La Ferme Bio Ch. 02

- Bien, Maitre!

L'appellation lui avait échappé tant elle se sentait complètement possédée par Guillaume à ce moment. Son ascendant sur elle se développait et elle ne pouvait s'y opposer! Il en profita pour imposer ses conditions :

- Bien, nous allons voir le commissaire de la foire pour que ta déclaration de soumission soit dument enregistrée! Tu n'auras plus besoin de vêtements pendant toute la durée de la foire. Ne t'inquiète de rien : maintenant que tu portes un vêtement rouge, tu seras sollicitée très souvent et il t'est formellement interdit de refuser quoi que ce soit. Maintenant que tu n'es plus une pucelle, ils peuvent venir passer librement un peu de bon temps avec toi! Ne t'inquiète pas : tu connaitras plus d'hommes en trois mois que la plupart des femmes n'en connaissent en une vie entière!

Hélène semblait matée mais Guillaume connaissait bien sa fille : c'était une rebelle toujours prête à exploiter la moindre faiblesse de son Maitre et il devrait la garder perpétuellement à l'œil mais c'étais un challenge qui lui plaisait : il n'aurait guère gouté à l'obéissance bovine de Brigitte qui s'était paraît il défendue avec énergie mais s'était faite sans difficultés à devenir l'esclave de Jean. Il pouvait s'absenter pendant six mois ou la charger d'encaisser les paiements mais Hélène était d'une autre trempe : il pourrait lui dire de gérer totalement sa petite entreprise et elle s'exécuterait méticuleusement avec totale réussite, il en était sur.

Pour tester Hélène dès que les formalités administratives eurent été réalisées, Guillaume rappela Brigitte. Il leur dit de s'étendre sur le patio de leur mobil home et de se lancer sans retenue dans un 69 endiablé. Hélène hésita car elle n'était pas familière des jeux saphiques mais Brigitte prit l'initiative, attirant Hélène sur elle. Elle lui gougnotta la chatte et Hélène, bonne comparse, se cabra en hurlant. Jean et Guillaume ayant pris des sièges pour assister au spectacle de façon plus confortable intimidaient Hélène qui aurait pu se rebeller en dehors de leur présence. Hélène s'acquitta de cette tache à la satisfaction des deux hommes, arrachant même des grognements stridents à sa mère qui venait de recevoir son spray sur les cordes vocales, elle aussi! Le spectacle des fesses d'Hélène animées d'une houle très excitante déclencha la fin de leur démonstration lesbienne!

Guillaume dut lui claquer les fesses avec une certaine violence pour qu'elle se calme. Guillaume rentra dans le mobil home et en revint avec un verre d'huile d'olive. Il ordonna à Hélène de se mettre à plat ventre et d'écarter ses fesses autant qu'elle pouvait avec ses mains. Hélène s'exécuta sans comprendre. Guillaume versa une bonne rasade d'huile entre les fesses d'Hélène et utilisa son doigt pour bien lui graisser toute la raie puis il plongea son index dans le verre avant de le planter profondément dans l'anus toujours vierge de la jeune fille. Elle rugit de surprise et de honte mais Jean appuya sur sa nuque pour étouffer ses cris contre la chatte épilée de sa mère. Il recommença l'opération plusieurs fois, plongeant son doigt de plus en plus profondément à mesure que l'orifice se détendait.

Jean se défit de son pantalon et Guillaume s'approcha pour écarter de force les fesses d'Hélène. Jean s'enduisit la verge avec le reste d'huile et plongea sur sa proie en tenant sa verge pour l'orienter. La lubrification avait été bien calculée : la verge pénétra le fourreau serré dans un bruit de succion écœurant. Hélène hurla mais il était déjà trop tard, la pénétration avait déjà atteint les dix centimètres et Jean continuait à pousser comme si sa vie en dépendait!!!

Un dernier effort et un hurlement plus violent que les autres de la part d'Hélène et Jean se retrouva planté jusqu'à la garde dans l'anus défoncé de la pauvre Hélène. Elle avait cessé de se plaindre et Jean se demandait s'il n'y avait pas été trop fort! Il attrapa le calepin qui ne le quittait plus et murmura à l'oreille d'Hélène :

- Ca va, tu n'as pas trop mal maintenant? Désolé pour la douleur mais il fallait te casser le pot comme on dit en argot. Ca sera beaucoup plus facile, les prochaines fois.

Hélène ouvrit de grands yeux lorsqu'il parla d'une autre fois, de plusieurs autres fois! Il lui tendit un crayon dont elle s'empara et griffonna rapidement. « S'il vous plait, retirez vous complètement et prenez moi encore aussi fort : j'ai aimé! ». Ce fut au tour de Jean d'être stupéfait. Il tendit le mot à Guillaume qui le parcourut rapidement et sourit. Il se pencha et prit les lèvres de sa fille dans un baiser qui n'avait rien de chaste : c'était le baiser d'un amant à sa maitresse ou plutôt d'un Maitre à son esclave et non d'un père à sa fille!

- Tu veux des sensations fortes, petite pute? Ne t'inquiète pas, tu vas en avoir!

Jean se retira complètement de l'anus d'Hélène et Guillaume se coucha sur le sol en disant à sa fille de venir s'empaler sur lui. Lorsqu'elle fut totalement emmanchée, Il lui écarta violemment les fesses pour dégager l'accès à son anus.

- Vas-y, Jean! Tu peux y aller sans précautions, maintenant : elle doit être encore bien lubrifiée et elle a demandé qu'on la prenne bien fort : plante ta grosse bite tout au fond de son cul! Laisse tomber la douceur et montre lui que tu es un Maitre!

Jean s'exécuta et lima violemment Hélène jusqu'à ce qu'il lui remplisse à nouveau le vagin de sa semence. Avec cette nouvelle dose, si elle n'était pas déjà enceinte, elle était presque sure de le devenir! Jean se retira sans douceur. Guillaume attrapa les hanches de sa fille et la repositionna sans sortir de son fourreau serré jusqu'à ce qu'elle soit à quatre pattes et lui derrière. Jean s'approcha en tenant sa verge à la main. Elle était maculée de traces brunes suspectes...

- En guise d'examen de passage, tu vas devoir sucer ma queue qui vient de sortir de ton cul! Tu n'étais pas parfaitement propre de ce coté-là. Je crains que ce ne soit un travail dégoutant pour toi mais le plaisir de ton client doit passer avant tout!

Empalée comme elle l'était sur la bite de Guillaume, Hélène était dans l'incapacité de résister et elle s'exécuta sans trop rechigner. Brigitte revint et offrit ses deux mamelles aux deux hommes en même temps pour qu'ils puissent se désaltérer. Jean et Guillaume se reposèrent un instant avec Hélène prise en sandwich entre eux et copieusement caressée. Puis Ce fut Jean qui s'étendit sur le sol et dit à Hélène de le chevaucher tandis que Guillaume la prendrait par derrière. Là encore, elle dut nettoyer la verge de son père avec sa langue! Elle s'endormit, épuisée, encore emmanchée jusqu'à la garde par Jean et ne se réveilla qu'au matin lorsque Jean se réveilla. Elle dut sucer successivement les deux hommes jusqu'à ce qu'ils lui remplissent la bouche avec leur sperme. Hélène dut tout avaler. Guillaume lui lança, goguenard.

- Maintenant, Hélène, il va être temps pour toi de gagner ma vie. On va retourner à la stalle que j'ai louée pour toi. Tu as cinq clients qui veulent utiliser ta bouche et cinq autres qui ont payé le maximum pour avoir ton cul. On attendra d'être surs que tu attends un petit ou une petite de Jean avant de te mettre à la disposition complète de tes clients. Tu demanderas bien sur à être payée avant toute prestation et tu déposeras l'argent dans ce petit coffre! Si tu te comportes bien, je te demanderai dans quelques jours de m'aider à convaincre ta sœur de nous rejoindre... J'espère que tu seras digne de cette mission de confiance!

- Maitre, vous ne voulez pas adjoindre ma sœur à votre cheptel comme vous dites! C'est votre fille!

- Juste comme toi! Pourquoi voudrais-tu garder toutes les bonnes choses pour toi? Dis-toi juste que ce n'est que le début! J'ai de grandes ambitions pour notre ferme... Dis-toi que tu en hériteras un jour avec ta sœur et la meilleure façon de former un futur dirigeant est de le faire travailler à la chaîne pour commencer!

Guillaume et Jean se relayèrent pour assister aux saillies successives, surtout pour vérifier qu'Hélène se comportait bien. Ils n'eurent aucun souci : Hélène était toujours muette. Elle reçut les cinq hommes qui avaient réservé pour utiliser sa bouche comme si c'était tout naturel. Lorsque les cinq clients suivants furent reçus, les uns après les autres par Hélène pour utiliser la voie étroite de ses reins, Guillaume resta jusqu'à la fin. Jean et son père congratulèrent Hélène, lorsque le dernier client s'éloigna, apparemment totalement satisfait par la prestation de la jeune prostituée, fut félicitée lorsqu'elle tomba dans les bras de Jean et de Guillaume. Elle était épuisée et son père lui offrit un verre de lait de Brigitte en comptant ce qu'Hélène avait gagné : cinq fois quatre vingt euros et cinq fois deux cent cinquante euros, cela faisait presque trois mille euros en comptant les pourboires généreux laissés par presque tous les hommes qu'Hélène avait servis. Pas mal pour une première journée de travail...

- Bravo, Hélène! Tu t'es comportée comme une vraie professionnelle. Le bouche à oreille va maintenant fonctionner et tu auras beaucoup plus de clients la prochaine fois!

Jean et Guillaume décrivirent à Hélène ce qui l'attendait :

- Il faudra que tu te reposes cette nuit! Tu auras une journée de demain éprouvante : le premier jour est consacré à ton apprentissage des fonctions attendues de toi comme laitière mais demain, tu vas découvrir ce qu'on attend d'une jument de selle! c'est assez différent même s'il y a des similarités!

- Tu seras attachée à plat ventre sur un chariot à roues avec des roulettes à l'arrière et des roues libres à l'avant. En fait ton corps reposera sur une barre métallique étroite qui te passera entre les seins et se termine au niveau de tes hanches. Dans cette position, tes jambes peuvent fournir un effort violent. Ca peut être utile lorsque tu seras montée par un client obèse ou lorsqu'on te demande de tirer un tilbury avec deux personnes à bord... C'est un petit véhicule à deux roues avec une capote repliable. Tu prendras vite l'habitude d'en tirer une à bonne vitesse!

- Bien sur, tu seras nue pour servir de cheval de trait et la position couchée te fera montrer largement à ton conducteur ta chatte et ton anus. Ils auront aussi une vue superbe sur tes fesses et tes seins qui pendront librement. En général, c'est suffisant au bout de quelques kilomètres pour qu'ils te dirigent vers un coin tranquille pour se soulager dans ta bouche, ta chatte ou tes reins... Lorsque tu seras entrée en lactation, une bonne lampée de lait et on repart et si tu ne vas pas assez vite, un petit coup de fouet sur les fesses te convaincra de mettre toutes tes forces en jeu...

- Tu auras aussi l'occasion de tirer un tombereau pour les travaux du jardin ou pour transporter tout ce qui est nécessaire pour un pique nique avec quelques uns de mes amis ou pour une fête! Imagine-toi attelée ou sellée avec les rênes attachées à un arbre pour la nuit attendant patiemment qu'un des convives vienne s'intéresser à toi. Tu n'auras, là non plus, aucune possibilité de fuir ou d'éviter ses assauts que tu le veuilles ou non!

Hélène avait bien compris quelle vie de servitude l'attendait, laissée à la totale disposition d'une horde de males en rut, avides de ravager tous ses orifices et de boire le lait qu'elle produirait! Ce n'était vraiment pas comme cela qu'elle avait imaginé son avenir mais cela ne l'avait pas empêchée d'apprécier les assauts des hommes tout à l'heure, surtout de ceux qui s'étaient répandus dans son anus! Elle se surprit elle même à bouger ses seins dans l'espoir de réveiller les ardeurs de Jean ou de Guillaume...

Hélène dormit pour la première fois de sa vie sur une litière de paille fraiche. Heureusement Guillaume avait placé un drap épais qui la protégeait quelque peu des pointes des brins de paille. Son lit sentait fort le foin mais la journée avait été tellement fertile en émotions qu'elle s'endormit comme une masse. Elle fut réveillée à sept heures précisément par son père qui l'amena dans un bâtiment à ciel ouvert et carrelé. Il lui avait passé un licol autour du cou et il y avait attaché une longe en cuir. Il l'attacha à un pilier et s'écarta. Hélène mit un certain temps à comprendre qu'il voulait qu'elle vide sa vessie et ses intestins devant lui sans lui laisser le moindre droit à une certaine pudeur! Elle finit par obéir. Guillaume rinça le sol avec un jet d'eau qu'il tourna ensuite vers sa fille. Elle gémit au contact de l'eau bien froide. Il la savonna, appliqua du shampoing puis la rinça, la sécha et la recoiffa. Enfin il lui rasa le pubis, les jambes et les aisselles, plus par souci de perfection que pour un besoin réel.

Hélène pensait être prête pour sa seconde journée à Saint Azul mais Guillaume la dirigea vers une autre porte. Il entra et revint avec un assemblage de bandes de cuir qu'il lui passa au dessus de la tête : c'était un harnais qu'il fixa autour de sa tête. Il lui commanda ensuite d'ouvrir grand la bouche et y plaça un assemblage métallique qu'il fixa à son harnais. Il attacha enfin des rênes à son harnais et la mena devant un miroir. Hélène ouvrit de grands yeux de surprise : ainsi attifée, elle ressemblait vraiment à un cheval!

Enfin Guillaume l'amena en utilisant uniquement les rênes pour la guider à l'extérieur ou une vingtaine de petits chariots attendaient. Il chercha le numéro 24 et la fit s'étendre dessus. Après quelques ajustements, il referma une sangle juste en dessous de ses seins, sans douceur. Il attacha ses poignets au support des roues avant et lui mit une entrave aux chevilles. Cela ne la gênait pas pour marcher mais lui interdisait de ruer. Enfin Guillaume mit une lourde selle sur le dos de sa fille. Il serra aussitôt une sangle sous le ventre d'Hélène et elle comprit tout de suite ce que l'ensemble pouvait donner : il n'avait plus une fille devant lui mais une jument! Guillaume mit le pied à l'étrier et grimpa sur son dos. Le poids était bien réparti et Hélène n'eut pas le souffle coupé...

- Lorsqu'on sera rentré à la maison, je te commanderai des sabots faits juste à tes mesures mais il y a trois mois d'attente. Il faudra t'en passer cette année! L'an prochain, tu en porteras aux quatre membres en permanence, même pour dormir!

Guillaume montra à Hélène quelques filles qui s'échauffaient avec leurs mains et leurs pieds pris dans des chaussures étranges qui ressemblaient vraiment à des sabots de chevaux. Elles étaient munies de fer à cheval et les filles faisaient en marchant le classique clipitty clop que font les chevaux sur un sol dur. Guillaume passa une bonne heure à expliquer à sa fille comment réagir à toute action sur les rênes avant de la déclarer apte au service. Avant de la confier à son premier cavalier, il inséra un gode court dans son vagin et en tourna la base. Hélène sentit le corps étranger dans son corps gonfler jusqu'à atteindre la taille d'un sexe d'homme en érection respectable. Il le bloqua en place à l'aide d'une clef puis il descendit et tendit les rênes à un homme qui attendait patiemment. Il s'adressa à Hélène puis à l'homme :

- Comme cela, ton cavalier ne pourra pas utiliser ton vagin! Il faut encore attendre trois jours pour savoir si la saillie a pris! Après, tu n'auras plus besoin de ce jouet! Cher ami, votre monture est prête. C'est sa première sortie montée! Vous pouvez la faire courir longtemps mais n'espérez pas qu'elle obéisse comme une jument expérimentée! Vous avez une heure au maximum! N'oubliez pas de la faire boire régulièrement pour qu'elle soit en forme pour le cavalier suivant!

L'homme passa le dos de la main sur la joue d'Hélène avec un geste presque tendre.

- Je n'ai encore jamais monté une fille si jeune. On m'a dit que tu étais la fille de Brigitte! J'habite près de chez son maître et je la monte toutes les semaines. J'adore lorsqu'elle me serre dans son vagin. J'espère que tu seras aussi bonne à baiser qu'elle!

Trois quarts d'heure plus tard, Guillaume vit Hélène et son cavalier revenir au petit trot. Il s'avança pour les accueillir et pour voir comment Hélène s'était comportée. Elle était couverte de sueur et ses cheveux étaient trempés : apparemment son cavalier avait voulu tester son aptitude à la course de fond! Elle avait les jambes couvertes de poussière de la piste et l'air harassé mais l'homme sur son dos paraissait aux anges!

- Votre jument est vraiment une perle. Je lui ai fait faire un tour de piste au trot comme échauffement puis je lui ai dit de partir pour un tour de piste en donnant tout ce qu'elle pouvait. Elle a fait un très bon temps. Elle méritait une récompense!

- Vous êtes plein d'attentions pour elle!

- Ensuite, je l'ai fait s'arrêter au rond point de l'obélisque pour voir ce dont elle est capable avec un homme sans la détacher. Elle m'a sucé la bite comme une prostituée de longue date. Sa langue est très mobile et elle ferait bander un eunuque! Après que je me sois soulagé dans sa bouche, j'ai voulu tester son gout pour les jeux sexuels : je lui ai caressé les seins et le clitoris et je lui ai mis deux doigts dans son anus. Elle a joui comme une possédée sans attendre mon ordre!

- Mes excuses! Je n'avais pas pensé à cela!

- Il faudra lui apprendre à attendre l'ordre de son cavalier avant de se laisser aller comme cela... Sinon, je la recommanderai vivement sur mon blog. Pourrais-je avoir une photo d'elle pour illustrer mon article?

- C'est tout naturel, voyons! Je vais la doucher et la faire boire un peu avant de lui refaire son maquillage et elle sera prête pour que vous la preniez en photo!

Après la séance photo, Hélène ne fut qu'à moitié surprise de voir que plusieurs des clients de la veille qui s'étaient contentés alors de sa bouche avaient réservé pour la monter. Il y en avait d'autres en plus. Hélène ne revint dans sa stalle que tard dans la soirée, passablement épuisée. Guillaume et Jean lui retirèrent son harnachement mais sa journée n'était pas finie : les deux hommes la prirent en sandwich, Jean dans sa chatte et Guillaume dans son anus. Elle cria lorsqu'ils se vidèrent en elle, l'un après l'autre mais elle avait beaucoup apprécié leur fougue!

En s'endormant, elle se dit qu'elle avait beaucoup de chance que son père ait décidé de développer son projet de ferme laitière et d'avoir été choisie comme première pensionnaire. Apparemment, son propriétaire avait l'intention de l'utiliser comme rabatteuse. Elle n'y voyait aucun inconvénient et s'imaginait déjà s'occuper de sa sœur!