La Descente aux Enfers de Jessie 17

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Charles profite de ce moment pour lui lancer une robe sexy noir ainsi que des talons aiguilles.

- Mets ça et suis-moi!

Julie fait glisser la robe par-dessus sa tête. Le simple toucher du tissu moulant sur ses mamelons la fait presque jouir. Elle enfile les talons et suit son Maître le souffle court. Elle prie pour qu'il l'emmène se faire baiser.

Charles conduit son esclave excitée dans les escaliers, mais cette fois il ouvre l'autre porte. Dès qu'ils sont entrés, Julie manque de s'évanouir face aux hommes qui attendent. Elle vient de réaliser qu'il ne s'agit pas d'un tournage de film porno normal, mais un tournage BDSM. Son esprit essaie de reprendre le contrôle de son corps. Elle a peur de l'appareillage devant elle alors elle commence à reculer.

Charles s'attendait à une certaine résistance, donc il était prêt. Il se glisse derrière elle et passe ses mains sur ses fesses et sa poitrine. En quelques secondes, Julie succombe à ces sensations et permet aux hommes de l'attacher sur l'appareil.

Julie regarde autour d'elle, son esprit envahi par l'humiliation. Mais son corps est en feu. Elle regarde les hommes debout à proximité, les yeux rivés sur leur bite. La bouche de Julie salive à l'idée de les sucer. Son cœur bat plus rapidement, sa chatte ruisselle. Liée comme elle l'est, elle ne peut rien cacher.

Julie gémit en priant que quelqu'un la touche quand un homme costaud comme une montagne se place au-dessus d'elle, son corps massif cachant les lumières. Les yeux de Julie dérivent plus bas et examinent les épaules, les bras et finalement vers le gourdin entre ses jambes.

Julie perd son souffle en voyant l'engin se redresser. Sa circonférence doit être plus grande que son bras et paraît presque plus long. L'esprit de Julie panique à l'idée que ce sexe la pénètre, alors que son corps s'excite à cette pensée. L'homme tend la main et caresse doucement ses seins. Puis il fait remonter ses doigts vers les tétons sensibles qui pointent.

Julie gémit alors que son corps savoure ces caresses. Maintenant son esprit se perd dans les sensations améliorées par la drogue qui circule toujours dans son corps. Les yeux de la jeune fille sont fixés sur le gland qui frôle sa chatte de haut en bas. Elle miaule à chaque contact. L'homme massif se penche vers la jeune étudiante, attachée et exposée, et il l'embrasse légèrement sur les lèvres. A ce contact, Julie n'en peux plus et lui chuchote :

- s'il te plaît prends-moi! J'ai besoin que tu me prennes! Baise-moi s'il te plaît!

L'homme sourit, saisit sa bite et la dirige lentement vers la chatte humide de Julie. Pus il pousse lentement. Lorsque le gros gland écarte ses petites lèvres, Julie rejette sa tête en arrière et prend une grande inspiration. L'homme pousse encore et s'enfonce dans le corps accueillant. Les yeux de Julie s'écarquillent alors qu'il la remplit lentement, centimètre par centimètre. Bientôt, la jeune fille a un orgasme foudroyant et ses fluides enrobent la grosse bite.

L'homme sourit et reste immobile quelques instants pour la laisser profiter de son plaisir. Puis il pousse encore en avant et enfonce plus loin sa queue. L'air est expulsé des poumons de Julie alors qu'elle semble s'effondrer et que sa chatte s'ouvre complètement et avale la bite. L'homme recule lentement puis pousse de nouveau en avant, allant encore plus profondément. La tête de Julie se balance d'un côté à l'autre, son esprit et son corps se délectant des vagues de plaisir. L'homme recule de nouveau et commence à marteler la jeune chatte en augmentant la vitesse et l'intensité à chaque coup.

Julie ne se soucie plus d'où elle est ni de ce qu'elle fait. Son corps ne s'est jamais senti aussi vivant auparavant. Les orgasmes se succèdent. Elle ne peut plus parler et seuls des bruits de gorge et des gémissements sortent de sa bouche.

La jeune fille n'est qu'à demi-consciente quand l'homme jouit avec un rugissement et crache son sperme au plus profond de son corps avant de s'effondrer sur elle. Au lieu d'avoir peur, elle se sent satisfaite et en sécurité sous cette masse.

Pendant les quatre-vingt-dix minutes suivantes, Julie est baisée sans arrêt. Aucun de ses orifices n'est épargné. Quand ils la libèrent finalement, elle est presque comateuse. Elle lève ses yeux à moitié fermés par ses paupières vers son Maître et elle murmure :

- Merci Maître!

Puis elle ferme les yeux et s'éloigne dans son propre monde.

***********

Brenda attend jusqu'à presque six heures du matin avant d'aller réveiller ses nouveaux esclaves. Elle a attendu près de vingt ans pour avoir sa vengeance et maintenant elle a ce lâche de Marcus et sa pute de femme sous la main. Donc elle ne veut pas perdre un instant. Jessie doit être à l'université dans quelques heures et Brenda veut bien commencer la journée.

Elle entre dans la petite chambre et réveille les deux esclaves qui dorment par terre.

- Levez-vous esclaves, il est temps de commencer la journée. Vous avez cinq minutes pour descendre dans le salon. Ordonne Brenda avant de quitter la pièce.

Jessie est la première à se lever. Elle se précipite à la salle de bain. Marcus la suit de près. Ils se brossent les dents et soulagent leur vessie. Cinq minutes plus tard, ils se précipitent en bas. Ils sont étonnés tous les deux en voyant Brenda. Elle porte des cuissardes en cuir noir et un gode ceinture recouvre sa chatte. Un haut en cuir noir accentue ses seins. Elle pointe le sol et pousse Jessie vers le bas.

- Rends-toi utile esclave et tiens-moi ça! Commande-t-elle en remettant à Jessie une cravache.

La professeure la prend et garde la tête baissée. Le visage de Marcus montre ses sentiments. Son expression indique qu'il est presque en panique. Il reste là à regarder sa Maîtresse et il tremble dans ses bas. Son sexe est toujours enfermé dans la cage de chasteté.

Brenda veut commencer rapidement. Elle indique le mur et dit à Marcus!

- Lève-toi et va t'appuyer contre le mur! Montre-moi ton cul d'esclave.

Le ton de la voix de Brenda est vicieux. Marcus ne veut pas la contrarier alors il s'exécute rapidement. Son ex-femme se place derrière lui et se penche pour lui murmurer à l'oreille :

- J'en rêve depuis des années. Tu as voulu me baiser et aujourd'hui ton cul est à moi.

Elle aligne le gode sur l'anus de Marcus et elle pousse. L'homme pousse un gémissement alors que la fausse bite est poussée au fond de ses entrailles. Brenda n'a pas utilisé de lubrifiant, ni préparé le cul de son esclave. Elle veut le torturer et lui causer le plus de douleur possible. Elle tient le gode dans son cul alors qu'il crie de douleur. Quand celle-ci semble s'apaiser, la femme recule et pousse encore plus fort en avant. Elle enfonce la fausse queue plus profondément que jamais à l'intérieur du corps de Marcus. Les cris de l'homme font trembler les vitres, mais cela n'empêche pas Brenda de continuer à l'enculer. Les plaintes de son ex-mari l'excite et un orgasme commence à se former en elle.

Brenda tourne la tête vers Jessie et remarque qu'elle tient toujours la cravache devant elle.

- Esclave, passe derrière moi et enfonce ta langue dans mon cul. J'adore me faire lécher le cul.

Jessie rampe rapidement jusqu'à Brenda et enfonce son visage entre ses fesses.

Brenda continue à sodomiser violemment Marcus alors que Jessie lui lèche le cul. Bientôt elle jouit. Ce n'est pas un orgasme sexuel, mais un orgasme mental. Toutes ses années de misère ont explosé et son âme est purifié. C'est l'orgasme le plus satisfaisant de sa vie. Elle se retire du cul de Marcus et repousse Jessie. L'homme s'effondre sur le sol en pleurant presque hystériquement. Jessie, le visage couvert de sa propre salive, lève les yeux vers sa Maîtresse en priant que ce soit fini pour la matinée.

Brenda s'appuie contre le mur pendant quelques minutes. Elle réfléchit sur la façon dont elle veut procéder. Finalement, elle se dirige vers la cravache et elle demande à Jessie de se tenir contre le mur.

- Mains sur le tête esclave! Si elles bougent, nous recommencerons.

Jessie se lève lentement et obéit. Quand elle est en position, Brenda commence à caresser la poitrine exposée.

- Tu as de beaux seins pour une vieille salope. Mais je crois qu'il manque quelque chose. Chuchote Brenda à l'oreille de Jessie.

Elle recule et fait tomber la cravache sur les deux mamelons. Jessie crie alors que la douleur irradie de ses tétons à sa poitrine. En réflexe ses mains commencent brièvement à bouger, mais Jessie réussit à les garder en hauteur. Brenda rit de la voir ainsi. Elle aime chaque seconde où elle fouette les seins de la femme qui lui a volé son mari. Elle les frappe encore et encore jusqu'à ce que Jessie s'effondre en tas sur le sol. Brenda ne laisse pas passer l'occasion, elle cravache le cul de la professeure qui essaie de protéger ses seins martyrisés.

Lorsque Jessie essaie de protéger son cul, Brenda lui donne des coups de pied dans les côtes.

- Montre-moi ton cul d'esclave ou je te fouette jusqu'à ce que tu ne puisses plus tenir debout.

Le corps de Jessie est en feu, mais elle sait que Brenda est capable de la battre à mort. Alors elle se force à se mettre en position. Jessie s'agenouille, face contre terre et son cul en l'air.

Brenda fait glisser la cravache sur les marques qui ornent déjà le cul de Jessie.

- Celles-ci ont l'air douloureuses. Je ne pense pas que tu puisses t'asseoir de sitôt. Glousse Brenda.

Jessie gémit alors que sa Maîtresse frappe coup après coup son cul nul exposé et non protégé.

Lorsque Brenda s'arrête pour reprendre son souffle, elle baisse les yeux sur l'esclave brisé qui pleure hystériquement en la suppliant d'avoir pitié. Brenda donne à Jessie une douzaine de coups supplémentaires avant de lui ordonner de se retourner. L'esprit de la professeure a du mal à comprendre les ordres, mais elle finit par rouler sur son dos. Son cul est rouge vif et ses seins sont brûlants. Brenda voulait établir sa domination dès le début. En la battant maintenant, Jessie est moins susceptible de se révolter plus tard. Elle enjambe l'esclave recroquevillée et descend sa chatte sur sa bouche.

- Allez esclave, j'ai besoin de jouir. Et je veux avoir le plaisir supplémentaire de t'envoyer au travail avec mon jus sur ton visage.

Brenda chevauche le visage de Jessie et aime chaque seconde cette sensation de puissance. Peu importe si Jessie lèche sa chatte convenablement, Brenda s'enivre de ce sentiment de pouvoir qui pulse dans son corps. Lorsqu'elle se remet de son troisième orgasme, elle abandonne son esclave. Il est maintenant presque sept heures et Jessie doit être à l'université au plus tard à sept heures trente. Brenda sourit en sachant que son esclave n'aura pas le temps de se nettoyer avant de commencer la journée à enseigner aux étudiants.

- Esclave, il est sept heures. Lève-toi et prépare-toi pour le boulot. Oh, ne nettoie pas ton visage avant l'heure du déjeuner. Ton look est super. Rit Brenda en poussant Jessie du pied.

La professeure se retourne et se lève lentement. Son corps est toujours entièrement douloureux des coups de Brenda. Elle veut se dépêcher, mais son corps ne veut pas coopérer. Elle monte les escaliers et se dirige vers sa chambre. Elle n'est debout que depuis une heure et la journée a mal commencé. Elle entre dans la chambre et voit Maître Kévin. Elle tombe à genoux et attend qu'il voie sa présence. Le jeune homme baisse les yeux sur sa belle-mère esclave et sourit. Des rayures rouges couvrent son dos et son cul. Il sait qu'elle ne va pas beaucoup s'asseoir. Il lui tend la robe qu'elle doit porter et il voit qu'elle perd son souffle.

- Maître, si je porte ça, je vais être virée! Maître, s'il vous plaît, ne me faites pas renvoyer! Supplie Jessie.

Kévin sourit et ses lèvres se retroussent jusqu'à ce que son sourire se transforme en ricanement.

- Tu portes ce que je te dis. Tu baises qui je te dis. Tu manges quand je te dis de manger. Et tu pisses quand je te donne la permission. Maintenant tu vas enfiler cette robe et aller à l'université. Tu vas être en retard, mais tu récupéreras du temps si tu vas directement dans ta classe. Aujourd'hui, Janice n'y sera pas et je sais que le directeur a une réunion à l'extérieur. Donc, tout ce que tu as à faire est d'aller dans ta classe de cours et d'y rester autant que possible. N'en bouge pas et tout ira bien.

- Mais Maître, mes élèves...

- Tais-toi et habille-toi! Je t'ai donné des ordres, et à moins que tu ne veuilles une autre fessée, tu feras ce que je commande. Aboie Kévin.

Jessie hoche la tête et glisse la robe par-dessus sa tête. Elle baisse les yeux et se demande comment elle va rester couverte. La robe est décolletée avec de fines bretelles. Juste en dessous de chaque sein, la robe continue en panneau de résille jusqu'à l'ourlet. Il n'y a qu'un morceau de tissu de vingt centimètres pour couvrir son entrejambe. Mais à chaque pas, elle va dévoiler sa chatte. Elle enfile les talons hauts noirs qui vont faire ressortir sa chaîne en argent. Jessie sait qu'on va lui poser des questions à ce sujet dans sa classe. Une fois habillée, elle descend les escaliers et sort. Elle veut arriver à l'école le plus rapidement possible.

Elle y arrive bien après l'heure habituelle. Quand elle entre, elle commence à se déshabiller. C'était sa routine depuis plusieurs semaines. Mais avec l'absence de Janice, elle se reprend et se dirige vers sa classe. A chaque pas, son corps palpite d'excitation, car les couloirs sont remplis d'étudiants. Tous la regardent et chuchotent. Jessie devine ce qu'ils se disent. Elle se précipite dans les escaliers et marche dans le couloir jusqu'à sa classe. Mais elle est heureuse que la plupart de ses étudiants ne soient pas encore arrivés.

Elle entre dans sa salle de cours et allume les lumières. Elle se tourne vers son bureau et réalise qu'elle n'est pas seule. Les neveux jumeaux de M. ASH sont à la porte. Ce sont ces mêmes neveux qui l'ont baisée la semaine dernière quand elle devait se présenter chez son voisin dégoûtant. Jessie sursaute et dit :

- Que faites-vous ici? Vous devez partir tout de suite!

Sa voix est pleine de panique.

- Qu'est-ce qu'on fait ici? C'est la meilleure, et toi, qu'est-ce que tu fais ici? Est-ce que cette université a des putes comme enseignante? Est-ce que le directeur sait que tu donnes ton corps en dehors? Dit Martin ASH d'une voix dure.

Puis il ajoute :

- Nous venons de nous inscrire. Mais après t'avoir vu ici, je devrais peut-être aller au service de l'administration et leur faire savoir qui tu es.

Jessie, stupéfaite, reste silencieuse. Elle ne sait pas quoi faire, mais elle sait qu'elle doit sortir de cette pièce le plus rapidement possible. La dernière chose qu'elle doit faire c'est d'être seule dans une pièce avec ces deux jeunes hommes.

Martin se tourne vers Michael, son frère jumeau, et lui demande :

- Qu'en penses-tu Michael? Faut-il descendre et leur faire savoir qu'ils ont une pute comme enseignante?

Michael sourit et commence à parler, mais Jessie se dirige vers la porte.

- Où penses-tu aller salope . Nous n'avons pas fini. Dit Martin en attrapant son poignet.

Jessie comprend qu'elle a des ennuis.

- J'ai oublié quelque chose en salle des professeurs. Je dois le récupérer avant le début des cours. Dit-elle avec moins de conviction dans la voix qu'elle ne l'espérait.

- Ne nous mens pas salope, tu ne vas pas y aller habillée comme ça. Nous avons parlé à Kévin et nous savons exactement ce que tu es et ce que tu vas faire.

Jessie ressemble à une biche prise dans les phares d'une voiture. Elle baisse les yeux, elle sait qu'elle est piégée et elle ne sait pas quoi faire. Elle a peur des deux adolescents et de ce qu'ils veulent lui faire. Elle lève les yeux et murmure :

- Que voulez-vous que je fasse?

- D'abord, ce matin tu donneras tes cours. Au déjeuner nous reviendrons et tu prendras soin de nous. Et parce que tu n'as pas d'autre choix nous t'emmènerons après l'école. Donc quand les cours sont terminés, rejoins-nous à notre voiture. Kévin veut que nous nous documentions au salon de tatouage, mais avant ça nous nous arrêterons chez votre médecin pour vos injections.

Jessie hoche la tête tandis que Michael attrape ses seins. Il les tripote durement pendant quelques minutes avant que le cloche sonne pour annoncer le début des cours. Jessie n'a jamais été aussi heureuse de commencer sa journée d'enseignement. Les jumeaux quittent sa classe. Jessie regarde la porte pendant une minute et les premiers étudiants commencent à arriver.

Jessie se dirige vers son bureau et commence à s'asseoir. Mais dès que son cul touche la chaise, elle saute en avant. Les zébrures de sa fessée de ce matin la brûlent à tout contact. Elle sait qu'elle va devoir rester debout toute la journée. Jessie regarde sa salle de cours se remplir lentement. Les conversations cessent quand chaque élève voit Mme GRABAS. Jessie rougit alors que les chuchotements et les rires commencent à enfler. Quand la cloche sonne pour annoncer le début du cours, Jessie ouvre son livre pour essayer de commencer.

- Bon, ouvrez vos livres à la page 87. Dit-elle.

- Mme GRABAS, qu'est-ce que c'est que cette robe? Demande une voix du fond de la pièce.

- Je... Je sors après le travail. Bégaie-t-elle.

Puis elle essaie de continuer :

- S'il vous plaît, commençons!

Les élèves entendent sa réponse, mais au lieu se mettre au travail, une autre question retentit :

- Sortir? Où? Et c'est quoi à votre cheville? C'est assez bizarre.

La classe éclate de rire. Jessie rougit encore plus. Les instructions de son maître sont claires. Si quelqu'un de majeur pose la question, elle doit y répondre honnêtement. Il l'avait même prévenu qu'il la testerait. C'est la première fois pour Jessie qu'elle doit admettre à haute voix que quelqu'un la possède. Pour empirer les choses, elle doit le faire devant ses étudiants. Une larme coule sur sa joue alors qu'elle s'éclaircit la gorge.

- C'est un bracelet pour l'esclave d'un Maître. Je suis possédée. Dit doucement Jessie.

- C'est quoi? On ne vous a pas entendu § Dit la voix à nouveau.

- C'est un bracelet pour l'esclave d'un Maître. Je suis possédée. Dit Jessie plus fort cette fois.

La classe entière est hébétée en entendant la réponse.

- Vous êtes une esclave? Que voulez-vous dire? Et qui vous possède? Demande Susan, la plus jolie fille de la classe, assise au milieu de la pièce.

La poitrine de Jessie commence à se resserrer alors que les questions continuent. Elle sait que si elle ment et si Maître Kévin le sait, elle sera dans la rue ce soir. Si elle répond honnêtement, ses élèves pourront prendre le relais et son autorité sera érodée.

- Je suis l'esclave de mon fils Kévin. S'il vous plaît, commençons à travailler. Supplie Jessie dont la voix s'estompe pendant qu'elle parle.

- OHHHHH, tu es la propriété de ton fils! Et qu'est-ce que tu as à faire? Demande Susan.

- Je dois faire ce qu'il dit... S'il vous plaît...

- Il t'a dit de dire la vérité? L'interrompt Susan.

- Oui, si on me pose des questions sur le bracelet à ma cheville, je dois répondre honnêtement.

- Et alors? Que font les esclaves? Continue la jeune fille.

- Je dois répondre à toutes les questions. Un esclave doit obéir et faire ce qu'on lui dit.

Jessie a maintenant peur. S'ils continuent sur cette voie, elle risque de se retrouver nue, ou pire encore.

- Et si je te dis d'aboyer comme un chien!

Susan prend clairement le contrôle. Jessie gémit, mais répond :

- J'aboierai Mlle Susan.

- Eh bien aboie esclave! Dit Susan d'une voix qui devient rauque avec l'excitation.

Jessie a du mal à respirer et son corps tremble. Elle ne sait pas si c'est de peur ou d'excitation.

- Wouaf! Wouaf! Wouaf! Fait-elle.

La classe entière éclate de rire tandis que Jessie se sent totalement humiliée. Son corps rougit et sa chatte est tellement humide que du jus coule le long de ses cuisses.