La Véranda Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Sido pencha la tête, se saisit des élastiques de sa culotte, mais réalisa qu'elle ne pouvait aller plus loin, et qu'il lui fallait d'abord dégrafer les jarretelles. Elle me regarda d'un air comme éperdu.

-- Vous voyez bien lui dis-je! La jarretelle, il faut qu'elle soit sous la culotte! Tenez votre jupe, je vais corriger tout cela!

J'étais surpris qu'elle se laissât faire. Mais je l'attirai vers moi en la prenant par les fesses, et elle vint docilement. Elle regardait la manipulation, et quand je haussais mon visage vers le sien, elle souriait d'un petit air contrit, mais foncièrement complice. Son ventre bombé était à hauteur de mes yeux. Je défis la jarretelle de droite. Alors, doucement, je glissai la main sous la cotonnade, pour aller en saisir l'extrémité. Je sentais la chaleur de son ventre sous ma paume. J'attrapai la jarretelle, la fis ressortir, et l'attachai.

-- Tournez vous, lui dis-je. Voyons d'abord les fesses! Nous jugerons mieux ainsi de l'effet en terminant par le ventre!

Elle se tourna, et par deux fois, j'arpentais ses fesses de mes mains, me saisissant des rubans soyeux.

-- De face, maintenant!

Nouvelle exploration du ventre. Soudain, je me perdis. De mon pouce, j'avais perçu le foisonnement! Ma paume obliqua. Ma main chapeautait maintenant le mont de Vénus, et je me reposais sur l'épaisseur de son pelage. Elle eut comme un soupir, et me regarda fixement, sans dire un mot, jusqu'à ce que soudain, roulant sa jupe sur ses hanches pour qu'elle ne retombât point, elle me prit la tête entre ses mains, et se l'appliqua contre son ventre en respirant fortement.

Je terminai la tâche entreprise et, la joue collée contre son ventre, attachai le bas à la jarretelle passée sous la culotte. Je levai la tête. Nos regards se croisèrent. Je me saisis de la ceinture de la culotte, laquelle, n'étant plus retenue par les rubans, glissa le long des bas dans un crissement doux, dévoilant son pubis fourni, cette large houppe de fourrure foisonnante qui s'étalait sur tout son ventre.

Nouvel échange silencieux de nos yeux. J'attrapai ses fesses à pleines mains, et plongeai mes narines dans le nid à odeurs, me remplissant des bouquets qui s'exhalaient de ce ventre, ces fragrances d'aiguës marines, ces senteurs de marée basse. Je commençai à parcourir cette grève de mes lèvres, et lorsque que Sido me sentit descendre vers le sillon de ses désirs, elle me serra encore plus fort sur son ventre, écarta doucement les cuisses en s'abaissant, me livrant l'accès à ses nymphes secrètes qui déjà perlaient de cyprine.

Ma langue s'aventura jusqu'aux ourlets de dentelle contournés de la chair de ses nymphes, puis guida mes lèvres vers ses diaprures gonflées que j'aspirai l'une après l'autre, goûtant le nectar qui sourdait délicieusement, à la saveur douce amère du plaisir. Bientôt, de la pointe de la langue, sous le capuchon rose tendre, je frappai le marteau de porte. Elle poussa un cri, profond, dense, et frotta violemment son pubis contre ma face, se caressant la fente sur les amers de mon visage.

Je me désaltérais à sa source qui coulait maintenant abondamment, et je passai consciencieusement lèvres et langue sur ses nymphes qu'elle exposait à présent largement, et qui s'étaient écartées dans l'espoir d'accueillir un vit conquérant. Je ne voulais surtout pas décevoir un tempérament aussi généreux et bénévolent, aussi j'insistai avec délicatesse sur le petit bouton qui sortait vaillamment de sa coiffe, me faisant l'effet d'un organiste actionnant les différents jeux de son instrument tellement étaient variés les sons qu'éperdument elle articulait en vocalises sourdes ou claires, basses ou aiguës!

L'orgasme qui peu à peu la saisissait la faisait trembler sur ses jambes, qui commençaient, je le sentais bien, à vaciller. Elle prenait de plus en plus appui sur ma tête, et je la soutenais fermement par ses fesses, dont le contact charnu, doux, rond et chaud régalait la paume de mes mains. Mes doigts se joignaient sur son anus, et, les avançant dans sa raie, jusqu'à rencontrer ma langue qui s'agitait comme je l'ai déjà dit, je les oignais de son jus que j'appliquais ensuite en onguent sur sa rondelle, cherchant de mon index à forcer le passage secret!

Le plaisir m'envahissait de me trouver ainsi au plus intime d'elle-même, la face enfouie dans sa fente, les doigts moites de la sudation de sa raie entre ses globes fessiers que je tenais amplement écartés! Elle ahanait à présent! Elle avait pris appui d'un bras sur le dossier du canapé, et elle agitait la tête comme un cheval qui renâcle, ondulant du bassin comme si elle avait voulu essuyer mon visage avec le vison de sa motte. Enfin un cri puissant ; une tétanie ; ma tête avec l'effet d'une noix que la pince va briser ; et comme un soupir profond, l'expiration définitive, la reprise après le plaisir infini!

Après quelques minutes d'immobilité dans cette position improbable, soudainement, elle s'écarta légèrement, puis, à mi voix :

-- Rupert va rentrer! Mais je te veux en moi! On va le faire tous les trois ensemble! Je veux que nous soyons tous contents! J'avais passé ces sous-vêtements par amusement et défi, mais tu m'as donné une autre clé! Vous l'ouvrirez ensemble! Nous baiserons tous les trois!

J'étais à la fois heureux, frustré, et dès lors impatient de couronner cette séance en apothéose personnelle! J'adore voir mon amante prendre son pied, comme elle venait de le faire, mais ensuite, il me faut aussi conclure, et là, elle me demandait d'attendre! Quel contretemps! Mais j'ai compris alors que si elle s'était abandonnée, c'était au hasard des circonstances que j'avais créées. Prendre son plaisir est une chose, et somme toute, elle s'était masturbée, certes à l'aide d'un bel accessoire, mais elle n'entendait pas me conférer immédiatement d'autre rôle. Donner du plaisir tient du contrat, et ce contrat était conclu avec Rupert. Même à un tiers, ce n'était que par délégation, comme la suite allait le démontrer.

(A suivre)

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