La petite chienne de Maîtresse P. 06

Informations sur Récit
Un ado indolent et sans ambition se laisse soumettre.
2.2k mots
3.91
5.3k
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Partie 6 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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-Vas-y à toi mon chien, c'est ton moment, je te permet de m'inonder mon ventre, il faut fêter ce premier Cialis.

Elle était immobile, épuisée de plaisir, mais sa chatte était encore si chaude, humide et accueillante. Jusqu'à présent je devais me retenir, mais là je me suis laissé aller, glissant mon pénis contre le doux gel de ses muqueuses pour me procurer un maximum de plaisir. Je sentis le plaisir monter et l'orgasme arriver. Ce fut prodigieux, un orgasme incroyable, tellement fort. Et mes testicules pleins qui remplissaient son vagin d'immenses jets de sperme chaud. Elle le sentit.

-Mhhmm c'est quand même bon de ressentir tes jets chauds dans mon ventre, c'est autre chose que ces sextoys de merde. Reste un moment encore mon bull. Je te sens tellement gros.

Le cialis faisait tellement d'effet que je ne débandais presque pas, malgré ce puissant orgasme. Ce n'est qu'après quelques minutes que je me sentis mollir un peu et me retirai.

-Bien, tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant.

-Bien sûr Maîtresse Irina, et merci de m'avoir accordé ce plaisir.

Sans attendre, je plongeai ma tête entre ses cuisses, mon nez se remplissant de ce mélange de puissantes senteurs animales qui suintait de sa chatte. Mon sperme commençait à s'écouler, mêlé de ses humeurs sauvages, je ne devais pas en perdre un goutte.

-Je sens que ça sort, je ne veux pas voir une goutte sur les draps, compris.

-Oui Maîtresse Irina.

Je collai directement mes lèvres contre sa vulve et commençai à lécher, à sucer et à aspirer. Le goût du mélange de ses fluides à celui de mon sperme était quelque chose de nouveau et de difficile à accueillir dans ma bouche, un goût qui ressemblait un peu à du fromage de chèvre, ce que l'on appelle la cyprine sans doute, mélange de salé un peu amer, avec de l'acidité et mêlé à toutes ces senteurs musquées nouvelles, tellement fauves, mais je savais que je n'avais pas le droit de refuser, sous peine de tout perdre. Quelque chose me disait que j'allais m'y habituer et sans doute aimer, il me fallait juste vaincre un dégoût passager et me laisser guider par le privilège de l'excitation de servir ainsi une femme aussi extraordinaire. Elle était ravie de l'humiliation qu'elle me faisait subir.

-C'est fort hein, ça sent la vraie chatte, applique toi bien, absorbe tout, je veux que ma chatte soit propre.

-Oui Maîtresse Irina.

Je m'appliquai de plus belle, suçant et aspirant, ce qui lui donnait assurément encore du plaisir et surtout comblait ses envies vicieuses. Après de nombreuses minutes je me retirai.

-Parfait Michel, c'est exactement comme ça que je veux. Et pour t'habituer à ces nouvelles et si excitantes et merveilleuses senteurs de sexe, je veux qu'elles restent sur toi. Interdiction de te laver le visage pour la journée.

-Oui Maîtresse Irina.

-Tu peux retourner dans ta chambre, on mangera à 13 :00. Passe du bon temps avec tes jeux, garde bien mes senteurs sur toi, je serai contente que tu en deviennes addicte.

Le reste de la journée se passa déjà comme d'habitude, Maîtresse me convoqua sept fois dans la journée, une première fois au réveil, une deuxième en milieu de matinée, ensuite léchage et baise après le repas de midi, deux fois durant l'après-midi, après le repas du soir et un dernier coït devant la TV ou alors avant d'aller se coucher. Bien sur sans jamais avoir le droit de venir.

La quinzaine de jour se passa dans cette routine, sans particularités, je la sautais six à sept fois par jour, régulièrement. Le matin je devais me réveiller à 06 :00 pour être prêt à aller la rejoindre dans son lit pour la première salve du réveil, ensuite je retournais dans ma chambre pour me doucher et me préparer. J'avais régulièrement des habits nouveaux, mais toujours pour me donner un air de vraie petite salope sexy, qui me plaisait de plus en plus. J'avais aussi remarqué que mes nouvelles bottines, terriblement sexy également, avaient un talon qui maintenant faisait quatre centimètres. Mais je n'avais aucune peine à marcher dedans. En même temps le cialis était très efficace et me maintenait endurant. Lorsqu'elle souhaitait que je soit très endurant, je pouvais la baiser durant 20 minutes, sans jamais rien lâcher, si bien qu'après quelques jours, j'avais droit à mes deux orgasmes journaliers, sans jamais faiblir. J'étais tellement excité par ce que je vivais que dès la convocation par la lampe rouge, je raidissais spontanément, de manière automatique, pavlovienne, pratiquement déjà conditionné mentalement à réagir. J'arrivais vers elle dur comme un roc. Souvent elle me prenait alors entre ses mains pour me lécher et me faire un début de pipe, ce qui était bien sur redoutable, ou alors elle me griffait légèrement ma bite en appuyant ses faux ongles pointus sur la peau, y laissant quelques boursouflures blanchâtres de peau gratée.

-Mhhh, tu sais que j'ai des instincts sadiques, je voudrais bien par exemple planter mes jolis ongles plus profonds et y laisser de jolies marques un peu sanguinolentes, et te voir souffrir, supporter et adorer, pendant que je m'excite, mais pour le moment ce n'est pas encore d'actualité, on verra ça plus tard. Mais je suis certaine que tu aimerais ce genre de traitement, une fois très excité et bien conditionné. On verra, c'est encore hypothétique. Pour le moment je teste ton endurance c'est tout. Si tu veux changer de vie et être d'accord de rester avec moi, on discutera de tout ça le moment venu.

C'était la première fois qu'elle me parlait ainsi, évoquant un futur de sexe encore plus intense et assurément bien plus pervers. Avec ce que j'avais déjà vu sur les sites porno, de telles allusions ne pouvaient que me conforter dans mon idée de tout faire pour rester avec elle.

J'eu également un avant goût d'un possible futur avec elle. Au milieu de la période je m'étais une fois assoupi devant mon écran, ayant très peu dormi car emporté par un jeu vidéo et suis arrivé avec plusieurs minutes de retard à la convocation de l'après-midi. Elle ne dit rien, fit comme si de rien n'était, puis une fois l'affaire terminée, elle convoqua Judith.

-Judith, il faut lui montrer ce que cela coûte de désobéir aux ordres de Maîtresse Irina, tu sais ce que tu dois faire. Va me le préparer stp.

Judith me passa un collier de chien autour du cou et y attacha une laissee en cuir.

-Allez viens, tu vas découvrir quelque chose qui ne devrait pas te laisser indifférent.

Elle m'emmena dans le sous-sol de la maison, par une porte cachée et discrète que je n'avais jamais encore remarquée. Nous descendîmes un long escalier en pierre mal éclairé pour arriver dans une grande cave en sous-sol, aménagée dans la pierre, avec des alcôves et des petites salles fermées par de lourdes portes en bois anciennes. Au fonds une porte similaire, fermée par un grosse serrure ancienne dont grosse la clé était cachée dans une alcôve, s'ouvrant sur une salle beaucoup plus grande, toujours creusée dans la pierre, lui donnant un vrai air de salle de torture moyenâgeuse, aménagée en véritable donjon BDSM, comme j'en avais vu dans les sites pornos dédiés à ce genre de pratiques (et qui ne me laissaient jamais indifférent, en m'imaginant dans le rôle du soumis...).

Judith parlait peu, juste pour donner des directives.

-Déshabille toi, met toi nu.

-Oui Madame, dis-je tout en retirant mes habits.

Une fois nu comme un ver, elle me passa deux bracelets en cuir autour de mes poignets puis les attacha à une barre horizontale, pendue à une chaine attachée au plafond avec un système de levage. Elle tira sur le système jusqu'à ce que mes pieds touchent à peine terre, mais sans me soulever vraiment, juste pour limiter mes mouvements, puis me laissa là dans le froid de la pièce. Il y avait bien des radiateurs électriques aux murs, mais visiblement utilisés lorsque la salle était fréquentée par des habitués, pas à cette occasion. Après quelques minutes j'ai commencé à trembler de froid.

Au bout d'un petit quart d'heure à ce que j'avais pu estimer, Maîtresse Irina arriva, habillée en vraie Maîtresse BDSM, dans un sublime catsuit moulant en cuir, une paire d'incontournables cuissardes, avec une cravache à la main et un joli masque lui couvrant ses yeux, pour plus d'effets.

-Je n'admet pas que l'on me désobéisse Michel, je crois que j'avais été claire avec mes exigences. Je ne veux plus que ça se reproduise jusqu'à la fin de ton stage, compris. C'est la première et ultime fois que ça se passe. Si tu refaute, tu pars. Est-ce clair?

-Oui Maîtresse, je vous promet que ça ne se reproduira plus.

-Parfait, je pense que tu sais ce qui t'attends, je connais ta fréquentation des sites pornos, notamment BDSM depuis ta chambre et sache que ça me plaît beaucoup. Tu aimes les rôles de soumis n'est-ce pas. Du reste je vois que le collier de chien te va très bien.

-Oui Maîtresse, je ne peux pas vous le cacher.

-Ne t'inquiète pas, si tu le veux, un jour je vais te révéler à toi-même, à un niveau que tu n'imagines même pas et te rendre totalement dépendant d'une telle vie. Mais ce n'est pas la question du jour. En ce moment tu n'es que mon petit chien. Toute personne soumise qui descends ici doit porter un collier de chien, c'est là règle et tu n'y coupes pas. Combien de coups de cravache mérites-tu?

-Je ne sais pas Maîtresse, 10-20?

-Va pour 20. Tu les compteras et tu me diras à chaque coup « merci Maîtresse Irina ».

-Oui Maîtresse.

-Et aucun cri, ni aucun autre commentaire, je ne veux rien entendre d'autre, sinon j'en rajoute 10, compris. Sa voix était devenue extrêmement autoritaire, glaçante. Je ne l'avais jamais entendue ainsi, je découvrais une vraie Maîtresse BDSM, mais dans ce que je vivais et les sensations intenses, troubles et nouvelles que cette situation me procurait, je la trouvais terriblement sexy et excitante, en même temps qu'irrésistiblement autoritaire et difficilement contestable. Je me rendais aussi compte que peu à peu j'étais en train de me laisser devenir complaisamment et inconsciemment sa petite chose obéissante.

-Oh, je vois mon petit cochon que non seulement ta bite n'est pas molle, mais qu'au contraire elle est raide comme un morceau de bois. Et dis-moi c'est quoi ce liquide qui suinte?

-J'étais tellement excité que du précum sortait de mon méat. Elle passa son doigt pour recueillir les gouttes et me mettre dans la bouche le liquide salé.

-Très bien, ça me plaît de savoir que ça te fait bander. C'est de très bonne augure pour une éventuelle suite (elle parlait toujours au conditionnel). Sache encore que pour cette fois je vais rester disons « délicate ». Comme tu n'es pas encore habitué et que nous n'avons pas de contrat entre nous, je vais rester soft, ce sera une punition plutôt symbolique avec quelques petites marques sur tes fesses. En plus je vois que tu trembles de froid, ce traitement va bien te réchauffer.

Puis elle commença. Malgré ses dires, la morsure de la cravache était quand même douloureuse et difficile à supporter. Maîtresse jouait de son instrument, alternant douces et délicates caresses de la lanière en cuir sur mes fesses, mes cuisses et mon dos, terriblement sensuelles, et soudain un claquement sur mes fesses, sans jamais savoir quand il arriverait. Le jeux dura ainsi de longues minutes.

-Merci Maîtresse Irina...1-2-3...12, merci Maîtresse Irina...20, merci Maîtresse Irina.

Elle s'arrêta à vingt, puis vint me coller un baiser tellement ardent et sensuel, irrésistible, croquant ma langue.

-Bravo, tu t'en es vraiment bien sorti ma petite salope, je suis très satisfaite de ta résistance, c'est encore un bon point à mettre à ton crédit. Puis elle me passa une crème calmante sur mes fesses rougies.

-Judith viendra te libérer dans un moment. Je te laisse encore un moment ici seul, pour te permettre de bien réfléchir à ta situation. Tu peux ensuite remonter dans ta chambre, mais ne t'avise plus de fauter, car tu connais la sanction.

-Oui Maîtresse, je vous assure que ça ne se reproduira plus.

Elle quitta la cave dans un déhanchement exagéré, à damner un pape, dans ses sublimes habits.

Judith vint me libérer quelques minutes plus tard et me fit remettre mes habits. Mes fesses brûlaient quand même un peu. Nous remontâmes à l'étage, elle me retira le collier et la laisse et je regagnai ma chambre. Devant le miroir je baissai mon pantalon pour regarder mes fesses, elles étaient bien rouges, surtout marquées de quatre stries bien visibles qui boursoufflaient ma peau. Je me rappelle bien, 5, 8, 13, 19, les quatre coups les plus spécifiquement mordants étaient restés bien gravés dans mes fesses. Plutôt que d'aller jouer et poser mes fesses douloureuses sur une chaise, j'ai préféré m'allonger un moment pour les calmer. Je pense que Maîtresse avait aussi du se prendre un autre pied en me cravachant, car elle ne m'appela pas de tout le reste de l'après-midi. Au souper, elle fit mine de ne pas aborder le sujet non plus. Le « service sexuel » repris au milieu du film de la soirée.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

L'initiation du soumis fait plaisir à voir...

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Cette bonne histoire est servie par une excellente écriture, que demandez de plus, à l'exception de la suite.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

J'ai regardé sur youtube Granate styling,

C'est bien comme cela que j'imagine Maîtresse Irina.

Merci

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Cette histoire est superbe , souhaiterais être tellement à la place de Michelle. Continuer ainsi Hâte de voir la suite

eXclaeXclail y a plus d’un an

bonjour, une des meilleurs séries du site en ce moment

vivement la suite je suis impatient !

merci

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