La petite chienne de Maîtresse P. 08

Informations sur Récit
Michel signe le contrat et découvre l'appartenance.
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Partie 8 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Ce contrat m'avait vraiment pris aux tripes. Il me suscitait des sentiments totalement ambigus et profondément paradoxaux. Bien sur que tout cela me faisait très peur, remettre mon existence à cette femme de la manière dont elle me le proposait dans ce contrait me terrorisait même. Mais en même temps je ressentais une attirance morbide, viscérale et irrésistible pour ce que l'on me proposait. Vivre une nouvelle vie à baiser à longueur de journée cette femme magnifique, vivre une vie où le sexe devient la raison principale d'exister, me faire diriger par elle, même traité comme son petit toutou, n'avoir plus aucune responsabilité et se laisser vivre et entretenir, quitte à devoir souffrir parfois, cette perspective m'attirait au plus profonds de mes tripes et prenait définitivement le pas sur mes doutes. Je bandais comme un taureau dans mes pantalons en faux cuir trop exigus, ma bite douloureuse ne pouvant se détendre comme elle voulait. Je prenais ça aussi pour un signe. Imaginer retourner à ma vie d'avant, sans sel, sans sexe, devant me prendre en main a sans doute été l'argument définitif qui m'a fait prendre ma décision.

A midi pile je descendis au salon, je trouvai Maîtresse Irina m'attendant dans son grand sofa en cuir, sirotant un verre de vin blanc.

-Alors mon petit Michel, oui ou non?

-Maîtresse, j'ai bien réfléchi et je suis d'accord de signer le contrat. J'ai beaucoup réfléchit bien sûr. Vous connaissez mon caractère et ce que vous me proposez me convient, je suis prêt à tout accepter.

-Tu te rends bien compte que si tu signes, il n'y aura plus aucun retour en arrière possible, tu t'engages à devenir ma propriété.

-Oui Maîtresse Irina, j'en ai pleinement conscience et je l'accepte.

-Bien alors parfait, j'en suis ravie. Tu as bien lu toutes les clauses? Tu es conscient de tout ce que cela implique sur ta vie? Le contrat à des clauses extrêmes, je les ai écrites à fin de réserves, pour m'assurer de ta parfaite docilité. En règle générale ce ne sera pas aussi sévère que certaines clauses le laissent penser, mais ceci me laisse toute latitude d'utiliser tout ce que je jugerai utile pour te dresser et te rendre parfaitement docile. Cela dépendra donc aussi beaucoup de la manière dont tu te laisseras faire et dresser. Comme je te l'ai déjà dit, j'ai vraiment besoin d'avoir mon petit toutou. J'adore les chiens, mais c'est trop compliqué à gérer, donc transformer un être humain pour en faire mon petit toutou, mon petit chien obéissant, fidèle et surtout affectueux, que rêver de mieux? Et à d'autres moment m'en faire mon beau taureau reproducteur, prêt à introduire sa belle grosse bite pour faire jouir sa Maîtresse, je sais que tu seras parfait dans ce rôle.

-Oui Maîtresse Irina, dis-je.

-Oui mon petit Michel, du reste ce sera désormais souvent les seules paroles que tu auras le droit de prononcer. « Merci Maîtresse Irina » ou « oui, Maîtresse Irina » ou « à vos ordres Maîtresse Irina »...

Elle déploya le contrat en deux exemplaires sur la table basse du salon, saisit un stylo et me le donna.

-J'espère que tu ressens l'émotion du moment. Une fois ta signature apposée, plus rien ne sera comme avant.

-Tremblant d'émotion, j'apposai date et signature au bas de la dernière page du contrat. Maîtresse repris le document et le contresigna.

-Bienvenue dans un nouveau monde mon cher esclave. A mesure que nous avancerons, je te fixerai de nouvelles règles et obligations. Pour le moment nous allons rester soft. Quelques règles quand même. D'abord l'habillement, tu seras toujours habillé comme une jolie petite salope, avec du cuir, du faux cuir, de jolies choses en Spandex, Lycra, etc. ou wetlook, moulant bien sur pour montrer tes jolies formes, avec de jolies bottines sexy à talonnettes. Je veux aussi que tu continues à entretenir ton corps. Il y a une petite salle de sport à l'arrière de la maison que tu ne connais pas encore, Judith t'y mènera. Je veux une heure d'exercices par jour. Tu seras en règle générale dans ta chambre, pour entretenir ton état mental, tu regarderas tous les jours au moins une heure de vidéos porno le matin et une l'après-midi. Je te laisse regarder ce que tu veux, je verrai bien dans quelle direction tes orientations sexuelles cachées te mèneront. Voilà. Maintenant met toi à genoux devant moi et embrasse mes belles cuissardes en les vénérant.

Sans attendre, je me mis à genoux et me penchai en avant pour commencer à prendre sa jambe cuirée gauche et commencer à l'embrasser et à la lécher. Elle avait l'air ravie de me voir ainsi.

-C'est bien mon petit chien, excellent début, tu fais ça très bien, continue mon petit toutou. Elle me laissa embrasser longuement ses belles cuissardes, le contact de mes lèvres sur le cuir était magique. L'odeur féline et musquée, la souplesse, j'avais l'impression d'embrasser sa peau. Même le reste d'odeur de cirage contribuait à m'exciter. Après 10 minutes elles me signifia d'arrêter.

-Parfait, tu fais ça très bien, pour te récompenser j'ai un petit cadeau pour toi, viens mettre ta bite entre mes cuissardes et branle toi bien avec. J'étais tellement excité que je ne me fis pas prier deux fois. La bite comme toujours raide et douloureuse, à genoux, je commençais à me frotter contre le délicieux cuir, prenant conscience de ce début de situation humiliante, où je n'étais pas dans son vagin, mais en train de me branler contre ses bottes.

-Tu éjaculeras sur l'une de mes cuissardes. Je veux voir toute ta semence crémeuse déposée dessus, rien à côté et ensuite tu lècheras bien le tout.

Il ne fallut que quelques minutes pour sentir le plaisir monter. Juste avant de jouir, je me retirai d'entre ses bottes pour diriger le jet sur une des chaussures. Un peu d'aide avec ma main suffirent à déclencher un orgasme démentiel, ma bite expulsant de longs jets crémeux qui s'écrasaient sur ses deux chaussures qu'elle avait rassemblées.

-Mmhh que tu es magnifique à regarder ainsi. Allez nettoie bien maintenant, je ne veux plus voir une trace.

-Epuisé de plaisir, mais sans avoir le droit de me laisser aller, je me penchai et de ma langue habile léchai tout mon sperme que j'avalai consciencieusement. Peu à peu j'apprivoisai cette « substance » visqueuse et au goût salé et un peu amer. Le dégoût disparaissait pour être remplacé par une émotion vicieuse et honteuse, mais en même temps terriblement excitante, de me sentir ainsi complaisamment humilié et dégradé.

-Bien, parfait mon toutou. Il faudra que je te trouve un nom de jolie chienne, qui corresponde à ton nouveau statut. Je verrai ça plus tard. Tu peux retourner dans ta chambre pour le moment. Je n'ai pas besoin de faire baisser mes ardeurs pour le moment, tu m'as déjà donné beaucoup de plaisir, d'une autre manière et j'en suis vraiment ravie. Allez, monte chez toi maintenant.

Je montai dans ma chambre et commençai par me coucher pour récupérer de ces émotions et penser encore à ce qui m'arrivais. Mon destin était désormais scellé. Au bout d'un moment je retournai à l'un de mes jeux vidéos en ligne. Vers 15 heures j'entendis un véhicule arriver dans la cour. Un homme en sorti, portant une valise et qui se dirigea vers la porte d'entrée. 15 minutes plus tard, la lampe rouge s'allumait et je descendais au salon.

-Michel viens, ce Monsieur a quelques instruments pour toi, histoire de commencer à te mettre dans le bain.

L'homme ouvrit la valise pour révéler une série d'anneaux en acier de divers diamètres et d'une largeur de 3 cm, dont plusieurs étaient recouverts de cuir sur la face interne.

-Vous êtes très en beauté Madame.

Normalement il aurait du être subjugué par l'érotisme qui émanait de Maîtresse, mais il ne semblait pas réagir plus que ça, en plus un côté un peu maniéré, il était visiblement gay.

-Je peux vous proposer ces jolis anneaux en acier, avec fermeture par cadenas, équipés d'un anneau pour le fermer et rembourrés d'un cuir très doux à l'intérieur pour éviter les blessures de la peau et permettre de le porter en permanence, ou pour le moins pour de longues périodes.

Il mesura le diamètre de mon cou, pris l'anneau correspondant. L'acier était très élastique, il écarta les deux côtés pour le faire passer, puis referma le tout autour du cou. Il me demanda si j'étais confortable.

-Oui Monsieur, mais je trouve que ça me serre un peu le cou.

-Pas de problème, le but est que ça soit confortable à porter et esthétique. Il le retira et me plaça un diamètre un peu plus large.

-Et là?

-Oui ça va très bien dis-je. Le contact du cuir était aussi très agréable. Il réunit alors les deux demi cercles qu'il referma à l'aide d'un petit cadenas doré, dont il remis les clés à Maîtresse.

-Voilà, c'est à vous. Si cela vous intéresse, vous voyez sur l'anneau il y a de petites accroches placées de part et d'autre, permettant d'y fixer ce genre de jolis pendentifs. Il lui montra de petites barrettes serties de jolis brillants, avec deux chainettes à chaque bout, terminées par un tout petit anneau qui pouvaient être ainsi suspendues à l'anneau du cou, fermée par un petit ressort comme sur certains bijoux, pour éviter de le perdre. Sur les barrettes figuraient diverses inscriptions : Slut, chienne, salope, esclave, soumise, pute, pute à bite, etc. Maîtresse lui acheta la dizaine qu'il avait avec lui. Elle me passa immédiatement le moins humiliant : Soumis

-Si vous souhaitez un texte personnalisé, nous vous le faisons également.

-Merci, voudriez-vous déjà m'en préparer un que vous m'enverrez par poste svp, avec l'inscription « Property of Mistress Irina», si ce n'est pas trop long.

-Non pas de problème, je vous ferai ça au plus vite.

Vous avez également souhaité voir un anneau de surveillance GPS, je l'ai avec moi, c'est très discret, ça se porte au poignet, comme une montre et c'est relié à votre téléphone portable. S'il devait s'éloigner à plus d'une certaine distance de la maison, disons 20m, (la distance est entièrement programmable) sans votre autorisation, l'alarme se déclencherait immédiatement sur votre portable et vous avertirais d'un éloignement non désiré. S'il devait briser l'appareil, l'alarme se déclencherait de suite aussi, donc impossible de s'éloigner sans vous prévenir.

-Parfait, merci, oui j'en ai besoin. Ce n'est pas que je ne lui fasse pas confiance, mais les choses peuvent évoluer avec le temps et il pourrait peut être connaître des périodes de doute, suite aux traitements que je lui ferai subir, donc mieux vaut prévenir que guérir. A terme je ne vous cache pas privilégier un implant sous cutané, beaucoup plus discret mais il faudra pour ça passer par un acte médical et ce sera pour plus tard.

L'homme me passa un petit bracelet métallique au bras droit, avec un appareil de la dimension d'une montre. Ici aussi le système, une fois posé, était verrouillé à mon bras, sans possibilité de l'ouvrir autrement que par un ordre venant du téléphone portable ou alors de le couper avec une pince.

-N'oubliez pas, il faudra changer la pile tous les 6 mois. Je vous prie encore de télécharger l'application que vous trouverez dans l'Apple store, elle s'appelle « personalsurveillance ».

Maîtresse s'exécuta et après quelque minutes, l'application était téléchargée.

-Vous permettez que je règle les paramètres? Mais d'abord introduisez svp votre mot de passe secret. Elle introduisit son mot de passe, puis remit son téléphone à l'homme qui se mit à le manipuler, soudain le dispositif à mon poignet émit un bip.

-Voilà, vous êtes désormais appariés, vous le surveillez. A quelle distance souhaitez-vous avoir le contrôle? Le système est intelligent, tant qu'il se trouve dans la maison, il n'y a aucune alarme, le système s'active dès qu'il est dehors.

-Je dirai 25 mètres, ça me semble raisonnable.

-Va pour 25 mètres.

-On va juste tester.

-Ils me firent sortir et m'éloigner du bâtiment. Arrivé à la distance préconisée, un bip discret se fit entendre dans mon dispositif, me rappelant que j'avais atteint ma liberté de mouvement, pendant que l'iPhone de Maîtresse, lui, sonnait une alarme beaucoup moins discrète, la prévenant.

-Parfait, j'espère que vous êtes satisfaite du service. Si vous deviez sortir avec lui et le laisser s'éloigner un peu plus de vous, vous avez toute possibilité de désactiver le contrôle ou modifier la distance sur votre application. Mais avec cet excellent dispositif vous l'aurez en permanence sous votre contrôle, il ne pourra plus s'éloigner de vous. Il doit être ravi en plus. On ne ferait pas mieux avec un chien.

-Oui c'est bien le but lui confia-t-elle, c'est ce que je veux qu'il devienne. Elle ne cacha même pas son intension à mes oreilles. Elle me demanda :

-Tu aimes te sentir ainsi sous mon contrôle?

-Oui Maîtresse, c'est tellement nouveau, mais ça m'excite terriblement et je ne peux vous cacher aimer me trouver ainsi sous votre dépendance.

L'homme revint à la charge. Sa valise était compartimentée, il souleva le premier étage qu'il déposa sur le côté, pour lui révéler un deuxième compartiment dans lequel se trouvait une nouvelle série d'anneaux dorés, cette fois moins larges et de plus petits diamètres.

-Je peux encore vous proposer ces adorables anneaux à poignets et à chevilles, ils sont très esthétiques, se ferment définitivement avec un rivet qui ne peut être retiré qu'avec une petite perceuse électrique et sont munis d'un anneau, idéal pour y faire passer ou attacher de jolies petites chaînettes destinées à décorer son corps et lui faire encore plus ressentir son statut d'objet sexuel soumis, ou alors pour lui attacher quelques dispositifs de contrainte. Mais ce n'est pas vraiment solide, plutôt décoratif. Pour une séance de torture par exemple, mieux vaut de beaux bracelets en cuir, bien solides et qui le tiennent solidement en place. Mais pour une jolie décoration corporelle, une paire aux poignets et une aux chevilles seraient du plus bel effet, êtes vous intéressée?

-Oui absolument, dit Maîtresse Irina, c'est en effet très esthétique, essayons.

Les anneaux, dorés, larges d'environ 1,5 cm étaient divisés en deux partie, s'ouvrant et s'écartant l'une de l'autre par une petite charnière. Il choisis le bon diamètre et m'en plaça un premier au poignet droit, le refermant en plaçant une petite imperdable provisoire à la place du rivet.

-Mais c'est du meilleur effet dit Maîtresse, je trouve cela ravissant, vous pouvez les installer les 4 pour voir?

Moi j'étais là, on s'occupait de moi sans me demander le moindre avis et je subissais ces premiers gestes de soumission avec une parfaite complaisance, ma queue douloureusement bandée comme jamais dans mes pantalons de cuir moulants.

-Pour les chevilles, elles n'ont pas d'anneau, pour ne pas gêner le port de chaussures féminines montantes, style bottines ou bottes, à supposer que vous lui en faites porter. L'effet est là avec des chaussures basses, bien plus sexy qu'une chaînette à pieds, mais si vous souhaitez jouer avec son corps, vous pouvez les installer sans autres, les anneaux sont fait comme ceux d'un porte clé, vous n'avez qu'à les glisser dans l'ouverture et elles sont prêtes à servir. Je vois qu'il porte déjà de jolies bottines sexy.

-Je scelle le tout?

-Oui, ça le rend encore plus sexy, merci de me l'avoir proposé. Et surtout ça va rester définitivement sur lui, c'est ça que j'aime aussi.

Après m'avoir installé les 2 anneaux aux poignets, il pris une pince à rivet et les scella, puis fit de même aux chevilles.

-Voilà Madame, j'espère que vous serez satisfaite. Quant à moi je suis toujours à votre disposition. N'hésitez pas à me contacter si vous avez d'autres idées un peu perverses pour votre mignon petit soumis. (La remarque me confirma son orientation sexuelle...).

-Merci cher ami, j'attends donc votre facture prochainement.

-Merci chère Madame, ne vous inquiétez pas pour cette formalité, je vous l'enverrai cette semaine et il repartit.

Maîtresse s'adressant à moi.

-Voilà je te trouve magnifique pour un commencement, ça te plaît? Tu te sens déjà un peu comme te le demande le contrat?

-Oh oui Maîtresse Irina, et je découvre que j'aime être ainsi, à votre entière disposition. Vous me faites déjà bien sentir que je suis votre objet, que vous prenez la peine de déjà bien décorer.

Maîtresse Irina se dirigea ensuite vers son sofa et s'y installa. Elle retroussa sa mini-jupe et se positionna de manière totalement indécente, m'offrant délibérément sa chatte chaude, juteuse et aux senteurs animales et odorantes. Je crois qu'elle faisait exprès de ne pas trop se laver, histoire de m'habituer aux plus vite à ses senteurs félines.

-Bon, ce n'est pas tout, tout ça m'a tellement allumée, je ne tiens plus en place, j'ai besoin d'un orgasme, viens lécher ta belle Maîtresse mon joli toutou, fais moi jouir seulement avec ta langue habile, donne moi mon plaisir.

Je ne me fis pas prier, mais ma bite restait toujours coincée, tordue de douleur dans mon pantalon. Le cialis m'empêchait de débander. A la moindre stimulation, je raidifiais.

Je m'exécute donc, plongeant ma langue entre ses petites lèvres, je lèche du bout de ma langue son petit bouton qui sort immédiatement de son capuchon jusqu'à son œillet. J'aime lécher son jus sucré-salé et acide et même m'approcher de son petit trou pour aller y trouver son amertume. Je sais maintenant qu'elle adore ça. Elle se détend et très vite son ventre s'agite, puis ses hanches et elle tire sur ma tête et l'attire contre sa vulve pour se frotter sur ma bouche et mon visage et l'appuyer avec force contre sa chatte déjà tellement humectée. Puis je pousse ma langue entre ses grandes lèvres humides et l'introduit dans sa fente suintante, goutant encore mieux ses liquides qui envahissent ma bouche, l'entendant glousser encore plus fort, malgré mes oreilles occultées par ses cuisses. Après quelques minutes, soudain c'est l'orgasme, à peine annoncé, subit, puissant comme toujours, son corps agité par de puissants spasmes incontrôlés, alors que sa voix crie, hurle son plaisir sans se soucier des oreilles de son personnel. En même temps ce sont de puissants jets de cyprine qui inondent et envahissent ma bouche et que je suis obligé d'avaler, mélange paradoxal d'un reste de dégout, de mieux en mieux supporté, de honte et d'intense excitation. Maîtresse se laisse retomber sur son sofa, épuisée et qui a juste la force de me dire.

-Remonte dans ta chambre, je crois qu'il y a eu assez pour aujourd'hui, avant de s'endormir à moitié nue sur le sofa de cuir taché de sexe, elle repue de sexe et indigne dans sa demi nudité assumée, épuisée de plaisir.

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2 Commentaires
GinaputanaGinaputanail y a plus d’un anAuteur

Bonjour Olivx. Non il ne réalise absolument pas, tellement obnubilé par ce qu'il vit et tellement séduit par ce qu'il imagine être la femme la plus sexy du monde, qu'il peut baiser à l'envi, même s'il n'a le droit de jouir qu'une fois par jour. C'est tellement improbable pour lui. N'oublions pas qu'il n'a que 18 ans, a reçu une éducation stricte avec une image de la sexualité totalement coincée et découvre une sexualité débridée qu'il n'imaginait pas, en plus dans un cadre qui corresponds parfaitement à son indolence et son besoin de prise en charge. Je ne veux pas déflorer la suite, mais c'est Maîtresse Irina qui peu à peu, subtilement fera remonter à la surface des envies bien trop longtemps refoulées et les lui révèlera. Mais sur le fonds il est à 1000 km de simplement pouvoir imaginer tout ce qu'elle va vouloir faire de lui.

Et désolé pour les quelques coquilles qui subsistent dans les textes. Bien à vous, Gina.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Je me demande s'il a réalisé que le contrat qu'il a signé comprend une féminisation totale... Le toutou deviendra bientôt la chienne de sa Maîtresse

OlivX

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