La Vengeance d'un intello 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Quant à toi stupide salope, garde ce concombre dans ton cul jusqu'au souper, puis découpe-le et sers-le à ta famille.

- S'il vous plaît non. Dit Sharon.

- Maintenant sors de chez moi avant que l'on ajoute des ordres.

Mme LEVIS part à contrecœur, la tête baissée, regrettant ses actions.

Puis Elizabeth demande à son fils :

- Alors c'est vrai tout ce qu'a dit Sharon?

- Qu'est-ce qu'elle a dit?

- Que tu as créé un médicament qui contrôle l'esprit des gens.

- Oui. Dit Bruno timidement en hochant la tête.

- Ce n'est pas vraiment une réponse. Déclare sa mère.

- Oui. Et j'avais besoin de sujets pour le tester.

- Mais c'est méchant.

- Je ne l'utilise que sur des personnes qui le méritent.

- Qui le méritent? Questionne Elizabeth en se demandant pourquoi Sharon le méritait.

- Toutes les mauvaises personnes. Répond Bruno.

- Alors tu joues à Dieu?

- Non je ne l'ai jamais pensé comme ça.

- Tu dois t'arrêter. Déclare Elizabeth.

Elle dit ces mots à la fois pour son fils et pour elle-même.

- Je suppose. Répond Bruno en pensant qu'il n'a pas l'intention de le faire.

Mais en voyant que son fils n'écoute pas vraiment, elle ajoute :

- Tu sais qu'elle a fouillé toute ta chambre?

Bruno est soulagé d'avoir mis le reste de son produit ainsi que toutes ses études dans un coffre-fort. Alors il répond :

- Tout est enfermé.

- Alors, tu l'as vraiment violée?

Elizabeth l'accuse violemment. Elle est encore choquée par l'attitude calme de son fils ainsi que par les picotements dans ses reins.

La culpabilité ainsi qu'un sentiment de déception s'affiche sur le visage de Bruno. Il dit :

- Ce n'est pas si simple.

- Mais tu l'as bien baisée non? Insiste-t-elle-même si elle a la réponse.

- Oui. Répond Bruno en hochant la tête.

- Etait-elle consentante?

- Euh oui... Le produit rend tout le monde incapable de dire non aux instructions.

- Des instructions?

Elizabeth essaie de comprendre, de voir la portée de la drogue. L'idée d'être contrôler, un peu comme avec son mari il y a quelques années, l'excite. Bruno hoche la tête :

Oui. Elle est un cas d'essai.

Il oublie sciemment de dire que sa sœur est son premier cobaye.

- Pourquoi elle? Demande sa mère, même si elle a toujours détesté sa voisine.

- Son fils m'a maltraité toutes mes années de collège et elle n'a jamais rien fait pour l'arrêter.

- Alors tu te venges sur les personnes qui t'ont maltraité?

- Oui. Cette drogue est conçue à l'origine pour les policiers et les interrogatoires. Mais comme elle n'était pas au point j'ai été licencié.

- Oh. Dit Elizabeth compatissante.

- Je savais que j'étais proche du résultat alors j'ai travaillé à la maison jusqu'à avoir un meilleur produit.

- Mais tu n'as pas pensé aux dommages collatéraux. Souligne-t-elle en se montrant du doigt.

Bruno comprend qu'elle parle de Sharon qui l'a attachée puis violée. Il dit :

Je m'assurerai que ça ne se reproduise plus.

- Tu ferais mieux.

Elizabeth se force à se conduire en mère au lieu de penser à une vengeance ou à la grosse queue de son fils. « Mon dieu, je serai prête pour un interrogatoire mené par lui. Ça fait si longtemps que je n'ai pas eu une aussi belle bite en moi » pense-t-elle tout en disant :

- Mais je veux que tu me promettes d'arrêter. C'est dangereux...

Soudain Sharon est de retour dans la pièce. Elle a oublié ses clés de maison sur la table.

- Pourquoi reviens-tu? Demande Elizabeth.

- J'ai oublié mes clés. Répond Sharon.

- Aboie comme un chien. Ordonne Elizabeth pour tester la drogue.

Immédiatement la voisine commence à aboyer.

- Cours après ta queue! Ordonne encore la mère de Bruno, amusée.

Sharon commence à courir en cercle en aboyant. Bruno regarde sa mère qui s'amuse et se demande si elle apprécierait d'avoir son propre animal de compagnie. Elizabeth admire le travail de son fils et lui demande :

- Alors elle obéira à tout ordre?

- A tout ordre! Acquiesce Bruno en hochant le tête, amusé lui aussi.

- arrête! Ordonne Elizabeth, les aboiements devenant ennuyants.

Sharon obéit instantanément et s'arrête avec le tournis. Bruno se tourne vers elle pour corriger sa précédente erreur :

- Tu ne feras rien pour révéler la vérité. Tu n'essaieras jamais de nuire à ma famille. Sinon je fais de la tienne des acteurs de porno. Est-ce clair.

- Oui. Répond Sharon complétement épuisée et vaincue.

- Bien. Dit Bruno.

Puis il se tourne vers sa mère et lui demande :

- Veux-tu ajouter quelque chose à son conditionnement?

Elizabeth, qui n'avait pas joui depuis longtemps, avait apprécié l'orgasme suite au léchage de sa chatte. Alors, choquant sa voisine et son fils elle dit spontanément :

- Oui. Tu viendras dans mon garage tous les matins à 7h30 pour me donner un orgasme avant que je ne parte travailler.

Sharon se fige et Bruno a un hoquet de stupéfaction.

Elizabeth, jouissant de son pouvoir, demande :

- Il y a un problème?

- Non. Dit la voisine en secouant la tête et en pensant que, comme ça, elle pourra satisfaire l'ordre de lécher une chatte par jour.

Bruno dit alors :

- Tu lui rends service.

- Comment? Demande sa mère.

- Un de ses ordres est de lécher une chatte tous les jours.

Elizabeth sourit en se rendant compte qu'elle vient d'ordonner un acte sexuel lesbien devant son fils. Elle dit :

- Eh bien, considère que je suis ton quota quotidien salope.

- D'accord. Acquiesce Sharon, reconnaissante que sa tâche journalière lui soit facilité.

- Maintenant, sors de chez nous et rappelle-toi ce que je t'ai ordonné. Sinon ton mari et ton fils feront des films pornos gays. Dit Bruno.

- Oui Maître. Répond Sharon, comprenant que sa situation est hors de son contrôle.

Une fois qu'elle fut partie, Bruno dit à sa mère :

- Tu es folle?

Elizabeth, aimant l'idée d'avoir sa propre soumise répond :

- J'ai toujours détesté cette salope. Mais ça n'excuse pas ce que tu as fait.

- Je sais maman. Mais cette drogue offre de nombreux avantages.

- Ouais... Comme de baiser qui tu veux.

- Oui. Dit Bruno tout en se sentant excité par sa mère.

- Tu n'oserais pas? Demande Elizabeth en remarquant le changement d'état de son fils.

- Maman, je ne l'utiliserai jamais sur toi. Je ne l'ai utilisé que sur des personnes dont je voulais me venger.

Bien que l'idée pour Elisabeth ne soit plus autant tabou qu'auparavant, elle dit quand même :

- Bien. Mais je ne veux pas que tu continues à l'utiliser.

- Mais maman, je ne veux pas te mentir. J'ai l'intention de m'en servir pour retrouver mon travail.

- Et tu y arriveras?

Elizabeth regarde l'entrejambe de son fils qui ne peut masquer son engin en train de grossir dans son pantalon.

- J'espère. Dit Bruno.

Elizabeth secoue la tête, incapable s'ôter l'idée de baiser son fils et pensant que lui le veut aussi.

- Je n'arrive pas à croire que j'ai demandé à Sharon de venir me lécher la chatte demain.

- Tu as surement un peu de sadisme en toi.

- Surement moins que mon fils.

Elizabeth hausse les épaules, essayant de redevenir une mère, même si elle voit son fils d'une autre manière maintenant.

- Qu'est ce qui se passe? Demande Bruno en voyant que sa mère fixe son entrejambe.

- Je suis curieuse. As-tu déjà pensé utiliser ton produit sur moi?

Le garçon est surpris pas la question. Après quelques secondes il dit :

- Honnêtement?

- Non, mens moi. Plaisante-t-elle.

Il se met à rire, sentant quelque chose se passer :

- Tu es la première femme avec qui j'ai eu envie de faire l'amour.

- Vraiment? demande-t-elle surprise et flattée.

- Maman, tu es absolument magnifique. Tous mes amis rêvent de toi.

- Vraiment? redemande-t-elle encore plus flattée.

- Et je suis fou des bas que tu portes tous les jours.

- Tout comme ton père.

- Ah bon? Demande Bruno.

- Il voulait tous le temps que j'en porte, il m'en achetait pleins, surtout des autofixants. Tu vois ce que je veux dire?

- Non pas trop. Ment Bruno.

- Mais si tu sais...

- Non Non. Répond Bruno, content de ce petit flirt entre eux.

- Ce sont des bas qui tiennent tout seuls en haut des cuisses.

- Ah oui, c'est très excitant.

- Très oui.

Elizabeth hoche la tête en regrettant de ne pas porter actuellement ce genre de bas pour pouvoir les montrer. Mais quand elle a été se rhabiller elle a mis de simple collant.

- Alors tu vas laisser Mme LEVIS venir te voir tous les matins? Demande Bruno, voulant que la conversation se poursuive.

Sa mère ne sait pas trop que répondre. Alors elle décide de dire la vérité :

- Ca fait de nombreuse années que je n'ai pas eu un orgasme avec une autre personne.

Après une pause, elle ajoute :

- Je dois admettre que j'ai aimé. J'avais presque oublié la sensation de jouir.

- Oh. Tu n'as jamais connu d'autres hommes depuis la mort de papa.

- Non, je me suis occupée de Catherine et de toi.

- Eh bien, ce n'est pas juste que tu ne puisses pas profiter de la vie à cause de nous. Dit Bruno en se rapprochant.

- Eh bien maintenant j'ai mon propre jouet.

Elizabeth hausse les épaules et regarde les yeux de son fils. Il a le même regard que son mari lorsque celui-ci avait envie d'elle.

Bruno prend son courage à deux mains. Il se penche et embrasse sa mère. Elle est surprise et confuse. Ses sentiments sont mitigés. Alors elle ne répond pas immédiatement, elle est partagée entre la mère et la femme excitée. Bruno continue à l'embrasser tendrement jusqu'à ce qu'elle réagisse.

Elle n'a pas embrassé d'homme depuis des année si bien que sa résistance morale s'effondre et elle retourne le baiser de son fils avec passion. Elle oublie complétement que c'est son fils et qu'elle est sa mère. Elle cède au désir sexuel enterré en elle.

Bruno, espérant qu'elle obéisse, casse le baiser, pose ses mains sur ses épaules et la pousse document à genoux.

Elle est surprise et excitée par la puissance qui émane de son fils. Alors elle se laisse guider et se met à genoux. Puis elle lève les yeux vers lui et, curieuse, lui demande :

- Sors mon sexe. Ordonne-t-il.

Son fils l'a excitée et de transgresser le tabou de l'inceste ne fait que renforcer son envie mais elle demande :

- Tu veux que ta mère suce ta bite?

- Oui.

Il hoche la tête en espérant qu'elle le fasse. Il essaie de rester confiant et il dit :

- Sors la maintenant.

C'est le grand moment. Elle peut mettre fin à cet acte incestueux ou alors donner à son corps le plaisir qu'il demande. Elle ne met pas longtemps à prendre sa décision. Elle bouge la main et défait le pantalon de son fils. Elle veut son gros sexe dans la main, dans sa bouche et dans sa chatte... et peut-être même dans son cul. Elle sourit en pensant que ça peut peut-être choquer son fils.

Bruno regarde sa mère réaliser son plus grand fantasme. Elle sort sa queue et la caresse.

- Wow, elle est beaucoup plus grosse et grande que celle de ton père.

- Et je parie que la sienne te manque n'est-ce pas? demande Bruno, tenté de la traiter de salope mais il se retient.

Sa mère n'hésite pas à répondre :

- Mon Dieu oui.

- Suce maman. Fais qu'elle soit grosse et dure pour ta douce chatte. Ordonne-t-il.

- Est-ce que tu viens de demander à ta mère de sucer ta bite? Dit-elle en souriant malicieusement et en continuant de le caresser.

- Si tu veux être vraiment précise, je t'ai demandé de me sucer pour préparer ma queue à te baiser. Corrige Bruno.

- Qu'est-ce qu'il te prend? Ronronne-t-elle impressionnée par la forte personnalité de son fils.

- Je sais ce que je veux. Rétorque le garçon en poussant son sexe dans la bouche ouverte de sa mère.

« Oh mon Dieu » pense-t-elle pendant que son fils l'utilise comme une salope. La bite dans sa bouche, l'acte d'inceste consommé font d'elle la salope soumise qu'elle aime être. Elle commence sa fellation en ne prenant que la moitié de la queue de son fils. Apparemment, sucer une bite est comme faire du vélo, peu importe s'il y a longtemps que l'on n'a pas pratiqué, la pratique revient vite.

Bruno gémit, excité lui aussi par cet inceste :

- Oui maman suce bien.

Le mot « maman » l'émoustille encore plus alors elle demande :

- Veux-tu que ta mère prenne ta bite toute entière dans sa bouche?

- Tu pense que tu peux?

- Est-ce un défi?

- Bien sûr.

Il hausse les épaules en regardant sa mère le lécher.

Elizabeth remet la queue dans sa bouche et commence à la branler entre ses lèvres. A chaque fois, elle prend de plus en plus de la bite longue et épaisse.

- Oh oui maman... gémit Bruno.

Elle est déterminée à prendre tout le membre dans sa bouche alors elle se concentre sur sa respiration et évite les réflexes nauséeux.

Bruno regarde disparaître sa bite mais il craint pour sa mère. Heureusement que plus tôt il a pu jouir dans Mme LEVIS sinon il ne pourrait se retenir.

Finalement Elizabeth réussit à mettre le sexe de son fils entièrement dans sa bouche. Un frisson la parcoure.

Après une minute de plaisir au fond de la gorge de sa mère, Bruno veut aller plus loin alors il ordonne :

- Penche toi sur le canapé maman!

Elle laisse la bite sortir de sa bouche et lui demande :

- Tu veux baiser ta mère?

- C'est ce que je veux depuis longtemps.

Elizabeth se lève, marche vers le canapé et se penche en disant :

- Eh bien il est temps de réaliser ce fantasme. Viens baiser ta maman mon bébé.

- Ce sont des mots que je rêve d'entendre depuis des années. Dit Bruno en se dirigeant vers elle et en posant ses mains sur ses hanches.

- Vas-y, ta maman en a besoin.

Bruno ne se fait pas prier et enfonce sa queue dans la chatte chaude et humide de sa mère. Il gémit du bonheur de pouvoir concrétiser son fantasme. Elizabeth gémit elle aussi :

- Oh oui...Remplis la chatte de ta maman avec ta grosse queue.

D'entendre sa mère parler ainsi l'excite de plus en plus. Il commence à la baiser lentement tout en l'écoutant dire des mots qu'il ne croyait pas possible dans sa bouche. Euphorique Elizabeth dit :

- Oui, oui, oui...baise la chatte de ta maman. Continue... Ta bite est si bien dans le vagin de ta mère... elle est si grosse... baise moi... Ohh je vais jouir...

Puis elle se tait alors qu'un orgasme la traverse. Bruno continue son va-et-vient pendant que sa mère jouit. Il sent que lui aussi va venir. Elizabeth, entendant les gémissements de son fils, comprend qu'il est proche de jouir alors elle dit :

- Oh oui salaud, tu vas éjaculer dans ta maman?

Ironie du sort, il se demande où il doit décharger son sperme. Jusqu'à présent, il ne pensait qu'à humilier le femme qu'il baisait : sa sœur, l'amie de sa sœur ou Mme LEVIS en lâchant son sperme sur leur visage ou leur gorge. Mais là c'est différent, alors il demande :

- Puis-je éjaculer en toi?

- Mes trois trous sont à ta disposition mon fils. Tu peux me remplir de ton sperme. Dit-elle.

Entendre sa mère offrir son trou du cul fait éclater Bruno. Instantanément il éjacule au fond de son vagin.

- Remplis moi bien. Gémit-elle.

Elle a toujours aimé cette sensation de recevoir ce liquide chaud dans sa bouche, sa chatte ou son cul. Ça ne la dérange pas que l'on éjacule sur son visage ou ses seins mais elle préfère que ce soit à l'intérieur d'elle.

- Putain c'est bon. Gémit Bruno en finissant de se vider.

Une fois qu'il a arrêté tout mouvement, sa mère, voulant montrer à son fils qu'elle peut se conduire en salope, se retourne et tombe à genoux. Puis elle reprend sa queue dans sa bouche. Elle a toujours aimé sucer une bite qui venait d'éjaculer. D'ailleurs elle suçait les godes qu'elle utilisait après avoir eu un orgasme.

Elle branle lentement son fils qui bande à moitié.

- Oh mon Dieu!!!!

C'est la voix de Catherine qui rentre plus tôt à la maison dans l'espoir d'avoir une décharge de sperme de son frère, elle en a tellement envie.

Bruno n'a pas vu sa sœur mais il sait qu'il doit reprendre le contrôle de la situation tout de suite alors il dit :

- Bonjour salope, viens lécher mon sperme dans la chatte de ta mère.

Elizabeth arrête sa fellation et lève un regard choqué sur son fils.

Catherine se dirige vers sa mère pour obéir et récupérer le liquide qui lui permettra, elle l'espère, d'assouvir sa faim. En même temps elle dit :

- Tu as drogué maman aussi?

- C'est une longue histoire mais non. Répond Bruno.

Catherine, pressée de lécher le sperme et curieuse de connaitre le goût de sa mère lui demande :

- Sur le dos s'il te plaît maman.

Elizabeth obéit tout en levant une tête confuse vers son fils :

- Tu as testé ta drogue sur ta sœur?

- Malheureusement ce fut mon premier test. Admet le garçon.

Pendant ce temps, sa sœur enfouit son visage dans la chatte de leur mère dont s'évade un filet de sperme.

- Tu ne l'as pas...?

Elizabeth gémit quand la langue de sa fille touche son sexe.

- Si je pouvais remonter dans le temps, j'aurais surement choisi quelqu'un d'autre. Mais tu sais, elle a toujours été méchante avec moi.

- Elle n'est pas très gentille avec moi non plus. Gémit sa mère.

Elle pense à sa fille qui est devenue une vraie peste lorsqu'elle a eu 15 ans. Celle-ci continue à lécher la chatte de sa mère bien qu'elle ait été rassasiée par le sperme.

- Donc Catherine obéira à tout ce que je lui demande? Interroge Elizabeth.

- Elle ne peut pas refuser. Acquiesce Bruno.

- C'est trop beau pour être vrai.

Elle sourit, attrape la tête de sa fille et tout en pensant qu'elle peut bien commettre un deuxième pécher incestueux, elle lui ordonne :

- Lèche bien la chatte de ta maman Catherine.

Bruno regarde les deux femmes. Emoustillé, sa bite reprend de la vigueur.

Catherine lèche avec impatience car elle ne peut pas faire autrement et elle aussi est excitée.

Pendant quelques minutes, Bruno regarde sa mère et sa sœur gémir de concert. Une fois que sa queue est de nouveau raide, il se déplace derrière sa sœur et dit qu'il va les enculer toutes les deux. Pendant ce temps, Elizabeth crie :

- Oh oui ma fille je jouis, lèche bien tout.

Catherine obéit, profitant du goût sucré du jus de sa maman. Puis elle sent la queue de son frère rentrer dans son cul :

- Oui grand frère, encule-moi.

Toute de suite, Elizabeth est jalouse. Elle veut elle aussi une bite dans son cul. Alors, même si elle n'est pas encore totalement remise de son orgasme, elle se met à quatre pattes et supplie :

- N'oublie pas le cul de maman.

Bruno sourit en pensant que c'est la journée parfaite. Il sort du cul de sa sœur et glisse sa bite dans celui de sa mère en disant :

- Prends tout maman!

Contente, Elizabeth ordonne à sa fille :

- Vas faire le souper Catherine. Ton frère et moi avons un peu de rattrapage à faire.

- Maman! Gémit la fille, voulant que son cul soit rempli.

- Maintenant Catherine! Ordonne avec une voix ferme Elizabeth tout en poussant son bassin pour que la bite de son fils la pénètre bien.

- Très bien. Soupire la jeune fille, incapable de désobéir.

- Maintenant, pilonne mon cul mon fils. Gémit la mère.

- Tu veux que j'encule ma mère? Demande Bruno.

- Oui je veux que tu la baises par ses trois trous. Plaisante Elizabeth.

- C'est un jour parfait. Déclare Bruno à haute voix en regardant sa maman empaler son cul sur sa bite.

- Je suis d'accord. Gémit sa mère.

A suivre....

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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
Exelent

Exelent chapitre et pour quand le ch6 svp

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
trop bien

A quand la suite?

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

Très bon chapitre puisque la maman n'est pas droguée.

J'aime beaucoup tous les ordres saugrenus humiliants et dégradants donnés aux personnes méchantes comme la banquière.

En fait j'aime les humiliations en règle générale.

Rudy

ReiviloReiviloil y a presque 7 ans
Excellent !!!

Chapitre tout simplement excellent avec la mère ... en espérant que prochainement la soeur n'est plus besoin de la drogue mais continu tout de même à devenir de plus en plus pute !

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