La Saga du Cocu Chapitre 03

Chloé et moi sommes toujours ensemble. La mésaventure de l'autre nuit aurait pu nous séparer mais finalement non. Au début j'ai eu du mal à m'en remettre. Avoir été cocufié comme ça, brutalement, a été difficile à encaisser mais pas tant que Chloé y ai pris beaucoup de plaisir. D'autant que cela s'est reproduit.

Néanmoins, nous en avons parlé. Elle m'a avoué qu'elle avait aimé l'expérience mais que je restais son petit ami officiel. De mon côté, j'avais avoué être allé voir Souleymane chez lui et dénoncé son aventure avec sa jeune sœur. Elle aussi s'est sentie trahie à la fois par sa sœur et par Souleymane. Convaincu par sa franchise, j'ai décidé de passer l'éponge et envisage désormais autre chose espérant naïvement que tout redevienne comme avant.

C'est bien ce qui s'est passé au début. De nouveau des sorties ensemble, de nouveau de tendres moments, des caresses et même l'amour. Nous étions sur la bonne voie. Une certaine métamorphose physique avait tout de même eu lieu chez Chloé. Désormais elle s'affirmait plus. Elle s'intéressait à la mode, s'habillait sexy. Tenues courtes et moulantes, talons hauts. Elle abandonnait son allure d'étudiante pour une apparence beaucoup plus féminine. Je ne pouvais pas m'en plaindre. Ça lui allait très bien. Elle était à chaque fois toujours plus belle.

Plusieurs semaines sont passées. Nous nous sommes même offert un séjour à la plage pendant les vacances. Durant cette période j'ai cru retrouver ma Chloé. Celle que j'aime tant. Enfin, cette expérience était derrière nous.

Au retour, une nouvelle occasion de sortie entre amis se présenta : Un apéro un dimanche après-midi. Chloé était éblouissante. Une robe bleue ciel qui faisait ressortir ses yeux magnifiques, très courte et surtout très moulante. A tel point qu'elle m'avoua avoir dû faire certains compromis osés car, avec une tenue si près du corps on voyait les sous-vêtements et c'est très moche. Sur l'instant je ne voyais pas où elle venait en venir. Je ne le compris que plus tard. Elle portait un soutien-gorge. Mais pas n'importe lequel : un push up. Elle ne pouvait plus s'en passer. Ses seins sont la partie de son corps qu'elle apprécie le moins : trop plats, trop petits, Ces nouveaux soutifs un peu gadget lui permettaient du palier ce très léger défaut.

Nous sommes arrivés sur place en voiture. L'établissement faisait aussi bowling d'où une grande affluence ce jour-là. Je manœuvrais dans le parking quand tout à coup elle lâcha :

-- Merde! Il est là!

Je ne compris pas de suite de quoi elle voulait parler. Jusqu'à ce que je le vois à l'entrée du bowling. Souleymane était là...Il discutait avec un couple de nos amis. Un de ceux avec qui nous avions prévu le rendez-vous.

Tout le souvenir de la soirée chez Mickaël me revint. Je ne m'attendais pas à le trouver là mais il faisait manifestement partie des invités. C'est comme si le monde s'écroulait. Chloé hésita un moment. Je n'attendais qu'une chose : qu'elle me dise de partir, de ne pas y aller.

-- Si tu veux on s'en va pressai-je.

-- Non ça ira. Reste calme et gentil et ça ira.

La surprise était passée. Pour elle aussi des souvenirs remontaient mais évidemment pas les mêmes que les miens. Elle resta quelques secondes à observer puis, sorti un bâton de rouge à lèvres qu'elle utilisa devant le miroir de courtoisie du pare soleil. Elle arrangea ses cheveux et sortit de la voiture. Nous nous dirigeâmes alors vers l'entrée pour rejoindre tout le monde. Elle tirait constamment sur sa robe très courte comme un spasme nerveux. Je sentais avec dépit que pour elle s'était finalement une bonne surprise. Elle ne me tenait pas la main comme d'habitude lorsque nous sortons ensemble. Elle était ravie et très excitée.

Dès qu'il l'aperçue, Souleymane se dirigea immédiatement vers elle.

--Salut ma belle lui dit-il en lui claquant quatre bises sur les joues. Puis, la tenant par les mains il prit un peu de recul pour la voir en pied comme on admire un bel objet.

--Ouah! t'es vraiment canon aujourd'hui.

--Merci répondit-elle en souriant plus que jamais ravie de cette rencontre. Puis ils entrèrent en conversation ensemble. Elle était déjà conquise.

Sur place ça ne se passait pas comme prévu. Après plusieurs coups de téléphone il s'avéra qu'un contretemps empêchait les autres de venir.

Nos amis étaient au téléphone en même temps avec les autres. Après plusieurs minutes d'hésitation il fut décidé d'ajourner le rendez-vous. L'autre couple décida de rentrer et je restais seul avec Souleymane et Chloé.

--On ne va quand même pas en rester là? décida Souleymane comme je le craignais.

--Allez! je vous ouvre un verre.

--D'accord répondit Chloé sans même me consulter. Nous guidant à l'intérieur, il sorti un biffeton de son portefeuille et le tendit à Chloé.

--Choisis ce que tu veux c'est moi qui régale.

--Pour nous trois?

--Oui bien sûr. Elle se tourna vers moi et à son tour me tendit le billet.

--Tu veux bien t'en charger chéri?

La mort dans l'âme je me dirigeai seul vers le bar pour commander des boissons les laissant seuls tous les deux.

Le temps que je commande, ils s'étaient assis autour d'une petite table carrée à deux chaises suffisamment éloignée des pistes du bowling pour être tranquille mais bien en vue de tout le monde quand même. Ils se tenaient l'un en face de l'autre. Je posais les verres sur la table comme un serveur lambda. Je dus aller chercher une autre chaise quelques mètres plus loin et m'installer parallèlement d'eux. Cette position me mettait à l'écart. N'importe quel observateur pouvait à ce moment considérer que le couple, c'était eux.

La discussion n'avait lieu qu'entre eux, c'est comme si je n'étais pas là. Tous sourires ils affichaient une réelle complicité leurs visages s'approchant toujours plus près. Chloé prit alors une initiative qui ne me surprit même pas tant cela était évident. Elle caressa la main de Souleymane posée sur la table. Celui-ci lui saisit en réponse et tout cela sous mes yeux.

Qu'est-ce que tu fais! Dis-je fermement à Chloé. Pris d'un illusoire moment de révolte

--Tranquille mon chéri! me répondit-elle avec appoint, nous nous amusons juste un peu. Elle me saisit alors la main puis nous regarda tous les deux.

--Mes deux hommes soupira-t-elle.

Effectivement, elle s'amusait beaucoup. Souleymane aussi d'ailleurs. Moi je n'étais pas bien. Ils rigolaient entre eux en dégustant les boissons.

--Il n'est pas marrant ton copain

--Il est juste un peu jaloux c'est tout.

Maintenant ils riaient à mes dépens, ils parlaient comme si je n'étais pas là. Puis, Souleymane s'adressa à moi directement.

--Pourtant la dernière fois tu n'as pas détesté le spectacle pas vrai? me dit-il en me tapotant l'épaule du poing.

--N'importe quoi, répondis-je

--Allez ta copine et moi on est la même longueur d'onde. On va s'amuser un peu et tu pourras zieuter...promis.

Je ne savais quoi dire. Il m'annonçait clairement son intention et je restais sans réaction. Chloé continuait à sourire. Il me regardait du coin de l'œil comme attendant mon accord.

-- tu pourras prendre des notes si tu veux. Est-ce qu'il a besoin de prendre des notes? demanda-t-il à Chloé.

--Souleymane! répondit-elle juste pour lui signifier son exagération. Ils rirent de bon cœur.

--Ne sois pas jaloux babtou! dans la vie il y a ceux qui donnes des leçons et ceux qui les reçoivent. T'as besoin d'apprendre des trucs.

--Tu te rappelles chez Mickaël?

--Comment oublier ça répondit Chloé. Tu me dois toujours un soutien-gorge.

--j'attends toujours que tu viennes le chercher.

--Allez babtou! je vous invite chez moi tous les deux.

--Je préfère aller chez moi interrompit Chloé... C'est plus près d'ici.

--Où tu veux ma belle je te suis.

Chloé se tourna vers moi attendant un accord.

--S'il te plait chéri. J'en ai trop envie... dis oui.

--Te toute façon vous le ferez quoique je ne dise pas vrai?

Chloé se leva excitée comme une gamine le matin de Noël et m'embrassa.

--Oh merci mon chéri!

Ils se dirigèrent alors vers la sortie. Ils ne m'attendirent pas. Le temps que je remette la chaise en place ils avaient pris quelques mètres d'avance. Je pressais le pas pour les rejoindre. Ils marchaient serrés l'un contre l'autre Chloé le tenait par la hanche et Souleymane avait son épaisse main noire posée sur son postérieur. Un couple d'amoureux normal. Ils allaient d'ailleurs très bien ensemble. Tous deux sont grands, beaux et le contraste de leur couleur de peau était magnifique à voir. Je marchais deux pas derrière en baissant la tête. Je craignais le regard des autres personnes. Voir un couple noir blanche ça attire toujours. Mais là, la belle était arrivée avec moi et repartait avec lui. C'était très déshonorant. Pour autant, c'était surprenant de voir comment les autres personnes contemplaient ce couple. Il y avait à la fois de la surprise de l'incrédulité, du mépris de la honte...

Arrivés à la voiture ils se rappelèrent que j'étais toujours là car c'est moi qui en avais la clé. Chloé me demanda de conduire et proposa le siège avant à Souleymane. Il refusa. Finalement ils s'installèrent tous deux sur la banquette arrière. Chloé n'habite pas loin d'ici mais que ce trajet fût long. J'entendais dans mon dos ce qui se passait. Ils s'embrassaient.

--Je savais que tu n'avais pas de culotte petite salope! C'était donc ça le compromis dont elle m'avait parlé avant de partir. Souleymane la pelotait vigoureusement. Vous les blanches vous êtes vraiment pas farouches.

--Regarde la route babtou! m'ordonna-t-il au moment où je réglais le rétroviseur intérieur pour garder un œil sur eux.

Une fois à destination, Chloé descendit de la voiture en refaisant sa tenue. Tirant pour la énième fois sur sa robe trop courte qui avait remontée bien haut. Ils avançaient main dans la main et je les suivais comme un con deux pas derrière.

Chloé vivait dans une chambre d'étudiant. Un F1 bis selon la classification avec un coin cuisine, un coin toilettes salle de bains et une pièce principale qu'elle meublait avec un canapé clic-clac. Ça lui servait de couchage et au fond, un petit bureau. Bien que petit et sans réel charme, nous en avons passés des nuits dans cet appart et sur ce clic-clac. Mais depuis quelques temps elle vivait principalement chez moi. Il était d'ailleurs d'actualité de mettre fin au bail...Jusqu'à aujourd'hui.

A peine la porte ouverte ils passèrent plusieurs secondes à s'embrasser juste dans l'entrée me bloquant le passage m'infligeant ainsi le spectacle de leur amour. Puis, la scène tant redoutée arriva. Comme libre de tout engagement, Chloé s'abandonna. Elle entreprit de déshabiller Souleymane. A peine eus-je le temps de refermer derrière moi qu'ils s'étaient déjà posés sur le clic clac. Souleymane était assis, à poil avec pantalon et caleçon sur les chevilles. Chloé était en train de retirer sa robe trop courte. Je découvris enfin cette absence de culotte qu'elle m'avait fait miroiter mais dont je ne profiterais pas. Elle s'agenouilla sur le clic clac à la gauche de Souleymane. Juste vêtue de son soutien-gorge et de ses chaussures. Elle était magnifique, si désirable et c'est vrai que ce soutif lui faisait une poitrine de rêve. Souleymane aussi était très beau. Il dominait la scène. Un torse musclé des pectoraux saillants, ses deux bras écartés sur le dossier du clic clac. Il dégageait une force impressionnante. Chloé paraissait d'un coup, toute petite. Et puis son énorme queue, si longue, si épaisse. Encore au repos elle attirait Chloé comme un aimant. J'étais estomaqué. Il me regardait avec fierté et défiance. J'étais perdu et se savait que faire. Il me dominait comme jamais.

Tout alla très vite. Ma surprise fût de constater à quel point Chloé en avait envie. Elle attrapa la lourde bitte noire et la caressa avant de la lécher longuement du bas vers le haut.

— Non arrête! Ne fais pas ça! Suppliai-je. Ne recommence pas je t'en prie!

Je parlais seul, Chloé ne me regardait plus. La vision de l'énorme pénis lui fit perdre tout repère. Elle l'enfourna dans sa bouche sans plus de cérémonie et commença un geste de va et vient avec les lèvres. Le sexe de Souleymane grossissait à vue d'œil. La course de la bouche de Chloé se raccourcit. Elle avait de plus en plus de mal et au maximum n'arrivait plus qu'à la moitié de la hampe. Lui, caressait les longs cheveux blonds les ajustant afin qu'ils ne me cachent rien de la fellation. J'étais pris par le tableau et complètement subjugué. Cela m'excitait terriblement. Je bandais très fort et restait totalement immobile et silencieux. Je n'attendais plus qu'une chose : voir la suite et profiter du spectacle.

Elle respirait fort et poussait des petits cris très explicites. Tous deux prenaient beaucoup de plaisir.

Souleymane se leva, passa derrière elle, la fit relever, ce qui m'offrit la vision de son corps magnifique. Il s'approcha d'elle doucement. Lui malaxa les seins en même temps qu'il embrassa son cou et sa nuque. Sa technique bien qu'assez classique était terriblement efficace. J'avoue avoir beaucoup appris à ce niveau lors de cette soirée. Il ajusta son énorme queue puis appuya légèrement sa main ses les épaules de Chloé de sorte qu'elle se penche en avant. Il la prit en levrette debout, pénétrant la chatte ouverte sans peine tellement Chloé était excitée. J'étais émerveillé. Ils se tenaient devant moi. Souleymane, les deux mains accrochées aux hanches de sa proie, martelait de plus en plus fort. Il arrivait probablement à buter contre la paroi vaginale de Chloé tout en se tenant à l'arrière à plusieurs centimètres d'elle.

Il prenait totalement son pied, en transe, les yeux tournés au plafond il ahanait comme un clebs.

Chloé était maintenant pliée en deux agenouillée sur le dossier du clic clac. Toujours empalée sur la queue de Souleymane, elle se mordillait la lèvre tant ces assauts successifs lui procuraient une douleur intense.

Souleymane décida de changer encore de position. Il se retira et d'un geste sûr et précis mit le clic clac en position lit. Chloé, paraissait déçue que cela s'arrête si rapidement. Elle le regarda, s'allongea, écarta les cuisses et supplia :

—Prends-moi! tu me rends folle!

Souleymane plaça son organe sur la fente de Chloé et l'y enfonça. La belle se contorsionnait de douleur et hurlait :

—ouiiii! Encore!! C'est tellement bon!!

La représentation était fascinante : Cette belle blonde à la peau si blanche et ce mec à la peau si noire. Allongé, en missionnaire, Souleymane était encore plus impressionnant. Ses bras démesurés, son corps d'athlète me masquait totalement Chloé. Je ne distinguais plus d'elle que ses longues jambes parfaites presque à l'angle droit. Et ces énormes baloches qui allaient et venaient.

Souleymane explosait complètement la chatte de Chloé et répétait invariablement des : T'es bonne! Putain qu'est ce t'es bonne! salope! et d'autres insanités que les cris d'orgasme de la belle blonde masquaient à peine.

Je n'en pouvais plus. Je me suis précipité sur les toilettes pour me branler avant que mon pantalon n'explose. Un adultère en direct est une humiliation dont on ne se remet pas facilement. D'autant que ce que lui faisait subir ma copine était rude. Elle y prenait un plaisir immense. Au-delà de l'humiliation, J'étais en train de réaliser que je ne pourrais jamais lui donner un tel plaisir. Plus encore, c'est elle qui m'en donnait encore plus en me cocufiant. Quel genre de pervers suis-je donc? C'est un sentiment très déroutant mais tellement bon.

Soulagé, je pris plusieurs minutes pour me calmer et revenir vers eux. Ils étaient toujours en train de baiser. Souleymane s'enfonçait maintenant jusqu'au bout. Chloé hurlait de plus en plus fort. Ça dura encore un bon moment avant qu'il ne lâche enfin sa purée.

Lorsqu'il se retira. Je vis la chatte de Chloé débordante de foutre. C'est bizarre de voir le foutre s'échapper la chatte de ma chérie. Elle était épuisée mais conquise. Elle lécha de nouveau l'engin comme pour le nettoyer et ne pas en perdre une goutte.

Je quittai finalement l'appartement les laissant seuls exprimer leur amour. J'étais cocu, humilié, je ne pouvais plus regarder Chloé en face. C'est même elle qui me demanda de partir. Je crus comprendre dans son attitude que cette fois c'était réellement fini. Etonnamment, Souleymane lui, aurait préféré que je reste et que j'assiste à leurs ébats. Il est aussi pervers que moi.