La Transition 02

BÊTA PUBLIQUE

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« Avec plaisir Amaury mais j'espère que vous penserez à moi aussi! »

« Vous voulez une augmentation? Ajoutez cela dans le texte »

« Je le ferai mais je veux aussi un tour de manège sur ce fantastique engin que vous avez exhibé! »

« Amaury... » haleta Elise qui se caressait en regardant le jeune couple « Elle l'a bien mérité »

« C'est une belle ...oooh .. récompense... « confirma Séverine dans un sursaut de lucidité

« Salauds! .. Salopes ... » gémissait Sara qui se branlait maintenant à deux mains mais sans jamais s'approcher ne fût-ce que d'un iota d'une jouissance que toutes les fibres de son corps réclamaient avec une folle avidité.

Amaury fit jouir Séverine deux fois et à chaque fois, les cris de plaisir d'Elise firent écho à ceux de sa fille tandis que Sara pleurait de désespoir , une main toujours engoncée dans son vagin et l'autre martelant son clitoris.

Enfin Chantal revint avec le texte demandé

« Madame Monnet, êtes- vous prête à signer maintenant? »

« OUIII! TOUT .. CE QUE ...OOOH ... VOUS VOULEZ ... MAIS FAITES-MOI ...OOOH ... JOUIR ...! »

« Elise, pince-lui les tétons, cela la soulagera juste ce qu'il faut pour qu'elle puisse signer »

La maman de Séverine s'exécuta et c'est une Sara très légèrement moins hystérique qui signa le précieux document. Aussitôt fait, Elise lui caressa ensuite le clitoris et l'ex-directrice explosa enfin, le corps pris de soubresauts insensés jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse.

Lorsqu'elle revint à elle, Elise lui dit

« Sara, va chercher une serpillère et fait briquer mon fauteuil que tu as souillé de ta cyprine. Ensuite, enfile un tablier et nettoie le bureau de Chantal. L'ancienne directrice était trop pingre pour le faire entretenir ; ce ne sera pas mon cas! Et quand les hommes de l'équipe du soir rentrerons, je veux que tu t'allonges sur le canapé de la réception pour qu'ils puissent se vider les couilles dans ta chatte. Ils sont tellement mal payés les pauvres qu'ils méritent une petite prime en nature »

« Jamais! »

« Amaury? »

Le garçon regarda Sara Monnet qui sentit à nouveau la démoniaque chaleur gagner son ventre

« NOOON! J'obéirai .. ; j'obéirai! »

Amaury lui dit « Et ce sera facile ; dès que tu les verras , tu auras envie d'eux! De chacun d'eux et de tous en même temps! »

Sara se « refroidit » légèrement et baissa la tête

« J'obéirai «

« Au travail maintenant traînée! » commanda Elise « Et tant que nous y sommes, Chantal sera dorénavant Directrice Adjointe et tu devras lui obéir aussi! »

« Bien Madame! »

« Et ma grosse prime en nature? » demanda la nouvelle Directrice Adjointe

« Je suis disponible « dit Amaury, on pourrait peut-être essayer le canapé?

« Je suis dans un tel état que je pourrais prendre mon pied sur une planche de fakir! Allons-y! Tu viens avec nous Séverine? La Directrice a du travail! »

Elise passa les deux heures suivantes plongée dans les livres de compte chaotiques de l'entreprise qui était maintenant sienne. Le seul point positif était qu'ils étaient toujours tenus sur papier et non informatisés comme dans les compagnies modernes. Elle bénit le conservatisme du père Monnet et sa hantise des machines.

Lorsqu'elle sortit du bureau directorial, elle était à la fois déprimée par ce qu'elle avait découvert et pleine d'ambition face à ce défi qu'elle sentait à sa portée.

Chantal était encore à son poste elle aussi, les yeux cernés mais un grand sourire aux lèvres tandis qu'elle observait par la porte ouverte Sara qui se faisait prendre par les six hommes de l'équipe du soir. Ils n'utilisaient même plus le canapé mais la baisaient debout contre le mur.

« Patronne adorée, merci beaucoup pour ma prime! » dit Chantal « Amaury m'a mise sur les genoux. J'ai même reçu un copieux supplément de la langue de ta fille mais je lui ai rendu la monnaie de sa pièce! »

« J'espère que cette chienne lubrique de Sara ne t'a pas dérangé avec ses glapissements» ajouta t'elle en montrant la fille Monnet qui hurlait son plaisir sous les coups de verge d'un bulgare ou roumain -- Elise n'était pas sure de la nationalité de l'homme -- sous les yeux d'un asiatique qui se branlait en attendant son tour.

« Non mais par contre j'ai faim . Cela te dit une salade au chèvre chaud sur le compte de la société? On en profitera pour discuter un peu des mesures urgentes pour redresser la boîte!»

« Avec plaisir Patronne Adorée et après, je t'invite à boire un verre chez moi! »

Séverine et Amaury ne revirent pas Elise de la semaine, ce qui obligea la jeune fille à appeler des amies pour l'aider à satisfaire les besoins de son Doué.

Lorsqu'elle revint à l'appartement le samedi midi, Elise trouva sa fille dans son ancien lit avec leur Doué et Véronique. Cette fois, c'était Séverine qui se faisait somptueusement sodomiser tandis que Véro la consolait par ses caresses buccales.

« Vous êtes mignons comme tout » les interrompit Elise « mais je dois absolument parler à Amaury »

« Je viens ... je viens .. uuugh! » fit ce dernier. Il s'extirpa des fesses de Séverine et la laissa gémir sous la langue de Véro.

Il fit une halte salle de bain avant de rejoindre sa belle-mère dans le living room. Elle était vêtue d' une jupe et d'un chemisier qu'il ne lui connaissait pas et se douta provenaient-ils de la garde-robe de Chantal. Elle lui donna un baiser de bienvenue qui se voulait chaste mais qu'il transforma rapidement en une étreinte passionnée. Elle s'arracha à lui en haletant

« Amaury, peux-tu essayer de m'écouter cinq petites minutes? »

« Je ne fais que ça » répondit-il en pelotant ses fesses sous sa jupe. I lui envoya une petite impulsion d'Influence et elle se colla à lui

« Uuuh, salaud, tu es incorrigible »

Amaury caressa sa chatte à travers un slip qu'il voyait également pour la première fois tandis qu'elle ôtait son chemisier. Le soutien était un peu trop petit et comprimait sa poitrine mais cela n'excita que davantage le garçon qui écarta la culotte et la pénétra, marquant une pause quand il atteignit l'extrémité du vagin de sa partenaire

« Aaaah, ça fait du bien! Qu'est-ce que tu voulais me raconter, Madame la Directrice? Tes nuits torrides avec Chantal? »

« Uuuh ... et mes journées aussi! Vilain manipulateur ... c'est ça ... aaah ... que je vais...ooh ... te demander ... uuh ... Directeur Commercial ... ooh ... prospecter ... clientes potentielles ...uuuh... sévices après-ventes ... oooh ... nettoyage de chattes ... faire reluire fesses... uuh... cureter culs ... oooh ... Amaury ... VAS- Y ... ACHEVE ... MOI ...AAAAH! »

Le lundi suivant, Amaury et Séverine, bombardés Directeur Commercial et Directrice Comptes Clés de « Monnet Cleaning » commençaient la tournées des clients perdus par la société maintenant dirigée par Elise . Ils avaient aussi une liste de nouveaux clients potentiels élaborée par Chantal qui s'était ingéniée à dénicher toutes les structures privées ou publiques où l'instance décisionnelle en matière de fournisseurs extérieurs était dirigée par une femme.

« D'après mes renseignements, ce sont des femmes « avait prévenu Chantal « mais je ne garantis pas qu'elles sont toutes jolies ... tu devras sans doute faire un effort à l'occasion ... »

Les trois premiers rendez-vous arrangés par Chantal se déroulèrent sans anicroche ; Amaury se contentant de légèrement éveiller la sensualité de ses interlocutrices et de jouer de son charme pour décrocher à tout le moins une promesse de reconsidérer leur firme comme un fournisseur potentiel. Le garçon Influença ces dames en créant un lien entre son image et leur libido puis leur promit de les visiter régulièrement si Monnet décrochait le contrat. La responsable des Achats d'une des trois firmes se colla d'ailleurs à lui pour lui donner un baiser d'au revoir appuyé sous l'œil goguenard de Séverine.

« Tu vas avoir du boulot mon Lapin » lui dit-elle. « A raison d'une conquête par trois visites, tu n'as pas fini d'agrandir ton harem! »

La quatrième visite leur réserva cependant une surprise : Amaury avait beau augmenter la force de son Influence, la Directrice Opérationnelle de « Transports & Logisitcs North» ne réagissait absolument pas à son appel. Il finit par lui envoyer la même dose qu'à Sara et obtint enfin une réaction mais pas celle qu'il attendait. La Directrice s'arc-bouta sur sa chaise en gémissant, les mains accrochées comme des serres aux accoudoirs de son fauteuil et haleta . « Monsieur Lemestre, ..mmmh ... pourriez-vous nous laisser... mmmh. .. Melle Deton et moi? »

Un peu déconcerté, Amaury obtempéra et fut sidéré d'entendre, la porte à peine refermée derrière lui , des hurlements de plaisir provenant de la bouche de la Directrice. Ne pouvant diminuer directement le niveau d'Influence qu'il avait envoyé à la dame, il dût attendre qu'elle se « refroidisse » par elle-même, ce qui prit près d'une heure. Sa sensualité fut mise à rude épreuve par les bruits d'amour qui lui parvenaient de l'autre côté de la cloison. Il fut ainsi le témoin auditif impuissant d'au moins quatre succès de son Influencée préférée qui faisait bénéficier la chef d'entreprise de tout son savoir acquis avec sa mère et ses camarades de classe.

Amaury avait une folle envie de se branler pour soulager la pression de sa bite dans son pantalon mais la salle d'attente était ouverte à d'éventuels autres visiteurs et il dut se contenter de frotter subrepticement ses parties génitales par-dessus le vêtement pour essayer de trouver une vague satisfaction.

Lorsque Séverine sortit du bureau, elle était toute rouge et échevelée mais cela ne valait pas la Directrice qu'Amaury entrevit un bref moment, complètement atone, dépoitraillée et les jambes nues étendues sur le bureau. Elle avait visiblement eu son compte d'orgasmes.

« Voici Monsieur le Directeur, notre premier contrat en bonne et due forme! » lui dit Séverine en lui remettant les documents signés par une main visiblement tremblante. « heureusement que je t'ai accompagné sinon qui se serait occupé des lesbiennes pure souche? »

Très excité, Amaury l'entraîna dans les toilettes de la société heureusement désertes et la baisa en levrette dans la cabine pour moins valides. Les deux jeunes gens jouirent en un temps record ; Séverine toujours sous le coup des émotions engendrées par sa séance d'amour lesbien et Amaury, surchauffé par l'émouvant concert de gémissements qu'il avait perçu à travers la porte. La jeune fille épongea le membre du garçon et sa propre chatte avec son slip puis sortit un petit étui en plastique de son sac à main qui contenait un sous-vêtement propre et fit l'échange.

« Tu t'es bien organisée » remarqua t'il en souriant

« Je commence à avoir l'habitude de sortir avec un Doué » lui rétorqua t'elle un sourire de contentement aux lèvres.

Il Influença la serveuse du restaurant où ils venaient de déjeuner pour qu'elle regarde ailleurs et refit l'amour à sa partenaire dans la réserve de l'établissement avant de se rendre à leur rendez-vous suivant. C'était à nouveau une jouissance plus sanitaire que réellement sensuelle mais cela leur permit d'affronter leurs visites suivantes les gonades au repos .

Après trois visites « soft » durant lesquelles Amaury se contenta d'Influencer légèrement ses interlocutrices, ils se rendirent à leur dernier rendez-vous de la journée. Il était déjà 17h30 mais la Société Vendée-Rêves semblait avoir des activités plutôt nocturnes. Ils furent introduits dans le bureau de la Housekeeping Manager dont le nom figurait en grand sur la porte : Ophélie-Blandine Juse, une trentenaire dont la tenue sobre contrastait avec son accueil chaleureux.

Amaury utilisa immédiatement son Pouvoir pour déclencher des stimuli sensuels mais fut très surpris de constater que son interlocutrice ne tentait en aucune façon de résister à son Influence. Au contraire, elle semblait en doubler d'elle-même l'effet comme si les impulsions de soumission lui étaient un puissant aphrodisiaque.

Elle se leva et contourna son bureau pour s'appuyer sur celui-ci, leur faisant face à quelques centimètres d'eux. Amaury avait quasiment le nez dans son décolleté de sa robe et ne pouvait manquer d'humer son appétissante odeur féminine.

(« Si elle continue, c'est moi qui vais être Influencé » se dit-il ) tandis qu'une magistrale érection se développait dans son pantalon que sa position assise ne lui permettait pas de dissimuler.

« Vous comprenez , cher Monsieur Lemestre, notre société essaye de répondre aux besoins privés de nos clients, ce qui entraîne inévitablement la présence de nombreux collaboratrices et collaborateurs spécialisés par exemple dans les messageries érotiques ou les conseils personnalisés ou la vente par téléphone d'articles destinés à optimaliser leur vie sexuelle. Et je ne parle pas des visiteurs en nos bureaux .

Mais ce genre d'activités entraîne parfois des .. disons .. des débordements chez nos employés et nous sommes très attachés au maintien d'une parfaite hygiène dans nos locaux. Il faudra donc que je vérifie si vous êtes à même de faire reluire ce qui doit reluire ou de briquer ce qui doit être briqué »

Craignant sans doute de ne pas avoir été assez claire, elle se pencha et, empoignant la verge du garçon décontenancé à travers son pantalon, fit quelques rapides mouvements de va et viens en poussant un grognement de satisfaction.

« J'espère que votre personnel est aussi bien équipé que vous ...Vous êtes certainement un Maître .... d'œuvre de première force!»

Puis elle se tourna vers Séverine et se livra à un pelotage en règle de la jeune poitrine tout en se jetant sur sa bouche qu'elle viola de la langue avec une avidité qui dépassait de loin le niveau des stimuli reçus. Elle finit par se redresser et balaya d'un revers de la main les documents et petit matériel qui encombraient sa surface.

« Il va me falloir une démonstration de votre professionnalisme avant de conclure » ajouta t'elle en s'asseyant puis se couchant sur le meuble. Puis comme Amaury hésitait, toujours sous le coup de la surprise

« Prenez-moi ... s'il vous plaît ... Maître ... Mon .. Maître! »

Amaury sentait la situation lui échapper et décida de passer à la vitesse supérieure. Il se leva et vint se positionner entre les jambes d'Ophélie-Blandine tout en lui envoyant une dose supérieure de son Pouvoir.

Le garçon fit remonter sa robe jusqu'à ses hanches puis empoigna son slip qu'il arracha presque dans sa hâte.

« Séverine » haleta t'il, occupe-toi des étages supérieurs si tu veux bien ; j'ai déjà les mains pleines! »

Il avait laissé tomber son pantalon sur ses chevilles et avait extirpé à grand peine son membre hypertrophié de son caleçon. Il caressa un instant la chatte de sa nouvelle partenaire en amour et future partenaire en affaires, écartant les grandes lèvres de sa vulve tout en caressant le clitoris saillant. Puis, à bout de désir, il souleva les cuisses d'Ophélie-Blandine sur ses avant- bras et se propulsa dans son vagin ruisselant.

« MMMMH » fit la femme écartelée sur le pieu du Doué. Elle aurait bien hurlé à pleins poumons mais la langue de Séverine était venue la bâillonner plus sûrement que la meilleure entrave de son catalogue. La cadette profita aussi de la vague de plaisir qui paralysait quelque peu son aînée pour plonger ses deux mains dans le décolleté pour s'emparer de l'opulente poitrine de la Manager.

« Sev, tiens la bien... humph ... je vais mettre .. humph .. pleins pots.. »

Le garçon se déchaîna sur et dans le corps de leur hôtesse, la pistonnant sans merci, déterminé à la soumettre à sa suprématie sexuelle. Sa grosse bite de Doué allait et venait dans l'antre d'amour d'O.B. Juse sans lui laisser le moindre répit. Elle commença à tressauter sur la surface dure du bureau, incapable de résister aux vagues de plaisir distillées massivement par la verge roide qui la ravageait et plus encore par l'Influence d'Amaury.

Les « MMMH » se succédaient à un tempo accéléré sans que Séverine ne lâche sa proie et surtout pas les mamelles qu'elle avait maintenant parfaitement en mains, ayant presque transformé le soutien-gorge d'Ophélie-Blandine en charpie à force de l'écarter le plus possible de sa cible

Elle finit par se cabrer, envoyant son bassin s'empaler une dernière fois sur la verge du Doué puis feula une jouissance sauvage . Amaury ne survécut pas à ce dernier et bouleversant spasme et se répandit en elle en poussant un grognement inarticulé. Mais à sa grande surprise, il resta aussi érigé que lors de sa Transition! Cette femme lui faisait un effet diabolique! Malgré son Pouvoir, elle parvenait à exciter ses surhormones bien au-delà de ce que autres filles avaient obtenu auparavant Son hyper-soumission agissait comme une véritable phéromone sur son Pouvoir!.

Il recommença à se mouvoir dans le vagin onctueux, prêt à la faire défaillir à nouveau.

« O Maître » gémit-elle ... « Je vous ai .. attendu ... si longtemps ... ooh ... faites de... moi ... ce que vous ... voulez ... Baisez-moi .. comme ...une... souillon! Prenez .. oooh ... votre ... plaisir .. dans votre ... aaah servante!»

« Je ne suis ..han... pas seul ... han ... je veux ... je t'ordonne ... de donner du ...han ...plaisir à ta ...han ... Maîtresse ... aussi! »

Il regarda Sev et lui souffla « Monte sur elle ....han ... elle va te... lécher... han... la chatte! »

Séverine ne se fit pas prier et grimpa elle aussi sur le bureau après avoir retiré son slip . Elle passa ses genoux de part et d'autre de la tête d'Ophélie-Blandine et sa jupe retomba corolle autour du visage de la femme. Elle sentit presqu'aussitôt une langue habile s'attaquer aux grandes lèvres de son sexe avant de remonter vers son clitoris.

« OOOH Amaury! ... Sa langue ... aaah... fantastique... elle me fait .. du bien ... elle me fouille... partout.. oooh ... Elle me vole ... ta semence ... oooh »

Le garçon grogna et repartit de plus belle à l'assaut de la grotte d'amour. Il se moquait bien des contrats de sa belle-mère à présent . La seule chose qui comptait était de soumettre cette femelle à son Pouvoir, de la faire capituler sous les coups de boutoir son sexe. Il sentit les premières contractions de l'orgasme agiter les parois intimes de la belle et la prit encore plus brutalement.

« JOUIS! » grinça t'il « JE VEUX QUE TU JOUISSES! »

Une longue plainte s'échappa de dessous la jupe de Séverine , étouffée par d'autres lèvres cette fois tandis que la jeune fille plaquait sa chatte sur la bouche de son amante. La force de l'Influence imprécise projetée par Amaury était telle qu'elle éclata elle aussi, déchargeant comme une folle sur la langue d'Ophélie-Blandine.

Séverine se dégagea tant bien que mal et descendit du bureau, permettant à Amaury de se concentrer à nouveau sur sa proie. Cette fois, il voulait en finir, la faire jouir jusqu'à l'inconscience, la briser à coups d'orgasmes ravageurs. Il reprit son rythme de copulation frénétique et poussa encore d'un cran sa suggestion au plaisir.

« Tu es à moi ... han ... Tu as besoin... han de m'obéir ... de jouir ...han sur mon ordre ... »

« OOOHH ... MON MAÎTRE!! »

Il lui fit nouer ses jambes derrière ses reins pour mieux pouvoir l'empaler sur sa bite en feu . Les mains à présent libres du garçon se dirigèrent vers sa lourde poitrine et la malaxèrent avec avidité tandis que ses coups de bite la soulevaient à chaque fois de la surface du bureau.

Elle geignait maintenant continuellement, incapable d'encore riposter aux assauts physiques et mentaux du Doué. Elle éclata enfin, le corps tétanisé dans un hurlement silencieux. Pris dans l'étau de ses jambes et de son vagin constricteur , Amaury se retrouva dans l'incapacité de donner les deux ou trois derniers coups de rein libérateurs. Il dut attendre les dents serrées et les tempes bourdonnantes que le corps d'Ophélie-Blandine se relaxe enfin pour se retirer péniblement, abandonnant sa victime inconsciente. Il se dirigea vers Séverine dont l'empathie envers son Doué lui fit immédiatement comprendre l'énorme besoin de jouir qui le taraudait.