La tentation de Marc et Sophie 04

4. Interlude

La semaine passe comme à l'accoutumée, Sophie reste à la maison, et je suis au bureau. Philippe m'envoie des SMS, et me promet de revenir à la maison prochainement s'occuper un peu plus de Sophie. Je ne manifeste aucune émotion, car une certaine jalousie naît en moi. Elle a vraiment joui avec lui, bien plus qu'avec moi, mais j'ai comme une onde qui me traverse quand je me rappelle être entre les cuisses de Sophie, la chatte ouverte, en train de lui lécher les poils, et l'orifice suintant de sperme de Philippe.

Je propose à Sophie d'aller au cinéma, c'est à 1h en voiture mais je la convaincs car le film Avatar 2 vient de sortir et elle est fan de la série. Je lui dis de mettre une jupe courte car je la veux excitante. Je la récupère à 19h00 et nous partons au cinéma, dans la voiture elle converse avec Philippe par Whats App, il l'excite et lui envoie une photo de sa queue en érection. Elle me montre la photo.

- Et tu vas lui montrer ta foufoune?

- Humm. Pourquoi pas, bonne idée, il est avec sa femme qui lui fait la gueule...

Elle baisse sa culotte aux chevilles et la fait tomber devant son siège, et relève sa jupe, il fait encore jour sur l'autoroute. Elle place son smartphone et fait plusieurs photos, les cuisses écartées, et aussi en ouvrant les poils de son pubis pour qu'on voit mieux ses grandes lèvres. Alors elle choisit la meilleure des photos et appuis sur « Envoi ». Je réalise qu'un camion sur notre droite semble rouler à notre vitesse depuis quelques instants.

- Dis-moi, le camionneur est pas en train de te mater en train de faire tes photos?

- Oooops! oui il regarde dans ma direction.

- Il doit se rincer l'œil!

Nous éclatons de rire.

Elle est rouge comme une pivoine, mais ne baisse pas sa jupe, elle écarte même un peu plus les jambes, et tourne sa posture dans la direction du camion. En vue plongeante il ne rate rien, et voit les poils de la chatte de Sophie, ses cuisses bronzées. Il doit avoir une sacre érection.

- Il me signe de lui montrer mes seins!

Elle porte un petit haut sans manche, et fait glisser l épaulette, dévoilant son sein gauche, dont le tétons est dressé. Nous roulons comme ça encore 2 ou 3 minutes, puis je le dépasse. Je passe la main entre ses jambes, elle est trempée.

- Tu es toute mouillée chérie.

- Oui, je suis trop excitée... J'ai envie de sucer la queue de ce gars. Ou celle de Philippe....

- Et la mienne?

- La tienne aussi.

Elle me tripote le pantalon et extrait ma bite de moyenne dimension, se couche vers moi, et entreprend de me sucer avidement.

- Arrêtes toi à la station d'autoroute. dit-elle

Je sors de l'autoroute, la nuit est désormais presque tombée. Il est 20h. Je me gare derrière les toilettes. Elle me suce depuis 10 bonnes minutes, et me caresse les couilles.

- Oh je vais jouir chérie...

- Hmmmmmm

Elle ne relève pas la tête, et continue à me pomper. Je tends ma queue en avant, serrant les fesses, je sens la fente de mon gland qui s'entrouvre, et les 4 ou 5 saccades de foutre qui partent au fond de sa gorge

- Ohhhh, Ohhhh, Ohhhh...oh....

Elle a la bouche remplie de foutre quand elle se redresse. Elle me sourit, et s'avance pour m'embrasser. J'ouvre la bouche et elle déverse mon sperme, en me roulant une pelle collante, et juteuse.

- Hmmmmmm, tu aimes le gout de ta bite hein?

- Oui... hmmm

- Philippe dit que je dois te faire boire ton foutre maintenant... et celui des autres si possible...

J avale sans hésiter mon sperme, mêlée de sa salive... Quand je reprends mes esprits, je réalise qu'un camion s'est gare à côté de nous. Le camion. Un gars tape a la vitre de Sophie.

- C'est vous la pute de l'autoroute, dit-il

- Oh je vous reconnais, vous étiez dans le camion tout à l'heure

- Oui ais, et tu m'as excité petite pute, je vois que tu as suce le monsieur déjà.

J'ai du sperme autour de la bouche, je passe ma langue pour cacher l'évidence.

- Viens me sucer dans les toilettes, il n'y a personne.

- Heu.

- Allez, fais ta mijaurée, je te donne 20 euros

- Dis-lui que tu veux que je sois la -- je lui dis rapidement.

Elle sort de la voiture, réajustant sa jupe, et son haut qui a du mal à cacher ses petits seins sauvages.

- Tu n'es pas très jeune, mais tu as de beaux nichons, un peu petit.

Il lui caresse les seins à travers le tissu, sans grand ménage. Il est assez gros, un peu suant, il doit avoir 50 ans.

- Ah merci. Mon ami voudrait être la lui aussi

- C'est ton ami ou ton client?

- Mon mari. Mon ami je veux dire.

- C'est ton mari?

- Heu, oui, on jouait dans la voiture. Je viens de le sucer quand vous êtes arrivé.

- Bon okay, je ne vais pas t embrasser de toute façon, bon alors vous vous ramenez, j'ai pas la soirée devant moi, mais j'ai bien envie de me vider les burnes dans ta bouche de salope

Je sors à mon tour, et Sophie est déjà dans la toilette avec l'énergumène.

- Rinces toi la bouche. Et mets-toi à l aise, baisse ta jupe que je vois ta chatte de bourgeoise.

Elle s'exécute, se rince deux fois à l'eau, et baisse sa minijupe, dévoilant des jambes bronzées, et surtout qu'elle n'a pas de culotte.

- Pas de culotte? t'es vraiment de la salope de compétition, et toi ça t'excite de voir ta nana à poil?

- Un peu oui...

- Je lui reniflerai bien le minou. Penches toi en avant, et écartes les jambes que je t'inspecte.

Elle se penche vers le lavabo, et écarte les jambes, droite sur ses talons compensés. Il regarde, et sens son cul, puis enfouit un peu son visage entre les cuisses de Sophie. Un étranger est en train de lui lécher la chatte!

- Hmmmm, dis-moi tu donnes envie, ton trou est bien serré, il ne te baise jamais ton mari ou quoi?

- Si si, mais il a une petite bite.

- Je vois...hmmm... slurpppp.

Il utilise sa langue et sillonne sa vulve, et le mont clitoris,

- Ohh... Oui... Continues..

- Ah tu aimes ca, sale pute.. J'ai pas le temps, viens me sucer.

Son pantalon sale tombe sur le carrelage, et de son caleçon, il sort une belle bite tendue et pas circoncise. Il la retourne, lui caresse les seins sans précaution, tordant un peu les tétons qui pointent derrière le tissu fin et passant sa grosse main entre les cuisses de velours de Sophie

- Allez, baisses toi

Elle s'accroupit. Elle prend la grosse bite, et les couilles qui pendent devant son nez. Elle tâte de la pointe de sa langue, puis lentement commence à sucer du bout des lèvres le gland turgescent, et qui déjà lâche du jus transparent. Elle lui caresse les couilles poilues. Il apprécie.

- Fais pas ta prude, je vais aller au fond de ta gorge. Ouvres bien grand et regardes moi dans les yeux

- Hmmmmmmmffff

Elle laisse entrer le pénis au fond de sa gorge, bloquant comme elle peut le désir de l'homme de la lui mettre tout entière.

- Hmmmmmm, arrghhhh

Il pousse son pieu en avant, et tenant sa tête avec sa main gauche, il l embroche, créant une contraction du pharynx, comme une envie de vomir :

- Ohhhhhhh

- Allez ce n'est rien, habitues toi, laisses moi aller là au fond....

- Arggggggggg, arggggggggg

- Voilà comme ça. Sale chienne d'autoroute. Ta femme c'est une vraie pute, elle doit adorer se faire niquer devant toi.

L'homme fait des aller et retours incessants dans sa bouche, mêlant son pré foutre et la salive de Sophie. Elle avale un peu de tout, dégoûtée, mais excitée de prendre cette bite étrangère en elle.

- Caresses moi le fion! Et toi la, touches lui le clito par derrière

Je me baisse et je commence à la masturber, elle a les jambes écartées, elle est sur ses talons, et je tire sur son petit clitoris, et je la doigte de mon autre main... son jus de chatte me dégouline sur la main.

- Ohhhh, ahhhh, je vais te lâcher la purée!!

- Ahhhhhhhhh

Il fait des saccades, et lâche son sperme d'une semaine dans la bouche entrouverte de ma femme, qui accueille le dépôt avec attention. Le sperme jaillit et couvre sa langue, arrose son palais et retombe sur ses dents blanches.

- Voilà, de la bonne purée de bite. Dommage que je n'ai pas le temps pour te casser la chatte. Tu le mérites. Tiens voilà tes 20 euros. Mais d'abord avales ton diner!

- Hmmmm

Elle me fait signe de m'avancer tout en se relevant puis fait couler l'écume blanche et épaisse dans ma bouche. J'avale sans hésiter, c'est épais, gluant, mais je constate que cela me fait à nouveau bander...

- Je vois. Ton mari aime quand tu baises devant lui. Il doit aimer sucer lui aussi, bon allez je vous laisse vous débarbouiller. Merci pour la pipe... Voilà les 20 euros.

Quand nous retournons à la voiture, le camion est parti et le gars a laissé sa carte avec son numéro de portable...

- Bon on va rater la séance!! dis-je

- Mais on a déjà eu le film! dit-elle

Le film est mauvais, long, et je m'endors plusieurs fois. Sur la gauche de Sophie, un gars jeune n'arrête pas de chercher un truc dans son sac, profitant de la vue sur ses jambes nues. Je pense qu'elle sent le sperme, l'odeur de chatte en chaleur aussi et il doit être lui aussi en pleine excitation.

Puis le film se termine enfin et nous regagnons la maison. En chemin, elle texte Philippe et lui raconte nos aventures.

A la maison, Sophie se dévêt complètement et s'installe sous le patio, il est 23h, il fait encore chaud. Elle est nue, les jambes écartées. Elle a gardé son haut. Elle a remonté ses cheveux, elle est sexy comme ça :

- Viens me sucer, j'ai envie de jouir, j'ai fait jouir deux hommes ce soir. Je suis toute humide...

Je m'installe entre ses cuisses, et je commence à lui lécher la fente, qui s'ouvre petit à petit, je bois la cyprine qui coule de son canal féminin. Je titille son clitoris. Et au bout de 5 minutes, elle se cambre, et jouit violemment dans ma bouche.

Quelle belle soirée!