occuper de vos besoins naturels.

C'est tout pour l'instant. Mais il y aura d'autres règles au fil du temps. Demain nous allons équiper votre maison. Des techniciens arriveront à huit heures. Ils installeront des caméras et microphones dans toutes les pièces. Vous serez sous observation constante donc nous saurons si vous enfreignez une règle.

Les techniciens travailleront également au sous-sol. Vous ne devez pas y aller. Je vous ferai savoir si et quand vous y êtes autorisées. Au cours de chaque journée, l'une de vous deux restera et s'assurera que les ouvriers soient de bonne humeur et bien motivés. Je vous laisse décider qui restera à la maison.

Janice ne peut pas parler, sa voix reste coincée dans sa gorge. Les évènements la rattrapent. Une larme coule sur sa joue alors que leur situation apparaît soudainement bien réelle.

Kévin regarde les épaules de Janice s'affaisser alors qu'elle se replie sur elle-même. Il sait qu'elle est vulnérable et complètement dépassée en ce moment, mais il veut augmenter la pression.

- Esclave Janice, montre-moi ton tatouage qui montre que tu es esclave. Demande Kévin.

Janice tend son poignet vers la caméra. Kévin fait quelque chose en arrière-plan et sourit.

- Bien esclave, ce tatouage dit que tu es une esclave et que j'en suis le propriétaire. Il a également une autre utilité. Tu es maintenant une « QR Babe »? Chaque fois que quelqu'un te demandera ce que c'est tu devras répondre : « Je suis une QR Babe, scannez mon code ». Après le scan les personnes arriveront sur une page où il y aura des photos de toi. Ces photos te monteront à différents stades de nudité. Tant que tu obéiras, c'est tout ce qu'ils verront. Toutefois si tu te conduis mal, refuse d'effectuer ce qu'on te demande, hésite, le scan de Christy permettra d'accéder à une autre page. Si cette page est activée, elle devra vendre certaines prestations. Donc si tu désobéis, c'est ta fille qui paiera. Et si elle désobéit c'est toi qui paies. J'espère que vous comprenez toutes les deux comment ça fonctionne. Dit Kévin.

Christy sait ce qu'il se passe dans l'esprit de sa mère. Elle a vécu la même chose il y a seulement quelques heures. Elle s'approche d'elle et lui fait un câlin. Les deux restent serrées l'une contre l'autre pendant plusieurs minutes.

Le reste de la soirée, Janice et Christy rangent la maison. Elles chuchotent en priant que Kévin n'ait pas encore mis la maison sur écoute. Elles dînent et se mettent devant la télé. Mais aucune de deux n'est intéressée par ce qu'il se passe sur l'écran, ça les empêche juste de parler. Elles essaient toutes les deux de comprendre tout ce qui leur arrive.

Finalement il est l'heure d'aller se coucher. Pendant que Janice ferme la maison, Christy va aux toilettes. Elle commence à s'asseoir, mais elle se souvient qu'elle n'a pas la permission. Elle n'a pas encore besoin d'aller aux toilettes, mais elle sait que ça ne va pas tarder.

Christy se brosse les dents et entre dans la chambre à coucher. Elle voit sa mère déjà allongée sur le sol. Christy la regarde et remarque qu'elle a déjà mis son plug. Elle attend d'être attachée.

Christy hoche la tête et attrape sa ceinture de chasteté pour la mettre. Elle grogne quand le gode et le plug entrent dans son corps.

Quand elle a fini d'attacher la ceinture, elle s'agenouille et attache les pieds et les mains de sa mère. C'est assez simple, il y a des attaches pour les chevilles et les poignets et une chaîne qui relie le tout. Sa mère gémit, elle a l'air d'être mal à l'aise, mais Christy pousse le bâillon dans sa bouche et le fixe derrière sa tête.

Il y a un grand cordon branché sur la ceinture de chasteté qui va à un boîtier de commande. Christy n'a aucune idée de ce qui va se passer. Elle éteint la lumière et se couche sur le lit. Ce n'est que quelques secondes plus tard que le gode dans sa chatte se met à vibrer. Christy sursaute, mais ne peut pas l'arrêter. Lorsque le plug dans son cul se met lui aussi à vibrer, elle se tord sur le lit, son corps se dirigeant rapidement vers un orgasme. Mais les engins ne la soulagent pas, ils s'arrêtent toujours avant qu'elle ne jouisse. Le pire c'est que l'appareil semble comprendre comment son corps réagit, donc il la pousse de plus en plus près de l'orgasme, mais ne va jamais plus loin. Christy n'a aucun répit.

Sur le sol, Janice est ligotée. Le plus anal lui fait mal ainsi que sa bouche. Sa bave fait une flaque à côté de son visage et ses cheveux sont mouillés. Pour aggraver les choses, Christy se tortille sur le lit en essayant de survivre aux vibrations dans son corps. Aucune des deux femmes ne dort beaucoup cette première nuit.

A suivre...

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Merci

Une traduction toujours aussi plaisante a lire.

Claude

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

encore ...

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