La Saga de Sara P. 01

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La saga d'une jeune étudiante marocaine, lesbienne prédatric.
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L'histoire d'une jeune lesbienne Marocaine prédatrice

Les débuts de Sara, une jeune étudiante marocaine lesbienne et dominatrice, doublée d'une sorte de justicière sociale. Elle découvre, à 18 ans, sa nature lesbienne, puis dominatrice, avec une collègue du lycée ainsi qu'avec la mère de celle-ci. Elle s'engage alors dans une aventure triangulaire secrète avec les deux membres de la famille qu'elle séduit. La relation évolue lentement vers une relation de contrôle où la mère et sa fille, chacune de son côté, ne peuvent résister au contrôle que Sara exerce sur leur désir.

En fréquentant l'université à Rabat, son cercle de conquêtes ne cesse de s'agrandir incluant une collègue, sa directrice, une doctoresse et une femme au foyer très religieuse. En décrivant chacune de ces relations, on découvre la complexité de la personnalité de Sara et le contraste entre ses aspirations de justice et d'équité et sa nature dominatrice.

Une saga où se mêlent érotisme, domination, romance et revanche sociale. Ceci est le premier tome.

Prologue

Sara était encore une fois à l'une de ses séances d'entraînement auxquelles elle s'était astreinte, et ce de manière régulière, afin de maintenir la forme d'aussi bien son corps que son esprit. Elle savait que se maintenir à ce stade d'athlète de haut niveau qu'elle croyait avoir atteint ne pourrait se faire que grâce à des sacrifices en temps et en efforts ainsi que les défis qu'elle se fixait toujours plus exigeants. Son corps ressemblait d'ailleurs à celui d'une athlète de tennis ou de volley-ball, sports qu'elle pratiquait régulièrement dans le club sélectif de la capitale qu'elle fréquentait pour sa cour de tennis, son gym dernier cri et sa clientèle, ou au sein du club de volley de son école dont elle était l'une des leaders, sinon la leader. L'été et le printemps, saisons prolixes en beau-temps au Maroc, étaient l'occasion pour elle de pratiquer le beach-volley et offrir la vision de son corps sculpté en spectacle à ceux et celles qui le désirait. Elle était assez grande, mesurant 1m80, et son corps était si idéalement symétrique et proportionné qu'il attirait les regards de presque tous les hommes et de certaines femmes partout où elle faisait son apparition. Elle avait un tour de taille de 36 cm avec des fesses rondes et musclées que sa combinaison de volley ou sa jupe fétiche qu'elle portait aujourd'hui mettaient pleinement en évidence, une poitrine de 33E et de longues jambes qui mesuraient au moins 90 cm. Ce corps dont beaucoup de femmes rêveraient, était sublimé par un visage presque angélique aux traits fins ; typiquement marocain, brun avec un nez fin, de grands yeux noirs et des lèvres saignantes et bien dessinées. Sa chevelure était noire de jais, s'arrêtait au niveau de ses épaules et elle la portait aujourd'hui chignon. Si l'on devait nécessairement la comparer à une célébrité, Sara ressemblait, par l'innocence de son visage et son extrême beauté, à l'actrice Simonetta Stefanelli, qui eut une célébrité éphémère en jouant le rôle secondaire d'Apollonia dans le Parrain I.

Au café que fréquentais la moyenne classe de la capitale où elle était attablée, seule, sirotant un expresso et faisant mine de lire un livre, beaucoup de regards des jeunes hommes fréquentant habituellement le lieu, accompagnés ou non par leurs amies, se fixaient sur elles, induisant chez ces dernières une jalousie mortifère mêlée à une fascination difficile à cacher pour l'aura et le charisme de cette jeune fille qui paraissait à peine sortir de l'âge adolescent. Elle avait d'ailleurs dû refuser le plus discrètement et courtoisement possible, mais fermement, les avances et offres de certains jeunes gens qui l'invitaient à les rejoindre et qui ont dû battre piteusement en retraite devant son refus plein d'assurance. Comme toute belle fille marocaine, jeune ou moins jeune, elle s'était depuis longtemps habituée au harcèlement dans l'espace public dont la femme marocaine faisait d'habitude l'objet, et avait développé des stratégies et des tactiques pour le contrer dont la plus redoutable était son regard noir et perçant lancé aux plus impertinents qui était de nature à jeter le trouble dans leur esprit et leur faisait instantanément perdre leurs moyens. On a du mal à imaginer d'où une fille d'à peine 20 ans pouvait tirer toute cette assurance et ce charisme. Cependant, pour Sara, cela semblait aller de soi. Elle ne s'était jamais posée la question si sa volonté devait ou non prédominer, elle l'imposait presque naturellement depuis son jeune âge et sa courte, et néanmoins riche, expérience dans la vie ne faisait que lui confirmer qu'elle était dotée d'un certain pouvoir, pour certains énigmatique, mais pour elle tout à fait naturel, qui la poussait inexorablement à dominer sa vie et ceux et celles qui en faisaient partie.

Sara était à Rabat pour poursuivre des études en gestion dans une école publique, ses parents ne pouvant lui assurer la fréquentation de l'une des écoles privées coûteuses qui avaient pullulé ces dernières années, ni de l'envoyer, comme pour la jeunesse dite dorée du pays, à une université prestigieuse à l'étranger. Elle n'en ressentait ni remords ni complexes, certaine qu'elle fera le chemin qu'elle choisira grâce à ses capacités et qu'un temps viendra ou elle pourra rivaliser avec et même dépasser cette jeunesse oisive, prétentieuse et gâtée pour laquelle elle n'avait que peu de respect. Ses proches avaient été étonnés de la voir choisir cette filière qui n'attirait pas les meilleurs au vu de sa performance au bac qui lui aurait facilement permis de choisir une carrière d'ingénieure ou de médecin. Mais elle savait exactement ce qu'elle voulait : un cursus scolaire relativement facile et peu exigeant en temps et en effort, lui permettant d'encore plus parfaire l'art dans lequel elle excellait. Aujourd'hui à sa deuxième année, ses notes étaient excellentes, sa réputation d'étudiante sérieuse et ambitieuse bien ancrée chez ses professeurs et son réseau de contacts précieux pour sa future carrière ne cessait de s'élargir. Le lecteur aura donc compris, au vu du lieu de cette scène, que l'entraînement auquel s'adonnait Sara dans ce café branché n'était pas d'ordre physique (bien que ce ne soit pas totalement à exclure). Sara était une prédatrice et elle était en chasse, chose qu'elle n'avait pas fait depuis plus des mois, occupée qu'elle était avec ses examens de session qu'elle compléta avec un succès habituel. Ses proies ne se recrutait évidemment pas parmi ces jeunes hommes auxquels elle n'adressait le moindre regard et qu'elle éconduit sans lendemain. Ses victimes se recrutaient parmi les rangs de la gente féminine, de préférence d'un âge mûr. Sara était une lesbienne séductrice qui espérait que sa journée ne se conclurait pas sans avoir ajouté à sa liste de partenaires serviles la femme qui lui faisait face.

Chapitre 1. Une affaire de famille

Sara, 18 ans, élève en dernière année du bac, était dans sa chambre modestement équipée et décorée. Un lit d'une place peu confortable, une petite librairie qui débordait de livres sur tous les sujets envisageables, un placard emmuré et un petit vieux bureau dans un coin qui fut acheté à la brocante. La chambre sentait l'austérité, la propreté et l'organisation. Elle sentait aussi cette odeur propre à l'activité charnelle, faite de sueur, de cyprine et autres sécrétions que nos corps produisent quand ils sont au bord de l'orgasme. Car Sara, était sur son lit, dos au mur, complétement nue, ses magnifiques seins gonflés par le plaisir bougeant au rythme de ses halètements ; et entre ses jambes, elle tenait fermement par les cheveux une tête qu'elle plaquait contre sa chatte et à laquelle elle lançait, dans une voix tendue par l'excitation, mais qu'elle tentait de modérer par crainte d'alerter les voisins, les pires obscénités :

« Oui, salope! Comme ça salope! Suce-moi comme la pétasse que tu es! Tu es devenue tellement experte avec ta langue! Je suis contente de mon éducation. »

La fille du même âge qui était entre ses jambes, encore habillée, les genoux par terre, ne répondait rien à ces insultes, sa bouche et sa langue toutes occupées à satisfaire le désir de la créature qu'elle chérissait au-dessus de tout. Suivant les instructions qu'elle reçut tellement de fois qu'elle les suivait désormais presqu'instinctivement, elle attaqua le clitoris de Sara, le léchant avec sa langue à un rythme saccadé, le suçant dans sa bouche comme s'il s'agissait d'un petit pénis et le mordillant avec ses lèvres et ses dents. Sara se sentait au bord de l'explosion, et, tout en raffermissant son emprise sur les beaux cheveux de sa partenaire au point de les arracher, poussait ses hanches de toute sa force à la rencontre de la bouche offerte, les ondulant et frottant sans merci la bouche et le nez de la fille contre sa chatte et son clitoris :

« OUI! OUI! OUI! ARRRRGGGG! » Cria-elle en se mordant les lèvres afin d'atténuer sa voix quand son orgasme puissant la frappa.

Elle relâcha son étreinte sur les cheveux de son amie et s'allongea de tout son magnifique corps sur le petit lit, rêveuse, essayant de récupérer de son orgasme. Son amie restait au sol, sur ses genoux, levant vers Sara ses beaux yeux amandes pleins de passion, la bouche rouge par les frottements et les lèvres mouillées par les liquides qu'avaient produits la chatte de son amie. En rencontrant ses yeux, Sara, toujours allongée, tendit la main qu'elle passa délicatement sur la joue de son amie et lui dit avec un sourire si tendre qu'il illumina son beau visage :

« Beau travail ma petite salope. Tes progrès son phénoménaux. Si je pouvais délivrer un certificat d'expertise en léchage de chattes, tu en serais la première lauréate. » Ajoute-t-elle avec un rire.

La fille accompagna son rire, flattée par le compliment ; le considérant comme la meilleure des reconnaissances de la part de sa séductrice. Elle restait, néanmoins, toujours sur ses genoux, attendant le prochain mouvement de son amie et camarade de classe.

« Qui aurait pensé, il y a moins d'une année, dit Sara comme parlant à elle-même, que la fille prude et prétentieuse qui venait de rejoindre notre lycée sera la parfaite lesbienne que tu es devenue. Ne demandant qu'à être entre mes jambes, à me satisfaire. La vie est vraiment pleine de surprises. »

La fille ne répondit rien. Elle-même en aurait été choquée, mais en aurait ri, si quelconque lui en avait fait la prédiction il y a seulement quelques mois. Sa transformation a été, en effet, totale et rapide. Et elle n'en éprouvait que plaisir. Elle continua à fixer des yeux où se lisait la passion et l'expectative sur une Sara toujours en mode sieste post-orgasme. Celle-ci, devinant à quoi pensait son amie, lui dit :

« Qu'est-ce que tu attends pour te déshabiller et me rejoindre sur le lit? »

La fille ne se le fit pas répéter. Elle enleva rapidement sa courte jupe, sa chemise de soie à courtes manches qui était un peu trop serrée pour son corps et mettait en évidence sa forte poitrine, et enfin ses sous-vêtements. Tous des vêtements que Sara lui avait ordonnée de mettre la veille. Elle rejoignit, toute nue, Sara sur le petit lit qui les contenait à peine toutes les deux, et celle-ci pensa qu'il était plus confortable lorsqu'elles faisaient l'amour dans le lit plus spacieux de sa partenaire.

Sara se mit sur son côté, passa une main sur la hanche et la cuisse de la fille et pris son menton dans l'autre main pour l'embrasser dans un baiser tendre qu'elle fit durer, puis inséra sa langue dans la bouche de la fille et commença à l'explorer avec un peu plus d'agressivité. Elle porta une main vers un des gros seins de la fille qu'elle aimait molester et le prit à pleine palme enfonçant légèrement ses ongles dans la chair tendre et blanche, laissant de petites traces rouges et faisant pousser à la jeune fille un gémissement de douleur mêlée au plaisir. Les gémissements de la fille redoublèrent lorsque Sara, toujours la langue dans sa bouche, prit ses deux tétons entres deux doigts de chacune de ses mains et les pinça fort, augmentant progressivement sa pression jusqu'à ce que les deux mamelons soient en érection ; au bord de l'implosion.

Sara adorait les seins de sa partenaire, et les seins fermes des femmes en général ; du moins à en juger par ceux des deux femmes qu'elle a encore fréquentées. Elle leur trouvait une physionomie belle et attractive. Deux globes enrobés dans une chair délicate qui se gonflaient sous ses attouchements et qu'elle pouvait malaxer comme si elle jouait avec des ballons. Ces deux boutons à leurs bouts qui grossissaient immédiatement sous l'assaut de sa bouche ou ses doigts comme deux pénis minuscules. Les halètements qu'elle extirpait de ses femelles quand elle mettait les mains sur leurs poitrines. Ça l'excitait toujours au plus haut degré. « Il devrait y avoir une explication freudienne à cette fascination, » pensa-elle, sa main maintenant sur la vulve de la fille, la massant délicatement et touchant de ses doigts le niveau d'excitation qu'elle lui faisait atteindre. Elle-même savait qu'elle avait une belle poitrine dont elle était fière, et aimait lorsque l'une de ses deux proies lui suçait les tétons, même si elle leur permettait rarement de les lui pincer ou même de lui toucher les seins sans sa permission explicite. Dans sa relation avec ses deux amantes, Sara fixait les règles ; la première étant que l'initiative devait constamment lui revenir.

La jeune fille entre ses bras connaissait parfaitement ces règles, et ses mains se cramponnèrent avec force aux draps du lit lorsque Sara lui passa un doigt sur le clitoris provoquant un petit cri aigu et des halètements saccadés. Sara, en quelques minutes, comme à son habitude, avait amené la jeune fille là où elle le voulait ; au bord de l'orgasme qui n'avait besoin que de quelques frottements sur son clitoris pour exploser. Sara pensa aussi avec fierté au chemin qu'elle avait parcouru pendant cette année pour parfaire l'art d'exciter, de faire languir et de faire jouir une femme. Une maîtrise fruit de longues heures passées à explorer le corps de sa jeune camarade, puis celui de son autre amante et pendant lesquelles elles expérimenta à chaque fois tellement de techniques dont elle évaluait méthodiquement les effets dans un style presque didactique. Sentant la fille entre ses mains, haletant et gémissant, au bord de l'orgasme, Sara s'arrêta brusquement, provoquant une plainte gémissante de la bouche de sa victime. Celle-ci la regarda avec des yeux implorants et interrogateurs, comme l'exhortant à ne pas s'arrêter, et Sara avec un sourire, une main délicatement entourant le cou de sa camarade, comme pour l'étrangler, lui dit :

« Tu ne croyais pourtant pas que j'allais oublier ta punition? »

La fille la regardât avec des yeux perplexes, essayant de repasser rapidement les événements de la journée durant laquelle elles ne s'étaient presque pas séparées afin d'identifier l'acte qui lui vaudra la punition de son amie. Elle ne voyait toujours pas, et continua à fixer pathétiquement les yeux noirs perçants de son amie :

« Tu ne vois pas? C'est encore plus grave. Car cela signifie que tes actes de fille gâtée te sont si naturels que tu les commets sans y penser. Aujourd'hui, après notre partie de tennis. Qui a ramassé les balles? »

« Toi, » répondit la fille d'une voix faible, réalisant enfin son forfait.

« Et ça ne t'as pas traversé l'esprit que, ayant été partenaires de jeu, il nous appartenait à toutes les deux de partager les tâches afférentes à notre activité? Peut-être crois-tu que parce que tu m'as avancée la somme pour payer mon abonnement au club - que je compte, par ailleurs, te rembourser au dernier centime - je devrais t'en être si reconnaissante au point de me comporter comme ta servante? »

« Non Sara. Ça ne m'a jamais traversé l'esprit. Je suis désolée Sara. » Répondit la fille d'un ton implorant.

« Tu vas l'être, en effet, dans quelques instants. Ou plutôt, c'est ton joli cul qui va l'être. » Répondit Sara, se dégageant de la fille et s'asseyant complétement sur le lit, les pieds au sol.

La fille savait instinctivement ce qui lui était demandé. Il s'agissait d'une presque routine qu'elle devait subir à chaque fois que Sara détectait une déviation dans son comportement ou une désobéissance à ses ordres. Elle se traîna sans plainte à quatre pattes sur le lit, et se mis à plat ventre sur les jambes de Sara, les seins pendants, son postérieur ferme et bombé offert aux mains de celle-ci. Sara lui massa d'abord délicatement les fesses, puis lui appliqua dix fessées fermes et rapides, sans être particulièrement douloureuses, auxquelles la fille sursautait à chaque fois avec un petit cri de douleur. Le temps où la fille pleurait à chaudes larmes et suppliait Sara d'arrêter lorsque celle-ci la fessait était révolu. Maintenant, endurcie, elle subissait ses punitions avec un admirable courage.

La fessée, terminée, Sara lui massa encore une fois délicatement les fesses, faisant refroidir la chair maintenant rose et brulante, puis passa deux doigts sur la chattes de la fille qui secrétait si abondamment que Sara pouvait sentir ses propres cuisses toutes mouillées. Elle continua à lui masser la chatte pendant un moment, puis, lui ouvrant délicatement les fesses, posa ses deux doigts mouillés contre l'anus de la fille.

Ce n'était pas la première fois que Sara prenait l'orifice tabou de la fille. Celle-ci étant encore vierge, Sara ne voulait pas avoir sur la conscience la responsabilité de la déflorer, connaissant les répercussions sociales que cela pourrait avoir dans un pays conservateur comme le Maroc et lui laissant décider quand, comment et avec qui le faire ; même si la fille l'implora à plusieurs reprises de le faire. Sara, quant à elle, n'avait pas ce problème ; car, décidée à ne jamais se marier, elle avait elle-même déchiré son hymen avec ses propres doigts. Elle pouvait donc jouir des doigts de la fille dans son vagin, mais ne pouvait réciproquer, portant son dévolu sur son rectum.

La fille se raidit quand elle sentit les deux doigts de Sara contre son orifice. Même si elle appréciait, désormais, le traitement anal de Sara, elle éprouvait encore une sensation désagréable au moment de la pénétration ; son anus n'ayant pas encore l'habitude de ces intrusions. Sara inséra doucement les deux doigts naturellement lubrifiés dans le cul de la fille et les y laissa un moment lui permettant de s'y habituer. Elle prit alors une bonne poignée des beaux longs cheveux de la fille dans l'autre main et commença un lent mouvement de va-et-vient avec ses doigts, d'abord doucement, puis, bientôt, avec un rythme plus fourni. Son camarade de classe haletait et poussait des gémissements de plaisir qu'elle essayait de réprimer en se mordant les lèvres au sang alors que Sara assaillait son esprit avec ses insultes, la rendant folle d'excitation :

« Hé sale pute! Tu aimes ça que je t'encule? Tu aimes sentir mes doigts dans ton cul? Répond-moi sale pute? »

« Oui, oui, » répondait la fille au bord de l'orgasme, la tête penchée en arrière sous la pression de Sara, la voix faible et chancelante.

Sara, la sentant sur le point d'exploser, abandonna ses cheveux et porta la main par-dessus entre ses jambes, directement sur son clitoris qu'elle frotta avec force, les doigts toujours allant et venant dans son cul. La fille explosa dans un orgasme si puissant que Sara remercia le ciel que sa mère était en train de dormir. La jeune fille resta sur les genoux de Sara, à plat ventre, la tête maintenant libre pendant vers le sol, incapable de bouger, toujours secouée par de petits orgasmes qui se succédaient la faisant tressauter. Sara la laissa récupérer un moment, puis porta les deux doigts vers sa bouche et celle-ci les pris avec gloutonnerie, sentant sa propre odeur pénétrante et les nettoyant de sa mouille et des autres sécrétions de son cul. Après un moment, Sara lui donna une petite tape sur la fesse lui signifiant de quitter ses genoux. Sara se leva et lui dit :