La Libération Sexuelle de Morgane

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Un chéri trop gentil.
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Morgane est allongée sur le dos, nue, à l'exception de son soutien-gorge bleu ciel. Elle fixe le plafond pendant que son chéri, Aimé, s'efforce, en vain, de lui faire plaisir. Grogner et gémir comme le font tous les hommes dans les pornos qu'il regarde ne suffit pas, il lui faut plus que ça. Il sait qu'il perd la bataille, que bientôt il jouira sans que sa chérie ne ressente aucun frémissement de plaisir, encore moins un orgasme. « Ce peut-il qu'elle soit frigide? Et si je lui dis des trucs cochons, cela semble fonctionner dans les pornos? »

« Ta chatte est si bonne, poulette, ah ouais, est-ce que tu aimes la façon dont je te baise? » Morgane sait parfaitement ce qu'il essaie d'obtenir, elle sait que cela ne la fera pas jouir, mais elle joue le jeu, après tout, cela dure depuis trop longtemps, et elle a des choses à faire.

« Oui chéri, tu me fais tellement de bien » murmure Morgane en essayant d'être convaincante. Morgane n'a plus qu'à simuler, car Aimé a maintenant enfoui son visage dans son cou.

« Comment sens-tu ma grosse bite à l'intérieur de ta petite chatte? » Morgane ne peut s'empêcher de sourire. Elle arrête de regarder le plafond, tourne la tête vers la table de chevet, et jette un coup d'œil à l'emballage du préservatif posé à côté de la lampe. En majuscules, la taille indique : "Small"

Morgane doit s'empêcher de rire : « Oui, chéri, ta grosse bite est incroyable. Tu me fais beaucoup de bien. Je suis proche, maintenant. Jouis en moi, chéri, maintenant, jouis ! »

« Non, je ne veux pas jouir avant toi, je veux que tu jouisses ! » Morgane patiente avec amour, mais la coquine gémit très fort dans l'oreille d'Aimé, qui ne tient pas longtemps. Il accélère son rythme, pompe sa petite bite tant qu'il peut, et crache son sperme dans le préservatif. En même temps, il lève la tête et cambre le dos. Morgane aime regarder le visage d'extase d'Aimé, il a toujours l'air de pleurer en louchant. Pour Morgane, c'est toujours la partie la plus divertissante de cette épreuve !

Le jeune couple reste enlacé une minute en s'embrassant avant qu'Aimé ne ressorte son pénis déjà mou. La taille du préservatif convient presque en terme de circonférence, le problème c'est la longueur, sa bite trop courte ne remplit pas le caoutchouc qui pend lamentablement, entraîné par le poids du sperme. Aimé retire soigneusement le préservatif pendant que Morgane regarde silencieusement la bite spectaculairement peu impressionnante de son chéri. Une fois de plus, Aimé n'a pas réussi à satisfaire la femme qui partage son lit.

Aimé va dans la salle de bain pour se laver pendant que Morgane se lève pour se préparer. Elle a rendez-vous avec sa mère et sa sœur. Elle s'examine dans le miroir, prend des poses, joue la coquette. Elle s'amuse en s'envoyant des baisers, s'exerce avec des œillades provocantes, et tire la langue à son reflet. Elle pivote sur elle-même pour examiner sa silhouette, ses seins, ses hanches de femme qui attire le regard des hommes, surtout vu de derrière. Plus jeune, elle détestait les hommages des hommes, leurs paroles ou les sifflets vulgaires, mais maintenant elle revendique sa féminité, et s'habille en conséquence.

Aimé sort de la salle de bain lorsque Morgane finit de s'habiller. Elle regarde son corps mince et délicat. Un corps chétif, pas un corps musclé d'homme. Il est mignon mais inoffensif, si peu viril qu'il en est presque efféminé. Il est doux, calme et patient. Le genre d'homme qui fera un mari fiable, bienveillant et courtois. Le genre d'homme que les femmes adorent, sauf au lit. Aimé enlace Morgane et lui dépose un doux baiser dans le cou. Elle soupire d'aise. Aimé n'est pas un macho dans le lit, mais elle aime ce côté de bon chien affectueux.

« Je m'en vais maintenant, bébé, j'ai rendez-vous avec ma mère et ma sœur »

« D'accord, est-ce que je te prépare quelque chose pour dîner, ce soir? »

« Non, ne prévois rien. Tu connais ma mère, elle a dit pour le déjeuner, mais elle peut nous entraîner en boîte et y passer la nuit ! »

À 19 ans, Morgane est la plus jeune de ses filles. Sandra, la mère, est devenue une libertine maintenant que son mari l'a quittée, et que ses filles sont majeures.

« D'accord, passe-moi un message pour me prévenir si tu rentres dîner. Et quand tu reviendras, nous baiserons comme des bêtes ! »

Au début, Morgane croyait à ce genre de promesse. Malheureusement, Aimé est l'homme d'un seul coup. Aimé et Morgane se fréquentent depuis quelques mois. Aimé a 23 ans, et ils se sont rencontrés dans un café. Il est serveur dans ce café, et Morgane est étudiante à l'université. Elle a travaillé dans ce café pendant ses congés. Ils vivent ensemble depuis peu et, l'un comme l'autre, c'est la première fois qu'ils sont en couple. Morgane pensait que le sexe allait s'améliorer au fil du temps, mais sa patience commence à s'épuiser, et sa frustration sexuelle commence à lui peser.

Morgane monte dans le bus, direction centre-ville, et elle cherche un siège libre. En passant, elle attire l'attention de quelques garnements, des adolescents des cités difficiles, qui la dévisagent effrontément de haut en bas. Ils ne détournent pas le regard et commentent ce qu'ils voient sans vergogne. L'un d'eux s'exclame :

« Viens t'asseoir là-dessus, poupée » En secouant le paquet qu'il a entre ses jambes.

Se sentant un peu intimidée, elle rompt le contact visuel et poursuit son chemin vers le fond du bus articulé. Le gars tourne la tête pour mater le cul de la fille, siffle pour la héler, et commente à haute voix :

« Quel beau cul ! T'as vu son regard d'envie sur ma bite? Elle a faim, cette salope ! »

Bien sûr, il n'y a personne pour les faire taire, et Morgane, rougissante, fait comme si elle n'entend pas. Le fond du bus est presque vide. Morgane s'assied et rejoue la scène dans sa tête.

« Bande de petits connards » pense-t-elle. « Comment pensent-ils pouvoir intéresser une jeune fille avec un tel comportement? J'aurais dû faire disparaître son sourire narquois ! Une bonne paire de gifles, ou un coup de genou dans les couilles ! Sales gosses ! Ce ne sont pas des hommes, juste des animaux malfaisants ! »

Morgane suit un cours féministe à l'université et tente d'appliquer leurs préceptes dans le monde réel, ce qu'Aimé désapprouve discrètement. Elle se calme progressivement en raisonnant. Elle pense qu'elle ne peut pas les frapper, ils sont trois et pourraient la maîtriser facilement s'ils le voulaient. Sa colère se mue en fantasme. Elle ferme les yeux pour mieux imaginer ce qu'ils pourraient lui faire :

« Malappris ! » s'exclame Morgane en levant la main pour gifler le voyou. Mais le gars saisi le poignet de Morgane et la couche en travers de ses genoux.

« Salope ! Tu lèves la main sur un homme ! Je vais te dresser ! » Aussitôt, il lui baisse sa culotte et lui administre une fessée. Le bus est bondé, et tous les passagers s'esclaffent en voyant la fille ridiculisée. Certains, en voyant les fesses de Morgane, sortent leur bite pour se branler. Même les filles crient pour le gars corrige Morgane.

« Ce n'est pas une féministe qui va faire sa loi ! Ton copain est un mou qui ne peut pas te baiser, il te faut un homme, un vrai ! Je vais te baiser pour t'apprendre une bonne leçon ! » La foule applaudit ce discours, et les femmes crient :

« Oui, baise-là, baise cette salope de féministe ! Elle aime sucer des queues, c'est une salope comme sa mère ! » Le cœur de Morgane bat à tout rompre, elle va se faire baiser au milieu de la foule déchaînée. Morgane respire avec difficulté. Son attente devient douloureuse. Sa chatte frémit du désir d'être conquise.

« DING » Son téléphone vient de recevoir un message, et le son la tire de sa rêverie. Elle allait se faire baiser au milieu d'une foule surexcitée et, d'un seul coup, plus rien. Juste un message d'Aimé qui dit :

« Passe le bonjour à ta famille de ma part »

Morgane soupire, frustrée, en pensant que, même absent, Aimé parvient à l'empêcher d'exulter, même en songe. Mais elle ne peut nier ses sentiments. Elle a été troublée par la vulgarité de l'attitude des voyous, et elle se sent un peu coupable. Inconsciemment, elle compare Aimé à ces garnements. La douceur et la tendresse d'Aimé comparée à l'obscénité et à la virilité de ces hommes. De vrais hommes, pense-t-elle.

Elle se sent attirée par ces gars à l'attitude phallocrate, ces gamins qui ramène tout à la bite, et qui la dévisagent et l'envisagent comme si elle était une marchandise. Elle décide d'arrêter ses rêveries malsaines qui la troublent et la laissent humide dans son entrejambe. Elle feuillette les messages d'Aimé, son amoureux, et de temps en temps elle tombe sur une photo de sa bite qu'il lui a envoyée, avec ce commentaire : « Ma grosse bite pour toi »

Elle soupire, trouve que c'est un peu petit, mais se console en pensant que la taille n'a pas d'importance. Ce qui agace Morgane, c'est les commentaires qui accompagnent les photos, suggérant que sa bite est énorme. Pourquoi la taille compte elle autant pour Aimé? Il doit bien le savoir qu'il est petit et chétif. Il achète ses préservatifs en ligne. Est-ce par peur d'affronter le regard humiliant de la pharmacienne?

Il sait que Morgane n'a pas connu d'autres garçons avant lui, en tout cas pas de manière aussi intime, puisqu'il l'a dévirginisée. Est-ce qu'il pense qu'elle est idiote parce qu'elle manque d'expérience? Les filles ont toutes des photos de la bite de leur copain dans leur téléphone. Elles les montrent à leurs copines en rigolant et en faisant des commentaires. Quand c'est au tour de Morgane, elles disent :

« Ah, c'est mignon ! » D'ailleurs sa mère et sa grande sœur sortent beaucoup, avec des hommes différents, et se racontent leurs aventures devant Morgane, qui n'en perd pas une miette. C'est vrai qu'il n'y a pas que la taille qui compte, il y a aussi la performance, la durée, et tout un tas de choses qui vont avec et qu'elles groupent sous le nom de "virilité".

Morgane doit cesser de rêvasser, le bus arrive à son arrêt. Au grand soulagement de Morgane, les garnements sont descendus du bus un peu plus tôt. Elle se dirige vers le restaurant où l'attendent sa mère Sandra, et sa sœur Sabrina. C'est une belle journée et le trio s'installe en terrasse. Morgane passe le bonjour d'Aimé à sa famille, et naturellement la conversation des femmes s'oriente vers le sujet qui les préoccupent, le cas d'Aimé.

« Est-ce que ça va mieux avec Aimé? » Demande Sabrina.

« Mieux? Ça va, ca va bien ! Pourquoi dis-tu mieux? »

« Comment tu t'entends avec lui? Tu m'as dit qu'il est gentil, prévenant, mais au lit ...? » Elle laisse sa phrase en suspens.

« Ça va très bien, il est gentil » L'insistance de sa sœur dérange Morgane.

« L'important, ce n'est pas qu'il soit gentil, mais performant ! » Insiste Sandra, la mère.

« Il fait de son mieux » répond honnêtement Morgane, qui n'aime pas évoquer ce sujet en famille. Mais Sandra et Sabrina tiennent à éduquer la "petite", en lui expliquant ce qu'un homme se doit de faire pour contenter sa chérie.

Bien sûr, Aimé est loin de remplir tous les critères exigés par ces dames. Doux, gentil, prévenant ou tendre sont des qualités balayées d'un revers de main par ces gourmandes. La virilité, la taille, la résistance à l'effort font partie de ce qui suscite l'émoi et le plaisir des femmes. Le plaisir, voilà le maître-mot.

Sandra, sa mère, insiste : « Est-ce qu'il te donne du plaisir? »

« D'une certaine manière, il est si mignon ... »

« Eh bien, ce n'est pas si mal, chérie ! Au moins, c'est quelque chose sur lequel il peut s'améliorer, plutôt qu'un problème physique ! » Morgane est un peu pompette, elle a du mal à réaliser :

« Que veux-tu dire par problème physique? »

« Eh bien, tu sais. S'il ne dure pas assez longtemps, ou si sa bite est un peu trop petite ... »

Morgane se tortille sur sa chaise en regardant son assiette :

« Je ne sais pas, la taille compte-t-elle vraiment? J'ai vu un reportage qui disait que 5 cm, c'est suffisant pour satisfaire une femme ! »

Sabrina ferme son poing en dressant son auriculaire : « 5 cm, c'est ça ! Tu veux faire jouir qui, avec ça? Une oreille ou une lilliputienne? »

Sandra renchérit : « Il n'y a pas que la taille, il y a aussi la durée. 5 minutes, ce n'est pas suffisant ! »

Morgane est justement en train de penser que 5 minutes, c'est déjà pas si mal !

Sabrina se veut maternelle : « Je peux t'assurer, sœurette, plus l'homme est fort, mieux c'est ! » Pour appuyer son propos, elle pose sa main à plat sur la table, doigts écartés, et lui montre la distance qui va de l'extrémité du pouce à celle de l'auriculaire : « Comme longueur, ça c'est bien ! »

Puis, elle retrousse sa manche, et lui montre la grosseur de son poignet : « Et comme diamètre, ça c'est bien ! »

Sandra appuie les propos de son aînée : « Je ne couche plus qu'avec des mecs dominants, machos et méchants. Les gentils ne sont utiles que pour faire le ménage, les courses et la cuisine ! »

Sabrina précise : « J'ai couché avec un africain qui avait une BBC, la semaine passée, on a baisé toute la nuit, et j'ai gardé la chatte ankylosée pendant 2 jours ! » Sur ce, elles éclatent de rire toutes les deux.

Morgane est horriblement gênée.

« Est-ce que tu vois ... des noirs? » Morgane est stupéfaite par les révélations de sa sœur.

Mais Sandra poursuit son idée : « Le rêve, c'est un gentil mari, qui prend soin de sa femme, et un méchant amant, qui la baise jusqu'à lui retourner le cerveau ! »

« C'est vrai ! » Commente Sabrina « Tu serais surprise de découvrir ce qu'un homme peut supporter s'il t'aime vraiment. S'il ne veut que ton bonheur, il s'effacera pour que tu sois heureuse. Il deviendra plus servile et plus attentionné. Et tu seras comblée ! Une lopette à la maison qui fera toutes les corvées, et un amant qui te fera jouir jusqu'à en perdre la raison ! »

Morgane ne peut pas supporter le regard et les commentaires de sa mère et de sa sœur.

« Aimé n'acceptera jamais cela ! »

« Aucun homme n'acceptera cela de son plein gré. Il faut le dresser ! » Appuie Sabrina.

« Et s'il te quitte, tu ne perds pas grand-chose ! Un de perdu, tu connais la suite ! » Argumente Sandra.

« Tu dois lui en parler, mettre à plat les problèmes pour améliorer ta relation. Tu ne peux pas rester avec un garçon qui ne te rend pas heureuse. Tu dois trouver quelque chose pour ne plus être frustrée. Un amant? »

Pendant le trajet de retour, Morgane repense à sa conversation avec sa mère et sa sœur. Elle reste incrédule face à leurs conseils. Comment est-ce possible d'obliger Aimé à subir une telle humiliation?

Chez les chevaux, il y a le boute-en-train, celui qui stimule la jument avant que l'étalon ne la monte et l'engrosse. Un homme peut-il se comporter ainsi? Prendre soin d'une femme, et qu'un autre s'amuse avec? La recherche du plaisir charnel excuse-t-il tous les excès? Sabrina a parlé d'une BBC. Morgane ne sait même pas ce que c'est. Sur Google Images, elle tape sa recherche, "BBC".

Bouche bée, les yeux exorbités, elle fait défiler les images d'énormes bites noires accompagnées de visages de fille blanches exprimant l'extase. Morgane ne peut pas croire qu'il puisse y avoir autant de différence entre ce qu'elle connaît, la bite d'Aimé, et ce qu'elle voit sur ces images. Son estomac se remplit de glace et devient douloureux. C'est impossible que de tels monstres existent, ce sont des photos truquées ! Mais elle continue de faire défiler les photos, de plus en plus salaces, son ventre bruisse d'émotion, et sa chatte picote, comme si elle ne demandait qu'à être remplie.

Morgane doit faire quelque chose, elle ne peut pas laisser ce malaise l'envahir, comme pendant le trajet aller. Elle croise ses jambes en serrant ses cuisses, comme pour résister à une envie de pipi. Malheureusement, cela ne fonctionne pas, ou plutôt elle obtient le contraire de l'effet recherché. Son désir augmente, un homme vient s'assoir à côté d'elle, elle range son téléphone, mais son voisin hume l'air, peut-il sentir sa fragrance de fille excitée? Elle se lève pour rejoindre la sortie. Debout contre la rampe, elle sent son voisin qui l'a suivie se coller contre elle par-derrière.

« Un frotteur, bien ma veine ! » pense-t-elle. Elle revoit toutes ces filles ravies d'être soumises, sous le joug du mâle dominant, avec un sourire extasié sur les lèvres. Elle sent la bosse du type derrière elle s'enfoncer dans son sillon fessier. Elle est déterminée à jouir. Sa frustration des accouplements sans plaisir avec Aimé, la conversation avec sa mère et sa sœur, l'alcool ingurgité, et ces images de sexes surdimensionnés, tout cela tourne et se heurte dans son cerveau, elle doit absolument évacuer toute cette tension.

Au lieu de se soustraire au contact du frotteur, elle cambre ses reins pour améliorer l'assemblage, le gars hésite, ne semble pas croire en sa chance, puis se recule et s'échappe. Morgane jette un coup d'œil derrière elle, déçue, et s'aperçoit que c'est un vieux qui a chassé le frotteur en s'apercevant qu'il embêtait une fille. Du bout des lèvres, elle remercie son sauveur, en pensant : « Quel con, il ne peut pas s'occuper de ses affaires? »

Mais le mal est fait, Morgane sait qu'elle a besoin de connaître autre chose, de vivre des expériences. Elle sait qu'elle va accepter l'invitation de sa mère et de sa sœur, et qu'elle les accompagnera dans leurs sorties nocturnes, à la recherche d'hommes virils équipés de grosses bites.

Aimé est trop gentil, et ses performances sexuelles sont limitées. En suivant les conseils avisés de sa mère Sandra et de sa sœur Sabrina, Morgane essaie d'abord de rendre Aimé jaloux, pour voir sa réaction. Mais Aimé est si complaisant que Morgane a besoin de lui expliquer clairement la situation. Morgane persuade Aimé qu'elle a besoin de voir des hommes pour flirter, voire plus, et qu'il faut rester très discret à ce propos.

Aimé est évidemment assez choqué, mais il est si tolérant et compréhensif qu'il accepte que Morgane sorte de temps en temps avec sa mère et sa sœur. Cette attitude trop bienveillante déplait à Morgane, qui aimerait une réaction plus machiste d'Aimé. Peut-être pour le punir, elle décide de ne pas se contenter de flirter.

Morgane sort une première fois en fin de semaine. Les trois femmes vont dans un club privé où Sandra, la mère, a ses habitudes. Bien sûr, elles intéressent les mâles présents, et les couples se forment. Au gré de la danse, en changeant souvent de cavalier, Morgane se détend. Les hommes sont chauds, ils enlacent étroitement la jeune femme dans leurs bras musclés, en pressant leur virilité contre elle. Morgane n'a pas l'habitude, la tête lui tourne un peu, elle se laisse aller.

Lorsqu'un homme propose de continuer la soirée chez lui, les trois femmes acceptent. Ou plutôt, la mère accepte, et les filles la suivent. Après quelques verres, Sandra, la mère, s'éclipse au bras de son chevalier servant. Quelques minutes plus tard, c'est Sabrina, la sœur aînée qui suit l'exemple de sa mère. Morgane reste seule avec le propriétaire des lieux, qui se fait pressant. Le gars est encore assez jeune, la trentaine, et il est séduisant.

Morgane est trop ivre pour rentrer seule, et elle pense que si elle passe la nuit dehors, cela peut rendre Aimé jaloux, et provoquer chez lui une réaction salutaire. Elle demande à Sébastien la permission pour dormir sur son canapé, mais l'homme préfère qu'elle dorme avec lui dans la chambre. Sébastien est séduisant, insistant, et Morgane se laisse convaincre.

Dans la chambre, Sébastien est entreprenant, et Morgane est nue avant de réaliser ce qui lui arrive. Elle essaie vainement de le contenter avec des baisers et des caresses, elle utilise sa bouche et ses mains pour le satisfaire, mais elle réalise vite qu'elle n'a aucun moyen de le détourner de son objectif. De plus, elle est aussi excitée que lui, et elle oublie toute décence lorsque, allongée sur le dos, jambes largement écartées, elle lui laisse un libre accès à son intimité.

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