La nouvelle vie de Christine Ch. 16

Informations sur Récit
Première journée en tant que "faciliteuse de contrat (suite).
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Partie 16 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d'une mère de famille. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

**************************************************

- Applique-toi quand tu me suces!

Ce fut l'ordre que je donnais à ma belle-mère alors que l'écran se rallumait. Christine avait remis ses sous-vêtements et se trouvait debout au milieu de la pièce en face de la caméra.

Etienne JARSON sortit de derrière l'appareil. Il semblait encore plus arrogant et autoritaire que Michel. Si bien qu'il n'eut aucun problème à apostropher sa collègue :

- Mets-toi à genoux où tu es vieille pute!

Je vis le regard un peu inquiet de Christine à l'agression verbale de l'homme.

- Il est temps que je me venge de la grosse affaire Dupont que tu m'as piquée lors de ton arrivée.

Devant elle, il enleva pantalon et caleçon. Le reste de ses vêtements les rejoignit en tas sur le sol. Il attrapa les cheveux de ma belle-mère et les tira afin que sa bouche cogne sa verge flasque.

- Fais-moi bander Salope! Tu es arrivée ici et tu m'as baisé sur la plus grosse affaire que j'avais depuis des années. Pense-tu que j'étais un imbécile?

En colère, il ne lui permit pas de répondre car, les deux mains sur sa tête, il lui enfonça son visage dans son aine. Le pénis de l'homme commença à grossir dans la bouche de ma belle-mère, la bâillonnant complétement.

J'eus l'impression qu'Etienne allait profiter du nouveau rôle de Christine pour se venger de vieilles rancunes. Sur un air menaçant, il dit :

- Voilà Christine, maintenant que les choses ont changées et que tu es tombée bien bas, j'ai la possibilité de te faire payer.

Il retira sa queue de la bouche de ma belle-mère tout en lui demandant d'incliner la tête en arrière, ce qu'elle fit. Alors, il commença à gifler son visage avec sa bite, durement, sur le menton, les joues, le nez, les yeux et le front.

- Dis-moi que tu es désolée sale chienne!

Tandis qu'il continuait à la frapper avec son membre, elle répéta maintes et maintes fois qu'elle était désolée. Le sourire sur le visage d'Etienne me montra qu'il appréciait la situation.

Quand il finit de l'humilier en la giflant avec sa bite, il lui demanda de sucer sa queue. Il prit la tête de la femme entre ses mains et conduit sa queue dans la bouche. Il tenait sa tête comme il aurait tenu des hanches. Il se mit à baiser le visage comme si c'était une chatte. Ma belle-mère était complétement bâillonnée. Elle étouffait à chaque fois qu'Etienne tapait au fond de la gorge. Elle n'avait aucune maitrise de la situation.

Après trois minutes de ce traitement, l'homme retira sa queue couverte de salive pour recommencer à gifler le visage de Christine. Puis il arrêta, la regardant de haut.

- AIIIEEEE!

Ma belle-mère cria lorsque la main d'Etienne claqua sur la partie de sein droit sortie du soutien-gorge.

- AIIIEEEE!

Elle hurla de nouveau alors qu'il fit la même chose avec l'autre sein. Ensuite, il prit les deux tétons entre le pouce et l'index et les tira avec suffisamment de force pour faire trébucher sa victime.

- Mets-toi debout salope.

Elle se leva pendant qu'il tira et tordit ses mamelons jusqu'à ce que les seins soient dressés, la peau tendue. Je vis qu'elle grimaçait sous la torture de sa poitrine. Mais elle ne put se retenir :

- Ohhhhhhh OUI. Gémit-elle sous cette manipulation brutale de ses seins.

En les tirant et les tordant un peu plus fort, Etienne demanda :

- Donc, tu aimes bien que l'on maltraite tes nichons?

- Aiiieeeeee.... Oui.... Oui

Ce fut tout ce qu'elle put répondre, les yeux fermés, la tête en arrière. L'homme relâcha les mamelons, laissant les gros seins rebondir vers le bas. Il était évident que ce jeu avait engorgé les tétons qui étaient maintenant d'une grosseur que je n'avais jamais vue avant.

- Aieeee....... Aieeee....... Aieeee....... Aieeee....... Aieeee.......

Christine cria à chaque fois que son tourmenteur claqua ses nichons et ses mamelons sensibles.

- Je vais te donner du plaisir n'en doute pas Christine. Maintenant tourne-toi et attrape tes chevilles.

Encore une fois, sans hésitation ni plainte, elle se retourna et se pencha, attrapant ses chevilles comme il lui avait demandé.

- Ouvre tes jambes sale pute! Quand je te dis de te pencher tu dois écarter les jambes, comprends-tu?

Il accentua son ordre d'une grande claque sur le cul de la femme. Immédiatement Christine fit glisser ses pieds afin d'écarter les jambes. Sa chatte et son trou du cul furent ainsi bien exposés. Etienne remarqua tout de suite l'état du sexe qui avait été déjà bien utilisé.

- Oh merde, ceux qui sont passés avant moi ont bien souillé votre chatte. Je suppose qu'ils vous ont tous baisé.

- Oui. Répondit-elle.

- Ils vous ont tous fait jouir? Demanda-t-il en lui caressant les fesses.

- Non seulement Michel.

Elle répondit honnêtement sans bouger alors que l'homme s'approchait de plus en plus de son intimité avec sa main. Voulant l'humilier encore plus, il demanda

- Pourquoi seulement Michel?

Elle admit d'une façon franche :

- Les queues de Daniel et Robert étaient trop petites et ils n'ont pu me baiser longtemps.

- Mais pourquoi Michel a-t-il réussi lui?

- Parce que sa bite était plus grosse et il m'a baisé plus fort et plus longuement.

- Je vois....

L'homme fit le tour de ma belle-mère afin que sa queue soit près de sa tête et il dit :

- Regarde-moi!

Tenant toujours ses chevilles, elle dut tordre son coup pour regarder Etienne.

- Donc tu me dis que tu as besoin de grosses queues pour jouir?

- Oui. Répondit-elle la tête tordue.

L'homme recommença à la gifler avec sa bite comme il l'avait fait plus tôt. La frappant une dernière fois, il repartit derrière elle en disant :

- Eh bien tu as de la chance car je vais te sauter durant toute la semaine.

Je regardai Christine essayant de savoir ce que pouvait faire son tourmenteur. Je pense qu'elle se sentait vulnérable et pas du tout rassurée étant donné le comportement agressif de l'homme. Mais que pouvait-elle faire, c'était son nouveau boulot.

- Ok salope! je veux qu'avec tes mains, tu écartes le plus possible les lèvres de ta chatte. Oui c'est ça! Et je veux que tu me demandes de te baiser durement.

Il était derrière elle, sa grosse bite à quelques centimètres de son sexe ouvert. Comme elle avait supplié quelques temps plus tôt Michel, elle recommença avec Etienne :

- S'il vous plait M. JARSON, baisez-moi fort avec votre grosse queue, j'en ai besoin.

- C'est vraiment ce que tu veux salope?

L'homme plaça son sexe à l'entrée du vagin. Il attrapa les avant-bras de ma belle-mère qui tenait sa chatte ouverte et il tira un peu dessus afin qu'elle arque son dos

- C'est de cela que tu as besoin Salope?

- Oui oui M. JARSON, c'est ce qu'il me faut. Baisez-moi s'il vous plait.

Soudain, Etienne tira sur les avant-bras, embrochant la femme sur toute la longueur de son membre engorgé.

- Arrrrrgggghhhhhh. Cria-t-elle de douleur et de satisfaction.

- Tu vas avoir ce que tu veux Salope, je vais te le donner.

Il la laboura violemment en la tirant par les bras, son aine claquant sa chatte. Christine subissait. Elle était comme une marionnette. Elle ne pouvait rien faire à part prendre le membre tout au fond d'elle. Ses gros seins rebondissaient devant elle à chaque fois que l'homme poussait dans son vagin. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne montre des signes de début de jouissance. Je fus étonné de cette réaction si rapide à ce pilonnage brutal.

- Je vais jouir. Haleta-t-elle.

- Ca ne sera surement pas la dernière fois.

Etienne la martela encore plus durement. Si bien qu'après quelques secondes, Christine perdit le contrôle, lança sa tête en arrière, laissant un cri à fendre les oreilles s'échapper de sa bouche. Son corps se raidit, ses jambes commencèrent à trembler alors que l'orgasme la terrassait.

L'homme continua à la baiser. Il ne s'arrêta pas. Il voulait plus.

Je ne sus pas quand son orgasme fut terminé car les gémissements et les cris ont continué. Même si ses jambes étaient devenues faibles, elle ne pouvait pas tomber. Ses mains tenaient toujours son sexe grand ouvert pour la queue qui la pilonnait.

Environ sept minutes plus tard, alors qu'Etienne gardait le rythme, elle annonça qu'elle allait jouir à nouveau.

- Je vais te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus jouir. Je vais te faire payer ce que tu me dois.

L'homme redoubla d'efforts en sentant le corps féminin se tendre comme plus tôt. Il la regarda perdre le contrôle à nouveau, se tordre sur son sexe jusqu'au moment où elle se détendit. Alors il la libéra. Elle tomba à genoux en avant sur le plancher.

- Lève-toi salope!

Il la saisit par les bras pour la soulever et la tourner vers lui.

- Je n'en ai pas fini avec toi Christine. Il nous reste beaucoup à faire. Viens avec moi.

Il se dirigea vers le banc le long du mur. Il le tourna et demanda à sa partenaire de s'allonger sur le ventre en travers face au mur. Il ne perdit pas de temps pour investir de nouveau la chatte et de la pilonner durement.

- Arggghhhh, merde. Cria Christine en tournant la tête pour le regarder.

Telle qu'était placée la caméra, il ne fut pas évident pour moi de voir ce qui était arrivé. Etienne gronda :

- Que regardes-tu? T'ai-je dit de te retourner?

- Non M. JARSON, désolé. Répondit-elle en tournant la tête face au mur.

- Est-ce un problème si je doigte ton cul Salope?

Je pus voir qu'il avait sa bite complétement en elle mais je vis aussi qu'un de ses doigts avait forcé son petit trou du cul, la faisant crier.

- Non M. JARSON. Murmura-t-elle.

Il continua à utiliser les deux trous de la femme avec son membre et son doigt pendant quelques minutes puis il ralentit et demanda :

- Je ne crois pas avoir tort en supposant que ton cul a déjà connu une bite?

- Oui....

- C'était quand la dernière fois?

Je fus intéressé par la réponse qu'elle allait apporter. Dirait-elle la vérité et dévoilerait-elle l'arrangement que j'avais pris avec Francis.

- Vendredi. Argghhh.

Elle gémit alors que le doigt dans son cul ajoutait des sensations à la bite qui limait sa chatte.

- Vendredi Christine? Quelle salope..... Etait-ce ton mari?

- Non.....

- Non? Alors qui était-ce sale chienne?

- M. MULLER.

Elle ne parla pas de moi. Dans mon lit je lui demandai pourquoi. Elle leva sa tête de ma bite et m'indiqua que son patron ne voulait pas que les autres connaissent les paiements supplémentaires.

Pendant ce temps-là, Etienne retira son membre du sexe de ma belle-mère pour le repositionner à l'entrée de son anus tout en disant :

- Quel bâtard! ce qui est bon pour Francis est bon pour moi.

Il poussa lentement en avant. Aux mouvements et gémissements de Christine, je sus qu'il avait vaincu la résistance anale et que centimètre par centimètre il entrait dans son cul. Lorsqu'il l'eut complétement pénétré, elle eut un nouvel orgasme. Elle cria sa jouissance avec une queue entre ses fesses pour cette fois :

- UMMMMMM, Je jouis, arghhhhh, ARGGGHHHH

- Tu es vraiment une sale pute Christine. Tu dois adorer la sodomie pour jouir de suite. N'est-ce pas?

Il retira sa queue complétement avant de la glisser dans la chatte maintenant bien juteuse du dernier orgasme. Il baisa la chatte avec trois coups puissants puis ressortit pour la sodomiser à nouveau. Il alterna les deux trous pendant les dix prochaines minutes. Ma belle-mère ne donna aucune indication qu'elle n'aimait pas être dominée de cette façon. Elle gémissait en secouant la tête. Elle couinait comme une petite fille. Je sentis qu'Etienne voulait vraiment la baiser jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Son endurance était incroyable mais il savait certainement comment amener une femme à l'orgasme. Il avait de la chance aussi que me belle-mère soit très réceptive.

Comme les trois fois précédentes, elle l'avertit qu'elle allait jouir de nouveau. Cela semblait gonfler l'ego de l'homme qui à chaque fois la baisait un peu plus durement.

- Où veux-tu que soit ma bite quand tu jouiras? Dans ton cul ou dans ta chatte?

Il n'arrêta pas de baiser ses trous en alternance. A mon avis, je ne pensai pas qu'il lui laisse choisir après l'avoir dominé de cette façon.

- Dans ma chatte s'il vous plait. Dit-elle, son corps commençant à trembler.

- Je pensais que tu étais une chienne intelligente mais il semble que non. Crois-tu que je vais te laisser décider?

Il retira sa verge complétement et la regarda. Christine tourna sa tête vers la grosse bite gluante. Il pouvait voir le regard d'envie dans ses yeux. Elle avait besoin d'être baiser et de jouir.

- Tu la veux Salope? Dit-il, souriant d'un air satisfait.

- Oui M. JARSON, je veux votre bite en moi. Dit-elle désespérée.

- Vas-tu bientôt jouir Salope?

- Bientôt, Bientôt M. JARSON. Haleta-t-elle.

- Alors face au mur et tire tes mamelons en me suppliant de te faire jouir, en me jurant que je suis le meilleur baiseur que tu n'as jamais eu. Je veux que tu fasses n'importe quoi pour me faire plaisir. Je veux que tu te tiennes à ma disposition des que je t'appelle. Je veux que tu me dises que tu es désolé de m'avoir volé des dossiers.

Il frotta son gland autour des deux ouvertures sans y pénétrer. Christine essaya de glisser en arrière à la recherche du membre tendu.

- Ne sois pas idiote. Tu auras ma bite lorsque je le voudrais. Allez, j'écoute.

Ma belle-mère arqua son dos et attrapa ses mamelons engorgés. Elle gémit lorsqu'elle les tira et les tordit. Ils étaient encore sensibles du traitement que leur avait fait subir Etienne. Tout en maltraitant ses seins, elle fut sur le point de dire ce que voulait l'homme. Mais Etienne lui demanda d'attendre. Il alla vers la pile de ses vêtements pour attraper son portable. Puis il se repositionna derrière la femme, son gland frottant et taquinant les deux trous. Christine l'avait vu prendre son téléphone. Je vis sur son visage qu'elle était confuse et qu'elle ne comprenait pas. Alors, bêtement elle demanda :

- Pourquoi avez-vous besoin de votre téléphone M. JARSON?

- TAIS-TOI VIEILLE PUTE!

Il cria tout en abattant sa main sur la fesse droite. Tout de suite, ma belle-mère dit :

- Je suis désolé M. JARSON. Je vais vous obéir...

Mais il ne l'écouta pas. Il la releva et la tourna afin qu'elle lui fasse face.

« CLAC »

- Aiieee. Gémit-elle quand la main frappa son sein droit

« CLAC »

- OWWWW, AIIIEEE. Cria-t-elle alors que son sein gauche subissait la même chose.

« CLAC » « CLAC » « CLAC » « CLAC » « CLAC » « CLAC »

- AIEEEEEEEEEEEE OOOWWWWW. Cria Christine tandis qu'Etienne giflait par trois fois chaque sein, un sourire sur le visage.

Il la dominait, son égo stimulé.

A ce stade, la voyant si vulnérable, à la merci d'un homme qui ne serait pas là si je ne l'avais pas voulu, j'éjaculai au fond de sa gorge. Et je lui dis :

- Tu peux aller te coucher avec ton mari maintenant. Mais bientôt, tu dormiras toutes les nuits dans mon lit.

Elle se leva et partit en me répondant « oui maître ». je finis de regarder le DVD tout seul.

Sur l'écran, Etienne saisit les deux tétons et les tira puis il les tordit en les tiraillant vers l'avant. Même si ma belle-mère aimait bien qu'on lui travaille les mamelons, là c'était trop, elle cria et une larme coula sur sa joue.

- Tu ne dois jamais me questionner Salope. Si je veux te filmer ou te photographier je le fais. Maintenant retourne à ta place et continue à tirer tes tétons.

- Oui M. JARSON.

Christine sanglotait tandis qu'elle se tournait vers le mur et reprenait sa place sur le banc. Tandis qu'elle jouait avec ses seins, avec une sensation moins agréable maintenant car ils lui faisaient mal, elle commença à lui dire ce qu'il voulait entendre. Elle ne regarda pas en arrière quand elle entendit le « ping » du téléphone qui annonçait le début d'une vidéo. Elle pouvait sentir le bout de la queue de son tourmenteur frotter ses deux trous. Elle dit d'un ton convaincant :

- S'il vous plait M. JARSON, baisez-moi. Je veux votre grosse queue en moi. Je ferais ce que vous voulez si vous me baisez encore. Vous êtes le meilleur amant que je n'ai jamais eu.

- Et quoi d'autre sale chienne?

Il souriait tout en tenant son téléphone pour filmer les supplications de Christine. Celle-ci, en tortillant son cul pour sentir la verge de l'homme continua :

- Je serais à vous chaque fois que vous le voudrez M. JARSON. Je serais à cette place, tirant sur mes tétons en attendant votre bite. Vous pourrez me baiser par le trou que vous voudrez. Je suis une salope et je vous ai humilié sur un contrat donc c'est à mon tour d'être humiliée par vous. Je suis désolé donc vous pouvez me faire tout ce que vous voulez pour me faire payer. Mais s'il vous plait, M. JARSON, faites-moi jouir de nouveau et je vous promets de prendre votre sperme où vous voudrez.

- Parfait! Dit Etienne.

- Il mit son téléphone de côté et plaça ses deux mains sur la taille de Christine puis avec une poussée puissante il enfila sa queue tout au fond de la chatte.

- Tiens salope! Prends ma bite sale pute!

- OHHHH OUIIIIII.

Christine cria et son dos se vouta quand il conduisit son membre tout à l'intérieur à chaque poussée. La douleur dans ses mamelons était devenue insignifiante si bien qu'elle tira dessus plus fort.

- Merci M. JARSON. Ohhh merci....

Elle gémit, se laissant aller sous les coups de butoirs, avide d'un nouvel orgasme.

Etienne baisa ses trous l'un après l'autre, dix coups brutaux et profonds dans chaque, si bien que la femme hurla et le pria de la faire jouir. Il la pilonna sauvagement pendant huit minutes. Lorsque l'orgasme de ma belle-mère commença, il était tout au fond de son cul. Il continua de l'enculer jusqu'à ce qu'elle explose et que son corps commence à convulser. Alors il sortit sa bite pour la conduire dans la chatte qui venait de se resserrer.

- OHHHH MON DIEUUUUUUUUU!

Ma belle-mère cria tout en se soulevant légèrement. Mais il la tira vers le bas sur sa queue et la ramona sans pitié alors que son corps tremblait. Maintenant, les parois de sa chatte pouvaient serrer quelque chose.

Même s'il l'avait traitée comme une moins que rien, ce qu'avait fait Christine ensuite me prouvait qu'elle aimait être une pute. Elle aimait être dominée. Je découvrais qu'elle pouvait aller loin dans la soumission.

- M. JARSON s'il vous plait, laissez-moi m'occuper de votre bite, laissez-moi vous montrer à quel point je veux que vous jouissiez vous aussi.

Elle le supplia, face au mur, tout en continuant à tirer ses tétons.

- D'accord, suis-moi!

Il se dirigea vers le tapis à poils longs et s'allongea au milieu. Christine le suivit comme un petit chiot et l'enfourcha, face à lui et face à la caméra. Elle avait l'air épuisée. Son maquillage coulait. Ses seins étaient rouge et ses mamelons douloureux. Ses cuisses, ses jambes et son ventre étaient mouillés de sueur ou du jus de sa chatte. Sa petite touffe de poils pubiens était sombre et humide, complétement emmêlée.

Elle s'accroupit en écartant les jambes puis les genoux, si bien qu'elle fut positionnée juste au-dessus du membre dressé d'Etienne. Ensuite elle se pencha en arrière et posa ses mains sur les cuisses de l'homme.

- Montre-moi ce que tu sais faire Salope! Dit-il.

Sur la caméra, je pouvais maintenant voir le sexe de ma belle-mère. Ses lèvres étaient enflées et cachaient son clitoris. Elle avait été bien utilisée aujourd'hui. Et il lui restait encore trois hommes à rencontrer. Elle abaissa lentement sa chatte sur le gland. Je vis ce trou affamé engloutir la queue avec une facilité étonnante. Puis elle se releva et avança légèrement pour que la bite soit à l'entrée de son cul. Et elle se baissa de nouveau. Son anus accepta le membre qui disparut entre ses fesses.

Et comme Etienne avait fait pour elle, elle alterna ses trous pour qu'il les baise. Quinze minutes plus tard, l'homme lui dit qu'il allait jouir.

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