La petite chienne de Maîtresse P. 04

Après cette séance de baise matinale, Maîtresse se rendormit et m'accepta à ses côtés, pour se réveiller vers 8 heures. Elle m'envoya dans ma chambre pour me doucher et descendre déjeuner à 08:30. Lorsque j'arrivai dans ma douche, Judith avait pendu un très joli peignoir en soie colorée, que je devais visiblement porter.

Le petit déjeuner passé, je retournai dans ma chambre pour poursuivre ma partie. Vers 10 :00 la lampe rouge s'alluma. Je descendit et trouvai Madame affalée lascivement sur son sofa, jambes écartées. Elle me redemanda de la baiser directement, mécaniquement, comme si j'étais une petite machine à baiser et eu à nouveau un orgasme, sans que j'aie le droit de jouir bien sur. Dès l'affaire conclue, elle me congédia et m'envoya dans ma chambre.

Vers midi, Judith vint me chercher.

-Viens, Lady Irina veut te parler.

Je descendis dans le salon où je trouvai Lady Irina habillée comme à son habitude lorsqu'elle sort, hyper sexy, toute en cuir, superbement maquillée, excitante à damner un pape.

-Voilà Michel, nous devons parler. Mais d'abord est-ce que ce petit séjour t'as convenu? et serais-tu prêt à le prolonger?

-Oh Madame, dis-je, je n'ai jamais de ma vie passé un week-end pareil, je n'aurais même jamais imaginé qu'une telle rencontre m'arrive. La question ne se pose même pas, je crois.

-N'allons pas trop vite en besogne Michel, il faut d'abord discuter. Mais soit tu acceptes de nouvelles conditions et tu peux encore rester un peu, soit cela te semble inacceptable, dans ce cas Julien te ramènera à Lyon où tu auras un train pour rentrer avec un peu d'argent. Voilà.

Je restais quand même curieux d'entendre la suite, sachant que cette femme m'attirait comme un aimant surpuissant.

-Je te propose donc de poursuivre l'exercice que tu viens de vivre pour les deux prochaines semaines, mais avec des conditions nouvelles. J'ai encore besoin de te tester et de m'assurer que tu es bien ce qui me convient. Au début chaque matin tu devras avaler 20 mg de Cialis, pour m'honorer et surtout éviter toute panne de ta bite. Avec ça tu banderas à la demande et tu seras un vrai taureau. La règle de la minute est absolue, si tu ne la respectes pas, cette fois tu seras puni. Je veux aussi que tu comprennes que durant ces 2 semaines tu m'appartiendras. Tu seras à moi, ma petite chose, mon taureau pour la baise, mon petit chien aussi à d'autres moments. Tu auras droit à un orgasme par jour, deux si je vois que ça ne pénalise pas tes performances. Tu devras en outre comprendre que tu me seras entièrement soumis, satisfaire mes caprices, un peu comme si tu m'appartenais. Mais je resterai très soft encore, je te donnerai juste un avant goût de ce que peut être une véritable existence de soumis consentant. Quelque chose me dit que tu devrais adorer, mais à toi de me le dire. Si tu acceptes, envoie un message à ta mère pour la rassurer. Mais aucun autre contact. Je te donne 30 minutes de réflexion.

Je cogitai quand même, cela signifiait que je disparaissais pour 2 semaines. Mais l'attirance pour ce qu'elle me proposait était décidément trop forte et j'étais prêt à oublier toutes mes responsabilités pour continuer avec elle, je lui dit :

-Pas besoin Maîtresse, j'accepte et ferai tout comme vous me le demanderez.

-Bon très bien me dit-elle. Encore une chose, si durant ces deux semaines d'observation je remarque que quelque chose ne va pas comme je l'entends, je t'en parlerai, si je ne vois pas de changement, je mettrai un terme à l'expérience. Julien t'amènera à la gare de Lyon. Si tu franchis les deux semaines, nous aurons alors une nouvelle conversation avec des choses qui pourraient te plaire encore bien plus.

J'acquiesçai à nouveau avec un signe de tête.

-Bien Michel, donc je considère que tu es d'accord de poursuivre avec moi, j'en suis ravie car tu me plais vraiment beaucoup et tu corresponds idéalement à ce joli petit bull que je cherche. Je ne cache pas que je cherche encore autre chose, mais il est encore trop tôt pour en parler. Je veux juste utiliser ces deux prochaines semaines pour m'assurer qu'il n'y a pas un défaut caché chez toi. Sache aussi qu'entre nous il n'y a et il n'y aura aucune relation affective, tu n'es pour moi que ma petite bite attachée à un joli corps, ma petite machine à baiser, mon beau petit objet sexuel, mon bull. En quelque sorte mon sextoy vivant. Tu peux tomber amoureux de moi si tu veux, ça ne changera rien à ma position, mais ça te rendra encore plus dépendant de moi, ce qui n'est pas pour me déplaire.

Elle me parlait de ça et moi je commençai déjà à me sentir complètement subjugué par cette femme plus que sublime, adepte du sexe et du plaisir sans fin et tellement irrésistiblement séduisante, qui me traitait comme son objet. Comment ne pas en tomber amoureux.

Elle me demanda encore d'envoyer un SMS à ma mère, pour la rassurer. Elle me remis un moment mon téléphone portable et me dicta le SMS: Maman, ne t'inquiètes pas pour moi, je vais très bien, mais je serai inatteignable durant les 2 prochaines semaines. Je vais faire une pause dans ma vie et réfléchir à mon avenir, comme tu me l'as demandé. Je t'embrasse.

J'envoyai le SMS et lui restituai mon portable.

-Si elle réponds, je te communiquerai son message.

Nous étions passé un peu midi de ce dimanche et Lady Irina me convia pour le repas de dans le salon. Le menu était délicieux, préparé par Judith bien sur, avec une superbe bouteille de vin rouge. Bien entendu qu'à la fin du repas, je du lui prodiguer une gâterie orale, qui l'amena encore une fois à jouir sur sa chaise, totalement impudique, jambes écartées en m'appuyant ma tête avec force contre sa chatte et en me demandant de continuer à la fourailler avec ma langue, pendant que ses sucs vaginaux coulaient à grosses gouttes dans ma bouche avec leurs goûts prononcés en guise de deuxième dessert.

Je dus ensuite regagner ma chambre où m'attendaient mes jeux.