La « Lancenoir » 03

BÊTA PUBLIQUE

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— TA GUEULE!

— Hi! sursauta Léa

— Tu vas me faire le plaisir de te taire. Je vais t'expliquer une bonne chose, si tu ouvres la bouche sans que je te demande ton avis c'est pour me sucer. »

Léa se tint coite, un peu indignée et un peu craintive. Mais Amadou continua le dressage

« En attendant prend ça. » Il lui tendit un gros stick de colle qui traînait sur le bureau.

« De la colle? Qu'est ce que je dois coller? demanda Léa, craignant qu'il lui demande de se coller les lèvres.

— Colle ta chatte, tu t'enfonces ça dedans, et tu te masturbes jusqu'à ce que je te dise d'arrêter. Après tout je suis sûr que te branler est ton occupation favorite, une chaudasse comme toi, tu ne peux pas te retenir de mouiller, non?

— Pourquoi tu veux m'humilier comme ça? se plaignit Léa.

— Parce que t'es une conne de blanche raciste. Tu ne m'as pas accordé un seul regard avant que je te défonce ta chatte. Alors maintenant que t'as goûté à mon gourdin, je vais faire en sorte que tu en paies le prix. On ne peut pas tout avoir.

Pendant qu'Amadou tripotait et humiliait sa sœur ; dans la chambre d'a coté, Lucie ne restait pas inactive. Elle avait rassemblé ses économies, ses bijoux et tous ses objets précieux et cherchait une cachette où planquer ses trésors. Bien sûr, elle n'avait pas de crainte vis-à-vis d'Amadou... c'était un ami de sa sœur, il n'y avait aucune raison de le considérer comme un voleur... Mais il y avait des natures qui même avec la meilleure volonté du monde ne pouvaient s'empêcher d'assouvir leur instinct... surtout les gens d'un certain type, foncé... Elle ou sa sœur, avaient déjà invité des garçons à la maison, mais ça n'avait jamais été des étrangers, enfin pensa-t-elle se corrigeant mentalement, des gens « d'origine ». Et puis, ce n'était pas qu'elle était trop méfiante vis-à-vis d'Amadou, c'est qu'elle ne l'avait pas été assez des autres. Cacher son argent, raisonna-t-elle, c'est ce que tout le monde fait quand on reçoit des amis. Surtout des amis noirs, c'est du simple bon sens! Rien à voir avec des préjugés, elle n'avait vraiment aucune raison de se sentir gênée!

Le temps passa, Amadou jouait à G.T.A. sur l'ordinateur. Léa, elle, à quelques centimètres de lui s'enfonçait son bâton de colle dans la moule. De temps en temps, Amadou jetait un œil sur elle, lorsqu'il la vit essoufflée, se mordant les lèvres, et les yeux levés vers le ciel, il n'eut pas de mal à reconnaître les symptômes : la salope était à deux doigts de jouir.

« Arrête-toi. »

Amadou mit le jeu sur pause, et passa la main sur la chatte trempée de Léa. Honteuse de son excitation, elle baissa les yeux.

« C'est bien salope, on va descendre maintenant, le repas doit être prêt.

— Mais... Dans cet état? Je suis toute... euh...

— T'es humide comme la terre des champs après la pluie et tu voudrais bien que j'y plante ma graine.

— Non! Enfin, est-ce que je ne peux pas continuer juste un tout petit peu, s'il te plaît?

— Tu te rends compte que tu me demandes la permission pour te branler?

— Oui... alors je peux?

— Non. Tu vas rester bien chaude, rhabilles toi qu'on aille grailler un peu. »

Quand ils sortirent de sa chambre. Hélène, en bas, cria :

« Le repas est servi, les enfants! Venez manger! »

Léa hésitait, elle était gênée de se trouver face à ses parents sans sous-vêtement, et avec la chatte dégoulinante. Amadou lui donna une claque sur les fesses pour qu'elle se mette en mouvement. Au même moment Lucie sortit de sa chambre, et vit sa sœur se faire fessée. Elle ne dit rien, ne fut même pas étonnée. Elle pensa qu'avec un sauvage pareil dans la maison, elle avait eu raison de cacher ses bijoux. Et, qu'elle ferait bien attention à ne pas lui tourner le dos! Elle ne voulait pas se retrouver le cul tout rouge...

Jean voyant ses filles arrivé avec Amadou, les accueillit chaleureusement :

« Finalement vous voilà! Hélène vous a préparé un bœuf bourguignon. De quoi vous enchanter les papilles Amadou! Ce n'est pas quelque chose que vous avez l'occasion de manger tous les jours!

Amadou se demanda si le père l'insultait. Mais selon toute apparence il s'agissait simplement d'un con. Il entra dans son jeu :

« Vous avez raison, M'sieu! À la maison, c'est frites et merguez tous les jours.

— J'en étais sûr! Vous allez vous régaler alors.

— Alors comme ça, vous venez d'où? demanda Hélène.

— Du quartier Saint-Luc.

— Ah... oui, je vois beaucoup d'immeubles par là, hein... Mais je voulais dire de quel pays vous êtes originaire, insista le mère. »

Vraiment, se dit Amadou aussi blanc que con. Ils commençaient à l'ennuyer avec leurs questions à la con, mais il pouvait s'amuser aussi :

« D'Afrique, évidemment M'sieu.

— Oui, mais vous avez plusieurs pays par là-bas.

— En Afrique on est surtout d'une tribu. Les pays c'est ce que les colons impérialistes blancs ont inventé.

— Ah bien... »

D'un coup le père fut gêné. Il se demanda s'il n'avait pas commis un imper. Il était respectueux des autres, même s'ils étaient noirs ou qu'ils appartenaient à une tribu, pas de problème, se dit-il.

« Je vois, hum...

— En fait c'est comme nous, dit la mère.

— Comment ça?! On n'est pas d'une tribu! s'étonna Jean

— Non, je veux dire que l'on pourrait dire que l'on est de la tribu des Français. C'est un peu simpliste, mais je dis ça pour qu'Amadou comprenne comment fonctionne notre société.

— En effet! Tu as raison, je n'avais pas pensé à voir les choses sous cet angle. Et vous, Amadou, de quelle tribu être vous?

— Je suis Rundubwafa.

— Ah... Et bien, je ne connaissais pas. Et vous, vous connaissiez? demanda-t-il au reste de la famille. Qui n'en avait pas plus entendu parler.

— Cela veut dire la Lance Noire, en français. Expliqua Amadou

— Ah oui? C'est amusant, c'est parce que ta tribu chassait avec des lances de cette couleur?

— Oh non, pas du tout! En fait c'est un nom qui nous a été donné par les colonisateurs blancs et que l'on a traduit dans notre langage.

— Ah bon... Pourquoi?

— Parce que quand ils nous ont vus, et surtout quand ils ont vu nos énormes bites, ils pensèrent que c'était des lances! »

Le père recracha son bœuf bourguignon, la mère avala de travers, Lucie fit voler sa fourchette en l'air. Seule Léa ne réagit pas, à part en rougissant. Elle se rappelait l'énorme engin qui l'avait pénétré, et ç'avait tout d'une lance.

« Mais vous ne pouvez pas dire ça devant les filles!

— Ah oui? Désolé. Pourtant c'est intéressant.

— Mais c'est... Non... Ce n'est pas intéressant!

— Tenez, Madame. Vous savez ce qu'on dit sur la bite des noirs?

— Quoi? Non! Pas du tout! Je n'en ai jamais vu, comme je pourrais savoir leur taille!

— Ah, vous voyez, vous connaissez cette histoire de taille. Et toi Lucie? Tu sais ce qui ce dit dessus? »

Cette dernière s'empourpra immédiatement.

« Elle est plutôt grosse, non?

— Lucie, ne dit pas ça! la réprimanda son père. C'est... C'est raciste.

— Vous avez raison, Monsieur... enfin normalement. Car voyez-vous, c'est par notre tribu que c'est propagé le mythe du nègre surmembré. Les autres noirs ont le plus souvent des bites normales ou à peine plus grosses que celle des blancs. Mais nous, dans notre tribu, nous avons de ces monstres qui nous pendent de l'entrejambe... Alors c'est un peu vexant, pour notre tribu de la Lancenoir, que les blancs pensent que tous les noirs ont une queue énorme... Alors que cela ne concerne que nous.

— Mais enfin...

— Ah... Vous pensez que je fanfaronne. Alors peut-être voulez-vous la voir?

— Mais non! Absolument pas! S'exclama Jean

— Je parlais à votre femme, et à Lucie, sans vouloir vous manquer de respect.

— N... non... non merci... Balbutia Hélène. »

Lucie était estomaquée et ne dit mot. Elle était peut-être intriguée, comme si on lui avait proposé d'assister à un tour de magie. Mais quand elle vit le regard sévère de son père, elle préféra secouer la tête.

« Comme vous voulez, je réserve sa vue pour votre fille aînée alors.

— Quoi!? Mais vous êtes fou... Malade! Il est hors de question que ma fille voie votre... euh...

— Mon tournebroche? Mon chibre gargantuesque? C'est vrai qu'elle ne l'a pas vraiment vu.

— Mais j'espère bien! Et que ça reste comme ça!

— Parce que, voyez-vous... Quand nous avons baisé, il faisait vraiment sombre. Alors je ne sais pas si elle l'a vu en entier, mais en tout cas, elle l'a bien senti... Oh oui! Elle l'a senti jusqu'au plus profond de ses entrailles! Alors, je vous assure, elle peut confirmer qu'elle était énorme, non? »

Léa n'osa pas parler. Hocha juste la tête ne sachant pas comment réagir.

Toute la maisonnée était abasourdie. Lucie regardait sa sœur comme si elle s'était transformée en une différente personne. Le père n'arrivait tout simplement pas à croire ce qu'il venait d'entendre. Quant à la mère, elle resta stupéfaite avant de sentir son estomac se révolter. Elle se leva, se précipitant vers l'évier où elle se mit à dégobiller. Une image s'était formée dans sa tête et elle n'arrivait pas à s'en débarrasser, elle voyait ce noir avec sa queue tout aussi noire de la taille d'une queue de billard, en train d'aller et venir dans la petite chatte de sa fille. Comme si elle était souillée ou profanée. Jean lui balbutiait :

« Mais vous ne devez pas baiser ma fille! Elle... Vous êtes... enfin... Vous vous rendez compte que vous n'êtes pas du même monde!

— Je sais bien. Elle a une jolie frimousse, mais ses seins pourraient être plus gros. Comme ceux de Madame. Et ses fesses... Franchement... Se faire enfiler avec une queue comme la mienne, il faut avouer qu'elle a une chance inespérée.

— Bon ça suffit! On arrête de manger. Toi, Amadou vient par ici. Il faut qu'on discute d'homme à homme. »

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Anonymous
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4 Commentaires
Vanessatv30Vanessatv30il y a 9 mois

Dommage que ça soit juste une histoire ,j aurai aimé etre présent quand Amadou annonce avoir baiser Lea à la famille bien pensante !!! A mourrir de rire ...

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

This story must have been written by a well-educated person, with a still amateur way of writing, but with a marvellous fantasy and vision. Each time when you think it becomes predictable, something unexpected happens or some weird character appears on the scene. This is one of the best stories of Literotica in the BBC category. Exciting and funny at the same time. I use it to learn some unusual words in French. 5 star

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
La suite !

Trop impatient de decouvrir la soumission de la mère avaec l'assentiment du père

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans

Amadou va baiser la mère j'espère !! HI HI

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