La jolie femme du pasteur

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La jeune femme de pasteur va succomber à un bellâtre
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Al Grover était un bon vendeur de voitures neuves, un fait avéré puisqu' il avait été élu meilleur vendeur de la ville l'année passée.

Depuis des années, il avait appris comment se comporter avec les bons clients, spécialement si ces personnes pouvaient lui être utiles dans le futur.

Comme la vie avait sévèrement augmenté ces dernières années, il comptait recevoir une augmentation substantielle de ses commissions.

Mais ce qui réjouissait Al était de rencontrer de ravissantes femmes venant voir et essayer les nouveaux modèles, souvent de jolies jeunes femmes mariées avec leurs enfants.

Cet après midi, après avoir donné un coup de fil à un de ses meilleurs clients, Al se figurait que la vente potentielle de cet après midi ne serait pas d'un bon rapport financier, il devait la classer au rang des investis-sements pour l'avenir.

Le copain qui l'avait appelé, Robert Churchill lui avait déjà acheté plu-sieurs voitures ces dernières années.

Il lui demandait une petite faveur : il faisait partie d'une petite paroisse et souhaitait que son pasteur puisse profiter d'une excellente affaire à faible prix.

Ayant entendu que l'église paierait la nouvelle voiture, Al assura son ami qu'il renoncerait à sa commission et qu'il ferait de son mieux pour bien reprendre la vieille voiture du pasteur

Al soupira, il cette affaire ne lui rapporterait rien.

Au moment où le pasteur vint conclure l'affaire, Al regardait par la fenêtre et vit un vieux break bleu se ranger dans le parking.

A la vue de l'homme sortant de la voiture, Al le classa dans les trentenaires, il avait vraiment l'air d'un pasteur.

Puis les autres portes du break s'ouvrirent et deux jeunes enfants descendirent de l'arrière du véhicule. Al hocha la tête, se demandant si quelle genre de femme pouvait avoir engendré ce garçon de 6 ans envi-ron et cette petite fille d'un an sa cadette, tous deux en tenue de footbal-leurs.

Leur mère descendit à son tour de la voiture, Al en laissa tomber la mâchoire de stupéfaction.

-"Bordel quelle belle salope ......" marmotta Al lorgnant l'élégante jeune femme dans son tailleur saumon.

-"Merde alors .... Qu'est ce que peut bien foutre ici une telle beauté? ..... " Réfléchit-il.

La chose qui pouvait faire perdre la tête à Al c'était les jeunes beautés sophistiquées, et cette adorable jeune femme l'emballait, il faisait déjà des plans pour se la faire alors que sa bite se déployait dans son panta-lon.

Il la déshabillait littéralement des yeux, Al rêvait déjà de se vautrer sur ce corps somptueux imaginant sa main tentant de le repousser pour échap-per à sa lubricité.

Se présentant, il serra la main du pasteur tout en lorgnant la jolie jeune femme qui surveillait ses enfants.

Puis serrant la petite main manucurée de la somptueuse jeune femme il sentit sa bite palpiter dans son pantalon. Il rêvait déjà de posséder cette splendide femelle.

Brisant le charme, il se mit à discuter avec le couple, leur faisant visiter le stand, Al écouta le pasteur demander à sa femme :

-"Tout ça c'est très bien ... Mélanie aimerais-tu faire un tour avec cette voiture?.... Elle est sûrement plus fiable que notre vieux break ....."

Présentée rapidement à Al, Mélanie avala sa salive en toisant ce colosse qui devait lui faire essayer la voiture, elle s'était sentie si menue lorsque sa petite main s'était perdue dans sa large pogne.

Cet homme l'impressionnait fortement, il mesurait au moins trente centi-mètres de plus qu'elle, elle balbutia :

-"Heu ... Comment allez vous monsieur Grover?..."

Son corps tremblait alors qu'il tenait sa petite plus que nécessaire dans la sienne, son coeur s'emballa alors que son souffle devenait plus diffi-cile.

Mélanie se réjouit de voir les enfants s'animer et courir de ci de là sur le plateau d'exposition, ce qui lui permettait de s'éloigner de l"impressionnant vendeur noir.

Il y avait beaucoup de noirs dans la congrégation de son mari, Aussi n'était ce pas le premier qu'elle rencontrait.

Mais, pour une raison inconnue, cet homme semblait avoir un certain pouvoir sur elle, c'était une véritable armoire à glace avec un sourire qui la désarmait.

Alors que la jolie jeune femme se glissait au volant, Al, posté près de son époux la regardait chercher à ajuster la ceinture de sécurité. La voyant lutter pour tenter d'avancer son siége, Al s'empressa de l'aider.

En faisant cela, il se penchait à quelques centimètres de ses succulents charmes.

Connaissant par coeur la voiture, il aurait pu trouver la manette pour ajuster le siège les yeux fermés.

Prétextant chercher la manette il se pencha en avant.

Il constata immédiatement son impact sur ses sens en l'entendant souf-fler bruyamment ses yeux s'élargirent alors qu'il focalisait sur ses cuisses nues, sa jupe s'étant largement remontée lorsqu'elle s'était assise.

Se pourléchant les babines, Al espérait que sa jupe remonterait encore de quelques centimètres pour ensevelir son visage dans sa fourche.

Il n'avait jamais vu jambes aussi parfaites.

-"Bordel .... Quel beau morceau!..... je parie que son époux ne la satisfait pas ..... Ohhhh ....Chérie ..... Je suis sure que tu vas hurler quand je plongerai ma grosse bite dans ta petite chatte " gloussait-il en lui-même.

Figée au poste de conducteur, Mélanie cherchait à contrôler son souffle en sentant l'haleine chaude du vendeur sur ses cuisses.

-"Oh mon Dieu ..... Mon Dieu ..." frémit-elle priant pour qu'il s'écarte d'elle.

Quelque chose chez cet homme lui paraissait démoniaque, elle voulait s'éloigner de lui et aussi vite que possible.

En recevant le couple dans son bureau, alors que les d'enfants jouaient dans un square en face du stand, Al cherchait le moyen de se faire cette somptueuse femelle.

Tout en discutant avec la pasteur de sa congrégation il décida de visiter l'église un dimanche.

Il apprit ainsi que la jolie jeune femme donnait des cours de catéchisme le dimanche à l'église et qu'elle aidait aussi à la décoration de l'église lorsqu'on ne la contactait pas pour remplacer un instituteur de l'école toute proche.

S'avisant que quelqu'un devrait essayer le véhicule autour du quartier pour en faire l'estimation Al vit le pasteur, confiant poser ses clefs sur le bureau.

Ayant appelé l'apprenti en cours de formation, normalement Al devait lui confier cette tâche.

Toutefois, en voyant le jeu de clefs sur son bureau, Al eut l'idée d'en faire faire des doubles.

Après avoir présenté le jeune vendeur aux Hasting, Al annonça :

-"Jerry, tu dois te familiariser avec ces formulaires, voila une bonne opportunité de le faire, remplis les avec monsieur et madame, pendant ce temps je vais essayer leur véhicule, j'espère que tu au-ras fini de les remplir à mon retour...."

Puis il prévint le couple qu'il serait de retour dans un quart d'heure, le temps qu'ils remplissent correctement les formulaires et il partit essayer leur break.

Il démarra rapidement tourna au coin de la rue et se dirigea vers la quin-caillerie proche et se gara. Il demanda à Harry le gérant de faire un double d'une clef qu'il retira du trousseau.

De retour sur le parking du magasin, Al gloussait de la bêtise de ce pas-teur si confiant qui lui avait donné son trousseau de clés.

-"Prédicateur de mes fesses ....Hey, hey, hey .... Tu m'as peut être donné les clefs du petit paradis caché dans sa petite culotte!.... Bordel ce que j'ai envie de sentir ses cuisses se refermer sur mon torse ...." délirait-il fou d'impatience.

En rentrant dans son bureau, Al informa le pasteur qu'il avait vu ce qu'il voulait savoir et qu'il allait déterminer un bon prix de reprise.

Comme le pasteur le remerciait cordialement, Al sourit et lui dit :

-"C'est le moins que je puisse faire pour vous et votre ravissante jeune femme!...."

Il vérifia ensuite que leur adresse était bien lisible sur les formulaires remplis.

Connaissant à peu près l'endroit où se trouvait l'église, il demanda au pasteur à quelle distance de l'église il demeurait, il apprit ainsi qu'ils habitaient à deux blocs plus loin.

A l'extérieur, les deux gamins jouaient, ils tournèrent la tête vers leurs parents lorsqu'ils les appelèrent.

En se retournant sur la chaise la jupe de la jeune femme avait remonté découvrant haut ses cuisses nues, les yeux d'Al se rivèrent sur ses lan-gues jambes ainsi exposées.

A sa grande joie, en se penchant pour appeler ses enfants, la jeune femme avait écarté les cuisses lui livrant une vue imprenable sur le fon de sa petite culotte blanche.

En voyant les enfants se chamailler, Mélanie décida qu'elle ferait mieux de les rejoindre, puisque les formulaires étaient signés.

Comme elle se tournait vers lui pour s'excuser, alors que son mari avait toujours les yeux fixés sur les enfants, elle haleta brusquement en cons-tatant qu'il avait les yeux rivés sur le fond de sa petite culotte, elle se sentit rougir d'embarras.

Elle repoussa prestement sa jupe sur ses cuisses, refermant les cuisses, elle balbutia :

-"Excus .... Excusez moi ....mais je dois rejoindre mes enfants ....".

Comme il la fixait ironiquement, elle se sentait très gênée par l'audace de cet individu.

Quittant rapidement le bureau, le coeur battant la chamade, Mélanie voulut rentrer rapidement et dit à son mari qu'ils devaient partir tout de suite, qu'il était inutile de poursuivre la discussion puisque la vente était conclue.

Jetant un oeil glacé sur le bureau du vendeur alors qu'elle se dirigeait lentement vers ses enfants, elle espérait que tous les papiers étaient signés, heureuse de savoir qu'il ne ferait pas son beurre en leur vendant cette voiture.

-"Mon Dieu, quel goujat .....Il n'a même pas eu la décence de dé-tourner les yeux lorsque je l'ai surpris à regarder sous ma jupe!..... Mon Dieu .... Il .... Il m'a déshabillée du regard et il m'a regardée de façon si ironique lorsque je l'ai surpris ..... " pensait-elle éperdue.

En rentrant chez elle, Mélanie ne ressentait autant de joie que le reste de sa famille.

Alors que les enfants grimpaient par la porte du coté aidés par elur père, Mélanie avait pris place sur le siège passager alors qu'Al lui tenait la porte ouverte.

Lorsque monsieur Grover lui dit lourdement :

-"Laissez moi vous montrer comment régler votre ceinture madame Hasting ...." elle se figea au contact de sa main se posant sur sa cuisse au dessus de son genoux.

-"C'est ainsi qu'il faut procéder ....." continuait le vendeur pour endormir les soupçons du mari, alors qu'il lui caressait les cuisses glissant prestement sa main sous sa jupe.

Mélanie eut le souffle coupé par l'audace de cet individu il lui était impossible de se soustraire à ses caresses hardies. Incapable de hurler, toue ce que Mélanie pouvait faire, c'était d'empoigner la main fourrée sous sa jupe pour l'empêcher d'avancer plus loin.

Elle captura sa main, la retenant, mais elle fut incapable d'empêcher son majeur d'aller et venir sur le fond de sa culotte suivant l'empreinte de sa fente qui se mit à couler comme une fontaine.

Affaiblie par ses caresses, sa prise sur la main envahissante se fit moins forte, livrant un accès libéré à sa chatte, serrant les cuisses l'une contre l'autre, Mélanie tremblait en sentant sa chatte secréter un flot de jus lui engorgeant la moule, détrempant le fond de sa petite culotte.

Et même maintenant, vingt minutes plus tard sur le chemin du retour à la maison, Mélanie sentait sa cyprine inonder sa foufoune à jets continus. Elle se tortillait sur le siège de cuir, le fond de sa petite culotte étant trempé.

-"Mon Dieu ..... Pourquoi .... Pourquoi n'ai-je pas hurlé ..... Crié à ce salopard d'arrêter .... Interdit de me faire cela?.... J'ai laissé un autre homme .... Un noir ..... Caresser mon intimité .....Avec Boyd et les enfants à proximité!.... " se demandait-elle amèrement.

Assis dans son bureau Al réfléchissait à son coup d'audace avec la jeune femme du pasteur. Il avait souri à pleines dents en glissant sa main sous sa jupe en constatant le pouvoir indéniable qu'il exerçait sur cette ravissante jeune femme.

Il copia son adresse et la rangea dans une enveloppe avec le double de la clé.

-"Bordel ... Cette salope a le feu au cul!.... Elle démarre au doigt et à l'oeil ..... Je vais lui mettre le feu aux fesses d'ici peu .... Très peu de temps ....... Ahhhhhh ... Chérie ... Al Grover va bientôt t'embra-ser le sexe ..... Et lorsque je le ferai ...... Tu ne penseras plus qu'à te faire baiser ...... " gloussait-il, sortant sa bite de son pantalon pour mieux se branler.

Le dimanche suivant, les offices terminés, Mélanie disait au revoir aux jeunes de sa classe de catéchisme.

Comme elle rangeait sa classe avant de se mêler aux membres de la congrégation, son mari apparut soudain à la porte d'entrée de sa classe. C'est alors que son coeur eut des ratés à la vue du visage souriant der-rière l'épaule de son mari.

Comme son mari suivi d'Al Grover entrait dans la salle de classe, Méla-nie avait le souffle coupé alors que Boyd l'informait :

-"Chérie, regarde qui est venu suivre la messe, il voudrait se joindre à notre congrégation ......"

Se forçant à sourire, elle était obligée de lui tendre la main pour le saluer, main qu'il engloutit dans la sienne deux fois plus large.

-"Monsieur Grover me dit que son garage aimerait faire une dona-tion à l'église et plus particulièrement pour consolider nos activités scolaires du dimanche.... Tu connais bien mieux que ce pro-gramme chérie ......Aussi pourquoi ne le détaillerais tu pas à monsieur Grover ..... Tu pourrais ainsi évoquer les possibilités d'amélioration ..... Quand vous en aurez terminé, tu pourras présenter monsieur Grover aux membres de notre congrégation ....."

Sur ce mots son mari partit l'abandonnant aux mains de cet être démo-niaque qui l'avait tant troublée plus tôt dans la semaine.

A nouveau Mélanie sentait ses jambes fléchir, elle était incapable de parler ou de bouger, avec Al Grover si près d'elle.

Il lui saisit la main, elle blêmit alors qu'il la posait sur la bosse déformant son pantalon.

-"Haaaaaaaaaa ...... Oh mon Dieuuuuuuuu ...... C'est ....... C'est si groooooooooooossssssss ..... "pensait-elle alors ses doigts ser-raient la grosse bosse palpitante.

Inconsciemment elle se demandait quelle pouvait être la taille de l'engin caché dans son caleçon. Pantelante elle constatait :

-"Mon Dieu ... Elle doit être d'au mois 30 cm .....C'est pas humai-nement possible!...."

-

-"Sors la, Madame. Hasting ... Puis tu vas la caresser ....On va voir à quoi ressemble ma grosse bite noire dans ta petite main blanche ..." lui soufla-t-il à l'oreille.

-" Oui ... C'est ça madame Hasting ..... Descend ma fermeture éclair ..... Et maintenant glisse ta petite main bien chaude dans mon ca-leçon et tâte ce qui s'y cache ....." poursuivit-il impatient de la voir obéir.

En sentant sa douce petite main se refermer sur sa bite frémissante, Al grogna de plaisir :

-"Oh ... Chérie ...... Ahhhhhhhhhhh .... Yeahhhhhhhhhhhhh!...."

Elle avait toujours fait l'amour avec son mari, le seul homme qu'elle ait connu, dans l'obscurité de leur chambre.

Jamais elle n'avait empoigné la virilité de son mari ainsi. Baissant les yeux, Mélanie était fascinée par la monstruosité noire qu'elle avait sorti de son caleçon.

Avançant l'autre main, Mélanie le branla, regardant sa bite se déployer encore sous ses caresses.

Haletante, elle le branlait à petites saccades sans comprendre ce qu'elle faisait. Il lui semblait que ses mains oeuvraient d'elles-mêmes sans qu'elle pense aux conséquences de ses gestes.

Elle continuait le branlant de plus en plus rapidement étonné du déve-loppement de la bite qui mesurait quasiment 8 cm de diamètre pour 30 cm de long.

-"Ahhhhhhhhh .... Ahhhhhhhh ........" mugit sourdement monsieur Grover.

Les gémissements de l'homme ne cessaient plus et Mélanie réalisa qu'elle l'avait manipulé au point de lui faire cracher sa semence gluante.

Elle repoussa prestement le gland épais sur sa gauche. Juste à temps, il gicla brusquement projetant jet après jet des filets de foutre poisseux sur le bureau.

Elle ne pouvait le lâcher sans prendre le risque que la bite ne se retourne sur elle projetant des geysers de sperme sur le devant de sa jupe.

Soudain des petits pas résonnèrent dans le vestibule se dirigeant vers la salle de classe, et la voix de sa fille l'appela :

-"Maman .... Maman .... les dames te demandent ...."

Egouttant sa bite amollissante, alors que la mare foutre s'étalait large-ment sur le bureau, Mélanie se tourna vers le vestibule cachant ce qui se passait dans son dos.

Comme sa fille apparaissait dans l'entrée, Mélanie avala sa salive de peur en entendant une fermeture éclair que l'on tirait dans son dos.

Prestement elle se dirigea vers sa fille cherchant à interdire à sa fille la vue du bureau sur lequel la flaque de foutre s'élargissait lentement.

Al Grover la suivant, ils sortirent de la pièce, Mélanie ferma la porte dans leur dos et la verrouilla, ne voulant pas que quiconque voie son bureau souillé de foutre.

Alors que sa fille courait devant eux, Mélanie frémit en sentant la large main de Al lui peloter les fesses, tâtant et estimant la fermeté de sa croupe, elle tremblait d'autant plus que se penchant à son oreille il lui murmura :

-"Oui je veux me faire ton cul madame Hasting ..... Tu sauras bien-tôt ce que c'est de se faire baiser par ma grosse bite noire!....".

Le soir, Mélanie réfléchissait aux événements du jour. Elle se sentait si faible et coupable d'avoir présenté cet homme haïssable aux membres de la congrégation spécialement après ce qui s'était passé dans la salle c de classe.

Portant une tasse de punch à sa bouche, Mélanie frémit en sentant une odeur de foutre rémanente émaner de sa main.

-"Mon Dieu comment ai-je pu faire une chose aussi dégradante!.....Et sur le sol de l'église ..... Dans la salle où je dispense mes cours de catéchisme .... " s'étonnait-elle affolée.

Elle ne put résister longtemps à la tentation de porter ses doigts parfu-més à ses narines pour humer la puanteur virile du sperme.

Comme la congrégation se séparait, Mélanie avait demandé à son mari de ramener les enfants à la maison réalisant qu'elle n'avait pas terminé de nettoyer le bureau.

L'église avait un programme journalier de prise en charge des préscolaires durant la semaine, Mélanie ne pouvait donc pas laisser le bureau en cet état, elle devait obligatoirement le nettoyer.

Se rendant aux toilettes, elle fit un bouchon de papier hygiénique, le mouillant légèrement pour essuyer son bureau.

Le coeur battant la chamade, les doigts tremblant, Mélanie déverrouilla lentement la porte de sa classe.

Ayant fermé les fenêtres juste avant l'arrivée de son mari accompagné de ce bâtard, l'odeur de foutre planait dans la salle de classe.

Elle se précipita pour ouvrir une fenêtre afin d'aérer la salle. Puis stupé-faite et humiliée elle examina la surface du bureau.

-"Mon Dieu ....Il a bien éjaculé une bonne tasse de sperme sur mon bureau!...."

L'épaisse couche de foutre avait séché, le centre de la flaque semblait plus épais.

Mélanie se refusait à croire ce qui s'était passé plus tôt dans cette classe, que c'était elle qui avait manipulé la bite de l'ignoble vendeur l'amenant à éjaculer sur le bureau.

Fascinée par l'épaisse flaque Mélanie ne pouvait s'empêcher de penser :

-"Mon Dieu .... C'est si épais .... On croirait du pudding ..."

A cette pensée, son coeur battit plus vite, elle avança la main droite.

Mélanie, au lieu d'utiliser le papier hygiénique qu'elle avait amené appro-chait son doigt de l'ersatz de pudding, elle plongea quatre doigts dans l'épaisse purée, appréciant la consistance de cette sécrétion virile, elle porta ses doigts à son nez et frissonna en humant l'odeur spermatique.

Elle se refusait à croire à ce qu'elle faisait, ne comprenant pas ce qui la poussait à porter maintenant ses doigts à ses lèvres.

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