La petite chienne de Maîtresse P. 05

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Un ado indolent et sans ambition se laisse soumettre.
1.7k mots
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Partie 5 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Je fus reconvoqué en milieu d'après-midi pour une nouvelle séance de baise sur le sofa, puis encore une fois en début de soirée pour la baiser sur le sofa au salon. Le soir elle me convia à regarder un film sur grand écran. Elle avait passé un peignoir et était nue dessous. A mesure que le film avançait, je la voyais mettre ses doigts dans sa chatte et commencer à se chauffer toute seule, dévoilant son état d'excitation avancé, couinant, bougeant ses jambes, impudique. Elle me demanda alors de commencer par sucer ses seins magnifiques, ce qui l'excitait encore plus, moi me perdant dans l'infinie douceur de son abondante poitrine siliconée, jusqu'au moment ou elle me saisit encore une fois ma tête, sans dire un mot en me faisant comprendre que ma langue devait remplacer ses doigts humectés, qu'elle mis d'abord dans ma bouche afin de les lui lécher. Elle saisit ensuite ma tête qu'elle appuya fermement contre sa vulve, ses senteurs animales remplissant déjà mon nez.

-Vas-y, lèche moi bien, comme tu m'a déjà montré savoir le faire mon petit bull

Je savais que je devais me contenir pour y aller tout doucement et laisser monter son plaisir. Lécher du bout de ma langue ses deux lèvres, insérer sans insister le bout de ma langue pour les décoller et laisser s'ouvrir le papillon, avant de poursuivre pour aller exciter son petit bouton. Puis laper ses délicieuses sécrétions acidulées et salées qui s'écoulaient de sa fente avant d'enfoncer le plus loin possible ma langue dans sa chatte, faire courir ma langue sur son périnée pour tenter d'atteindre son œillet.

-Humm, tu t'y prends toujours aussi bien. Tu veux aller chercher aussi mes senteurs sur mon œillet

C'était la première fois qu'elle me demandait ça.

-Comme c'est une première, je te laisse humer et juste lécher mon petit trou. Il est tout propre.

Je sentais cette odeur fauve et toute nouvelle pour moi, j'insinuai ma langue sur son petit orifice rose avec un début de dégout et d'excitation mêlée, glissant délicatement sur l'oeillet. C'était doux et tendre et je l'entendais glousser de plaisir.

-C'est bon pour une première fois, mais tu devras t'y habituer. Puis changeant de ton, devenant à nouveau impérative :

-Viens mon petit bull, embroche ta belle Maîtresse et baise la comme tu as déjà bien appris à le faire, régale toi, fais moi jouir.

Je retirai ma tête, elle changea encore de position pour se mettre en levrette, ses mains posées sur le sofa, son cul somptueux exposé, avec sa chatte trempée et prête à être servie. Comme toujours, elle était tellement bien lubrifiée que son jus de chatte suintait et coulait en gouttes par terre. Je n'eus qu'à rentrer dans sa chatte, comme dans une motte de beurre ramolli. Elle était tellement excitée qu'il ne lui fallu que quelques minutes pour jouir encore une fois à sa manière, nymphomane jusqu'au bout des ongles, avide de pur sexe, explosant de plaisir, le corps parcouru de spasmes et ne laissant aucun doute sur l'intensité du plaisir qu'elle s'offrait.

-Mon Dieu que c'est bon une belle bite vivante. Depuis que tu as commencé à me baiser je n'ai jamais accumulé une suite d'orgasmes aussi forts, aussi intenses. Décidément je ne vais plus pouvoir me passer de ton bel organe. Allez, file dans ta chambre et va jouer et dormir, tu m'as fais encore du bien, je sens que je vais bien dormir, mais je vais de nouveau très vite avoir besoin de toi.

Je fus réveillé par Judith vers 06:30 du matin, ce lundi pour apporter à Maîtresse son premier orgasme de la journée dans sa chambre. Sans chichi, en position du missionnaire, car à peine réveillée et toujours un peu somnolente, elle n'avait pas envie de bouger de son lit. C'était vraiment un parfait service sexuel mécanique. Elle me donnait l'impression de n'être que sa parfaite machine à baiser, sans avoir le droit de jouir bien sur.

Je réalisai aussi en me réveillant ce matin, que je n'étais pas rentré chez moi dimanche après-midi et que je m'apprêtais à débuter mes 15 jours d'évaluation dans un cadre inconnu, n'ayant jamais imaginé qu'une aventure pareille puisse m'arriver. Je savais que je devais assumer, être performant et ne pas avoir de panne, mais j'avoue que ces baises à la suite le week-end m'avaient quand même vidé mes burnes et épuisé ma bite et que je ressentais une « baisse de régime ». Cela m'angoissait un peu car les règles de Lady Irina étaient strictes : je devais être capable d'assurer en permanence et c'était là l'enjeu principal de ces prochains jours. Je devais lui démonter que j'étais capable de la satisfaire en tout temps.

Je dus retourner ensuite dans ma chambre pour me doucher et m'habiller. Les habits étaient mis à disposition, pantalon cuir serré très moulant, épousant mes formes, chemise noire wetlook, petites bottines sexy avec des talonnettes de 3 cm qui me grandissaient encore et que je portais avec facilité. Le pantalon avait une particularité, il était muni d'un double zip traversant, qui permettait de ménager une ouverture et laisser passer mon membre, sans devoir baisser le pantalon.

Je me trouvais très sexy, mais aussi en me disant que ça me donnait un petit air gay. Nonobstant cette impression, le contact de ces matières sur ma peau m'excitait considérablement et j'étais ravi de devoir les porter. Parfois c'était un pantalon wetlook, faux cuir ou huilé, toujours stretch et moulant.

L'heure du petit déjeuner était fixée à huit heures, je descendis et me dirigeai vers le petit salon. Maîtresse était déjà là, Judith lui avait servi son café. Toujours habillée ultra sexy, total cuir, cuissardes, mini cuir indécente, porte jaretelle. Ses faux ongles long et pointus de 4 cm avaient été repeints en blanc ivoire.

-Mais qu'il est tout mignon notre petit Michel ce matin, tu es très sexy, vraiment, j'adore. Un petit air de PD quand même, mais je t'adore ainsi. Tu as bien compris que tu ne porteras plus que ce genre d'habits durant ton séjour.

-Oui Maîtresse Irina dis-je.

-Bien que tu me dises Maîtresse, j'apprécie. Je te laisse libre d'utiliser Maîtresse Irina ou Lady Irina. Je t'en prie prends place.

Je m'assis en face d'elle, Judith vint me verser mon café et apporta croissants et petits pains. Le reste étant déjà sur la table.

-Et la petite pilule de Monsieur dit-elle, en déposant dans une petite assiette une pilule jaune, le Cialis.

Nous primes le petit déjeuner et j'avalai la pilule.

-As-tu déjà consommé des stimulants sexuels?

-Non Maîtresse, jamais encore.

-Tu vas adorer la sensation que ça procure. L'effet se fera sentir d'ici environ une heure, tu verras, c'est très efficace. Et ça dure au moins 24 heures, le temps de prendre la prochaine. Tu vas bander en permanence. Tu n'auras qu'à penser à du sexe et ta queue gonflera automatiquement. Tu en auras tous les jours 20 mg, je pense qu'étant donné toute la testostérone qui circule dans tes veines ça devrait être suffisant, mais on verra à l'usage. Et t'inquiète pas j'en ferai très bon usage. A ce propos je dois te dire quelque chose. Depuis que j'ai ta queue vivante, chaude et tellement performante qui me baise, tu m'as donné des orgasmes incroyables. C'est tellement plus fort qu'avec mes sextoys. Avant il me fallait chaque jour huit, même douze orgasmes par jour pour me calmer mes ardeurs, mais depuis que tu me sers, c'est tellement intense que je n'en ai plus autant besoin. La qualité plutôt que la quantité. Tu me laisses à chaque fois vidée, tu as du t'en apercevoir.

-Oh oui Maîtresse et j'aime tellement vous sentir perdre totalement le contrôle de vous-même et vous laisser aller à cet incroyable plaisir que vous montrez. Ça doit être tellement fort.

-Oh oui mon petit Michel, c'est bien pour ça que je voudrais te garder, j'ai besoin de toi. Pour revenir à mon propos d'avant, sache que ces jours je me contente plus que de 6 -7 orgasmes par jour, ça me convient, je me sens bien ainsi et c'est grâce à toi, alors surtout ne faiblit pas, je ne te le pardonnerai pas. Mais ça me laisse plus de temps à ne pas penser au prochain orgasme. La nymphomanie peut être pénible lorsque tu n'arrives pas à te satisfaire, mais avec toi ça devient du vrai plaisir.

-Oui Maîtresse Irina dis-je encore.

Donc là pas de lèche sous la table pour le moment, ce sera pour plus tard.

-J'attends l'effet du Cialis. Par contre je maintiens la règle pour toi, tu as droit pour le moment à 1 orgasme par jour, avec bien sur obligation ensuite de me nettoyer ma chatte avec ta langue. Si je vois que tu tiens, tu pourras en avoir 2.

Le déjeuner terminé, elle me renvoya dans ma chambre où je pus recommencer à jouer et à reprendre une de mes parties.

Vers 10 heures la lampe rouge s'alluma, je me précipitai au salon ou je la trouvai assise dans le sofa, jambes écartée, toujours si indécente, je dirai même obscène, mais elle n'en avait cure, dans ses belles cuissardes, sa mini retroussée sur son ventre, le porte jarretelle bien visible au dessus de ses cuissardes, en train de se caresser.

-Viens, prends moi directement, bourre moi ma chatte et fait moi jouir mon petit salaud de baiseur, je suis très chaude. Baise moi avec ton joli pantalon, tout habillé, tu es encore plus excitant ainsi.

Il suffisait de déplacer les deux zips pour laisser passer ma bite déjà tellement dure. Je ressentait pour la première fois l'effet du Cialis, c'était magique. Elle sortit difficilement du pantalon, tellement elle était déjà gonflée et rigide. Je m'agenouillai devant elle et me plantai dans sa chatte, sans aucune tendresse. Elle me gratifia d'un gémissement de plaisir.

-Vas-y mon chien, baise moi comme tu sais le faire, sois un bel animal avec ta Maîtresse.

Je me mis à la bourrer avec vigueur, elle adorait ça, elle était déjà tellement chaude qu'en l'espace de quelques minutes, elle explosait de plaisir encore une fois, son corps gesticulant dans tous les sens, hurlant son plaisir, pour ensuite se laisser retomber comme un poids mort, mais moi toujours bien "installé en elle.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

La Maîtresse est d'une grande Beauté exacerbée par l'ardeur de Mîchel...

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

L'arrivée du cialis donne l'impression de baises toujours réussies

Rudy

GinaputanaGinaputanail y a plus d’un anAuteur

Merci pour votre aimable commentaire, cher Anonyme. Oui c'est aussi mon idée, bien qu'en avançant les choses deviennent plus chaudes. Je privilégie l'idée de cette relation qui avance, au sein de laquelle Michel se laisse prendre dans la toile d'araignée de Maîtresse Irina, pour finalement accepter beaucoup de choses, sans que jamais cela ne devienne vraiment sordide. Il y a beaucoup de texte en réserve et je me réjouis de voir la suite publiée. Bien à vous et encore merci pour vos commentaires positifs qui me font plaisir. Gina.

PS, pour vous faire une idée de la manière dont j'imagine Lady Irina, tapez "Granate styling" dans youtube.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

J'adore l'originalité des personnages et la dynamique lente qui se met en place. Une conception de la soumission qui n'est pas basée sur une relation malsaine (en tout cas jusqu' ici) ça fait plaisir sur ce site !

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