La Saga du Cocu Chapitre 04

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Ma copine participe à une partouze.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/10/2018
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Chloé m'a finalement quitté. Elle m'a annoncé un jour qu'elle ne voulait plus me voir et que c'était fini entre nous. C'était devenu évident depuis longtemps maintenant. Ça a quand même été dur à avaler. Avec Chloé je pensais bien avoir trouvé la bonne. J'ai été de surcroit, plus que compréhensif avec elle. Elle m'a trompé et humilié et je lui ai pardonné pour pensais-je pouvoir la garder. Rien n'y a fait. Elle m'a dit sèchement que je ne représente plus rien pour elle. Pourtant je sais que son aventure avec Souleymane était finie depuis quelques semaines maintenant. Il l'avait jeté, de manière assez brutale d'ailleurs. Comme il me l'avait joliment dit la première nuit, il voulait juste "se la faire parce qu'elle est trop bonne".

Aurélie quant à elle, avait avoué son escapade à sa sœur. Elle avait très peu apprécié de se faire sauter devant tous ces types sur le chantier. Ce n'était pas son truc. Elle aussi reconnaissait que Souleymane était un super amant mais ne souhaitait pas être le coup d'une fois. Toutes les deux étaient tombées amoureuses de ce puissant black et étaient d'accord sur un point : il avait fait d'elles de vraies femmes.

Souleymane lui, continuait à me relancer régulièrement pour que j'assiste à ses parties de jambes en l'air. Il avait gardé un souvenir ému de sa première nuit avec Chloé et de m'avoir donné la leçon. Il voulait que cela se reproduise. Il me téléphonait souvent avec insistance. Je l'envoyais sur les roses à chaque fois, lui raccrochais même au nez. Mais il revenait à la charge, limite harcèlement. Un jour il s'est même présenté chez moi accompagné de Marion, une jeune fille brune aux yeux noisette envoutants. Elle aussi, totalement éprise de lui, prête à tout accepter. Cet homme est décidemment un séducteur hors pair. Ce soir-là il s'est tout simplement installé chez moi et après m'avoir humilié une nouvelle fois, a insisté pour que je sois témoin de ses exploits. Je raconterai peut-être plus en détail cet épisode.

J'étais jaloux et envieux. Je repensais à Mickaël qui m'avait dès le premier soir dit ce qu'il en était. Mais là, il faut reconnaître que Souleymane dépassait mes appréhensions les plus défaitistes. Il s'est constitué un harem de femmes toutes soumises à lui et surtout toutes plus belles les unes que les autres. Son succès auprès des filles est vraiment insupportable.

J'aurais tellement aimé moi aussi pouvoir donner tant de plaisir aux femmes. Pour autant, aucune de mes conquêtes ne m'avais jusque-là mis semblée déçue. J'ai bien conscience de ne pas être un amant à la hauteur de Souleymane. J'en tiens pour preuve le peu d'enthousiasme qu'avait Chloé lors de nos derniers ébats. Après qu'elle ait connue Souleymane. Et puis surtout après qu'elle l'est retrouvé après les vacances. Mais j'ai toujours assuré et n'ai jamais manqué de respect à aucune fille en la jetant après l'amour ou en la cocufiant.

Un soir, alors que j'avais le moral en berne j'ai cédé. J'ai dit oui à Souleymane. Oui pour assister à ses orgies, oui pour reconnaître ses talents, oui pour assouvir sa revanche sociale. Il en était ravi. Conscient de son talent il avait fait le tour de la question et avait découvert à mon insu, de nouvelles sensations. Le fait d'être observé pendant ses ébats l'excitait. Mais plus encore, le fait de faire subir le supplice de Candaule à un blanc docile.

Alors il a monté un incroyable numéro : Un de ses amis tenait une boîte black. Un dénommé Mouhamadou dans laquelle il organisait des parties à plusieurs en dehors de son ouverture. Le plan était de faire venir des filles pendant que je resterais à mater le spectacle derrière une baie vitrée sans teint depuis le bureau. Les filles ne sauraient même pas que j'étais là.

Ainsi, Je me suis retrouvé dans cette boîte. C'est lui qui avait planifié le rendez-vous. Il m'avait ordonné de ne pas être en retard. Dès l'entrée Souleymane me présenta Ousmane et Abdou. Deux archétypes du mâle africain : grands, baraqués, jean baggy couvrant à peine leurs caleçons, t-shirts moulants pour bien mettre en valeur des pectoraux saillants et chaines autour du cou et aux poignets. La véritable panoplie du bad boy. Ils me regardèrent avec mépris. Puis quand Souleymane leur annonça ce que je faisais là ils rigolèrent. Nous montâmes dans le fameux bureau à l'étage pour rejoindre Mouhamadou, le patron.

Mouhamadou était la copie conforme de Souleymane en plus vieux. Pas loin de quarante ans, crâne rasé comme Souleymane mais habillé plus classe avec une chemise et un pantalon à pinces. Comme Souleymane, il affichait une grande confiance en lui et comme Souleymane, il avait énormément de succès auprès de filles.

— Salut babtou. Me dit-il pour toute salutation. Comme ça tu es venu voir comment nous on s'occupe de vos femmes. T'as amené de quoi noter? Ajouta-t-il déclenchant l'hilarité des autres.

A côté de lui, se tenait Aminata. Une grande black super bien foutue. Son regard de feu me transperça tout de suite. Tout en me fixant, elle se leva et quitta le bureau comme dégoutée. Vraiment une très belle femme : une échancrure de bassin parfaite, des mensurations de top model, pantalon blanc moulant, talons hauts et chemisier ouvert laissant deviner des merveilles cachées.

Et ses yeux! Mon Dieu ...

Souleymane et ses copains se retirèrent à leur tour.

— Profite du siège, il est très confortable, sers toi un verre, le bar est bien pourvu et amuses toi bien. me dit alors Mouhamadou avant de fermer la porte.

— Il y a des serviettes dans le tiroir du bas. N'en mets pas partout ricana Souleymane avant de le suivre.

Me voilà donc seul. J'observe brièvement les lieux. Je me dirige d'abord vers la fenêtre extérieure derrière le bureau. Ça donne sur la rue. On y voit la terrasse du bistrot d'en face ou ils ont donné rendez-vous aux filles. De l'autre côté, coté salle, un petit espace détente avec deux fauteuils autour d'une table basse. Quelques verres trainent négligemment. Au fond de la pièce, la fameuse baie vitrée. Un mur de verre couvrant toute la hauteur qui donne sur la salle principale située en contrebas. D'ici, on a une vue plongeante sur toute la salle de danse avec son bar, la piste, et les fauteuils. Souleymane avait raison, d'ici on voit tout. Seul l'espace situé sous le bureau m'est invisible. Depuis la salle, personne ne peut voir le bureau : la planque parfaite.

Les filles sont arrivées dans le bar d'en face comme prévu. D'abord, une blonde aux yeux bleus prénommée Flavie. Une grande sauterelle dans les 25 ans cheveux maintenus par une barrette, petit top noir nu d'épaules, bretelles de soutien-gorge apparentes, jupette plissée très courte et chaussures à talons ouvertes. Un beau petit lot. Bien qu'elle s'asseye à la terrasse, je ne suis pas encore sur qu'elle soit une invitée.

Aurélie et Chloé arrivèrent ensuite. Superbes! Toutes deux en minijupes et décolleté plutôt provocateur. Avant qu'elle ne me quitte, Chloé ne s'habillait plus que comme cela. Elle avait compris que cela rendait fou Souleymane et que s'était plus pratique pour faire la chose rapidement. Leurs présence ici me surpris un peu. Les deux frangines ensemble à un rencart avec Souleymane, après ce qu'elles m'avaient dit sur lui. Je ne comprenais pas. J'avais lâchement dénoncé Aurélie à sa sœur pour me venger pensant semer la discorde. Non seulement elles s'étaient déjà tout dit mais cette expérience les avaient rapprochées encore plus. Il reste que Souleymane et Chloé c'était fini. J'en étais resté là.

Une autre fille arriva ensuite. Une bombasse brune dont je sus plus tard qu'elle s'appelait Julie. Elle aussi terriblement sexy. Tee-shirt moulant blanc, jupette très courte. Hormis Chloé et Aurélie, les filles ne se connaissaient visiblement pas. Pourtant c'est évident : même profil, même tenue aguichante, même physique de rêve elles étaient là pour eux...

Mais comment diable Souleymane avait-il pu se montrer si persuasif? Je réalisai sur le coup qu'il n'y était peut-être pas si innocent. Sa liaison avec Chloé était réellement terminée. Mais après avoir gouté une vigoureuse queue black, les blancs devaient paraitre désormais bien fades et je pense que c'est la promesse de cette nouvelle expérience avec des blacks qui avaient attiré les filles.

A la terrasse, les demoiselles ne passaient pas inaperçues. Des types passaient puis repassaient devant le bistrot et ce n'était pas pour boire un verre. Un groupe de jeunes gars tenta même d'engager la conversation, sans succès. Puis Souleymane, Mouhamadou et Ousmane sont arrivés à leur tour avec deux autres types que ne n'avait pas vus dans le bureau tous noirs africains. Après quelques minutes de palabres, surement les politesses d'usage, les quatre demoiselles les ont suivis à l'entrée de la boîte. Il fallait voir les yeux éberlués des dragueurs éconduits et des autres. L'apparition des mâles alpha leur avait cloué le bec. D'un coup ils restaient à l'écart. J'avoue que cette scène m'a beaucoup amusé. J'attendais la suite avec impatience.

Arrivés dans la salle, tout est allé très vite. Souleymane a tout de suite peloté Chloé et Ousmane s'est approché de Julie dont je compris qu'eux aussi se connaissaient déjà très bien. Quant à Mouhamadou, il avait manifestement prévu de s'occuper personnellement de la jeune Aurélie. Il s'entraîna dans un coin sombre de la salle, à l'écart du groupe derrière les canapés. Je les ais perdus de vue mais j'imagine sans difficultés ce à quoi ils se sont occupés.

Le spectacle commença très rapidement. Les filles savaient visiblement très bien ce qu'elles étaient venues chercher et ne voulaient pas perdre de temps. Ça avait lieu partout et en même temps. Les partenaires permutaient puis revenaient. Ousmane embrasse Julie passionnément avant qu'il n'attrape Flavie par la taille et l'embrasse à son tour. Après quelques secondes, Ousmane s'assit sur un fauteuil ou il fut rejoint par Flavie qui elle, prit place sur ses genoux. Confortablement installés, ils reprirent leurs embrassades. Je vis des mains noires courir sur ses longues jambes blanches avant que leurs langues ne se mélangent encore et encore.

Occupé à mater les deux du fauteuil, je n'avais pas vu que Chloé s'était éloignée de Souleymane pour se rapprocher d'Abdou et d'un autre type. Elle caressait le torse d'Abdou gentiment, du bout des doigts. Elle passa ses douces mains sous son tee shirt alternant sourires et roulage de pelles. L'autre type était agenouillé derrière elle et lui agaçait les jambes. Une main sur l'extérieur remontant des mollets jusqu'aux fesses, une autre sur l'intérieur navigant lentement jusqu'en terre promise. J'étais mal à l'aise, je repensais à nos moments intimes. On était maintenant à des années lumières de ça. Elle m'avait complètement évacué de son esprit mais je reconnais que j'en pinçais encore pour elle. Bien sûr, elle ne sait pas que je suis là. Mais j'espérais secrètement qu'un moment de lucidité l'aurait fait quitter cet endroit. J'aurais couru vers elle pour la retrouver sans hésiter.

Julie en était déjà plus loin. Elle avait commencé à faire une petite gâterie à Souleymane. Il fixa la pièce où je me trouvais me sachant en train de mater. Me cherchant du regard, il prenait vraiment son pied. C'est bien pour ça que j'étais là.

Les autres mecs qui étaient maintenant quatre s'étaient déshabillés et attendaient sagement leur tour en s'astiquant le manche. Tout se passait en même temps, je ne savais plus où donner de la tête.

L'autre type qui après avoir fait glisser le string de Chloé sur ses pieds, lui léchait maintenant la chatte accroupi entre ses jambes tandis que qu'Abdou avait enfoui sa tête dans son soutien-gorge. Chloé encore debout chemisier déboutonné poussait de petits cris très explicites signifiant qu'elle prenait beaucoup de plaisir à ce traitement.

Flavie et Ousmane eux, pris dans leur élan avaient finis sur le sol. Je ne les distinguais plus totalement mais je devinais Ousmane en position du missionnaire sur Flavie jambes écartées. Elle aussi s'exprimait par des petits bruits manifestes.

Julie était de loin la plus salope des trois. Il fallait voir ses yeux pétiller lorsqu'après avoir avalé la première décharge de Souleymane elle se retourna et vit les quatre énormes queues blacks au garde à vous devant elle. Elle s'essuya alors la bouche et enfourna tour à tour les quatre engins. Même les mecs n'en revenaient pas! Sa motivation fut récompensée par un torrent de sperme sur les cheveux, le visage et son petit top noir.

C'est une véritable partouze à laquelle j'assistais! Digne des meilleurs films pornos. Ce salaud de Souleymane ne m'avait pas menti sur la qualité du spectacle.

Encore vêtue de son soutien-gorge, qu'elle n'avait pas retiré tant il lui faisait une poitrine voluptueuse, Chloé se faisait maintenant prendre en levrette par Abdou. Pliée en deux et la bouche bien occupée à limer l'autre type. Ma petite chérie (enfin ...ex) était aux anges. La performance des deux blacks n'avait rien à voir avec ce que je pouvais lui offrir. J'y étais maintenant définitivement résigné. Ce type aux épaules larges et aux bras démesurés et cet autre aux impressionnantes tablettes de chocolat qui la prennent comme des machines. Non décidemment, rien à voir.

J'avais découvert depuis que Chloé m'avais trompée avec Souleymane, la supériorité des hommes noirs, l'attirance et la convoitise qu'ils provoquent sur les femmes blanches.

Outre la taille phénoménale de leurs attributs, la rapidité de récupération de Souleymane et ses copains me sidérait. A peine laissèrent ils le temps à Julie de finir de se déshabiller qu'ils la prirent à cinq ensemble.

Je ne la distinguais quasiment plus. Un pieu dans la chatte, un autre dans l'anus un troisième dans la bouche et un dans chaque main.

Incroyable! Un pur gang bang! J'en avais entendu parler mais de le voir c'est encore autre chose.

Le contraste des femmes blanches, de leur blondeur, de leur peau si claire avec ces hommes noirs à la peau d'ébène rendait la scène absolument magnifique.

C'est le moment que choisit Aurélie pour se rappeler à mon souvenir. J'entendis son orgasme depuis le bureau. Bravo Mouhamadou! Lui aussi était en train d'honorer sa partenaire de manière plus que convenable. Cela eut pour effet de déclencher aussitôt ceux des autres filles. Les hurlements conjugués des quatre femmes achevaient de donner une ambiance surréaliste. Elles étaient toutes en état d'extase.

Tout cela commençait vraiment à faire beaucoup. J'étais moi aussi très excité, je me surpris la main à la braguette me frottant le zob. Mais je repris mes esprits et décida de partir. Voir ces filles de bonne famille magnifiques s'offrir à ces types des bas quartiers et surtout y prendre un réel plaisir me dégoutait finalement. J'ai bien compris le message maintenant et trop c'est trop. Je décidai de partir.

Au moment où je me dirigeais vers la porte, Aminata entra. Nous tombâmes nez à nez.

— Où vas-tu comme ça chéri? me dit-elle en me regardant doit dans les yeux.

Je restai sans voix. Je ne m'attendais pas à tomber sur elle. Il me fallut plusieurs secondes pour réagir fusillé par son regard. Je réalisai que bizarrement il ne manquait plus qu'elle dans la salle.

Elle me repoussa dans la pièce puis ferma la porte derrière elle. Me contourna, jeta un œil sur ce qui se passait dans la salle. Elle hocha la tête en signe de négation et j'entendis un soupir.

— Tu es là pour mater le gang bang me dit-elle avec son accent africain. Ça te fait bander ce genre de truc?

Je lui répondis que je n'étais pas vraiment à l'aise et que j'étais sur le point de partir. Elle s'approcha alors de moi jusqu'à me coller.

— Je vois ça me dit-elle alors en posant sa main directement sur ma braguette.

J'étais vraiment scotché par son regard. Son visage si proche et son odeur si envoutante finissaient de me conquérir.

— Moi ça m'excite terriblement me dit-elle maintenant collée à moi.

Je sentais ses seins s'aplatir contre mon torse et ses mains se balader dans mon dos. Elle m'attrapa les cheveux derrière la tête et m'embrassa fougueusement.

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