La vie de Sophie Ch 01

BÊTA PUBLIQUE

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Une fois encore, Sophie en faisait beaucoup plus que je ne lui demandais. Je n'y prêtais pas attention sur le moment, tellement j'étais excitée. Elle se présentait sur la cassette, en donnant son adresse, son numéro de téléphone, expliquant pourquoi elle avait réalisé cette cassette. Elle s'excusait de la qualité car elle venait d'acheter cette caméra à ma demande, et qu'elle ne savait pas bien l'utiliser. Elle s'était filmée sur son lit, dans la chambre que je ne connaissais pas encore.

Elle commençait par s'exhiber les jambes écartées, puis à 4 pattes, écartant de ses doigts son sexe et ses fesses. Elle enfonçait profondément ses doigts dans l'un et l'autre, utilisant une crème intime. Le son était excellent et j'entendais déjà ses râles et son plaisir monter. Après s'être bien assouplie, elle prit le premier objet, une bouteille de coca identique à celle du distributeur à la boîte. Elle la fit aller et venir dans son sexe, la faisant presque disparaître, l'enfonçant dans un sens puis dans l'autre. C'était incroyable de voir cet objet totalement disparaître, et ses petits cris étaient très mignons. Elle joua de la même façon de son cul qui était incroyablement souple. Je le trouvais très beau, aussi parce qu'elle n'avait pas de poils dessus, comme à son sexe d'ailleurs. Je n'étais pas tellement excitée par les pénétrations, et 10 objets, c'était vraiment beaucoup et répétitif. Mais je prenais un plaisir ineffable à voir son corps et surtout ses expressions.

Après près d'un heure d'exhibition, Sophie se remplissait le cul d'un pilon qui disparut happé, seul le manche émergeant, alors que la bouteille de coca était déjà enfoncée dans son vagin, seul le goulot émergeant. La vision en était vraiment perverse, et ce n'est que la douceur de la peau de Sophie qui me permit d'accepter cette vision. Non pas que j'étais prude, mais guère attirée spontanément par ces jeux. Sous l'œil de la caméra, Sophie eut un orgasme ponctué par des cris stridents. J'étais épuisée pour elle. Et ravie qu'elle ait obéi aussi exactement à ma demande. Plus aucun doute, avec cette cassette, elle était à moi.

Pendant la projection, Sophie s'était collée contre moi et n'avait plus bougé, sinon pour me resservir à boire. Elle était très précautionneuse, désirant que je sois bien et que tout aille bien. Une fois le silence revenu, elle me jeta un long regard anxieux. Je devinais ce qu'elle me demandait. Elle savait très bien qu'elle avait suivi mes instructions et même un peu plus. Ce n'est pas cela qui l'inquiétait à cet instant. Non, elle se demandait ce que je pensais d'elle et si je ne la prenais pas pour une folle perverse.

C'était exactement le cas. Si la perversion ne m'attirait guère, Sophie elle me faisait l'effet d'un aimant. Et son long regard inquiet finit de me faire craquer.

« Viens aux pieds ma salope, voilà comme cela à 4 pattes. Je suis très heureuse de cette cassette, tu es une vraie salope. Mais pourquoi tu ne m'as rien écrit là-dessus dans ta confession de ce matin?

- Pardonnez moi, mais je le découvre moi-même. C'est vrai que j'ai souvent des pensées, surtout quand je rêve pour jouir, mais je ne pensais pas quand même avoir envie de les vivre.

- Cela fait longtemps que tu as ces pensées?

- Je ne sais pas, je crois oui. J'ai aimé cette vidéo parce que j'avais l'impression que c'était vous qui m'y obligiez, et que je devais faire toutes ces choses qui m'obsèdent.

- Tu es une vraie salope quand même tu sais?

- Oui, c'est terrible. Je vous dégoûte?

- Je ne sais pas, on verra. Tu es toujours prête à faire ce que je te demande?

- Oh Oui Lydie, ce que vous voulez.

- Montre moi ta chambre, à 4 pattes, pas debout! »

Je la regardais onduler avec plaisir. Ce sentiment de pouvoir ne faisait que gonfler avec le temps. Je sentais à quel point la magnifique, inatteignable et supérieure Sophie avait abdiqué et se livrait tout à moi. La chambre était une vraie pouponnière avec des peluches partout. Un grand lit recouvert de couettes et d'édredon, le tout de couleur rose. L'impression était assez curieuse et ne collait pas avec l'image que j'avais de Sophie, ni même avec son salon d'ailleurs. L'éclairage de la chambre me permit de mieux voir Sophie qui marchait devant moi, et de découvrir le goulot d'une bouteille qui dépassait de son cul!

« Mais qu'est ce que tu as dans le cul? Depuis quand t'es tu remplie ainsi?

- Je pensais que cela vous ferait plaisir Lydie, c'est pour vous que je l'ai mis.

- Tu parles, tu l'as mis parce que tu adores cela et tu avais envie d'être remplie. Tu n'as pas compris je crois, tout ton corps, ton sexe, ton clitoris, ton cul, ta bouche, tes seins, tout est à moi. Je peux pouvoir en faire ce que je veux et je t'interdis d'en faire quoi que ce soit. C'est compris.

- Oui Lydie, pardonnez moi, je ne recommencerai plus.

- Ca on verra! En attendant pour te punir, tu garderas cette bouteille en toi jusqu'à demain soir! Tu viendras me montrer comme tu es bien remplie pendant la journée! »

Cette fois-ci Sophie eut du mal avec ma demande, mais me remercia malgré tout. J'imaginais comme cela allait être difficile pour elle, ne pouvant pas vraiment s'asseoir convenablement sinon au risque de s'empaler, l'idée m'amusait beaucoup. Mais 24h avec un tel objet en soit est un supplice dont je n'imaginais pas les douleurs causées. Ce n'est que bien plus tard qu'elle m'avoua avoir terriblement souffert, mais avoir tenu bon. Je ne mesurais ni la portée de mes demandes, ni son désir de s'abandonner à moi.

Je lui demandais de me dévêtir. J'étais proche de l'orgasme et il fallait que je me calme un peu. J'aimais voir ses gestes sensuels pour enlever mes baskets, sa retenue pour ma grande jupe. Elle hésita sur la culotte, aussi je la lui fis descendre avec les dents, c'était très drôle. Je n'avais pas mis de soutien-gorge, aussi le buste fut il rapide à dégager. Elle se tenait debout devant moi, la tête baissée, les bras croisés dans le dos, attendant mes désirs. Mon désir, c'était elle. Je n'avais plus peur d'être maladroite maintenant. Je lui pris doucement le visage entre mes mains, rapprochant ses lèvres des miennes. Notre baiser fut doux, tendre, long. Mes mains partaient à la découverte de son corps, de sa peau si soyeuse, de ses seins si fermes et si tendres, de son cou si fragile. Je n'osais encore descendre plus bas.

Je m'allongeais sur le lit, je lui ordonnais de m'embrasser sur tout le corps, jusqu'à ce que je lui donne un autre ordre. Ce fut un moment délicieux, elle était très précautionneuse, tournant autour de mes seins et de mon sexe. Je me disais qu'il fallait que je m'occupe un peu de la broussaille de mon pubis, pour avoir un joli sexe comme le sien. Lui prenant fermement la nuque, je lui fis lécher, puis mordiller mes seins. J'obtenais les mêmes attouchements que mes plaisirs solitaires mais avec une autre personne, c'était divin de tout contrôler. Puis je lui fis me lécher, doucement, pour retenir mon plaisir. Son sexe vint au dessus de mon visage, je le voyais déformé par la bouteille de coca maintenant très enfoncée en elle, son clitoris minuscule, mais surtout je pouvais mesurer à quel point elle était excitée. Par pur sadisme, je décidais de la caresser mais en m'arrêtant en permanence au bord de l'orgasme, je ne voulais pas qu'elle prenne de plaisir ce soir là, elle n'était pas là pour cela.

La jouissance la plus forte que j'ai connue ce soir là, et la plus forte de ma courte vie, fut lorsque allongée sur elle, je me frottais le sexe sur son visage offert, la langue tirée. Je la barbouillais de mon excitation, je l'étouffais à moitié, et j'aimais la voir chercher son air, et ne rien faire pour se dégager. Je crois que j'aurais pu l'étouffer, elle n'aurait rien pu faire.

J'étais repue, elle fébrile d'avoir été ainsi excitée toute la soirée sans pouvoir se satisfaire. Je lui autoriserai demain de pouvoir se soulager dans les toilettes, un souvenir si récent et pourtant déjà si vieux, ma vie avait tant changé en quelques jours. Elle se reposait sur mon épaule, nos seins se touchaient. J'étais admirative des seins, pas même envieuse, ils étaient à moi et j'en ferais ce que je voudrais! Dans un souffle avant de m'endormir, je lui demandais si elle voulait être mon esclave. Son corps se raidit, elle chercha ses mots, commença par me dire qu'elle ne savait pas, puis que oui. Oui bien sur, elle voulait être mon esclave. Nous nous sommes endormies sans avoir l'idée l'une comme l'autre de ce que cela signifiait. Mais déjà j'avais décidé de la baptiser avec le nom de ma chienne quand j'étais petite, Cara.

******

Du jour au lendemain, tant de folies devinrent possibles. Notre vie changea. Professionnelle avant tout, puisque c'était l'essentiel de notre activité, débutantes que nous étions et désireuses de progresser rapidement dans la hiérarchie. A la boîte nous paraissions les meilleures amies du monde, passant tout notre temps ensemble, nous aidant mutuellement. Mais dès le pas de la société franchit, les relations changeaient. Sans même y faire attention, Sophie me vouvoyait, et je la traitais comme mon esclave. Cette schizophrénie nous était naturelle. Elle pouvait me blaguer, me contrer ou discuter avec moi au travail, mais tout ceci était hors de question à la maison. Non seulement je ne l'aurais pas accepté, mais rapidement je compris aussi qu'elle ne l'aurait pas accepté non plus.

Le matin de notre première nuit, j'étais repassée chez moi pour me changer, avant d'aller travailler. Sophie dormait encore, magnifique, sur le dos, je voyais à peine le goulot émerger de ses jolies fesses. En les voyant une envie nouvelle m'était venue que j'avais bien envie de mettre à exécution rapidement. Je décidais de sauter le repas pour pouvoir partir avant la fermeture des magasins. Nos regards étaient intenses chaque fois que nous nous croisions, mais rien ne laissait paraître les souvenirs de la nuit précédente. Je me demandais si cela n'avait pas été un jeu de sa part, si ce soir elle ne me rirait pas au nez, si je ne m'étais pas fait un cinéma, ou pire, faite manipuler. Ma paranoïa commençait à monter, m'accrochant à des petits riens insignifiants que je chargeais de signes invisibles.

Passant dans le couloir devant le bureau de Sophie, celle-ci me vit, son regard ne me lâchant pas, je m'arrêtais. Elle déplia alors sa jambe sur laquelle elle s'était assise, pour ne plus reposer que sur ses fesses, comme cela devrait être normal. Ses bras sur les accoudoirs la retenait de moins en moins, jusqu'à ce que tout son poids enfonce terriblement la bouteille en elle, m'offrant ainsi sa douleur la plus extrême, la plus intense, restant là, à me regarder, à se donner, pour mon seul plaisir, même si j'étais sure, à cet instant de son plaisir à elle.

Le temps était suspendu. J'eus l'impression de rester là des heures, même si la scène ne du pas durer plus de 30 secondes, et personne ne me remarqua dans le couloir hébétée, et radieuse, hypnotisée par le spectacle. Sortant de ma torpeur, je lui intimais l'ordre de rester ainsi, malgré la terrible douleur qui devait se propager dans son ventre, jusqu'à ce que je repasse. Elle ne pourrait certainement pas travailler ainsi, aussi je ne la laissais que quelques minutes avant de repasser. Malheureusement une collègue de bureau était revenue, aussi je ne pu que lui faire un signe de se soulager. Un clignement d'yeux me remercia. J'aurais donné ma vie pour son regard à cet instant.

Je me dépêchais de sortir avant la fermeture du Go Sport à côté de la tour. Le rayon équitation était petit, mais je trouvais là ce que je désirais. Perplexe devant le choix des cravaches j'avais un peu de mal à me décider et n'osais demander conseil. Vu la somme modique demandée, j'en pris 3 différentes, dont une badine plus longue, dont le bruit me plaisait bien. Je n'avais pas l'air fine dans le métro, mais en prenant un air dégagé personne ne me regarda vraiment. J'avais à nouveau fixé à Sophie rendez vous chez elle, c'était une vrai obsession pour moi, et j'avais envie d'essayer mes nouveaux achats. Lorsque j'avais vu ses fesses ce matin ainsi exposée, la vision de marques profondes, violacées, s'était imposée à moi. Et chemin faisant, je voyais bien son dos ou son très joli ventre plat marqué ainsi. Mais surtout ses fesses, si rondes, si grosses, si belles.

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4 Commentaires
PerverPeperPerverPeperil y a 2 mois

Excellent ! J'ai adoré les personnages, leurs doutes, leurs vices. L'histoire est vraiment intéressante et l'écriture formidable.

J'ai hâte de lire la suite.

PP

AnnalalevretteAnnalalevretteil y a presque 2 ans

Très bien écrit, je sent que je vais prendre du plaisir à suivre l'aventure de Cara.

Seul petit point gênant c'est les saut temporelle, mais cela reste compréhensible.

Bonne continuation pour la suite du récit

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Bravo j'aime beaucoup. La construction de cette relation est finement décrite, j'ai l'impression qu'elle peut évoluer de diverses façon. Merci

lecocqlecocqil y a presque 2 ans

vivement la suite j'adore

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