La petite chienne de Maîtresse P. 03

-Voilà ta chambre, tu peux t'amuser avec tout ce que tu veux, prendre ton pied. Découvre et amuse toi. Nous serions même ravi si tu devenais un jour un parfait addicte de ces jeux, mais c'est de la musique d'avenir. Pour le moment l'échéance reste demain après-midi. Quelques détails que tu dois savoir. Tu vois la lampe rouge au mur, c'est la lampe qui te convoque pour assurer un service sexuel de Madame. Dès qu'elle s'allume, tu dois tout abandonner et descendre sans attendre vers elle, car elle à besoin de toi sans attendre. Tu dois être vers elle, au salon ou dans sa chambre dans la minute, prêt à servir. Pour le moment si tu n'y arrives pas, elle ne sera que contrariée, mais fais un effort et respecte les règles. Autre chose, tu es sous surveillance constante par les 2 cameras vidéos. C'est surtout pour nous assurer que tu ne te masturbes pas. Lady Irina tient absolument à avoir toute ta production de semence et ne pas en voir produite et gaspillée inutilement dans un mouchoir. Sache que si tu devais céder à tes pulsions, le contrat serait définitivement rompu. Julien te ramènerait à la gare et tu n'entendrais plus jamais parler de Lady Irina. As-tu bien compris?

-Oui Madame, parfaitement, c'est clair dis-je. Le propos m'avait bousculé, mais je n'avais d'autre choix que d'obéir aux injonctions.

-Il faut encore que tu te changes, tu dois mettre des habits plus sexy. Il y a tout plein de choses dans l'armoire. Elle sortit un superbe pantalon en cuir très souple, muni d'un double zip traversant, permettant soit d'ouvrir le pantalon et de le laisser tomber sans délai, soit de ménager une ouverture pour laisser sortir la bite, ou, je devais l'apprendre plus tard, dégager l'anus sans baisser le pantalon. Par dessus, elle me proposa une belle chemise noire en satin brillant ainsi qu'une paire de magnifiques bottines à talonnettes, ultra sexy. Je me regardai dans le miroir de l'armoire, je me plaisais immensément dans ces nouveaux beaux habits. Je découvrais le contact du cuir sur ma peau, la sensation était sublime, tellement sensuelle qu'elle me faisait bander.

Judith me quitta peu après, me laissant aller à la découverte de mes nouveaux jouets. Très vite je retrouvai mes jeux en ligne favoris et pu me reconnecter. J'étais désormais dans mon univers et surtout, sans aucune contrainte, même encouragé à m'y perdre. C'était génial.

Je jouais depuis un peu plus de deux heures, lorsque la lampe rouge s'alluma. A contre cœur, je quittais immédiatement la séance et descendit dans le salon. Lady Irina avait changé de position, elle s'appuyait contre le dossier du sofa, attendant que je la prenne par l'arrière

-Viens mon petit taureau, cette fois embroche ta Maîtresse par derrière. Retrousse ma jupe, prend-moi et baise moi comme tu m'avais montré. Mais tu vas devoir me trousser au moins 20 minutes sans lâcher. Les tests sont arrivés, tu es parfaitement sain, donc dès maintenant plus de capote, tu me baises avec ta belle bite. A toi de me montrer que tu peux résister. je te viderai tes belles burnes ensuite. J'ouvris mon pantalon qui tomba à mes pieds, m'approchai de ses magnifiques fesses et l'embrochai, sa chatte était prête, complètement mouillée. Je la pénétrai comme si j'entrai dans du beurre fondu, m'enfonçant en elle jusqu'au plus profonds de son ventre et lui arrachant un râle de plaisir.

-Oh que c'est bon une belle bite chaude et dure, vas-y continue mon petit taureau, ma petite salope. Tu aimes ton pantalon en cuir?

-Oh, oui Madame, j'adore, c'est sublime, merci, dis-je pendant que j'entamais un lent vas et viens qui continuais à lui arracher râles de plaisir et paroles salaces.

Question 20 minutes c'est elle qui ne résista pas, après moins de 10 minutes, elle explosa à nouveau dans un incroyable orgasme. Epuisée, elle se laissa tomber à terre où elle y resta plusieurs minutes pour récupérer. Judith vient simplement la recouvrir d'une couverture et repartit sans un seul mot. Moi debout, ma bite encore dure, j'attendais à côté, m'imaginant devoir attendre qu'elle retrouve son calme. Finalement, elle se releva-

-Putain Michel, qu'est-ce que tu m'as fait jouir aujourd'hui, ça fait un moment que de tels orgasmes ne m'étaient pas arrivés. Tu es parfait et je te veux tu sais. Viens que je te vide, tu le mérites.

Elle s'assit sur le sofa, me fit m'approcher d'elle et commença à me branler avec ses deux mains, aussi délicieusement que la première fois. Elle s'appliqua si bien (elle savait comment s'occuper d'une bite, c'était évident) qu'en quelques minutes j'éjaculai dans ses mains, dans une explosion de jouissance, découvrant également que des doigts étrangers me procuraient un orgasme tellement plus fort que mes séances de plaisir solitaire.

-Tu as déjà gouté ton sperme Michel?

-Non jamais encore Madame.

-Eh bien voilà une première occasion de le faire. Elle approcha sa main pleine de mon jus visqueux de ma bouche et m'ordonna.

-Lèche et goute.

L'idée me dégoutait vraiment et je n'y arrivai pas.

-Je n'y arrive pas Madame, ça me dégoute.

Elle changea de ton, devenant plus autoritaire et décidée.

-ça ne se discute pas, Michel lèche.C'est une autre forme de dépucelage, avaler de la semence, une première pour toi.

Prenant mon courage à deux main, je sorti ma langue, sur laquelle elle essuya consciencieusement sa main gluante.

-Voilà pour une première fois c'est un échantillon. Garde 10 secondes en bouche pour découvrir le goût et ensuite avale.

Je fis ce qu'elle me demanda, avec un haut le cœur. Je découvris que ça n'avait finalement pas trop de goût, un peu salé, légèrement amer, surtout visqueux. Je me suis dit que s'il le fallait, je pourrais m'y habituer. Pendant ce temps je la vis goûter elle aussi, léchant quelques doigts encore imprégnés, ce à quoi je ne m'attendais pas.

-Mmh, sperme classique, assez fade fut son seul commentaire. Puis elle s'essuya avec des kleenex.

-Michel, je pense que je vais te laisser jouir entre 1 et deux fois par 24 heures, dans moi si tu le mérites, Tu jouiras encore plus fort que dans mes mains et tu en redemanderas, mais il y aura une règle : chaque fois que tu jouiras dans ma chatte, tu devras ensuite aller la nettoyer soigneusement avec ta langue. Tu te nourriras ainsi de ma mouille mélangée à ton sperme. C'est tout plein de bonnes choses. Tu n'as pas d'autre choix que de me dire « oui Lady Irina » ou « ou oui Maîtresse ». Est-ce clair?

-Oui Maîtresse m'entendis-je lui répondre. En même temps dans ma tête je cogitais en me demandant comment cela pouvait être, serais-je dégouté? Excité? Est-ce que je m'y familiariserai? Une petite voix me disait quand même que ça pouvait être très excitant comme jeu et que j'étais curieux de découvrir, mais comme j'avais déjà jouis 2 fois de l'après-midi et que Maîtresse me voulait toujours dur, je me demandais si une troisième occasion de jouir se représenterais d'ici demain. Tel ne fut pas le cas, mais j'avais été dûment informé. Pourquoi, je me le demandai, du moment que je devais repartir demain. Mais si je me référais à son annonce, il devrait quand même y avoir une suite. Laquelle, comment, sous quelles conditions? Une réponse partielle devait m'être donnée le lendemain.

Pendant que je cogitais ainsi, Lady Irina avait quitté la pièce et Judith était venue me chercher pour me raccompagner à ma chambre. Elle me demanda de me doucher afin d'être parfait pour Lady Irina. Le soir était tombé, il devait être un peu plus de 19 :00 (on m'avait aussi retiré ma montre connectée, afin que je n'aie plus de possibilité de communiquer). Environ un quart d'heure plus tard, Judith vint me chercher pour le repas du soir. Nous nous retrouvâmes dans un joli petit salon entièrement boisé, attenant à la cuisine avec Maîtresse, salon que je n'avais encore jamais vu, réunis autour d'une jolie table, où Judith nous servit d'abord un potage, puis un rôti accompagné de légumes. Maîtresse m'enjoignit de partager le repas et continua à me poser de nombreuses questions sur ma vie, cherchant visiblement à mieux cerner mon caractère, mes qualités et mes défauts. Après le dessert et le café, elle me fit aller sous la table et me demanda de la lécher consciencieusement. Elle agrippait ma tête avec force, l'appuyant contre sa vulve et m'enjoignant à glisser ma langue profondément dans sa fente. Cette fois ma langue lui suffit pour déclencher un orgasme, plus tranquille que ceux de l'après-midi.

-Mmmh, c'était quand même très bon mon petit Michel, tu es devenu un excellent petit lécheur en très peu de temps. Je crois que tu es vraiment fait pour ça, donner du plaisir à une Maîtresse. Elle me « congédia » ensuite en me demandant de retourner dans ma chambre où je retrouvai ma partie en ligne. Il était autour des 21 :00.

Lady Irina ne me dérangea plus du reste de la soirée. J'imagine que l'intensité de ses orgasmes avaient eu un effet calmant sur sa libido effrénée...

J'avais joué jusque vers minuit. Dans d'autres circonstances, avec un tel équipement, j'aurais sans doute poursuivi ma partie une partie de la nuit, mais je ne voulais pas ne pas être à la hauteur des exigences probables de Maîtresse Irina pour le lendemain.

Le lendemain matin, vers 06 :00, Judith vient me réveiller.

-Viens, Lady Irina a besoin de toi, elle est dans sa chambre, pas besoin de t'habiller.

Nu comme un ver, elle m'entraîna dans la chambre de Maîtresse Irina. Elle était couchée, nue également dans son lit, en train de se faire du bien avec un sextoy.

-Oh mon petit taureau est la, viens, prends moi et fais-moi jouir. Elle jeta le sextoy encore vibrant à terre et me pris ma tête qu'elle força entre ses jambes.

-Commence par bien me lécher, goûte bien ma mouille, avale là bien, déguste et dans un petit moment viens dans moi en missionnaire.

Je m'appliquai à la lécher et mordiller son petit bouton, croquant ses lèvres, glissant ma langue profondément dans ses muqueuses. Elle adorait, me flattant d'être devenu si vite un parfait lécheur, mais en utilisant des mots qui me donnaient le sentiment de n'être qu'une petite machine utilisée par elle...Rapidement elle me demanda de la pénétrer.

-Viens dans moi, baise-moi bien comme tu sais le faire si bien, donne moi un orgasme. Ce matin, je te permettrai ensuite de jouir dans ma chatte, mais à la condition que tu connais.

Il ne lui fallu que quelques minutes pour éclater encore une fois, son corps soudainement révulsé et hors de contrôle, elle hurlant son plaisir. Cela dura près d'une minute, pendant laquelle je me forçais à rester en elle. Finalement elle se calma.

-Viens maintenant, à toi de jouir dans ta Maîtresse ma petite salope.

Je commençai à aller et venir, d'abord tranquillement, pour apprécier son intérieur, puis sentant le plaisir venir, j'accélérai le rythme. J'étais encore une fois tellement excité qu'il ne me fallu que quelques minutes pour exploser en elle et lui envoyer de grosses giclées de semence tiède. Fourbu, je la quittai et me glissai à côté d'elle, essayant de lutter contre l'envie de dormir. Elle me laissa 10 minutes puis me réveilla.

-Allez mon petit chien, va nettoyer ta Maîtresse comme nous en avions convenu. Elle me prit ma tête et l'amena entre ses cuisses. Son entrecuisse suintait déjà, du liquide aux senteurs animales s'écoulant de sa chatte.

Vas-y, lèche et nourrit toi de ces bons jus.

Le mélange de sperme et de jus de chatte était décidément très fort. Je dus commencer par faire un effort sur moi-même, mais peu à peu, ma langue et ma bouche s'habituèrent au goût, aidée par l'excitation intense que me procurait finalement cette activité. Maîtresse appréciait tout autant. Après 5 minutes de léchage, de succions et d'avalement, elle me dit que c'était bon, sa chatte lui donnait le sentiment d'avoir été bien nettoyée et d'être propre. Un goût assez indéfinissable resta toutefois présent en bouche jusqu'au café du petit déjeuner.