La petite chienne de Maîtresse P. 11

Informations sur Récit
Michel découvre la sodomie.
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2

Partie 11 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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-Mon petit toutou, ça fait 15 jours maintenant que je ne m'intéresse qu'à ta bite, mais un joli garçon comme toi possède une autre ouverture qui devrait être utilisée. As-tu déjà eu une relation homosexuelle ou s'est-on déjà occupé de ta petite rondelle?

-Non Maîtresse, jamais encore.

-Je sais que tu n'es pas gay, mais attiré par la féminisation. Ça veut dire que tu n'es pas vraiment attiré par les garçons en tant que garçon, mais que tu aimes les filles. Suis-je juste?

-Oui Maîtresse, j'ai cru l'avoir montré.

-Parfaitement, mais sache que jouer avec ta petite rondelle ne signifie pas du tout que tu es gay. Par contre comme tu m'appartiens, sur le principe je suis susceptible de t'offrir à des hommes si cela est mon bon vouloir et tu ne peux que te laisser faire, juste?

-Oui Maîtresse Irina, je comprends parfaitement, c'est dans l'ordre des choses.

-Bien je vois que tu comprends de mieux en mieux ton rôle et ton statut. Donc tu n'as encore jamais été enculé de ta vie?

-Non Maîtresse.

-Et t'es tu déjà amusé à t'y introduire des choses, à découvrir de nouveaux plaisirs?

-Non Maîtresse, jamais encore. On m'a éduqué dans le sens que justement, le petit trou c'est le terrain de jeux des gays, qui sont des être dégénérés et malades et qu'il ne faut jamais le toucher. Donc quand les adultes vous terrorisent avec ça, vous obéissez, c'est comme avec les habits de fille.

-Incroyable le genre de foutaises qu'on peut inculquer dans le cerveau des jeunes enfants et on en fait après des frustrés à vie. Je vais te faire découvrir de tous nouveaux plaisirs et tu verras que tu oublieras très vite toutes ces conneries, je vais m'intéresser à ta petite rondelle dès aujourd'hui et ça m'élargira encore mes plaisirs. Ça fait un moment que j'attendais, mais je ne voulais pas précipiter les choses, nous avons du temps. Là tu es mûr.

Elle me prit par la laisse.

-Viens, suis moi mon toutou, on descends au donjon, qui est bien mieux équipé qu' ici pour ces jeux. Je la suivais, tel son petit caniche à deux pattes, sans dire un mot et quand même avec un peu d'appréhension. Arrivés au fonds de la cave, elle ouvrit le cadenas du donjon avec la clé cachée dans une petite alcôve.

-Voilà commence par t'allonger sur la banquette en cuir. Il s'agissait d'un banc d'un peu moins de 1 mètre de haut, de forme trapézoïdale, recouvert par un épais rembourrage protégé par une couche de beau cuir noir. S'y coucher sur le ventre était très confortable. Elle me passa ensuite quatre bracelets en cuir aux chevilles et aux poignets et les attacha aux anneaux vissés dans le banc. J'étais totalement immobilisé, pouvant à peine mouvoir mes jambes et mes bras, totalement à sa merci.

Je la vis encore passer de longs gants noirs en latex et verser une grande quantité de lubrifiant sur le droit. Elle commença par me chatouiller la rondelle, la caresser très délicatement.

-Alors tu aimes?

-Oh, oui Maîtresse, c'est très agréable. J'étais déjà très bandé par la situation que je vivais, mais ses caresses me firent encore durcir. Elle s'en aperçut bien sur.

-Je vois bien que tu aimes, il y a des choses qu'on ne peut cacher.

Au bout de quelques minutes j'étais même tellement excité que ma respiration s'était accélérée et que quelques spontanés mouvements du bassin trahissaient la montée du plaisir.

-Tatata me dit-elle, pas de ça. Tu te concentres sur ta rondelle et tu oublies ta bite. Sinon il y aura un intermède cravache et la suite sera moins agréable.

-Oui Maîtresse, dis-je, un peu pantois.

Elle continua encore un moment ses caresses, jusqu'au moment où je sentis son doigts me pénétrer. Quelle étrange sensation, un peu comme pour aller à selle, mais agréable. Il allait et venait, tournait dedans.

-Détends-toi, ne reste pas ainsi crispé et tu verras que ça viendra encore plus agréable.

Je lui obéis. Bientôt je sentis un deuxième doigt rentrer.

-C'est bien tu te relâches, mais putain ce que tu es serré, va falloir travailler ce petit cul.

Un troisième doigt trouva ensuite la place, mais cela devenait un peu douloureux.

-Laisse-toi aller mon toutou, ça te fait un peu mal, c'est un passage obligé. Tu crois que les PD ont fait comment la première fois?

A force d'aller et venir, de mettre du lubrifiant, de tourner dedans, mon petit cul fini par se détendre et me donnait vraiment l'envie d'aller à selle.

Elle sorti ses doigts et s'empara du gode ceinture posé à côté, avec lequel elle s'harnacha.

-Et maintenant, comprends que c'est un grand moment, car tu vas être dépucelé du cul. Ça ne passe qu'une fois dans la vie, ensuite tu feras partie de la grande famille des sodomisé, j'ai pas dit des gay, mais sodomisés. Alors profite de ce moment particulier.

Elle passa devant moi et me montra le gode attaché à sa ceinture.

-J'adore me voir ainsi et me préparer à sodomiser un jeune garçon, c'est très jouissif psychologiquement.

Le gode n'était pas très gros, j'aurais dit 3 cm d'épais pour 15 cm de long, avec une paire de couilles en plastique au bout. Elle prenait quand même des précautions pour une première fois.

-Donc comme tu n'as encore jamais sucé une bite, je vais te faire découvrir comment ça fait. Elle plaça le gode devant ma bouche.

-Ouvre, suce-le et passe lui bien ta langue autour.

Elle l'enfonça lentement dans ma bouche, mais pas jusqu'à la gorge, me laissant découvrir la sensation. Bon ce n'était pas une vraie, mais du plastique. Elle joua ainsi un court moment puis se retira.

-Tu auras tout loisir d'apprendre plus tard, là on a un autre programme.

Elle se plaça derrière moi, m'agrippa les hanches et appuya le gode contre mon ouverture anale. Elle se mit à pousser. Entre temps mes sphincters s'étaient resserrés.

-Ben voilà tu ne t'es pas assez détendu, tant pis pour toi. Je t'avais pourtant bien préparé. Je pense que ça va te faire un peu mal, mais tu dois ne t'en prendre qu'à toi Michel. Prends-en de la graine pour la prochaine fois, car la prochaine fois il sera plus gros.

-Bien Maîtresse, dis-je, attendant que l'objet me viole mon petit cul.

Elle poussait contre mon ouverture, allant et venant par petits coups, je sentais l'objet avancer, avec chaque fois une douleur croissante lorsqu'elle poussait un peu plus et écartelait mes sphincters.

-Ça va? tu supportes?

-Oui Maîtresse, je dois bien.

-Bonne réponse, ça avance, on y est bientôt.

La douleur se fit encore plus vive, lorsque soudain, mes sphincters laissèrent passer le gode et la douleur s'estompa.

-Voilààà dit-elle, nous y sommes. Elle commença alors à faire de lents vas-et viens, que je ressentais de manière de plus en plus agréable. Après quelques minutes, elle ressortis. Elle se dirigea vers une armoire contenant un nombre impressionnant de sextoys à orientation résolument SM. Elle pris un beau reosebud en acier, qu'elle m'enfila directement et qui me redonnais cette envie d'aller à selle.

-Ainsi tu auras l'impression d'être toujours occupée et ça te gardera un peu élargie. Bienvenue dans le monde de la sodomie mon petit toutou. Tu vas découvrir des tas de nouveaux plaisirs et comprendre que tout ce qu'on t'as mis dans la tête durant ton enfance est à jeter. Puis elle retira les cadenas et me libéra.

-Alors comment était cette première fois?

-Etonnant Maîtresse, un mélange de sensations, entre douleur et plaisir.

-Avec le temps et de l'entraînement, non seulement la douleur va disparaître, mais tu vas ressentir de nouveaux plaisirs, jusqu'à pouvoir avoir des orgasmes. Allez, viens on monte, tout ça m'a sérieusement allumée et j'ai besoin d'un petit traitement. En attendant lorsque tu auras besoin d'aller à selle, tu demanderas à Judith de te le retirer et de le remettre en place après.

-Oui Maîtresse, dis-je, comme toujours avec une profonde soumission.

Je ne vais pas revenir sur le service sexuel, d'abord avec ma langue, pour recueillir la mouille produite durant ma sodomie et ensuite, classique et mécanique sans particularité. Je dus ensuite retourner dans ma chambre. Je fus bien sur appelé plusieurs fois durant la journée, sans plus, mais avec le rosebud qui m'occupait mon fondement et avec ces sensations particulières et nouvelles. J'avais toujours un peu mal de ce que j'avais subis tantôt.

Après le repas du soir et la gâterie sous la table, Maîtresse me retint.

-Reste, j'ai encore quelques petites choses à faire. Elle sorti de son sac un plug gonflable. Sais-tu ce que c'est?

-Oui dis-je, un plug gonflable. J'en ai vus sur les sites pornos.

-Et à quoi ça sert?

-A dilater les chattes anales.

-A parce que tu as une chatte anale, c'est nouveau?

-Pas encore, mais c'est à quoi vous voulez m'amener, non?

-Très juste, donc baisse ton pantalon et montre moi ta « chatte ». Elle prononça le mot chatte avec un brin de sarcasme dans son ton. Elle retira le rosebud, lubrifia le gode qui était encore petit et me l'enfila. Il me pénétra sans trop de difficultés. Puis elle se mit à pomper, je sentais l'objet gonfler en moi et me dilater, jusqu'à commencer à devenir douloureux.

-Tu as mal? c'est trop?

-Un peu quand même Maîtresse.

-D'accord je vais réduire un peu la pression.

Je sentis l'objet se rétrécir.

-Comme ça?

-Oui Maîtresse, ça va c'est supportable.

Très bien, dorénavant tu le porteras chaque soir et durant toute la nuit, afin de te dilater un maximum. Chaque jour on s'amusera à une petite séance de gode ceinture, ensuite le rosebud et le soir le gode. D'ici 20 jours tu seras parfaitement dilaté et utilisable.

Encore une fois, je me sentais véritable objet, mais cela m'excitait toujours beaucoup.

Il se passa ainsi une dizaine de jours. Un matin elle fit venir Julien en ma présence

-Julien, je sais bien que tu es homosexuel et que tu n'as pas trop d'occasion de baiser. Tu me vois jouir tous les jours et même si je ne t'intéresse pas comme femme, ça doit quand même te fruster de me voir prendre ainsi mon pied avec mon petit Michel. Du reste, mignon comme il est il ne te fait pas envie?

-Pour être honnête Madame, bien sur, il est tellement mignon et sexy, mais je n'oserai jamais le toucher. Vous savez, je suis avec vous depuis des années, je me suis habitué à vous, mais il est vrai que si j'avais parfois l'occasion de me vider mes bourses dans un joli petit cul ou dans une gorge humide et douce plutôt que dans un mouchoir, je ne refuserai pas.

-Et bien je crois que je vais exaucer tes vœux. Tu vois ça fait quelques jours que je suis en train de préparer le cul de Michel à prendre des bites. Il m'a dit ne pas être gay, mais le fait d'être contraint à se faire baiser par un homme pervers, pour se faire humilier, obéir et surtout faire plaisir à sa Maîtresse, je sais que ça l'excite. Donc maintenant qu'il a une chatte bien attendrie et plus un petit cul, je vais te le prêter quelques fois par semaine pour lui injecter de petites doses de semence dans son ventre. Tu le prendras toujours devant moi. Mais je dois d'abord savoir que tu es clean et je ne veux pas que tu le baises avec une capote, je veux qu'il ait du sperme en lui. Donc si tu es d'accord, demande à Judith de te faire une prise de sang que tu apporteras à la clinique. Si tu es OK, tu pourras l'enculer régulièrement ensuite et ainsi vidanger tes petites burnes.

-Merci Madame, vous me voyez ravi. J'y vais immédiatement.

Deux heures après, Julien était de retour, avec le certificat de la clinique stipulant qu'il n'avait aucune maladie.

-Parfait Julien, alors sers-toi.

Julien n'y alla pas par quatre chemins, il était d'un coup terriblement excité, mais doté d'un membre de taille plutôt modeste, 3.5 cm sur 14 j'aurais dit. Il baissa sans autre forme mon pantalon, m'appuya contre la table pour me faire relever et lui offrir mes fesses, s'arrosa copieusement de lubrifiant et après avoir retiré le rosebud, essaya de m'embrocher. C'est là que les choses se gâtèrent.

Au moment de le sentir vouloir s'enfoncer en moi, tous ces messages homophobes qu'on m'avait inculqués durant mon enfance et mon adolescence me sont remontés à la surface. Je me suis soudain bloqué, je ne voulais pas de ça, pas être homo.

-Je ne veux pas dis-je.

Maîtresse se montra immédiatement très contrariée et me jeta un :

-Comment? que dis-tu?

-Je n'y arrive pas Maîtresse, je ne veux pas être gay.

Pendant ce temps Julien essayait de me pénétrer, mais devait constater que je m'étais complètement refermé.

-Son cul s'est complètement refermé. Il nous fait un petit blocage.

Maîtresse changea alors de ton, elle s'approcha très prés de moi, pris un air de parfaite séductrice et sur un ton complice commença à me parler, les yeux dans les yeux.

-Michel ça n'a rien à voir avec être gay, détends-toi.

-Maîtresse, je repense à tout ce qu'on m'a dit sur l'homosexualité quand j'étais plus jeune, ça m'est remonté d'un coup. Avec vous et le gode ceinture, ça passe parce que vous êtes une femme magnifique, mais pas avec lui, c'est trop.

-Oui, j'avais compris ça, mais tu n'es pas en train de vouloir faire volontairement l'amour avec un homme, tu vas te faire enculer, parce que tu es contraint, par ma volonté et pour me faire plaisir, tout en permettant à Julien de se soulager, ce n'est pas du tout la même chose. Je sais parfaitement que tu n'irais jamais vers un homme pour lui proposer spontanément un rapport sexuel. Ici tu es ma chose et ça fait partie de ton évolution normale et des passages obligés vers ton asservissement mental autant que ton avilissement sexuel. Tu le fais parce que Maîtresse te le demande et pour elle, comprends que c'est différent. Tu as des ouvertures naturelles qui doivent aussi devenir des ouvertures sexuelles et c'est pour ça que je t'entraîne.

Pendant qu'elle me parlait ainsi, je me détendais, sentant Julien recommencer à me doigter.

-Allez, détends-toi et laisse toi faire, tu verras que tu finiras par y prendre goût.

-C'est bon dit Julien, il se relâche, ça va bientôt être bon

Peu après, je sentis Julien me pénétrer, sans forcer et s'installer dans mon anus, pour aller et venir lentement d'abord, de plus en plus fermement ensuite. Il se fit venir très vite, tant il était excité (mais je devais vite apprendre qu'il était éjaculateur assez précoce) après un dernier vas et viens brutal mais court. Soudain il râla, me tira violement par la hanche et je sentis de longs jets chauds envahir mon ventre.

-Oh que ça fait du bien, dit-il à Maîtresse, un grand merci Madame, et son cul est délicieux, encore un peu serré, ce qui est plus qu'agréable.

-Merci Julien, remet lui vite le Rosebud, afin qu'il ne perde pas une goutte de ta bonne semence. Je tiens à ce qu'il reste bien fécondé.

Madame me remercia ensuite, mais avant de me renvoyer dans ma chambre elle y ajouta un couplet que je n'attendais pas.

-Je suis très heureuse que ce se soit finalement bien passé. Bienvenue au pays des sodomites Michel, désormais tu es un petit enculé, dépucelé du cul. Ce ne sera plus jamais comme avant, ton cul a été violé et c'est tant mieux ainsi. Mais il y a une chose que je ne peux accepter, c'est de t'être ainsi rebiffé, d'avoir refusé une de mes exigences. Pour ça tu descendras cet après-midi avec Judith au donjon pour l'entraînement au gode ceinture. Je t'y attendrais mais avant tu auras droit à 20 coups de cravache sur tes jolies fesses pour punir ta petite rébellion. Ça te permettra de réfléchir à ne plus vouloir tenter de me contrarier.

-Oui Maîtresse, je suis désolé, je ne le ferai plus.

-Bien, tu sais que c'est ce que j'attends de toi, obéissance, soumission, dévotion à ta Maîtresse.

J'avais servi, été utilisé d'une nouvelle manière, comme elle aimait. Mais avant de me faire monter dans ma chambre elle avait encore une surprise pour moi, elle me tendit un carton emballé.

-Cadeau mon petit Michel. Je sais être généreuse, même si je dois être parfois sévère avec toi. L'un n'empêche pas l'autre.

J'ouvris le paquet pour découvrir deux paires de magnifiques pantalons en véritable cuir très doux, souple et brillant. Ils avaient une particularité, équipés avec un zip traversant, mais muni de 3 tirettes. Le dispositif permettait de ménager une ouverture très facilement dans la fermeture éclair, autant devant la bite, que sous et derrière, entre les fesses, donnant accès à ce qui était devenus désormais mes deux organes sexuels.

Désormais la sodomie devenait chez moi une nouvelle activité « naturelle ».

Ainsi allait ma progression dans ma soumission, mon asservissement à Maîtresse, mon avilissement mental et physique qui m'excitaient tellement en même temps que mon immersion lente et systématique dans les tréfonds du sexe pervers et vicieux tant affectionné par Maîtresse Irina.

Deux semaines passèrent ainsi, entre jeux vidéos, service à Madame, entraînements au gode ceinture et gonflable et mes exercices physiques destinés à me maintenir en forme et toujours dans mes habits sexy, dont les nouveaux pantalons en cuir. Chaque matin encore, j'avalais mon cialis pour être en forme pour honorer Maîtresse qui me laissait jouir une fois par jour. Julien lui s'occupait de mon cul à peine une fois par semaine. Ce n'était visiblement pas un gay vigoureux... Un orgasme hebdomadaire semblait lui suffire.

Un matin Maîtresse, comme à chaque fois qu'elle préparait quelque chose à mon intention, me demanda de rester.

-Voilà mon petit Michel, je t'observe, tu me plais toujours plus et tu me donnes de très grandes satisfactions. Je te regarde et je vois ce désir enfoui profondément en toi de vouloir te sentir encore plus femme, avec ta frustration de ne pas oser franchir le pas. Je le vois, ça transpire de toi, même si tu as de la peine à l'admettre. Je veux donc t'apprendre à te travestir et te féminiser pour que tu puisses réaliser tes envies cachées, devenir une belle femme sexy à gros clitoris et pouvoir t'habiller dans mon style.

La proposition fit l'effet d'une bombe dans mon ventre, je restais sans voix.

-Je vois qu'au moins ça te fait de l'effet.

-Oui Maîtresse, parvins-je à articuler.

-Et bien, j'ai le sentiment d'avoir frappé au bon endroit.

J'essayai de reprendre mes esprits. Mon cœur s'était emballé, faisant monter la chaleur dans ma tête.

-Oh, Maîtresse, oui j'adorerai être féminisée pour vous ressembler, vous êtes tellement belle, vous êtes mon modèle absolu.

-Parfait, donc je sais que ça ne te contrarie pas, bien au contraire et tu m'en vois ravie. Note que tu n'as rien à dire car c'était de toutes façon ma décision, mais je suis heureuse que tu la partages, j'aurais été déçue si j'avais été obligée de t'y contraindre, d'autant plus que avec ta complicité le résultat sera encore tellement meilleur. En attendant monte dans ta chambre, nous allons organiser ça pour ces prochains jours.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Michel va être transformé en une jolie Demoiselle..,

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Je reviens, la série terminée, sur ce texte que j'ai particulièrement aimé.

La douceur, la perversion persuasive et la sensualité de l'acte non désiré mais consenti ont été parfaitement illustrées. Merci !

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