La petite chienne de Maîtresse P. 10

Informations sur Récit
Michel entre peu à peu dans son rôle de chienne.
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Partie 10 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Durant les 10 jours qui suivirent, Maîtresse respecta à la lettre les directives de son ami pierceur, pendant que je soignais et désinfectai soigneusement les plaies. Après les 10 jours, autant les trous dans mes seins que celui du nombril étaient partiellement cicatrisés, mais je devais toujours faire attention. Par contre la cicatrisation du frenulum prenait plus de temps. Maîtresse ne tenait malgré tout plus en place et après les 10 jours fit comme le pierceur lui avait dit, protéger la cicatrice avec une compresse humide et mettre une capote. Le fait de bander restait toujours douloureux et déchirait parfois un peu la cicatrice, la faisant saigner et ralentissant la cicatrisation.

-Tu vas devoir maintenant supporter, car je ne tiens plus en place, me dit-elle à la fin des 10 jours. Ça fait maintenant 10 jours que j'attends de t'avoir à nouveau en moi, bien chaud et vivant, pas ces pis-aller en plastique. Je n'en peux plus d'attendre. Déjà que je vais devoir te prendre avec une capote. Ma fois tu dois savoir que le plaisir de ta Maîtresse et propriétaire passera toujours en premier. C'est ainsi et tu l'as accepté.

-Oui Maîtresse, je sais, mais j'ai toujours très mal et ça m'empêche parfois de bander aussi bien que vous le méritez.

-Pas grave, on doublera la dose de cialis, ça fera l'affaire, le temps nécessaire. Ce médicament est fait pour ça. Allez approche.

Maîtresse me considérait déjà comme sa chose, qui ne devait être là que pour lui être utile, sans beaucoup se préoccuper de mes états d'âme. Cela me procurait un sentiment mitigé qu'il me fallait dénouer. D'un côté un reste de fierté masculine qui me faisait me dire qu'on ne pouvait me traiter ainsi, que j'étais quelqu'un, que j'avais quand même un peu de dignité ; d'un autre côté une excitation masochiste tellement intense et viscérale, qui me prenait aux tripes et me faisait découvrir des ressentis que je ne me connaissais pas, cette attirance pour Maîtresse, pour lui obéir, pour me sentir sa petite chose, pour lui appartenir comme son petit toutou, dépendre totalement d'elle et de ses caprices, de ses envies, qui peu à peu prenaient le pas sur mes anciennes certitudes. Et Maîtresse non seulement le comprenait, mais oeuvrait en coulisse pour me révéler mes fantasmes trop longtemps refoulés et m'en rendre prisonnier. Il ne me fallu pas longtemps pourtant, sans doute aidé encore par mon caractère indolent, pour succomber aux sirènes du sexe soumis plutôt qu'aux restes de dignité masculine qui se dissipaient peu à peu de ma tête.

Elle retira la barrette en acier maintenant le trou ouvert dans le frenulum, qui aurait empêché tout rapport sexuel, elle enroba la plaie avec une compresse désinfectée, puis me caressa ma bite pour me durcir un maximum (ce qui ne pris pas trop de temps). Elle déroula ensuite une capote par dessus.

-Allez, viens recommencer à baiser ta Maîtresse comme il se doit. Ça fait bien trop longtemps que j'attends de ressentir ta belle bite m'envoyer au ciel. Déjà que je vais devoir t'utiliser avec une capote, mais c'est pour la bonne cause.

Et la routine recommença. Bien sur le piercing restait douloureux et les rapports successifs n'aidaient pas à la cicatrisation. Il fallut quand même plus d'un mois mois pour que la barrette coulisse librement dans le piercing, que je devais retirer avant chaque rapport et qui m'étais remis après.

Durant les semaines qui suivirent je passais mes journées entre ma chambre et le service à Maîtresse, en règle générale toujours entre 6 et 7 fois par jour, avec droit de jouissance une fois. J'avais même la possibilité de lui demander l'autorisation, lorsque je sentais que mon orgasme allait être particulièrement satisfaisant. Maîtresse avait aussi profité de mon nouvel anneau porté au cou, pour y attacher une fine laisse en cuir, que je devais porter pratiquement en permanence. Elle l'utilisait beaucoup pour me tirer à elle durant les rapports sexuels, adorant me faire me sentir comme son vrai petit toutou en laisse justement. Il lui arrivait parfois de me demander de me mettre à genoux et de marcher à 4 pattes, de lui lécher ses cuissardes et de me comporter comme son petit chien. Cela avait le don de l'exciter puissamment et de la préparer à son prochain orgasme. Sa chatte était toujours dégoulinante de pré-cyprine à ces occasions. Mais elle n'en abusait pas. Elle aimait s'amuser avec moi de manière à cultiver mon plaisir pervers à me sentir de plus en plus dominé et humilié par elle.

Un jour après le petit déjeuner, elle me fit boire un bon litre d'eau. J'ai envie d'un nouveau petit jeu avec toi mon petit chien docile. Tu sais combien j'aime te savoir mon petit chien, lorsque tu n'es pas mon bull et je vais me faire un plaisir de te le montrer encore. Nous allons donc sortir par derrière dans le parc, toi tu seras mon petit chien tenu en laisse, complètement nu. Une porte se trouvait derrière la maison donnant directement sur le parc et m'évitant ainsi de devoir descendre à quatre pattes les escaliers de la rampe. Elle me fit mettre à nu, repris la laisse et m'emmena me promener dans l'herbe froide.

-Viens mon toutou, suis ta Maîtresse. Elle tirait lentement sur la laisse, pour me diriger vers un gros arbre. Arrivés à son pied, elle pris son téléphone portable pour me filmer mais me passa un masque de carnaval afin de cacher mon visage.

-Je veux te voir faire pipi contre l'arbre, exactement comme le ferait un vrai chien, jambe levée et le jet contre l'arbre. Allez, obéit, elle me claqua me fesses.

Je m'approchai le plus possible de l'arbre, complètement excité par la perversité de la scène. Je levai la jambe et dirigeai le jet de ma bite contre l'arbre, pendant que Maîtresse filmait tout en illustrant les images par des commentaires salaces. Le problème était que je bandais tellement que l'urine avait de la peine à sortir. Finalement elle se mit à jaillir, cela dura plus d'une minute, à son grand ravissement, arrosant le pied de l'arbre de ma pisse tiède, mais me projetant aussi plein de gouttes sur mon corps.

-Magnifique, quelle jolie scène, tu vas faire de ravages sur mon site porno. Allez, maintenant comme un bon chien, je veux te voir renifler ta pisse pour que tu saches que tu as bien marqué ton territoire.

J'obéissais à ses injonctions et me mis à renifler et lécher l'écorce imprégnée de mon urine.

-Bien mon chien, tu es vraiment un bon chien obéissant, nous allons faire de grandes choses tous les deux, crois-moi. Je te trouve tellement étonnant, la vitesse à laquelle tu évolues dans mon sens est magnifique. Elle me fit ensuite rentrer, toujours à 4 pattes en laisse, en me filmant. Une fois de retour à l'intérieur, elle retira la laisse et me commanda d'aller me doucher.

-Allez, vas te doucher maintenant, c'est terminé pour les émotions fortes aujourd'hui, mais tu as été génial, à aucun moment je n'ai vu l'once d'une envie de révolte et c'est ainsi que je veux que tu soies pour moi, ta Maîtresse.

-Oui Maîtresse Irina, dis-je, les yeux baissé et ma soumission évidente.

De nombreuses autres choses évoluèrent durant ces premières semaines. En particulier, Maîtresse avait réussi à me révéler mon attirance pour les beaux habits féminins, à travers de petites discussions autour de la table. De manière très subtile, elle me fit commencer à m'habiller de manière de plus en plus sexy, mais sans vraiment me travestir complètement au début. Mes anciens habits avaient été cérémonieusement brûlés dans la cheminée et remplacés par d'autres, beaucoup plus sexy. Des pantalons en cuir, de nombreux leggings hypermoulants et hyper brillants en faux cuir, noirs dorés ou argentés, parfois bariolés, dont plusieurs étaient munis d'un zip traversant, permettant de les retirer par un simple geste et libérer les organes sexuels. Des chemises en cuir ou en lycra, bien moulantes aussi, ainsi que des chaussures et bottines à talonnettes. Désormais je marchais régulièrement sur 4 cm de talons.

-J'adore te voir en beau jeune homme très sexy, un peu efféminé, me disait-elle et ce n'était bien sur pas pour me déplaire. J'ai aussi très bien compris que tu n'es pas gay, que tu n'es pas attiré par les hommes, mais bien plus par les beaux habits que nous les femmes avons le privilège de porter. Elle me voyait évoluer et accepter de mieux en mieux une lente et subtile évolution de mon caractère vers plus de féminité, heureuse certainement de son pouvoir et de sa capacité à me reconditionner mentalement sans que je ne m'en aperçoive consciemment. Il n'était pas encore question de maquillage, ni de travestisme, mais sans que je m'en rende compte, je m'en rapprochais, dans une parfaite complaisance, laissant derrière moi chaque jour un peu plus de ce qui subsistait de ma masculinité.

Quelque 3 semaines après mes différents piercings, Maîtresse me fit venir au salon. Le Monsieur des anneaux était à nouveau présent.

-Enlève le haut stp. Le moment est venu de te décorer un peu plus et de mettre en valeur ce pour quoi je t'ai fais un peu souffrir. Tes tétons percés sont mûrs maintenant pour être allongés et en faire de vrais tétons.

Le Monsieur enchaîna :

-J'ai plusieurs modèles à vous proposer Madame, j'adore tout particulièrement celui-ci pour sa simplicité et son efficacité. Il suffit de le faire tourner un peu et étirer ainsi le téton pour l'allonger.

Le dispositif avait la forme d'un ressort conique de 3 cm de long. Une fois apposé sur le tétons, il suffisait de remettre la barrette en la faisant traverser le ressort à la hauteur du piercing. Ensuite en tournant le ressort, cela faisait monter la barrette et donc étirer le téton. Plus on tournait, plus ça tendait le mamelon. On aurait pu aller jusqu'à le déchirer.

-Oh, j'adore dit Maîtresse, je les prends. Donnez les moi, je vais me faire un plaisir de les lui poser.

Maîtresse s'approcha de moi, saisit un de mes mamelons et lui retira la barrette, après avoir dévissé une extrémité. Elle posa l'objet sur mon mamelon, puis fit traverser la barrette. Une fois bien fixé, elle le fit tourner, pour admirer mon téton se faire ainsi étirer douloureusement.

-Je vous recommande d'y aller progressivement, sans trop tirer au début pour éviter des déchirures. Laissez la cicatrisation bien se poursuivre. Ne vous inquiétez pas, l'objet est très efficace, il vous faudra un peu de patience, mais cela en vaut la peine. D'ici 6 mois, ils se seront allongés de plus de un centimètre et vous pourrez les lui torturer à loisir. Pour le moment tendez légèrement, il faut qu'il ressente un peu de douleur, pour indiquer que c'est tendu, mais sans exagérer.

J'avais mal bien sur et cela se voyait.

-Je vois que tu as mal me dit Maîtresse, c'est normal et j'aime te voir souffrir pour moi pendant que je te transforme. Tu dois apprendre à souffrir pour plaire encore plus à ta Maîtresse.

-Oui Maîtresse j'en ai parfaitement conscience, mais ça fait quand même mal.

-Tu sais que c'est toi qui a décidé d'être ce que tu es, donc maintenant assume.

Puis s'adressant à nouveau à l'homme qui suivait la conversation, à peine étonné de ce qu'il entendait (il devait avoir l'habitude...).

-Très bien cher Monsieur, je vais suivre vos conseils. Avez vous aussi apporté les chaînettes que je vous ai commandées?

-Bien sûr, les voilà Madame. Il sorti de sa valise plusieurs chaînettes en or de bonne épaisseur et de longueurs variées.

-Très joli dit Maîtresse, trouvons la bonne longueur. Maîtresse pris l'une d'elle et me la fit passer d'un mamelons à l'autre, pour ensuite joindre les deux extrémités au niveau de l'anneau percé dans mon nombril, faisant ainsi un triangle d'or sur mon ventre. La chaîne avait la bonne longueur pour s'arrêter pile au niveau du nombril.

-J'en voudrai une plus longue, de manière à ce que environ 20 cm de chaine pendent de chaque côté au dessous de son nombril, mais je veux quand même que le tout soit fixé au niveau de son anneau ventral.

-Aucun problème Madame, je vous remplacerai celle-ci en y plaçant un petit anneau au niveau du nombril (il prit la mesure) qui vous permettra de la verrouiller sur son corps. Que préférez-vous? Un petit cadenas ou un simple anneau à ressort, comme on en trouve sur toutes les chaînettes?

-Non un cadenas, ce sera beaucoup plus sexy et seyant sur lui.

-Bien Madame, alors je reviendrai demain avec la définitive et remplacer celle-ci. Vous pouvez la garder jusqu'à demain et admirer ainsi votre joli esclave. Comme la chainette était munie de deux petits anneaux à ses extrémités, il verrouilla le tout avec un tout petit cadenas à travers l'anneau de mon nombril.

-Finalement, lui dit Maîtresse, je crois que je vais vous prendre les deux chaînes, celle-ci est pas mal non plus, ça lui va à merveille.

L'homme pris ensuite congé et parti.

-Mhhh, tu es vraiment tout mignon ainsi mon petit Michel, avec encore un peu plus de signes de ta soumission à moi. Cette chaine que tu porteras désormais toujours sur toi sera pour toi un de tes symbole de ton attachement irrévocable à ta Maîtresse et que tu porteras toujours avec fierté. Je me réjouis aussi de travailler tes jolis tétons et d'en faire un jour de vrais tétons de femelle, bien longs et bien étirés, parfaits pour être sucés et triturés. Demain, lorsqu'il apportera la chaîne, je la remplacerai, je trouve très esthétique ces deux bouts de chaîne de 20 cm qui vont pendre sur ton ventre et caresser ton bas ventre. En plus tes extenseurs à téton seront vraiment bien visibles sous tes chemises, ce sera vraiment très excitant lorsque les gens devineront ce qu'il peut se cacher sous tes chemises.

Ainsi allait ma lente mutation au statut de parfait sextoy biologique de Maîtresse Irina. Mon « redressage » mental était mené de manière subtile, systématique et paradoxalement j'y prenais de plus en plus goût, me laissant glisser avec excitation et plaisir dans les serres de Maîtresse Irina. Mais j'étais encore loin de m'imaginer jusqu'où elle allait m'emmener dans les plaisirs du vice. Elle m'avait quelques fois évoqué cette notion du « subspace », cet état de transe extatique qu'atteignent les masochiste lors de séances intenses de soumission, en vivant une émotion puissante et sans pareille que le sexe « vanille » ne permet jamais d'atteindre et qui nécessite d'abord un total abandon aux vices et aux perversités sadiques de sa dresseuse avec une parfaite confiance, lorsque la douleur se mue soudainement en un état d'excitation supérieur et provoque des orgasmes incroyables.

-Maintenant c'est encore bien trop tôt, tu n'es de loin pas encore assez « reformaté » psychologiquement, il y a encore beaucoup à faire, mais comme je te l'ai souvent dit, tu es fait pour ça mon petit chien. Mais ce sera pour bientôt et le jour où tu rentreras vraiment la première fois dans le subspace, tu le vivras comme un vrai shoot d'héroïne, au point que ça deviendra pour toi une véritable drogue et que tu finiras par ne plus pouvoir t'en passer. Tu finiras par m'implorer de te donner des doses...Pendant une séance particulièrement excitante, viendra un moment ou quelque chose switchera en toi, tu te sentiras différent, dans un début de transe, lorsque soudain la morsure de la cravache ne te fera plus mal, mais deviendra une source de plaisir incommensurable que tu n'avais jamais imaginé, ton cœur s'emballant à plus de 160, ton cerveau libérant des endorphines qui transformeront la douleur en intense plaisir, jusqu'à atteindre un orgasme dont tu ne peux même pas imaginer l'intensité. Tu resteras pantelant, désarticulé, épuisé, au bord de l'évanouissement. Bon le contre coup après c'est la redescente dans la réalité, lorsque les endorphines ont cessé de te droguer, car cette douleur plaisir que tu as vécues si intensément aura disparu et tu restes avec tes fesses rougies, douloureuses et marquée, ou avec tes autres stigmates de tortures, ça fait mal, mais c'est le prix à payer pour arriver à des jouissances extrêmes impossibles à atteindre autrement. Et le jour où tu auras été reconfigurée pour découvrir ce que l'on nomme des sissygasmes, des orgasmes anals, ce pourra être encore plus puissant. Ce jour là tu tomberas dans la dépendance totale et tu m'imploreras de t'en offrir encore. Ce sera même à moi de modérer tes ardeur pour ne pas te détruire, et je tiens à te garder. Voilà, tu sais maintenant ça en théorie.

-Vous me ferez connaître tout ça Maîtresse?

-Bien entendu, c'est mon but, afin que tu m'appartiennes un jour corps et âme, que tu soies ma petite chose, mon toutou parfait et que cela devienne ton désir le plus ardent, l'objectif suprême de ta vie. Mais chaque chose en son temps, le parcours est encore long. Allez, monte dans ta chambre maintenant et attend mon prochain appel.

Les jours suivants se poursuivirent dans la routine des besoins nymphomaniaques à satisfaire de Maîtresse. Le rythme était toujours de 6 ou 7 séances journalières. C'était toujours semblable, elle avait besoin de se satisfaire et calmer momentanément ses ardeurs, il n'y avait aucun sentiment dans nos relations, du pur sexe dans une relation dominatrice soumis. Elle était quand même ravie de me voir désormais régulièrement en laisse, avec ma chaîne en or qui me décorait la poitrine, mes bracelets dorés et surtout de régulièrement tendre mes extenseurs de mamelons et de les voir étirés et lentement s'allonger, sans compter le plaisir que je trouvais à m'habiller désormais dans ces merveilleux habits moulants et brillants, infiniment sexy.

Ce fut après une quinzaine de jours, un mois après mon arrivée qu'elle me fit franchir une nouvelle étape. Un matin, après le petit déjeuner et sa première séance de baise, elle ne me renvoya pas dans ma chambre, mais me demanda d'attendre qu'elle récupère de son orgasme. Un quart d'heure plus tard, après s'être refait une beauté elle m'attendait au grand salon. Plus séduisante que jamais, dans son cuir et ses incontournables cuissardes à talons de 15 cm.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Quelle belle montée en puissance.

J'adore.

Rudy

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