L'abus D'alcool est Dangereux

BÊTA PUBLIQUE

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Elle s'enferma rapidement dans la salle de bains, m'empêchant même de l'y rejoindre. Je commandais les petits déjeuners et lorsqu'elle sorti, elle avait reprit son aspect habituel. Seuls son regard brillant et son visage détendu rappelaient nos ébats.

Il était déjà tard lorsque nous arpentâmes les rues commerçantes. Nous avons fait le tour de toutes les boutiques de lingerie, jusqu'à ce qu'elle en découvre enfin une qui lui plaise. Après avoir longuement regardé la vitrine elle pénétra enfin dans la boutique. Comme je m'apprêtais à la suivre elle me repoussa, me conseillant plutôt de l'attendre à la terrasse d'un café.

Elle ne revint que prés d'une heure plus tard, le rouge aux joues, chargée de paquets. Elle se planta devant moi en me disant en riant qu'elle avait fait des folies et que " mes initiatives " nous coûteraient une petite fortune.

Puis me prenant le bras elle me dit

-"amènes moi vite manger. Je meurs de faim! Nous irons après à l'hôtel pour te montrer mes achats. Vite, allons manger! ".

Nous sommes allés dans un restaurant de poissons qui avait attiré mon attention par les cocktails exotiques qu'il proposait. Nous mangeâmes de fort bon appétit. Je sentais chez Chantal une excitation car sous son chemisier j'apercevais les pointes saillantes de ses seins.

Dans la rue elle se colla contre moi, pressant le pas, impatiente de retourner à l'hôtel.

Seuls, dans la cabine de l'ascenseur, elle s'éloigna de moi, se retourna et se cambrant, souleva prestement sa jupe, me laissant apercevoir un instant fugitif, ses fesses dénudées. C'est presque en courant que nous avons regagnés notre chambre. Dés la porte refermée, je la pris dans me bras et en l'embrassant, relevais doucement sa jupe. Ma main remonta sa cuisse puis ses hanches avant de rencontrer un simple ruban. Elle se dégagea et fit tomber sa jupe découvrant un mini-slip noir de type " brésilien ". puis elle continua son déshabillage pour me monter un soutien gorge noir sans bretelles qui le rendait terriblement sexy, elle qui n'avait jamais acheté ou porté que de la lingerie classique blanche.

Elle prit ensuite ses paquets et en passant dans la salle de bain me dit de bien m'installer car le spectacle n'était pas fini. Elle vint plusieurs fois se faire admirer dans des tenues très suggestives faisant monter à chaque fois mon excitation. Il y en avait vraiment pour une petite fortune mais le spectacle (et ce qu'il promettait) en valait la peine.

Comme j'allais me jeter sur elle, elle me repoussa une fois de plus et en fouillant dans un sac me tendit une petite boite en me disant "j'ai pensé à toi aussi! Ça c'est pour toi! " et me poussa dans la salle de bains. Je découvris dans la boite un string pour homme minuscule, et j'eus toute les difficultés du monde à y faire entrer mon sexe bandé. Le fin tissu zébré était déformé par mon érection. Dans le miroir je me sentis un peu ridicule et décidais sur-le-champ de reprendre le chemin de la salle de gym au plus tôt.

Elle m'attendait, vêtue d'un short en dentelle et d'un soutien-gorge pigeonnant assortis, et se précipita sur moi dès mon entrée, plongeant son visage sur mon sexe, le mordillant à travers le fin tissu. Son visage montrait une excitation inhabituelle, une furie sexuelle que j'apercevais pour la première fois. Ce comportement déclancha une terrible érection. Sousain elle libéra mon sexe de sa prison pour l'engloutir dans sa bouche en poussant de petits cris. Je glissai une main dans son short pour m'enparer de sa chatte plus qu'humide, ruisselante. Je la repoussais et baisant légérement mon string pour liberer mes bourses, j'écartais l'entre-jambe de son short pour la prendre profondement. Ma pénétration brutale sembla lui couper le souffle mais elle explosa rapidement en en ceignant mes reins de ses jambes. Complétement épuisée, les cheveux mouillés de sueur , elle s'étendit en croix sur le lit, puis se débarrassa de son soutien gorge et m'attira contre ses seins.

Cela ne dura pas car, m'étant proposé pour surveiller la mise en place de la soirée de clôture, je dus me préparer et partir assez tôt. Chantal devant me rejoindre accompagnée d'autres participants logeants au même hôtel. J'avais réussi à nous installer à une table avec des gens sympathiques et le repas, précédé des inévitables discours, fut gai.

Nous ne pûmes quitter la salle qu'assez tard, après avoir échangés adresses et numéros de téléphone avec de nombreuses personnes. Alors que nous attendions notre vestiaire, Chantal décida soudain de se rendre aux toilettes pour se refaire une beauté. Elle revint quelques instants plus tard souriant d'un air coquin. Après avoir récupérés nos vêtements nous avons décidés de rentrer à pied à l'hôtel pour profiter de cette belle soirée. Au bout d'un moment alors que nous regardions une vitrine, elle ouvrit prestement son sac à main et me le tendit. J'y découvris un mignon petit string noir. Je me collais contre elle et caressais ses hanches rondes à la recherche d'une marque mais elle était bel et bien le cul nu dans la rue, chose insensée que je n'avais jamais oser imaginer. Nous sommes repartis mais j'ai profité de la première porte cochère sombre pour l'y entraîner et l'embrasser. Elle ne resta pas inactive saisissant mon sexe bandé pendant que je m'emparais de son sexe ruisselant. Mais un groupe bruyant arrivait et nous sommes rentrés d'un bon pas à l'hôtel où à peine la porte close elle s'offrit à moi d'une manière follement érotique.

Nous nous sommes éveillés très tard le lendemain, épuisés par notre nuit, et nous avons décidés de prolonger d'une journée notre séjour. Chantal se promenait dans la chambre nue en préparant les bagages, se laissant tripoter en riant ne refusant aucune caresse, détendue et lascive comme jamais, surveillant d'un air coquin mon érection.

Malgré notre retard, pendant notre trajet de retour nous dûmes quitter l'autoroute pour trouver un motel tellement notre excitation était grande. En louant, dans l'après-midi, une chambre dans un motel miteux, nous eûmes l'impression d'être des "amants obligés de cacher leur passion ". Le regard du propriétaire ne laissait aucun doute quand à son opinion. Cela augmenta notre tension et nous jouâmes au couple adultère.

Enfin nous arrivâmes et je dus inventer une histoire de panne pour expliquer notre retard à mes beaux-parents. Seule, ma belle-mère sembla se douter de quelque chose mais Chantal se rangea à mon histoire. Nous nous sommes endormis épuisés par notre séjour.

Comme promis je repris le chemin de la salle de gymnastique où j'entreprit de retrouver un ventre plat et des fesses musclées. Selon mon moniteur cela suffisait à contenter la majorité des femmes, les amatrices d'épaules très musclées étant assez rares.

De son coté, Chantal, toute excitée me raconta sa première visite dans son " institut de remise en forme ". Après un entretien avec la directrice, elle avait du se déshabiller entièrement pour un diagnostic plus complet. Elle fut complimentée de son épilation et elles se mirent d'accord pour un traitement solaire complet, destiné à faire disparaître les marques de son bronzage précédent.

La directrice sourit et n'insista pas lorsque Chantal lui indiqua que je souhaitais m'occuper personnellement du rasage de son sexe. Après chaque séance elle devenait de plus en plus désirable avec son hâle plus régulier, estompant ses anciennes marques de bronzage, mettant en valeur ses formes pleines de femme sensuelle.

Nous avons pu enfin partir à Cuba. Le voyage fut assez pénible, nous parvinrent tard à l'hôtel.

Le directeur s'excusa du fait que nous serions presque les seuls français du club, la clientèle à cette époque étant constituée essentiellement de canadiens, anglophones nous précisa t-il. Nous l'avons rassurés et on nous guida jusqu'à notre "paillote", une des plus éloignée mais avec un point de vue extraordinaire et presque sans voisins.

Défaisant à peine nos bagages nous nous sommes enfin douchés et endormis rapidement tant nous étions fatigués.

Notre paillote était constituée d'une chambre et d'une salle de bains. Devant, une petite terrasse ombragée et une douche extérieure pour permettre le rinçage après la plage.

En me préparant, je cherchais mes caleçons de bains. Chantal me regardait faire l'œil rieur. Ne les trouvant pas, elle vint à mon aide et me déclara qu'elle ne m'avait emporté que des strings pour que je bronze le mieux possible.

Je me glissais difficilement dans ce vêtement, tentant d'y cacher ma virilité, me demandant à haute voix se qui se passerait en cas d'érection. " tu restera assis et cela t'empéchera d'aller faire le bellâtre sur la plage " me dit elle en riant. Elle-même était magnifique, portant le plus petit string que j'ai jamais vu. Elle s'entoura d'un paréo et nous partîmes à la plage. Je me sentais mal à l'aise mais après un moment j'oubliais ma tenue et profitais du soleil. Il y avait peu de monde et nous nous sommes installés un peu à l'écart. Après avoir installés nos serviettes, Chantal, d'autorité, me passa de la crème solaire. Ses attouchements me firent bander lorsqu'elle enduit mes jambes, ses mains s'égarant trop près de mon sexe. Je lui rendit la pareille mais elle refusa que je m'occupe de ses seins. Mais la voir, un sourire coquin aux lèvres, carressaer ses seins me faisait bander. Jour après jour nous avons pris un rythme régulier alternant journées au soleil et nuits agitées.

Je ne fus pas long à m'apercevoir que Chantal avait " tapé dans l'oeil " d'un de nos voisins de paillote. Toujours accompagné de sa femme, ce bel homme âgé de la cinquantaine, très bronzé, cheveux et barbe courts et poivre et sel, se trouvait toujours à proximité lorsque nous débarquions sur la plage. Il assistait au déhabillage de Chantal et semblait trouver un prétexte pour rôder à proximité de sa serviette. De même lorsque nous nous rinçions sur notre terrasse, il était toujours dans les parages.

Un matin, alors que je me tenais un peu à l'écart, à l'ombre, la femme vint s'installer seule à proximité de Chantal et engagea la conversation avec elle. Elle semblait ravie de parler français. Je ne pouvais saisir toute la conversation mais je compris que son mari, d'origine grecque, ne pouvait longtemps vivre sans soleil et qu'ils faisaient ici une escapade pour oublier le froid de leur province canadienne. Chantal ravie elle aussi de pouvoir papoter, s'enduisait pendant ce temps de crème solaire. Pour pouvoir bronzer avec le minimum de marque elle avait discrétement dénoué les attaches de son string, seul un minuscule triangle de tissu dissimulait son sexe rasé.

Au bout d'un moment, le " grec " vint les rejoindre. la femme présenta Chantal à son mari. En se redressant pour lui tendre la main, son string glissa, découvrant presqu'entièrement sa vulve rasée. L'homme en se penchant eut ainsi une vue parfaite sur le sexe de mon épouse. il ramena prestement sa serviette contre son ventre pour cacher son érection, mais la tête qu'il faisait, les yeux exorbités, la bouche ouverte, indiquait clairement son excitation.

Je me levais pour les rejoindre. Mon arrivée permit au grec de reprendre ses esprits, mais son épouse qui n'avait rien manqué de la scéne se hâta de se retirer. Chantal, les yeux rieurs se sentait assez fiére de la situation. Nous ne les vîmes plus de la journée, et le lendemain ils étaient installés à bonne distance de notre coin de sable.

Le soir même nous avons décidés dînner dans le restaurant " exotique " du complexe. Le repas fut délicieux et animé, Chantal resplandissante de sensualité. Mais le service très lent, nous laissa largement le temps de déguster quelques cocktails.

Fortements échaudés nous sommes allés ensuite dans la boîte de nuit. Là dans l'obsurité nous avons ignorés toutes les danses rapides pour nous consacrér aux slows. Chantal se collait contre moi, frottant ses seins contre mon torse. Mes mains glissaient sur ses hanches rondes et chaudes.

Retournant à notre table, nous eûmes la surprise d'y voir le couple gréco-canadien nous y attendre. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, nous avons commencés à discuter avec eux malgré le bruit. La femme seule faisant la conversation, son mari ne cessant de fixer Chantal. Celle ci semblait à la fois gênée et excitée par cette attention.

Dés les premières notes d'un slow, Dimi, notre grec' se leva et invita Chantal. Surprise, elle ne put refuser et il l'entraina sur la piste. J'invitais alors Philly à mon tour.

Dans l'obscurité je ne pouvais distinguer ma femme d'autant que ma cavalière me trouvant sans doute à son goût se collait contre moi. Je parvins enfin à localiser Chantal et Dimi. ll la tenait très serré ses mains triturant ses fesses. Chantal essayait de se dégager mais Dimi devenait un peu trop entreprenant. De son coté ma cavalière pour détourner mon attention prit ma main pour la placer son sein ferme à la pointe dressée. Elle me tendit ses lévres en esquissant une caresse sur mon sexe. J'allais succomber à la tentation, quand je vis Chantal se dégager brusquement de son cavalier et se diriger vers notre table. je l'y rejoins et nous sortîmes illico.

A peine dehors elle explosa en invectives contre son cavalier. Dans mes bras elle m'expliqua qu'il n'avait cessé de se coller contre elle pour pour lui faire sentir son érection, qu'il avait caressé ses seins et tenté plusieurs fois de l'embrasser et lui avait même proposé de l'emmener dans sa paillote toute proche....

Je l'embrassai puis la collant contre moi je lui murmurais à l'oreille que question d'érection, j'avais moi aussi quelque chose à lui faire sentir. Elle gloussa et commença à onduler lentement du ventre , m'excitant encore plus.

Nous avons regagnés rapidement notre paillote, mais à peine sous la terrasse , Chantal s'arrêta et m'embrassa avec fougue. Je descendit la fermeture éclair de sa robe, qui tombat entre nous. Elle n'était plus vêtue que d'un string noir. Jettant un coup d'oeuil pour s'apercevoir que tous les paillottes voisines semblaient calmes, elle entreprit de défaire ma ceinture et glissa ses mains dans mon pantalon pour s'emparer de mon sexe. Elle gloussa de plaisir en le libérant de mon string. Toujours serrés, nous sommes entrés dans notre paillote en laissant la porte ouverte pour profiter de l'air frais. Elle me poussa vers une chaise et à peine assis, m'ôta mon pantalon et mon string , et m'enjamba. Elle se saisit de mon sexe et écartant son string s'empala d'elle-même sur mon sexe bandé. Elle imposa son propre rythme, écrasant mon visage sur ses seins pour que je mordille leurs pointes durcies. Je glissai une main sur ses fesses et prit possession de son anus, lui arrachant un cri de plaisir. Puis voyant sur la table une coupe emplie de fruits, il me vint une idée. J'arrachai d'un régime, une petite banane et la présentais à ses lévres. Elle parue étonnée mais se mis à la sucer. Je lui murmurais à l'oreille de bien la mouiller avec sa salive, de sucer cette " petite queue ". La lui arrachant de la bouche je la positionnais à l'entreée de son cul et doucement la pénétrais avec ce gode improvisé. Elle feula de plaisir et se mit à pousser des petits cris quand j'augmentais la profondeur de la pénétration. Dans un état second elle murmurait " encore, encore! ". Je l'enfoncais profondement et me saisitt du plus gros fruit disponible. Alors que je le lui présentais elle se jetta dessus, l 'enfouissant au plus profond de sa bouche , salivant abondemment en grognant. J'enlevais alors le premier fruit pour le remplacer par le nouveau d'une taille nettement plus importante. Elle se cambra pour faciliter la pénétration et se mit soudain à jouir en criant, la banane conplétement fichée en elle. Son orgasme déclancha mon plaisir. Je la portais délicatement jusqu'au lit et retirais doucement le fruit. Elle se jetta soudain à mon cou et m'enbrassant passionnement me déclara que jamais elle n'auvait eu autant de plaisir.

Nous n'avons pas eut le temps de reiterer ce jeu car notre séjour tirait à sa fin et nous dûmes rentrer, contents néanmois de retrouver nos enfants et nos amis.

J'avais bien pris soin de séparer les rouleaux de péllicules et les cassettes vidéos en deux catégories, celles " tout public " et les " X " où figurait Chantal seulement vêtue d'un mini-string ou sans string du tout.

Je fis discrètement développer les photos x auprés d'un laboratoire spécialisé, me les faisant envoyer au bureau où je pouvais compter sur la discrétion de ma secrétaire. Je les reçus un matin et décidais de rentrer exceptionnellement déjeuner chez moi pour les montrer à Chantal.

J'arrivais chez moi en même temps qu'elle et les enfants qu'elle était allée chercher au collège. Tous furent surpris mais me firent fête. Je soufflais discrétement à Chantal le motif de ma visite, elle sourit mais nous étions sans cesse dérangés par les enfants, ravis de ma présence. Après le repas je propopsais de les raccompagner.

Je revins vers la maison, prennant au passage dans mon véhicule les pochettes de photos. Il n'y avait plus personne dans la cuisine et seul un léger bruit à l'étage m'indiqua où Chantal m'attendait. Je fis tranquillement le café, laissant lentement l'excitation monter en moi, préparais un plateau et montais dans la chambre.

En ouvrant la porte je découvris un spectacle etonnant. Les volets fermés, seules quelques bougies éclairaient la pièce. La chaîne hi-fi diffusait en sourdine une cassette de musique cubaine que nous avoins ramené,. Vêtue d'un paréo, qui cachait à peine sa nudité sensuelle, et d'un chapeau en paille, souriante , Chantal m'attendait. Et sur le lit, trônait une corbeille de fruits emplie de bananes......

Enfin, depuis quelques temps nous avons une vie sexuelle beaucoup plus riche. Certes, nous ne baisons pas douze fois par jour ...

Comme nous sortons souvent, nous baisons quelques fois dans la voiture ou dans ces hôtels de la périphérie des villes où il n'y a plus personne à la réception et où une carte bleue suffit. Je passe aussi à l'improviste pour lui faire l'amour dans la cuisine, la salle de bains ou le jardin....

Son aspect extérieur n'a pas changé, c'est toujours l'image d'une femme honnête, mais sa sensualité est quand même plus visible. D'ailleurs, certains des copains des nos enfants, des adolescents maintenant, ne cessent de tourner autour d'elle.

Ma belle sœur vint nous rendre visite. Venue pour une seule soirée, pour oublier un récent chagrin d'amour, elle demeura trois jours chez nous au plus grand plaisir des enfants et de sa soeur. Le soir je les laissais papoter tout leur saoul et montais me coucher rapidement, laissant sur la table la bouteille d'alcool de poire que Chantal aimait tant.

J'en fut récompensé par une nuit bien agitée où malgré notre désir de ne pas faire de bruit, sa soeur occupant la chambre en face de la nôtre, nous jouîmes assez bruyament.

Nous l'avons accompagnée à l'aéroport, avec les enfants. Dans le hall alors que nous étions seuls tous les deux, elle m'embrassa en me disant en souriant que jamais elle n'aurait cru que je puisse donner autant de plaisir à sa sœur. Comme Chantal nous rejoignait, ayant expédié les enfants au kiosque à journaux, elle nous prit chacun sous un bras et nous menna à l'écart. Là, elle me dit, le sourire complice, que lorsqu'elles étaient petites filles Chantal aimait beaucoup être punie, féssée et même attachée.

Chantal protesta mais un certain trouble avait envahi son regard tandis qu'elle se plaignait auprés de sa sœur de ses confidences intempestives. Nous ne pûmes pas continuer cette conversation car son vol était appelé et nous l'accompagnâmes à la porte d'envol.

Pendant le trajet de retour Chantal évitait mon regard mais je sentais toujours un certain trouble chez elle.

A notre arrivée, des amis nous attendaient et nous n'avons pas pu parler de ce nouveau sujet vraiment très intéressant à mon gôut.

Mais alors que nous allions passer à table, la fille de nos amis arriva en courant et jeta sur une chaise la corde à sauter avec laquelle elle jouait. Je surpris le regard presqu'envieux de Chantal sur la corde et lorsqu'elle leva les yeux sur moi, elle rougit mais je sus à ce moment que je pourrais jouir d'elle de nouvelles façons. "