La petite chienne de Maîtresse P. 12

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Michel débute sa féminisation et s'appelle désormais Gina.
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Partie 12 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Le lendemain, j'étais au salon, Maîtresse était partie et on m'avait enjoint de rester au salon toute la matinée à regarder la TV et visionner deux films pornographiques de sissies. Je vis arriver une camionnette dans la cour, de laquelle on déchargea de nombreux cartons, rentrés par la porte de service à l'arrière. Je pris le repas de midi seul, préparé par Judith. Maîtresse revint vers 13:00.

-Bonjour mon petit toutou, passé une bonne journée?

-Maîtresse était exceptionnellement habillée dans un style très belle bourgeoise, sexy sans ostentation. J'imaginais qu'elle avait quelques affaires à faire en ville et ne vouait pas apparaître dans son style de belle « escort » très provoquante qu'elle affectionne.

-Oui Madame, devant la télé comme vous me l'avez ordonné.

-Parfait, oui. Je vais aller me changer et je reviens vers toi dans une trentaine de minutes, nous avons des choses à faire.

-Bien Maîtresse. C'était devenu un réflexe automatique, je quittançais presque toutes ses injonctions par un « Oui Maîtresse » attestant de ma désormais appartenance à sa personne.

Elle revint, bardée de cuir, cuissardes à talons, pantalons cuir moulants, bustier cuir, remaquillée, un maquillage beaucoup plus marqué qu'à son retour, comme à son habitude. Elle était sublime, irrésistiblement attirante et naturellement autoritaire. Elle m'entraîna vers ma chambre, me tirant avec ma laisse.

En entrant, quelque chose avait changé, le décor avait été modifié. De très sobre il était devenu plus celui d'une chambre de fille, avec des bibelots, plus de couleurs dans les tons rosés, des tableaux avec des portraits de filles sexy aux murs. Plein d'autres choses encore.

-On va mettre en pratique ce que nous avons déjà discuté. Ta chambre a été déjà rendue plus féminine afin de t'habituer, mais surtout regarde.

La chambre avait deux grandes armoires murales, mais jusqu'à aujourd'hui, seule une était remplie des habits que je devais porter. Maîtresse ouvrit la seconde. Elle débordait d'habits féminins, une abondance de dessous sexy, une garde robe à l'avenant avec tout plein de cuir, des mini, des jupes, des corsets, des chemisiers, des robes, mêmes quelques tutus en dentelle et dans l'étage du bas, plusieurs paires de cuissardes, parfois au look très vulgaire et une trentaine de paires de magnifiques escarpins de tous styles, mais tous avec des talons, allant de 6 à près de 15 cm.

-Tout est là pour ta féminisation, tu peux admirer, c'est arrivé ce matin, tu as du voir.

-Oui Maîtresse, j'ai aperçu la camionette.

J'ai passé la semaine dernière sur les sites de belles fringues de salopes pour t'organiser tout ça. Désormais ça va devenir ta nouvelle vie. Fini le look de garçon, tu ne t'habilleras plus qu'en belle salope très sexy, look de bimbo bien pute. Tu as compris?

-Oui Maîtresse.

-C'est Judith qui s'occupera de ton entraînement et de ta reconversion, elle t'apprendra à devenir un belle femme, à passer tes habits, à bien les coordonner, à te faire belle, à soigner ton apparence, à féminiser ta gestuelle, à savoir être bien provocante, à bien te maquiller. Ce sera un long processus, mais je suis certaine que tu vas adorer.

-Maîtresse, oui, je ne m'en étais pas rendu compte avant, mais maintenant que vous m'avez révélé cette partie de moi, je vais aller dans votre sens.

-Bien mon petit toutou. Je vais garder encore tes habits de garçon, car nous en aurons sans doute encore besoin, notamment si je dois te sortir et que tu n'est pas encore vraiment prête. Il manque encore une chose, il faut te choisir un prénom de fille. J'avais pensé à Gina, qu'en penses-tu?

-Oui Maîtresse, j'aime beaucoup, ça m'ira très bien.

-Avec un nom ; Putana...ça donnerait Gina Putana, un patronyme bien salace qui dira tout de toi. Ça te va?

-Oui Maîtresse, comme il vous plaira.

-Parfait, je suis ravie que ça te plaise. Encore une chose, tu penses bien qu'une telle transformation ne pourra pas se faire sans un traitement hormonal. Ça suppose donc une profonde modification biologique et un impact sur ton corps et ton mental. Je ne te demande bien sûr pas ton avis, c'est ma décision, mais je te le dis afin que tu en aies pleinement conscience. Mais pour valider les protocoles, j'ai besoin de te faire voir préalablement par un médecin avant, afin d'être sûre que rien ne s'oppose médicalement à ce traitement. Il devrait venir demain. En attendant sa recommandation, on continue comme toujours, sans rien changer.

Le lendemain, vers 10 heures, passés les deux premiers services sexuels à Maîtresse, une voiture arriva dans la cour. Un homme en sorti avec une petite valise et Judith se dépêcha de lui ouvrir. C'était le médecin, encore un ami proche de Maîtresse. Dès qu'il aperçu Maîtresse Irina, il lui offrit un chaleureux sourire en venant l'embrasser.

-Bonjour Irina, quel plaisir de te revoir, tu es chaque fois plus belle.

-Bonjour Charles, le plaisir est partagé, merci, toujours galant. Prendras-tu quelque chose avant de commencer? un café?

-Oui un café, volontiers ce sera parfait.

Judith revient peu après avec un expresso. Ils s'assirent autour de la table du salon et papotèrent un moment, évoquant leurs souvenirs. J'appris que Charles avait soigné Maîtresse et entre autre effectué et/ou organisé plusieurs de ses opérations de chirurgie esthétique et qu'ils étaient devenus très complices, mais apparemment sans jamais avoir été amants.

-Bon, tu me parles un peu de ce que tu attends de moi?

-Oui, voilà, tu connais mes besoins sexuels, j'ai trouvé très exactement ce dont j'ai besoin, un petit bull très soumis qui a accepté de tomber en dépendance de moi et de m'appartenir. Il est désormais ma propriété et j'en fais exactement ce que je veux, sans lui demander son avis. C'est ainsi, il a accepté.

J'étais assis, silencieux, sachant que je n'avais rien à dire et encore moins le droit d'interrompre Maîtresse.

-Magnifique, dit-il, et?

-Il est très bien monté et m'assure 6 à 7 services journaliers, il à 18 ans, est très docile, obéissant, soumis, à mon service depuis un peu plus d'un mois. Tous les matins je lui fais prendre 20 mg de Cialis, il a le droit à un orgasme journalier, jamais connu de panne. Tu connais aussi mes petits travers, ça fait longtemps que j'ai ce fantasme, j'aimerais le reconvertir pour en faire une vraie petite femelle, une petite chienne sexy et bien salace. J'en ai d'autant plus envie que j'ai découvert qu'il avait des penchants cachés pour ça, qu'il avait longtemps enfouis et refoulés et que je lui ai fait ressortit depuis qu'il est là. Je lui ai parlé de mes penchants vicieux et de mon envie d'en faire ma belle femelle à gros clito, il ne s'est jamais opposé à l'idée.

Le toubib me contempla.

-Il a l'air effectivement exactement comme tu le décrits, très charmant dans ses jolis leggings brillants.

-Michel, déshabille toi, lève toi et montre au médecin comment tu es bâti.

Je m'exécutais.

-Quel joli petit lot tu as dégoté là Irina, chapeau. Il vit également le triangle de la chaînette en or qui ornait mon ventre, ainsi que les tire tétons.

-Je vois que tu l'as encore magnifiquement décoré. Décidément tu as beaucoup de goût. Mais tu es quand même une sacrée vicieuse...

-Je le sais, mais j'assume.

-Ça ne te fais pas trop mal jeune homme, me dit-il en tirant un peu sur les deux bouts de chaîne pendant sous le nombril, étirant mes tétons? C'est vraiment très joli ce que ta Maîtresse t'as posé.

-Ça va Monsieur, j'ai beaucoup moins mal maintenant.

Maîtresse reprit la parole derrière.

-Donc j'aimerais lui imposer très vite un traitement hormonal pour démarrer sa féminisation, mais j'ai besoin d'abord de ton avis, que tu me l'auscultes bien pour me dire si c'est envisageable et s'il n'a pas un défaut caché.

-Oui je vais te l'examiner, mais il me faudra aussi une prise de sang. Je le prélèverai avant de partir.

Le médecin me fit m'approcher, toujours nu et debout. Maîtresse ne résista pas à lui montrer mon équipement. Elle commença à me caresser le pénis comme elle savait si bien le faire. A peine 1 minute après, mes 20 cm étaient fièrement déployés.

-Regarde si ce n'est pas beau!

-Oui, joli gabarit, je comprends que tu aurais de la peine à t'en séparer. Il produit beaucoup?

-Oh oui, il a même le droit de s'épancher parfois dans ma chatte, mais à condition de bien me nettoyer ensuite tout son bon jus mélangé aux miens avec sa langue et de tout réabsorber dans son corps.

-Je te reconnais bien là, Irina, vicieuse jusqu'au bout des ongles...

-Oui et il fait ça vraiment très bien, au début il a eu un peu de peine mais il s'est très vite habitué à ces nouveaux goûts pour lui. Mais je ne te cache pas que j'ai quand même juste une crainte que j'aimerai partager et j'espère dissiper avec toi. J'ai envie d'en faire une belle petite femelle, très sexy et hyper féminine, une bimbo si j'arrive à lui retirer un maximum de ce qui lui reste de masculinité, même à lui faire développer une mentalité de belle pute, mais en même temps j'ai toujours besoin de garder sa bite en bon état de fonctionnement, parce que j'en aurai toujours besoin pour calmer mes ardeurs. Je me demandais si les deux choses étaient compatibles, si le traitement hormonal n'allait pas réduire sa virilité. Je ne te cache pas que cette question me turlupine depuis que j'ai commencé à fantasmer à le modifier pour en faire mon jouet. Je te jure, l'idée m'excite tellement, mais je ne veux pas casser mon jouet, seulement l'adapter à mes petits vices. J'ai vu sur des sites pornos de transexuelles, que certaines peuvent être extrêmement féminines tout en étant extrêmement bien dotées et rester viriles, donc ça doit être possible.

-Ne t'inquiète pas lui dit le médecin, aujourd'hui nous avons des traitements qui permettent une intense féminisation du corps, ce qui fait bien sur suivre l'esprit, mais tout en préservant un bon fonctionnement de sa virilité. C'est du reste ce que des transsexuelles demandent parfois. En plus tu n'auras qu'à doubler sa posologie de cialis cas échéant. Je sais que 40 mg c'est beaucoup, mais si c'est nécessaire à son bon fonctionnement, n'hésite pas, ça ne devrait pas lui faire trop de mal.

Je les écoutais, on parlait de moi véritablement comme d'un simple objet que l'on s'apprêtait à manipuler et modifier et je n'avais d'autre choix que d'admettre qu'il en allait désormais ainsi, que je n'avais plus de véritable personnalité, ni de droits sur mon corps.

-Oui, merci tu me rassures Charles lui répondit Maîtresse. Tu sais, lorsque tu veux te fabriquer une belle petite sissy soumise pour ton usage, en convertissant et en féminisant un mâle bêta déjà préprogrammé par la nature pour le devenir, une des premières actions est généralement de lui passer une jolie cage de chasteté dans le but de lui faire cesser toute activité sexuelle incontrôlée, de prendre le contrôle total de sa sexualité et surtout lui faire peu à peu régresser sa petite bite jusqu'à la lui rendre définitivement inutile et inutilisable, tout en la reprogramment à devenir une jouisseuse anale. Moi c'est paradoxalement juste le contraire, j'ai besoin de la garder viril pour mon usage, tout en en faisant ma petite bimbo totalement femelisée et bien entendu aussi rendue jouisseuse anale.

-Oui, comme je te l'ai dit, tu n'as aucune inquiétude à avoir sur ce plan. D'ici une année, biologiquement tu auras fabriqué ta petite bimbo, avec une peau douce et glabre, sans poils, des formes, une voix, un mental de femme et même le développement d'une paire de petits seins bien visibles, mais bonnet A. Le reste dépendra entièrement de toi et de la manière dont tu le dresseras et le reformateras pour le recalibrer à tes besoins

-Magnifique répondit Maîtresse, merci tu me rassures.

Après une demi-heure où il m'ausculta encore de tous les côtés, il me fit une prise de sang. Il était sur le départ.

-Bon Irina, je vais revenir demain matin, une fois que j'aurais ses analyses sanguines, mais à priori, je ne vois aucune contre-indication à lui faire subir une hormonothérapie de conversion. Demain je t'apporterai une ordonnance avec les indications pour son début de traitement.

-Merci Charles t'es vraiment un chou.

Sur ces paroles de Maîtresse, il quitta la maison.

Le reste de la journée se passa dans la routine, service sexuel de Maîtresse et temps passé dans ma chambre. Malgré la transformation de mon lieu de vie en chambre pour fille, je poursuivais encore ma vie de garçon efféminé.

Le lendemain matin, le médecin réapparut vers 10 :00. Maîtresse me fit appeler pour être présent. Judith l'accompagna dans le grand salon. Charles se dirigea vers Maîtresse Irina et lui offrit un baiser chaleureux, accompagné de ses compliments toujours élogieux.

-Bonjour ma chère Irina, comment ne pas résister au plaisir de te dire combien tu peux toujours être aussi somptueuse, tu es vraiment la femme la plus sexy de la planète.

-Espèce de grand flatteur, mais je te remercie.

-J'arrive avec de très bonnes nouvelles, les analyses sanguines sont sans équivoque, elles montrent que tout va bien, que tu vas pouvoir démarrer son traitement très vite et sans aucune réserve, il est biologiquement tout à fait approprié pour subir cette transformation.

-Oh un grand merci Charles.

-Voilà je t'ai préparé une ordonnance pour des produits à aller te procurer en pharmacie. Il faudra lui faire des injections une fois par semaine, Judith peut s'en charger et lui faire avaler plusieurs comprimés chaque jour. Il faut suivre rigoureusement le traitement. Tu devrais déjà commencer à voir des effets après deux mois, plus dans un changement de comportement d'abord, surtout plus de sensibilité féminine. Si tu devais voir une perte de vigueur, informe-moi et on adaptera le traitement en conséquence. Et pense au Cialis, c'est vraiment efficace. Je viendrai l'ausculter et contrôler que tout va bien toutes les deux semaines si ça te convient.

-Parfaitement lui répondit Maîtresse, et ça me donnera l'occasion d'entendre encore tes doux compliments...

Avant de partir, il m'envoya une claque sur mes jolies fesses emballées de lycra noir brillant.

-Tu es une sacrée belle petite pouliche Gina (il savait pour mon nouveau prénom). Tu as tout pour devenir une parfaite petite salope, tu vas voir, Maîtresse va faire de toi une créature de rêve. Il y a une chose dont tu dois bien avoir bien conscience, une fois le traitement terminé, il n'y aura plus de retour en arrière possible, le traitement est totalement irréversible, elle va faire de toi non pas une femme, mais une somptueuse femelle. J'espère que tu saisis la nuance.

-Oui Monsieur, j'en ai conscience. En réalité, je n'en avais pas du tout. Je comprenais ce qu'on allait faire de moi, ça oui, mais juste intellectuellement, pas du tout encore dans mes tripes et avec ce que j'allais vivre dans mon corps.

-Le mieux ce serait qu'elle arrive à faire de toi un jour ce que les anglo-saxons appellent une brainless bimbo, que l'on pourrait traduire par une bimbo décervelée. Tu sais les belles bimbos qui n'ont plus grand chose dans la tête, des objets sexuels parfaits, qui s'habillent toujours comme de belles putes, exhibant un maximum de peau et en cachant le strict minimum, qui écoutent les conversations des gens mais sans pouvoir y prendre part, sauf à dire des bêtises qui permettent de les identifier immédiatement comme telles, mais surtout éduquées à être toujours prêtes à accueillir une bite en elle, avec l'unique et permanent souci de leur apparence physique, de leur maquillage, de leurs ongles, qui n'ont plus que des préoccupations totalement futile; leur beauté, leur perfection physique et celle de leur apparence et surtout une disponibilité sexuelle permanente et plus rien d'autre. Ajoutons encore encore le shopping, les sites internet d'influenceuses, les journaux et les émissions de TV pour bonnes femmes. Ça serait bien si tu devenais ainsi un jour. Ce jour là je demanderai à Irina de te prêter pour te violer, dit-il avec un grand sourire. Mais là tu es encore trop garçon pour moi.

Sur ces dernières paroles, il embrassa Maîtresse, me gratifia d'une nouvelle claque sur mes fesses, en quasi propriétaire, me montrant à quel point j'avais déjà perdu de dignité masculine et nous quitta.

Dès après, bien sur, Maîtresse réclama son petit service, d'abord lingual, puis avec mon membre. Je me sentais de plus en plus instrumentalisé, utilisé comme une simple petite machine à lui donner son plaisir, devant suivre ses directives, ralentir ou accélérer le rythme, la caresser ainsi et ainsi, jusqu'à son orgasme libérateur, de manière très mécanique. C'est ainsi qu'elle aimait m'utiliser. Puis je fus libéré. C'est Judith qui s'occupa de commander les médicaments qu'elle ne put aller chercher que le lendemain.

A partir de ce moment les choses commencèrent à changer drastiquement. Le même lendemain matin je reçus ma première injection hebdomadaire d'hormones, tout en devant avaler plusieurs tablettes tous les jours. Effectivement, cela n'avait pas beaucoup d'effet sur ma virilité, toujours prête à satisfaire les besoins sexuels de Maîtresse, comme l'avait prédit Charles. C'est Judith qui prit en charge mon éducation physique, vestimentaire et comportementale, mais toujours sous supervision de Maîtresse qui s'intéressait beaucoup à mon évolution.

Judith passait désormais chaque jour des heures avec moi dans ma chambre pour m'apprendre à porter des habits de fille, à modifier ma démarche pour la rendre plus féline et plus féminine, à m'habituer à porter des talons, de plus en plus hauts, à savoir marcher avec, à savoir me comporter de manière sensuelle et provocatrice, pour allumer les mecs. Elle m'avait aussi totalement épilée, cela avait pris une semaine, chaque jour une nouvelle partie de mon corps. J'exerçais tout ce qui contribuait à faire de moi une belle petite salope en même temps que je commençais à sentir les effets du traitement. Mes poils ne poussaient plus, je me sentais plus sensible et non seulement je me laissais faire, mais j'y prenais un goût de plus en plus évident, abandonnant chaque jour un peu plus derrière moi mes restes de masculinité. Judith m'apprenait aussi à me maquiller, ce n'étaient pas des maquillages dits « naturels », mais bien des maquillages très prononcés, accrocheurs, à la manière des putes, avec de grosses couches de fonds de teint toujours plus foncés que ma carnation, me donnant une peau parfaitement lisse, beaucoup de couleurs, des yeux très charbonneux relevés en amande, etc. Désormais je vivais en fille, souvent en minijupe cuir, porte jarretelle, de jolis bas, un bustier cuir ou vinyle, ou un chemisier, ou en belles robes, pantalons cuir moulants, etc. On m'habituait aussi à évoluer sur des talons. Au début j'étais déjà presque à l'aise avec 6 cm. A force de devoir porter douloureusement des talons de 10cm de longues heures durant pour entraîner mes chevilles, des talons de 8 cm devinrent peu à peu accessibles, mais porter du 12 restait quand même une torture, m'infligeant une démarche de canard qui tuait mon apparence. Maîtresse pressait alors Judith pour que je m'améliore, mais c'était lié à ma morphologie, je n'arrivais pas à dépasser les 10 cm, alors qu'on espérait pouvoir me faire chausser des escarpins de 16 cm. Et je m'appelais définitivement Gina et non plus Michel.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Cet épisode est vraiment exquis. Michel a laissé la place à la délicieuse Gina ! Maîtresse Irina est une Femme d'une perversité extraordinaire !!

GinaputanaGinaputanail y a plus d’un anAuteur

Oui, et vous avez raison. Il croit pouvoir imaginer, mais il est loin de savoir à quel degré de perversités et de sadisme sa Maîtresse va l'amener. Et merci de vos commentaires, ils font toujours plaisir à lire.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Ça y est Maîtresse a débuté sa féminisation à haute dose.

J'ai le sentiment que bien qu'il ait dit être conscient de ce qu'il allait subir et devenir, ce ne soit pas tout à fait le cas.

Vivement la suite

OlivX

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