La Vengeance d'un intello 02

Informations sur Récit
Revanche sur l'amie de sa soeur.
3k mots
4.4
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1

Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/14/2017
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Avertissement : Ce récit est une fiction qui raconte comment un jeune homme maigrichon prend le contrôle de personnes afin de les asservir sexuellement. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

**********************

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur. Il lui avait demandé d'amener sa meilleure amie pour continuer ses tests.

************************************

Toute la journée, Bruno fut dans un état permanent d'excitation. Son produit avait fonctionné exactement comme prévu, sans effets secondaire inattendus. Ceci dit, il n'avait aucun moyen de savoir si sa sœur Catherine avait eu des problèmes à l'université. Il l'avait rendue dépendante du sexe et se demandait comme cela s'inscrivait dans son psychisme.

Bruno était également excité à l'idée de pouvoir prendre le pouvoir sur Béatrice, la meilleure amie de sa sœur. En effet, il avait ordonné à celle-ci de l'amener à la maison après les cours.

Bien qu'il n'ait pas créé de produit neutralisant sa drogue et qu'il n'ait pas l'intention de le faire pour le moment, il avait quand même créé un vaccin immunitaire. Il s'était injecté ce vaccin au cas où sa drogue tomberait entre d'autres mains. Ce vaccin empêchait la drogue de se rendre au système nerveux.

Il prépara la caméra vidéo. Mais quand sa sœur Catherine revint de l'université, elle était seule. Elle rentra dans la maison et cria :

- Bruno? Qu'est-ce que tu m'as fait?

Il fut surpris de la réaction de colère mais supposa que sa drogue fonctionnait encore. Il se leva du canapé et répondit avec assurance :

- Je crois que je t'ai déjà expliqué.

- Merde. J'ai tellement envie de me faire baiser. Salaud!

Tout en disant cela, elle se rapprocha de son frère en le fixant, puis elle se laissa tomber à genoux et sortit sa queue. Elle saisit le sexe à demi dressé dans sa bouche te commença à le sucer comme si sa vie en dépendait. Bruno comprit que l'ordre d'avoir envie d'avaler du sperme était surement la cause.

Bruno fut surpris de la vigueur que sa sœur mit à lui faire une fellation. Il comprit, qu'à l'avenir, il devrait faire plus attention avec les ordres qu'il donnerait. Il se demanda depuis combien de temps exactement durait son envie de sperme. Alors qu'elle s'activait sur son sexe, il se posa une question : Pouvait-il modifier des suggestions antérieures ou devrait-elle rester affamée de sperme pour toujours. Pour obtenir sa vengeance envers son ancienne patronne Sarah LODDE, ça ne le dérangeait pas que sa drogue ait un impact éternel mais pour sa sœur... Il n'était plus si sur... Bien qu'une salope avide de sperme eût des avantages.

Après quelques minutes de fellation et gorge profonde, Bruno éjacula dans la gorge de sa sœur afin de satisfaire son besoin de sperme.

Une fois terminé, elle se leva, la colère dans les yeux et dit :

- C'est la quatrième décharge que j'avale aujourd'hui.

- Vraiment? Demanda Bruno, curieux.

Elle cria :

- Vraiment! Tu m'as rendu accro au sperme. Après une heure, je ne pense plus qu'à ça.

- Ton copain Michel doit être heureux.

Bruno plaisanta et profita du moment. Il se vengeait de tous les moments où elle l'avait traité comme une merde. Mais il pensa qu'il devrait peut-être rectifier cette dépendance.

Prête à se jeter sur lui pour le tuer, sa sœur continua :

- Michel n'était pas là après le déjeuner alors j'ai dû sucer un idiot. Je ne peux pas le nommer car il;m'a promis de ne le dire à personne.

Son frère haussa les épaules :

- Eh bien, cet idiot est surement meilleur que ton petit copain Michel.

- Guérit moi salaud! Rugit-elle.

- Où est Béatrice? demanda-t-il, ignorant sa requête.

- Elle sera là dans une demi-heure, elle a été retenue. Mais maintenant guéris moi avant qu'elle n'arrive.

- Pour être honnête avec toi je ne sais pas si je peux le faire. Admit-il, curieux de la puissance de sa drogue.

Elle répondit, toujours furieuse :

- Eh bien essaie Salaud!

- Fais le canard!

Il lui donna l'ordre, voulant lui rappeler qui commandait.

- Qu'est-ce que... Coin, Coin Coin. Commença-t-elle en bougeant ses bras.

Bruno rit :

- Tu peux arrêter.

Elle stoppa son imitation du canard, et, sa colère s'affaiblissant légèrement, elle supplia :

- S'il te plaît Bruno, je ne peux pas rester comme ça plus longtemps.

Il répondit :

- Deviens une gentille sœur et demande le moi sans colère et fierté et je tenterai de t'enlever l'envie de sperme.

- Tu ne peux pas tout enlever?

En haussant les épaules il dit :

- Je ne pense pas. Je crois que tu obéiras toujours à ce que je te demande. Mais comme tu es un cobaye, va savoir...

- Je ne peux pas croire que tu m'aies fait cela. Dit-elle, toujours en colère mais sans crier.

- Tu te l'es fait toi-même. Si tu n'avais jamais été aussi méchante avec moi, je ne l'aurais pas testé sur toi.

- Peu importe. Répliqua-t-elle, n'arrivant toujours pas à être agréable.

- Va prendre un concombre au frigo et baise-toi avec!

Il lui donna cet ordre afin qu'elle continue à se conduire en pute jusqu'à ce qu'elle accepte sa position et qu'elle devienne plus agréable.

- Bruno s'il te plait, arrête ça.

Elle protesta tout en se dirigeant vers la cuisine.

- Je ne suis pas une pouffe. Je te demande de me donner l'ordre de ne pas faire ça.

Bruno se demanda si elle n'apprendrait jamais alors il ajouta :

- Ok! Doigte-toi le cul pendant que tu baises ta chatte avec le concombre.

- Espèce de batard! jura-t-elle de la cuisine.

Il entendit qu'elle ouvrait le réfrigérateur puis elle cria :

- S'il te plait ne me fais pas faire ça. Je suis ta sœur. C'est une idée tordue.... Oh merde, que c'est froid.....

Bruno se rendit à la cuisine et vit sa sœur, à côté du réfrigérateur toujours ouvert, s'enfoncer un concombre dans sa chatte tout en essayant de mettre un doigt dans son cul. La scène était si hilarante qu'il sortit son téléphone et dit avant de commencer à filmer :

- Dis au concombre comment tu l'aimes.

Catherine regarda son frère et elle obéit :

- Oh oui concombre, je t'aime tellement. Tu me remplis si bien la chatte.

- Ton nouvel ami est-il plus gros que la bite à Michel?

- Tellement plus gros! Gémit-elle en se branlant avec le légume.

- Alors? Qui commande?

- Toi maudit!

Elle l'admit, frustrée et approchant de l'orgasme.

- Veux-tu jouir? Demanda Bruno tout en connaissant la réponse.

Mortifiée par son incapacité à résister au plaisir qu'elle se donnait elle cria :

- OUIIIIIIIIIII SALAUD.

Bruno répliqua :

- Chaque mot insultant te rend de plus en plus excitée. Mais tu ne pourras jouir que lorsque je t'appellerai « petite pouffe de sœur »

- OK. Gémit-elle, proche d'atteindre l'orgasme.

- Allez, jouis petite salope de sœur, petite pute, sale chienne.

Bruno était amusé de voir sa sœur se tordre et gémir sous l'excitation de ces mots sans qu'elle puisse jouir.

Tandis qu'elle avait un doigt complétement dans le cul et qu'elle se branlait furieusement avec le concombre, elle le supplia :

- S'il te plaît, appelle-moi ta « petite pouffe de sœur ».

- Tu veux être ma pouffe?

- Oui ton esclave de petite pouffe de sœur. Répéta-t-elle comme si elle espérait que ses mots lui permettent d'atteindre l'orgasme.

- Ma petite pouffe cochonne? Taquina-t-il en ne disant pas la phrase complète.

Catherine gémit. Sa respiration devint erratique, son désir de jouir supplantant tout le reste.

- Rappelle-toi seulement qui commande « petite pouffe de sœur ».

Bruno céda, remarquant que sa sœur n'était plus capable de rien.

- AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH.

Catherine hurla tandis que l'orgasme si longtemps retenu éclata en elle.

Bruno filma toute la scène, jouissant de regarder la soumission humiliante de sa sœur et réfléchissant à son objectif réel : l'humiliation de son ancienne patronne pour se venger. Cette petite dose de drogue avait fait devenir sa sœur une salope obéissante tout en gardant sa forte personnalité et sa fierté. Il aimait ça. Il aimait l'idée que Sarah sache et comprenne exactement ce qui lui arriverait, qu'elle le haïsse tout en ne pouvant s'empêcher de lui obéir.

Soudain, il fut ramené à la réalité quand la sonnette de la porte retentit. Il ordonna à sa sœur :

- Tu peux ranger ton nouveau pendant que je vais ouvrir.

Au début, il ne voulait pas vaporiser son produit sur Béatrice. Il voulait seulement demander à sa sœur de coucher avec elle. Il n'avait jamais vu de lesbiennes faire l'amour.

Mais maintenant, il décida de tester sa drogue sur une autre personne pour voir si les résultats seraient les mêmes.

Sa sœur Catherine dit en retirant le concombre de sa chatte!

- Non je vais aller lui ouvrir.

Mécontent, Bruno ordonna :

- D'abord salope, tu nettoies le concombre de ton jus puis tu le remets dans le frigo et ensuite tu vas m'attendre dans ta chambre.

Elle le maudit, frustrée de ne pouvoir lui désobéir :

- Merde, ne la droguez pas elle aussi.

Puis, elle commença à lécher le concombre afin de récupérer le jus de sa chatte. Bruno réfléchit et dit :

- En fin de compte, emmène le concombre dans ta chambre et continue à te baiser avec. Tu ne comprends toujours pas le concept d'obéissance.

- Espèce de salaud, je trouverai le moyen de me sortir de cette situation. Dit Catherine alors qu'elle commençait à marcher vers sa chambre.

Son frère secoua la tête à cette remarque qu'il trouva marrante et il ajouta :

- Sodomise-toi avec le concombre.

- S'il te plaît non! Supplia-t-elle en disparaissant à l'étage.

La sonnette retentit une deuxième fois. Bruno s'approcha de la porte et l'ouvrit. Il sourit en voyant Béatrice toujours dans son costume d'étudiante avec sa jupe si mignonne. Maigrichon, il avait toujours été ignoré par ces étudiantes si populaires. Ses fantasmes étaient d'en faire ses salopes... Ce qu'il était sur le point de faire maintenant.

Béatrice le regarda comme d'habitude avec un air de dédain et elle demanda :

- Est-ce que ta sœur est à la maison?

- Oui, entre. Acquiesça Bruno.

Elle entra et passa à côté de lui. Il en profita pour lui pulvériser son produit directement sur le visage. Elle sursauta :

- Qu'est-ce que c'était?

Il répondit nonchalamment :

- Un spray de contrôle mental.

- Un quoi?

Elle avait entendu les mots mais elle n'avait pas vraiment compris. Ignorant sa question, en souriant, le garçon dit :

- Tu es une vraie salope n'est-ce pas?

Elle fut surprise par ces paroles. Généralement le frère de sa copine était insignifiant et il bavait sur elle comme un chiot malade d'amour. Elle lui répondit :

- Et toi un puceau qui vit toujours chez sa mère.

- Donne-moi ta culotte. Ordonna-t-il.

- Pardon? demanda-t-elle, étourdie par l'ordre du garçon.

- Ce n'était que 4 mots. Sont-ils incompréhensibles? Lui demanda-t-il tout en la regardant soulever sa jupe et descendre sa culotte

- Que se passe-t-il? Dit-elle.

Elle sentit qu'elle devait se conformer à sa demande ridicule. Elle finit d'enlever son sous-vêtement et elle lui tendit. Bruno demanda :

- Aimes-tu sucer une bite?

- Pas vraiment. Répondit-elle.

Elle le faisait car son petit ami lui demandait et généralement il l'obtenait. Réalisant qu'elle avait répondu à la question et en essayant de cacher son dégout pour le frère de son amie, elle ajouta :

- Mais tu ne sauras jamais ce que c'est.

- A genoux Salope! Ordonna-t-il, haïssant son attitude prétentieuse de « Je suis mieux que toi ».

- Même pas dans un million d'années. Se moqua-t-elle tout en tombant à genoux. Puis elle s'interrogea quand elle s'aperçut qu'elle avait obéi :

- Pourquoi...?

- Spray...Contrôle... Esprit...Répondit Bruno lentement à dessein pour se moquer d'elle.

Béatrice essaya de se lever mais son corps ne bougea pas de sa position de soumission. Elle dit :

- Tu n'es pas sérieux?

- Tu obéiras à n'importe quel ordre donné par une personne pour le reste de ta vie. Expliqua-t-il.

- Va te faire foutre! Cracha-t-elle tout en étant effrayée.

- Bientôt. Acquiesça-t-il avec un clin d'œil.

- Jamais. Répondit-elle tout en se rendant compte qu'elle était dans une mauvaise situation.

Bruno sortit son sexe de son pantalon et dit :

- Fais-moi la meilleure fellation que tu n'aies jamais faite.

Elle pensa : « Oh merde, ce maigrelet a une énorme bite ». De toute façon il n'était pas question qu'elle suce le sexe du frère de sa meilleure amie. Pourtant elle sentit son corps se pencher en avant et prendre entre ses lèvres la grosse queue. Alors qu'elle commençait à le sucer, Bruno gémit :

- Bonne salope

« Pourquoi ne puis-je cesser de lui obéir » réfléchit-elle en se balançant d'avant en arrière, la colère bouillant en elle « Combien de temps cette drogue va-t-elle durer.? »

Bruno rajouta un ordre temporaire à son conditionnement. Il savait que le choix des mots était crucial :

- A chaque fois que tu enfonces ma bite dans ta bouche, tu te sens plus excitée.

« C'est ridicule » pensa-t-elle en continuant de sucer lentement son sexe. Pourtant après quelques va-et-vient, elle sentit que sa chatte devenait humide. Elle réalisa alors que la drogue était puissante.

Il continua :

- Soit une bonne et obéissante salope et je ne te donnerai pas d'instructions à vie comme j'ai fait avec Catherine.

Les yeux de Béatrice s'écarquillèrent pour deux raisons. Premièrement, le terme « à vie » la terrifia. Ne plus avoir le contrôle de son corps et peut-être même de son esprit était terrifiant. Deuxièmement, qu'avait-il fait à Catherine?

Même si son cerveau considérait que sa situation n'était pas facile, son corps devenait de plus en plus excité. Subitement, elle pensa « cette bite serait bien en moi ». Tout aussi vite, elle se reprocha de penser à une chose aussi dégoutante. En retirant sa queue de sa bouche, Bruno demanda :

- Tu avales?

- Parfois! Répondit-elle, obligée de le faire.

Mais avant qu'il ne puisse dire autre chose, elle le supplia :

- S'il te plaît, ne me fais pas ça.

Ignorant ses supplications, il lui demanda encore :

- Est-ce que tu laisses ton petit ami éjaculer sur ton visage?

- Non. Dit-elle en secouant la tête, trouvant l'idée dégoûtante.

- Mais tu me laisseras couvrir ta figure de mon sperme?

Elle fit une pause dans sa fellation Elle comprit qu'il pouvait l'obliger à accepter. Elle savait aussi qu'il ne bluffait pas quand il parlait d'ordre à vie. Alors même si ça la dégoutait cette idée de la part d'un mec aussi banal, elle répondit :

- Oui, tu peux couvrir mon visage de ta semence.

- Tu comprends beaucoup plus vite que ma pouffe de sœur. Acquiesça Bruno d'un ton approbateur.

Elle était curieuse de savoir ce qu'il lui avait fait. Mais elle savait aussi que la meilleure façon de sortir de cette situation était de lui donner ce qu'il voulait. Et elle était efficace pour ça. Alors, satisfaite de son raisonnement, elle se pencha en avant et le suça sur un rythme beaucoup plus rapide. Il grogna :

- Apparemment ma nouvelle salope veut jouir.

Ce n'était pas vraiment le plan, mais tandis qu'elle le suçait, elle pouvait sentir son propre orgasme arriver. D'habitude, il lui fallait une éternité pour jouir. Elle avait eu un seul orgasme avec un homme : lorsque l'entraineur de foot l'avait baisée derrière les vestiaires. Ses autres orgasmes venaient de ses doigts. Pourtant, tandis qu'elle suçait Bruno, un plaisir l'envahissait, un plaisir plus intense que ce qu'elle avait connu avec un homme ou en solo.

- Tu jouiras à la minute où ton joli visage sera enduit de sperme. Annonça Bruno.

Ses gémissements augmentèrent tandis qu'elle prenait l'entièreté de son sexe dans sa bouche. « Merde, j'ai tellement envie de de jouir » pensa-t-elle en doublant d'effort pour faire éjaculer l'homme. Subitement l'idée que sa face soit recouverte de sperme n'était plus dégoûtante mais excitante.

- Ce sera l'orgasme le plus intense que tu n'as jamais eu. Ajouta-t-il.

- Ohhhhhhh, je vais jouir. Gémit-elle, ne se souciant plus de la bite dans sa bouche mais seulement de la jouissance que cela lui promettait.

Prêt à éjaculer, Bruno retira son membre de la bouche de la jeune fille, et, immédiatement il déchargea son sperme sur son visage.

Béatrice ferma la bouche quand le premier jet de foutre, étonnamment chaud, frappa sa figure. Instantanément, l'orgasme qui bouillait en elle, éclata comme un ouragan. Elle cria :

- AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH OUUUUUUIIIIIIII!

Bruno sourit, son téléphone filmant la soumission de la jeune femme tandis que les jets suivants de sperme s'écrasaient sur le visage de sa proie.

L'orgasme fut aussi intense qu'il l'avait promis, la faisant trembler de tout son corps. Le foutre continuait à tomber sur sa face et dans sa bouche qu'elle avait ouverte pour crier.

A l'étage supérieur, Catherine entendit le cri de jouissance de sa meilleure amie. Elle s'effondra en comprenant qu'elle avait été, elle aussi, conditionnée. Son cul la brulait, l'énorme concombre élargissant anormalement son anus vierge.

A suivre...

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  • COMMENTAIRES
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

Le contrôle mental .... c'est vraiment diabolique !

J'adore ! ! !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
très bon récit

J'adore les histoires de contrôle mental.

Celle là est très bien menée.

Vivement la suite

CocuforeverCocuforeveril y a presque 7 ans
Une fiction dont tout le monde rêve!

J'ai déjà lu ce texte quelque part (ici ?) mais c'est toujours aussi bon. Vivement la suite.

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