La Nuit

Informations sur Récit
Le royaume des songes.
4.1k mots
4.63
3.4k
1
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Liberté! » C'est la pensée prédominante dans ma tête lorsque je passe d'un pas décidé la porte arrière qui ouvre sur le parking. La semaine fut longue et j'attendais avec impatience ma nuit sauvage - thé à la menthe, roman mystère et mon chat. Ce que certains pourraient appeler ennui, je l'appelle bonheur.

Deux jours entiers, rien que pour moi. Pas de délais de dernière minute, de fichiers égarés, de patrons délirants ni d'heures supplémentaires tard le soir. Je vais m'arrêter dans n'importe quelle épicerie encore ouverte à cette heure, acheter une pizza surgelée et rentrer directement chez moi.

Comme je me dirige vers ma voiture, je remarque que, malgré l'absence presque totale de véhicules dans le garage, il y a une fourgonnette noire garée du côté conducteur de ma petite berline rouge. Un vague sentiment de malaise me parcourt et j'envisage brièvement de retourner à l'intérieur pour demander une escorte au gardien de la sécurité. Je me murmure : « Oh, allez...Tu as lu beaucoup trop de livres trash. Maîtrise ton imagination et monte dans ta foutue voiture. » Je sors mes clés de mon sac à main et me glisse dans l'espace entre la camionnette et ma voiture, plissant les yeux dans la pénombre pour distinguer le trou de la serrure.

Et là, je le vois, un gars près de l'utilitaire. Une chaleur envahit mon ventre, je suis envahie par une irrépressible pulsion. J'ôte deux boutons de mon chemisier et commence à me trémousser devant lui. Il reste bouche bée, tandis que je viens frotter ma coupe contre son bas-ventre, sentant poindre une excroissance sous son pantalon.

- Es-tu un vrai mâle? Capable de me dominer, de me faire vraiment mal?

Sa réponse est explicite, il empoigne virilement mes seins.

- Tu vas devoir assurer, je ne suis pas docile, ce sera une lutte. Et je peux mordre... Vous ne serez pas trop de deux.

Et les choses s'accélèrent, un sac est passé rudement sur ma tête et que des bras costauds me tirent en arrière. Je crie, je donne des coups de pied et je me secoue, essayant désespérément de retirer le sac, de blesser mon assaillant, n'importe quoi. Je me balance aveuglément et sens mon poing frapper de la chair, en produisant un bruit sourd . Une voix d'homme jure et soudain, il y a une autre paire de mains qui me bloque les jambes tandis que la paire initiale assure une meilleure prise sur mes bras. J'entends la porte coulissante claquer tandis que la personne à mes pieds se met à attacher quelque chose à mes chevilles. J'essaie de donner des coups de pied, mais les mains sont trop rapides pour moi et je me retrouve vite avec chaque cheville enfermée dans ce qui semble être une sorte de manchette. L'opération se répète sur mes poignets pendant que je continue de crier et de me débattre.

Car même si je suis totalement excitée par cette situation, je veux du brutal. Du vraiment brutal, pas un jeu.

. Dès que les menottes sont bien fixées sur mes poignets, je sens qu'on les tire au-dessus de ma tête et qu'on les attache quelque part derrière moi. En même temps, mes chevilles sont écartées et attachées aux côtés opposés du plafond de la camionnette, ce qui m'ouvre les jambes et me fait mouiller encore plus. Mes cris sont étouffés par le bruit du moteur de la fourgonnette qui gronde et nous commençons à bouger, ce qui fait basculer mon poids sur mes membres étirés. J'entends l'un des hommes rire tandis qu'une main commence à caresser ma cuisse. Je commence à supplier :

- Bande de salauds, c'est tout ce que vous savez faire?

- Tais-toi, répond-il. Lorsqu'on voudra t'entendre, on te le dira. En attendant, si tu souhaites éviter d'être bâillonnée, je te suggère de garder la bouche fermée.

Je gémis doucement alors que la main recommence à explorer ma jambe tandis qu'une autre se met à déboutonner intégralement mon chemisier. Je serre les dents pour ne pas récriminer lorsque je sens l'air frais sur ma peau nue puis pousse un couinement étouffé quand je sens du métal froid glisser dans la vallée entre mes seins. Il y a un petit claquement et je sens mon soutien-gorge se séparer au milieu, m'exposant à leurs regards.

- Jolis mamelles, dit l'un.

- Ouais, je pensais bien qu'elle en avait une bonne paire de nichons. Une petite salope comme elle, je parie qu'elle adore qu'on joue avec, répond l'autre.

Je halète en sentant des doigts saisir un téton et commencer à le tordre et à le serrer brutalement, ce qui envoie un étrange mélange de douleur et de plaisir me traverser le corps. Les doigts se déplacent vers mon autre mamelon et lui prodiguent le même traitement, avant que je ne sente un pincement aigu sur le premier accompagné d'une poussée de sensations. Je gémis et lutte contre mes liens tandis que les hommes rient à nouveau.

-Tu aimes les pinces à linge, hein salope? Demande l'un d'eux en en appliquant une sur mon autre téton, attends juste de savoir où ira la dernière.

Je grimace en sentant à nouveau le métal froid sur mon corps, cette fois à ma taille. On fend ma jupe, puis on achève de découper les restes de mon chemisier et de mon soutien-gorge, me laissant juste ma culotte et mes chaussures à talons. Je sens des doigts passer légèrement sur mon monticule, effleurer mon clitoris et me faire tressaillir. Au fur et à mesure que les doigts descendent, j'en arrive à la constatation horrible que je suis dégoulinante.

- Non! Pensé-je, en paniquant à nouveau, je ne peux pas leur montrer à quel point j'aime ça... Cela doit être une réaction de peur, je ne peux pas l'avouer!"

L'homme parcourt le contour des lèvres de ma chatte avec son doigt et pousse un grognement :

-Tu vois, je t'ai dit que c'était une salope. Trempée, on n'a même pas encore fini de la foutre à poil qu'elle mouille déjà, tu vas adorer ce qu'on a prévu pour toi, petite pute.

-On prend les paris les gars? une petite touffe bien entretenue? ou lisse comme toutes les putes?

-Moi je pense que sa moule est éclater par tous les kilomètres de bite qu'elle a déjà dû prendre

Sur ces mots, il tranche ma culotte et m'enfonce brusquement un doigt.

-Eh bien une petite fente lisse sans poil, une pute qui démarre le métier dit il en riant.

Je crie et j'essaie de me cambrer pour m'éloigner de lui, mais l'autre homme me gifle brutalement en disant :

- Reste tranquille, on sait que c'est ça que tu veux!

Je suis étendue, les jambes écartées de manière obscène, toujours aveuglée par le sac, des pinces à linge sur les mamelons, alors que le premier homme commence à me triturer l'abricot suintant. Il enfonce d'abord deux, puis trois doigts en moi, utilisant son pouce pour frotter grossièrement mon clitoris en même temps. Son partenaire tord les pinces à linge sur mes tétons et les frappe de temps en temps, surchargeant mon cerveau avec des vagues de plaisir et de douleur alternés. Je sens ma chatte commencer à se contracter autour de ses doigts et je gémis, luttant pour ignorer les sensations. L'homme raille :

- Jouis petite salope, jouis pour moi. Je sais que tu veux juter partout sur mes doigts comme une bonne petite pute.

Je me tortille et halète, luttant inutilement alors que la combinaison de la peur, de l'adrénaline, du plaisir et de la douleur me fait passer en hurlant dans un mode orgasmique. Je sens les doigts sortir de ma chatte et s'essuyer sur mon ventre. La voix dit :

- Belle chatte serrée. J'ai hâte de la baiser. En attendant, je ne veux pas que tu t'ennuies trop.

Je sens que l'on enfonce quelque chose dans mon vagin puis que l'on m'attache au sol. Les vibrations de la camionnette se propagent le long de ce qui doit être une sorte de gode, pour entrer directement dans ma fente, et la faire se contracter malgré mon récent orgasme. Je ressens chaque bosse, chaque tournant, et je gémis. L'homme ricane :

- Oh, bien sûr. Comment pourrais-je oublier ma promesse, salope? »

Je sens son doigt caresser mon clitoris une fois, puis je crie lorsque la pince à linge est enfoncée dessus.

- Je t'avais dit que tu l'aimerais...

Allongée sur le plancher de la camionnette, je halète doucement tout en m'adaptant aux sensations qui me traversent. La camionnette a quitté la route principale et nous semblons maintenant rouler sur une surface non revêtue, ce qui fait rebondir et trembler le gode dans ma chatte à chaque ornière ou bosse que nous franchissons. De temps en temps, l'un des hommes envoie une chiquenaude sur les pinces à linge fixées sur mes mamelons et mon clitoris, et me fait sursauter. Ils discutent tranquillement de mon corps pendant que nous roulons, faisant des commentaires sur la taille et la forme de mes seins, la couleur de mes mamelons, la façon dont je me tortille sur le gode.

Ce qui m'effraie plus que tout, c'est le réalisme de ce rapt volontaire et à quel point ils semblent confiants. Ils ont dû déjà faire cela auparavant, mais dans ce cas, qu'est-il arrivé à ces autres femmes? Qu'est-ce qui va m'arriver? Je sens la camionnette ralentir jusqu'à l'arrêt, ce qui fait glisser le gode plus loin dans ma chatte. Je gémis et les hommes rient en commençant à le détacher du plancher de la camionnette. Je sens les menottes de mes poignets et de mes chevilles être détachées de l'endroit où elles étaient fixées, puis être fixées l'une à l'autre, ce qui m'entrave efficacement. Ils laissent le sac sur ma tête et les pinces à linge où elles sont, tandis que j'entends la porte du fourgon s'ouvrir et que je suis jetée sans ménagement sur l'épaule de quelqu'un. Je me débats faiblement, en donnant des coups de pied avec mes jambes attachées, et en essayant de tendre les bras d'où ils sont liés derrière mon dos pour griffer le visage de l'homme qui me porte. Il me frappe le cul, durement, et me dit :

- Tiens-toi bien, salope. Je ne t'ai pas encore punie pour m'avoir frappé tout à l'heure, et je détesterais devoir ajouter d'autres griefs à ta liste avant même que nous commencions.

Je me sens emportée dans un petit escalier, puis nous entrons dans une pièce fraîche. L'homme me jette de son épaule sur une sorte de natte sur le sol et je hurle en atterrissant sur mes bras attachés. Avant que je puisse me retourner, l'un d'eux me tire brutalement en position assise, je sens que l'on détache mes poignets et mes membres sont à nouveau écartés. En quelques instants, je suis étalée sur le tapis, mes muscles se tendent pour s'adapter à ma position de torture. Un bloc de mousse est glissé sous le bas de mon dos, me faisant cambrer vers le haut et réduisant encore plus mon amplitude de mouvement. Cette nouvelle position pousse mes seins de façon obscène et malgré moi, je sens un petit filet d'humidité ruisseler de ma chatte.

- Maintenant, ma petite salope, nous avons discuté de ton besoin en matière de punition. J'aimerais que tu réfléchisses à ton degré d'obéissance envers nous et à la rapidité avec laquelle tu vas suivre nos ordres. Nous attendons de toi que tu obtempère, et cela te servira peut-être d'incitation à cet égard.

Sur ce, je sens les pinces à linge arrachées de mes mamelons et de mon clitoris et je crie lorsque le sang y afflue de nouveau. Avant que je puisse récupérer, j'entends un bruissement et quelque chose frappe mon mamelon droit, me faisant crier à nouveau alors qu'irradie la douleur. Je perçois un nouveau bruit, et cette fois, c'est mon mamelon gauche qui est touché. Je gémis et me tords, essayant désespérément de m'éloigner assez pour échapper aux coups qui pleuvent, alternant entre mes pauvres tétons maltraités. J'entends un bourdonnement et soudain, un vibrateur est appuyé contre mon clitoris.

-Non, non, non ... Putain, c'est trop bon!

- J'ai gémi, alors que je sens une vague de plaisir commencer à supplanter la douleur dans mes mamelons. Les coups ne s'arrêtent pas, mais ils commencent à être presque bien ressentis. Je me mets à respirer plus vite, mon cœur martèle dans ma poitrine, et je sens un nouvel orgasme approcher. Je me mets à pleurer, horrifiée d'éprouver du plaisir pendant qu'ils me font ça, et j'entends les mâles rire. Juste au moment où je vais jouir, la vibration et le fouet cessent. Je soulève inconsciemment les hanches qui cherchent à satisfaire mon besoin, avant de réaliser ce que je fais et de m'arrêter. J'essaie d'ignorer le sentiment de vide et mon désir de jouir, et de me concentrer à nouveau sur ma peur et ma colère.

Juste au moment où je commence à reprendre le contrôle de moi-même, le vibromasseur est appuyé à nouveau contre mon clitoris et ils se remettent à fouetter mes tétons, encore plus fort qu'avant. Ils répètent deux fois de plus l'opération, me conduisant à chaque fois juste au bord de l'extase avant d'annihiler toute sensation. À la fin, je suis prête à les supplier de me laisser finir, et seules les dernières limites de ma fierté m'empêchent de craquer et de promettre n'importe quoi en échange d'un orgasme.

Alors que je me sens une fois de plus partir en spirale vers le paradis, espérant follement qu'ils ne s'arrêteront pas, je sens le vibreur partir une fois de plus. Avant que je puisse crier en signe de frustration, le fouet s'abat sur mon clitoris, une fois, deux fois, trois fois. Je hurle et tout mon monde explose en un orgasme bouleversant, douloureux et merveilleux à la fois. Je reste allongée là, haletante, et l'un d'eux se penche à côté de mon visage en chuchotant à mon oreille :

- Tu vas être une bonne petite salope, n'est-ce pas? Parce que la prochaine fois, la punition ne sera pas aussi agréable.

Je dois avoir eu une absence après mon orgasme, parce que la chose suivante dont je me rends compte est d'être soulevée et traînée à travers la pièce. Je n'ai aucun souvenir que l'on ait défait mes liens, mais je ne suis pas en état de riposter, même si je suis sûre de le vouloir. Je ne sais pas si je pourrai supporter davantage leur style particulier de punition. Un des hommes appuie son visage contre le mien et dit doucement :

- Ferme les yeux, salope. Garde-les fermés jusqu'à ce que nous te disions de les rouvrir, sinon tu le regretteras. »

Je ferme les yeux et je sens qu'on retire le sac de ma tête. Presque immédiatement, un bandeau le remplace, bloquant toute ma vision. Des mains courent le long de mes jambes et enlèvent mes chaussures, puis je me retrouve debout sans que personne ne me retienne ni me soutienne. Je tourne la tête, aveuglée, incertaine de ce qu'ils font et commence à sentir à nouveau la panique monter dans ma poitrine.

-Mets-toi à genoux, salope, dit une voix.

- Et garde-les écartés, ajoute une autre.

Je me mets lentement à genoux, en prenant soin de les garder légèrement écartés.

- Plus que ça, connasse, dit la troisième voix.

Et j'écarte davantage mes genoux, exposant ma chatte, encore humide de leur punition. J'entends le bruit d'une fermeture à glissière que l'on ouvre et une main attrape une poignée de mes cheveux, poussant ma tête en avant jusqu'à ce que mes lèvres touchent quelque chose de dur.

- Suce, salope. Tu sais ce qui arrivera si tu fais du mauvais travail.

J'hésite, il tend la main et tord mon mamelon gauche. Je halète de douleur et il pousse son membre dans ma bouche. Je lève automatiquement mes mains pour pousser contre ses cuisses et tenter de le repousser, mais elles sont saisies par derrière moi et mes poignets se plaquent au bas de mon dos.

- Vilaine salope, tu sais faire mieux que ça, dit l'homme en commençant à baiser lentement ma bouche.

Il utilise mes cheveux pour guider mes lèvres d'avant en arrière sur toute la longueur de sa queue alors que les mains derrière moi se mettent à taquiner doucement mes mamelons. J'entends le bruit d'un obturateur d'appareil photo et je gémis autour du sexe dans ma bouche, humiliée mais percevant aussi l'humidification irrépressible dans ma chatte qui me dit qu'une fois de plus, j'aime ça. J'essaie de garder ma bouche aussi immobile que possible, mais l'homme ne semble pas s'en soucier. Je réalise que je ne suis qu'un orifice pour lui, juste quelque chose à baiser. Que j'obéisse ou non lui importe peu. Je ne comprends pas pourquoi je réagis ainsi à leur traitement, pourquoi j'aime ça. Je suis une femme forte et intelligente, comment puis-je apprécier d'être traitée comme un morceau de viande? Les mains derrière moi commencent à pincer mes mamelons, me faisant légèrement me tordre en luttant contre la douleur, tandis que l'homme qui baise ma bouche accélère. Je gémis autour de sa queue lorsqu'il se met à pousser de plus en plus dans ma bouche, se cognant contre le fond de ma gorge et me faisant m'étouffer.

- Avale-la, salope, prends ma bite tout le long de ta gorge.

Il grogne en poussant plus loin. Je commence à paniquer et les larmes jaillissent dans mes yeux alors que j'ai des nausées et que je m'étouffe avec sa bite, luttant pour avoir de l'air. Son membre se met à gonfler et ses poussées deviennent plus courtes et encore plus rapides, entrant et sortant de ma gorge alors que je halète désespérément entre les coups.

- Oh ouais, petite conne, prends tout. Je vais descendre dans ta gorge et tu vas l'avaler, petite pute! Crie-t-il. »

Et soudain, il s'enfonce complètement, coupant complètement mes voies respiratoires alors qu'il grogne et que sa verge palpite. Je sens son sperme couler dans ma gorge et quand il se retire enfin, je halète pour respirer et j'ai des nausées lorsque son goût remplit ma bouche. Il essuie son chibre qui se ramollit sur mon visage et lâche mes cheveux. L'homme derrière moi me libère aussi, et je m'effondre sur le sol, dégoûtée de moi-même. Ma chatte me picote toujours et une infime partie de moi est excitée par ce qu'ils viennent de me faire, malgré l'humiliation et la douleur. J'entends à nouveau le son de l'obturateur de l'appareil et me mets à pleurer doucement, me recroquevillant en boule sur le tapis en souhaitant simplement disparaître.

Je n'ai pas la chance de récupérer complètement avant qu'ils ne soient à nouveau sur moi. Je suis traînée à travers la pièce et poussée face contre terre sur une sorte de banc rembourré. Je suis manipulée pour me mettre à quatre pattes, et mes bras et mes jambes sont attachés à l'engin tandis qu'une latte rembourrée est placée sous moi, en appui contre mon ventre et m'empêchant de m'abaisser. Une autre lanière de cuir passe sur mon dos pour m'empêcher de me cambrer et mes cheveux sont tirés en arrière de mon visage et attachés à quelque chose, forçant ma tête vers le haut et vers l'arrière, exposant mon cou et mes seins. J'entends un cliquetis et les supports des jambes se mettent à se séparer, écartant mes cuisses jusqu'à ce que mes muscles protestent. Je me débats un peu et je réalise que je suis presque complètement immobilisée. Soudain, quelque chose de chaud et d'humide glisse sur mon sein droit, puis de l'autre côté. Une bouche s'accroche à un mamelon, puis à l'autre et ils se mettent à les sucer, me faisant légèrement gémir.

En même temps, le troisième homme commence à faire courir son doigt de haut en bas dans ma chatte, répandant mon jus et chatouillant mon clitoris. J'essaie d'esquiver, mais je ne peux même pas m'éloigner d'un centimètre de ses doigts explorateurs. Un index entre en moi et se met à glisser lentement alternativement vers l'intérieur et l'extérieur, tandis que les hommes qui sucent mes mamelons se retirent et que quelque chose de froid et de dur est pressé sur chaque sein. Je sens une légère succion puis mes tétons sont étirés dans des tubes en plastique, l'aspiration qui augmente me fait gémir.

L'homme derrière moi retire son doigt, et je sens maintenant quelque chose de plus gros s'appuyer contre ma chatte. Il fait courir sa queue de haut en bas, recueillant une partie de mon jus sur la tête de son membre, puis appuie lentement vers l'intérieur, m'étirant avec ce qui ressemble à une très grosse bite. Il touche le fond, ses couilles pressées contre mon clitoris, et j'ai un instant pour me demander pourquoi il est si gentil quand il se retire soudainement et se renfonce si fort que je me cogne contre le cadre auquel je suis attachée. Il commence à me baiser plus fort que je ne l'ai jamais ressenti de ma vie, ses couilles frappant contre mon clitoris, sa bite frottant contre mon col à chaque poussée. Je gémis et halète, essayant de m'éloigner de lui mais incapable de m'échapper.

12