L'Appât Du Gain (Partie 01)

BÊTA PUBLIQUE

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Philippe s'approcha de Clarisse qui était tétanisée. C'était la première fois de sa vie qu'elle se trouvait nue devant des inconnus et cela la paniquait tout en l'excitant étrangement.

Elle se savait très belle mais de l'entendre dire lui fit vraiment plaisir.

Le fils commença à tourner autour d'elle pour bien l'examiner comme il l'aurait fait avec une voiture neuve ou un achat important. Elle n'osait pas bouger, se sentant telle une marchandise.

Lorsqu'il posa sa main sur ses fesses elle tressaillit mais resta immobile. Ils avaient acheté son corps et c'était normal qu'ils inspectent leur bien.

- Elle est vraiment canon et son cul et à tomber

- Moi, ce que j'aime, fiston, c'est sa poitrine même si pour le reste rien n'est à jeter.

Le fils, suite au propos de son père, vint tâter les seins de la jeune femme qui se laissait tripoter sans rien dire.

- C'est vrai qu'elle a de superbes nichons même s'ils ne sont pas très gros.

- Je les ai tâté dans le train, j'adore leurs textures.

Le fils après avoir caressé un moment la jeune femme, finit par dire.

- Putain, elle me fait bander cette pute, j'ai trop envie de me la faire.

- Tu n'as qu'à l'emmener dans ta chambre et te faire plaisir, moi j'ai quelques coups de téléphone à donner.

Clarisse se rendait compte qu'ils parlaient d'elle comme d'un objet mais cela ne la révoltait pas. Elle était à eux, du moins pour deux jours et elle se sentait de plus en plus étrange.

C'est en se trouvant nue qu'elle avait réellement accepté son sort, voulant qu'ils en aient pour leur argent. Elle en avait oublié Julien, excitée d'être cette chose qu'ils avaient acquise pour une grosse somme d'argent.

Comment son état d'esprit avait-il pu changer autant en quelques heures. Elle s'en étonna toute seule et pourtant elle suivit l'homme lorsqu'il quitta la pièce. Il voulait la baiser et elle était d'accord, ayant touché des sous pour ça.

Pourtant elle ne se considérait absolument pas comme une prostituée. Elle n'avait pas honte d'elle, ayant signé un contrat pour officialiser cela.

Elle avait accepté cet accord et même si elle avait au début hésité, maintenant, elle allait faire son possible pour qu'ils ne le regrettent pas.

Lorsque Philippe quitta la salle à manger, c'est tout naturellement qu'elle le suivit. Elle se rendit compte qu'elle n'avait pas parlé depuis qu'elle était arrivée mais n'en avait aucunement besoin. Elle serait bientôt riche et avait juste à leur donner ce qu'ils voulaient.

Tout en marchant derrière le fils, elle se sentait tout excitée. Glissant ses doigts entre ses cuisses elle se rendit compte qu'elle mouillait déjà alors qu'elle avait juste été examinée dans la salle à manger.

Lorsqu'ils rentrèrent dans une grande chambre ayant sa propre salle de bain, Clarisse fut subjuguée par la beauté du lieu elle, qui n'avait qu'une chambre trois fois moins grande.

Un lit immense était appuyé contre un mur alors qu'un dressing ouvert lui donnait trop envie.

- Va t'allonger pendant que je me déshabille.

Obéissante, Clarisse alla se coucher sur le matelas uniquement recouvert d'un drap. Même si l'homme avait un regard qui lui faisait très peur, elle avait réellement envie de le recevoir entre ses cuisses.

Philippe se dévêtit rapidement, trop pressé de baiser cette femme sublime. Il était le premier surpris en constatant comme elle était docile alors que ce n'était pourtant pas la première femme que son père ramenait chez eux.

Lorsqu'il s'allongea sur le corps de la jeune femme, il en avait tellement envie qu'il laissa tomber les préliminaires, guidant son gland vers l'entrée de sa vulve sans aucune fioriture.

Lorsqu'il s'enfonça en elle, elle était d'une texture incroyable, n'offrant aucune résistance. Ses chairs chaudes et humides étaient comme un écrin pour sa verge excitée.

Son père avait trouvé l'oiseau rare et il en profitait pour son plus grand bonheur.

Clarisse avait fermé les yeux, fébrile et pressée d'être prise alors qu'il venait de s'allonger sur elle. Elle ne put s'empêcher de gémir lorsque la queue d'une taille au-dessus de la moyenne vint s'infiltrer entre ses lèvres.

Ce fut du délire lorsqu'il s'enfonça complètement avant de commencer de très lents vas et viens.

Était-ce parce qu'elle était à eux qu'elle était autant excitée où la raison était due à sa nudité forcée. Elle sentit son corps envahi par le plaisir dès les premiers coups de reins, ne comprenant pas pourquoi elle était autant réceptive.

Plus l'homme piochait en elle et plus ses gémissements étaient forts. Clarisse finit même par perdre tout contrôle lorsque la vague de plaisir fut trop forte, se laissant complètement aller à des cris de jouissance.

Philippe, en découvrant le comportement de la jeune femme eut une bouffée d'orgueil et redoubla d'ardeur. C'était la première fois qu'une femme se comportait de la sorte et il adora ça. En la voyant autant jouir alors qu'il la prenait, un sentiment de puissance s'empara de tout son être et il eut envie d'aller un peu plus loin.

Se retirant juste avant d'exploser, il lui laissa du temps pour qu'elle reprenne ses esprits.

Son membre était toujours tendu mais il voulait maintenant autre chose pour se vider les couilles.

- Mets-toi à quatre pattes, j'ai envie d'éjaculer dans ton petit cul. Ordonna-t-il en libérant le corps de la jeune femme

Clarisse qui sortait de la torpeur dans laquelle elle était plongée, frissonna. Elle avait essayé une seule fois de le faire avec Julien et l'avait regretté. Pour lui faire plaisir elle avait accepté d'être sodomisée et c'était devenu un enfer.

Elle avait cru mourir lorsqu'il avait forcé son anus inviolé et avait eu très mal durant de très longues heures. Plus jamais elle n'avait voulu qu'il le refasse, trouvant cela trop douloureux et même avilissant pour la gent féminine.

Là, en ayant accepté de se vendre, elle ne se voyait pas dire au fils qu'elle refusait de lui offrir son cul. Pourtant, elle avait tellement peur de se faire sodomiser, qu'elle essaya tout de même de le dissuader, parlant pour la première fois depuis qu'elle était arrivée.

- Vous voulez vraiment me prendre ....

- T'enculer! Oui bien sur, dépêches-toi.

- C'est que... je ne l'ai fait qu'une fois et...

- Tu te magnes, on t'a payé assez cher pour faire ce que l'on veut de ton corps.

Ces derniers mots firent comprendre à la jeune femme qu'elle n'avait pas le choix et en se rappelant le contrat qu'elle avait signé, elle blêmit d'inquiétude. Si elle refusait de faire ce qu'il lui demandait elle serait obligée de rendre son avance et repartirait sans sa grosse somme d'argent.

Ne disant plus rien, elle se positionna comme demandé, sachant que cette fois elle n'en retirerait aucun plaisir.

Une fois à quatre pattes, telle une petite chienne obéissante, elle attendit que l'homme vienne se positionner derrière elle. Elle avait très peur mais elle ne devait surtout pas le montrer. En acceptant les 200 000 euros, elle devait se surpasser pour ne pas tout perdre même si cela pouvait paraître horrible.

- Tu as un cul incroyable

Clarisse avait fermé les yeux et restait immobile, gardant juste les cuisses écartées pour permettre à l'homme de se positionner. Elle essaya de respirer lentement lorsqu'elle le sentit venir se placer derrière elle, sachant que bientôt elle allait avoir mal.

Son cœur se mit à battre plus fort lorsqu'elle sentit le gland venir appuyer sa rondelle. Il ne lui préparait même pas son petit trou en le lubrifiant avant. Il devait estimer que sa queue était suffisamment enduite après avoir trempé dans son intimité et elle espérait que cela suffirait.

Elle étouffa un cri lorsqu'il se mit à la forcer, essayant d'ouvrir le passage. Ce fut encore plus douloureux que dans ses souvenirs car là il y allait franc jeu, ne cherchant qu'à faire mal.

Elle se dit qu'elle ne devait surtout pas craquer pour ne pas lui montrer de faiblesse. Elle voulait lui prouver qu'elle méritait l'argent et pour ça elle devait se surpasser.

Elle s'imagina être la sportive à bout de forces qui continuait son effort pour finir sur le podium. Pourtant, malgré toute sa motivation, elle ne put s'empêcher de pousser un petit cri lorsque la queue s'enfonça dans ses chairs.

Le plus étonnant était que cela l'excitait que de vouloir à tout prix se surpasser et elle aimait le fait de résister au mal. Aussi, elle se maudit d'avoir eu ce moment de faiblesse et elle essaya de se décontracter au maximum alors qu'il s'enfonçait dans son petit trou.

L'homme lui avait saisi ses hanches pour mieux la pénétrer et lentement le pieu de chair s'enfonça dans son cul. La douleur était des plus horribles et pourtant elle restait silencieuse pour le bonheur de son violeur.

Philippe savait qu'il lui faisait très mal et il jubilait de la voir aussi passive alors qu'il la sodomisait. Petit à petit son membre s'enfonçait dans son canal étroit, l'ouvrant inexorablement sans aucune rébellion.

C'était la respiration haletante de la jeune femme qui trahissait toute l'affliction qu'elle devait endurer et c'était merveilleux pour l'homme. Contrairement à toutes les autres femmes que son père avait ramenées, elle se comportait vraiment comme une esclave en les laissant maltraiter son corps.

Lorsque le cul céda, Clarisse poussa un gémissement alors que l'homme se mit à la prendre avec force, lui défonçant l'anus. Jamais il n'avait pris un tel pied avec une femme et il la laboura durant un bon moment avant de se vider dans un râle de plaisir.

Pour la jeune femme, en sentant les jets chauds de sperme se répandre en elle, une fierté incroyable s'empara de son être. Malgré toute la douleur, elle s'était surpassée et avait réussi à s'offrir sans aucune résistance.

Heureuse, elle se dit qu'elle avait mérité son argent même si on en était qu'au début du contrat.

- Il est treize heures, mon père doit nous attendre pour manger.

Sans attendre de réponse, il quitta le lit et sortit de la chambre. Clarisse, qui ne connaissait pas la maison, se dépêcha de se lever malgré la douleur au niveau de son anus et elle suivit en grimaçant le fils, affamée elle aussi.

Elle ne s'était pas rendu compte de l'heure, pensant même qu'il était plus tard que ça.

Ils traversèrent une partie de la bâtisse avant d'arriver dans une cuisine hors norme. Cette dernière était gigantesque et la grande table trônant au centre paraissait ridicule.

Elle était équipée comme dans un restaurant et Noël retirait du feu une casserole toute fumante. Vu le peu de temps dont il disposait, le repas avait dû être préparé d'avance et il n'avait dû que le réchauffer.

Mais le plus surprenant n'était pas le fait que la cuisine soit aussi grande, le plus étonnant était que le vieux ne portait pas de pantalon et qu'il avait le sexe pendant.

Sur la table, seules deux assiettes étaient dressées et aux sourires des deux hommes, la jeune femme fut un peu perdue.

- Vu comme ton corps est parfait ce qui laisse à penser que tu ne dois pas manger grand-chose, pour le repas tu vas sucer mon père.

Le vieux déposa la casserole sur un dessous-de-plat et alla s'asseoir à la table, imité par son fils.

La jeune femme resta immobile durant quelques minutes, se tenant bêtement debout avant que le père, en colère, ne la sorte de sa torpeur.

- Tu viens me sucer oui ou merde.

Clarisse, réalisant qu'elle n'aurait rien d'autre à manger que le sexe du vieux, s'approcha de la table et se mit à quatre pattes pour passer en dessous.

En voyant ça, le père écarta les jambes pour accueillir la jeune femme alors qu'il s'était assis sur le bord de la chaise.

Décidément, elle n'aurait jamais pensé, ce matin en se levant, qu'elle allait passer sous une table pour tailler une pipe à un homme millionnaire. Et pourtant, en glissant entre les jambes du vieux, elle allait faire une chose inimaginable encore quelques heures plus tôt.

Le sexe, même s'il était de très bonne taille, n'était pas complètement bandé, ne demandant qu'à être cajolé.

Clarisse, voulant faire pour le mieux, le décalotta complètement afin de mettre le gland à nu.

L'odeur qui s'en dégageait n'était pas ragoûtante preuve que l'argent n'était pas forcément synonyme de propreté.

Malgré le dégoût, elle ouvrit grand la bouche pour engloutir le gros bourgeon. Avec une extrême douceur, elle se mit à le masser entre sa langue et son palais alors qu'une de ses mains caressait ses testicules fripés.

- Putain que c'est bon! Elle sait y faire la pute.

- Tu aimes papa?

- Oh oui...

Les mots qu'elle entendait motivaient la jeune femme qui voulait vraiment être irréprochable.

Une fois le membre bien dur, elle se mit à faire de lents va et viens jusqu'au fond de sa gorge, se surpassant pour l'occasion.

Elle avait déjà sucé Fabien mais jamais elle n'y avait vraiment pris son pied. Là, c'était différent et le plaisir qu'elle en tirait était celui qu'elle lui donnait. Il l'avait acheté une grosse somme et elle ne voulait surtout pas le décevoir.

De temps en temps elle libérait le sexe pour le lécher telle une glace, laissant courir sa langue le long de la hampe, allant jusqu'aux testicules.

Cela avait l'air de plaire au vieux qui gémissait parfois, faisant rire son fils qui haranguait alors la jeune femme.

- Tu aimes lécher mon père, tu n'es vraiment qu'une chienne.

- Laisse la faire... c'est trop bon...

Clarisse en voyant le sexe palpiter de désir, sut qu'il allait bientôt exploser et lâcher son venin. Elle ne voulait pas lui déplaire et avait décidé de tout boire et de ne perdre aucune goutte.

Emprisonnant le membre bien au chaud au fond de sa bouche, elle s'activa pour arriver à ses fins, le suçant avec hargne.

L'homme gémissait de plus en plus fort, sous le regard envieux de Philippe qui bandait de nouveau. A sa crispation, son fils sut que son père avait joui alors que Clarisse buvait avec délectation le liquide visqueux projeté au fond de sa gorge.

Pour elle c'était comme une victoire en recevant la semence chaude, preuve qu'elle avait bien œuvré avec le sexe de son maître.

C'est alors qu'elle se rendit compte qu'à plusieurs reprises elle l'avait considéré ainsi. serait-il donc son maître durant les deux jours à venir?

C'est vrai qu'il l'avait achetée et qu'elle appartenait à l'homme.

Consciencieuse, elle suça avec application le membre pour en extraire les dernières gouttes. Elle en avait presque oublié la propreté douteuse lorsqu'elle s'en était approchée et pensa même que maintenant, il était bien nettoyé.

Le vieux, comme s'il s'était agi d'une chienne, glissa sa main sous la table pour lui caresser la tête.

- Si elle en a fini avec toi, j'aimerai bien qu'elle vienne me sucer à mon tour.

- Tu en as profité tout a l'heure, je la garde entre mes cuisses.

Clarisse fut un peu rassurée en se rappelant que l'homme l'avait sodomisée sans se laver après. Pour remercier le vieux elle se mit de nouveau à lécher son membre mou qui pendait entre ses cuisses.

Cela eut l'air de bien lui plaire car son sexe grossit rapidement malgré l'âge avancé de son propriétaire.

Durant tout le repas, elle resta sous la table à s'occuper de sa queue, réussissant à le faire jouir à trois reprises. À la fin, le vieux dut la calmer, lui demandant de penser à son cœur alors que Philippe rageait intérieurement de ne pas avoir été sucé comme son paternel.

Lorsqu'ils eurent fini de dîner, ils la firent sortir de dessous la table.

Clarisse avait très faim mais elle n'osait pas le dire car la semence du vieux ne l'avait pas nourrie.

- Je sais que tu aimerais la prendre mais il va falloir attendre un peu, il y a la séance photo avant.

- Déjà! Putain je n'avais pas vu qu'il était déjà 14h00. Ils vont arriver dans pas longtemps

- Emmène-la à la douche et surtout hors de question que tu la baises avant. Je la veux nickel pour la séance.

La jeune femme en les entendant parler eut très peur. Elle venait de comprendre qu'elle allait être photographiée et il en était hors de question. Il y avait de grandes chances qu'elle reste nue pour les photos et elle ne voulait pas de ça pour sa sécurité.

Pourtant ils en avaient le droit car elle avait perdu tout droit sur son corps durant les deux prochains jours. En voyant son air paniqué, Noël lui sourit tout en la réconfortant.

- Tu n'as rien à craindre pour les photos, vu le prix que tu m'as coûté, c'est juste un souvenir que je veux garder de toi.

- Mais, vous... je serais nue?

- Tu seras comme on ne t'ordonnera, lui répondit le fils méchamment.

Clarisse eut peur en entendant le fils, préférant se taire plutôt que de l'affronter. Après tout si c'était juste un souvenir qu'il voulait, pourquoi pas.

Elle suivit sans un mot l'homme qui la conduisit jusqu'à une grande salle d'eau et dans laquelle une serviette propre était posée sur le lavabo.

- Lave-toi bien, je viendrais te chercher dans dix minutes.

Cela ne faisait que quelques heures qu'elle était à leur disposition et elle trouvait que cela dérapait déjà. En signant ce contrat, elle s'engageait à obéir sans concessions et s'ils voulaient la photographier entièrement nue, elle ne pouvait pas refuser.

Après tout elle aurait 200 000 euros à l'issue et pour cette somme elle ne pouvait qu'être très obéissante.

Elle resta durant les dix minutes sous l'eau chaude, se savonnant avec minutie, insistant sur son intimité et sa poitrine. C'était bizarre que de se nettoyer en sachant que c'était pour des inconnus. Elle décapait son corps comme elle l'aurait fait d'une voiture qu'elle aurait mise en vente mais là, il ne s'agissait nullement d'une chose mais de sa propre personne.

Elle était en train de se sécher lorsque l'homme revint la chercher.

- Tu n'es pas prête, lui dit-il sèchement

- Si... si... j'ai fini

Ne voulant pas être disputée, elle suivit l'homme la tête basse. Il l'amena dans un coin de la bâtisse qu'elle ne connaissait pas pour atterrir dans une grande chambre vieillotte mais au lit XXL.

En rentrant dans la chambre, le cœur de Clarisse se mit à battre la chamade. Elle était horrifiée mais préférait se taire.

Noël était présent et discutait avec un homme qui semblait être le photographe. Des appareils photo étaient posés sur une petite table mais ce n'était pas cela qui affolait la fille.

Un géant noir se tenait dans un coin de la pièce et il était entièrement nu. Il devait faire deux mètres de haut et sa musculature impressionnante était presque inhumaine.

Mais ce qui paniquait le plus Clarisse était le membre hors normes qui pendait entre ses cuisses.

Elle comprit, paniquée, que les fameuses photos risquaient d'être avec lui et elle ne voulait pas faire des poses érotiques. Mais comment le dire au vieil homme alors qu'elle était là de son plein gré, n'ayant jamais été forcée pour accepter le contrat.

Pourtant, en examinant le grand noir, une certaine excitation s'empara d'elle. Jamais son corps ne pourrait recevoir son gourdin et pourtant elle sentait une chaleur monter de son bas-ventre.

La séance photo risquait de tourner à l'horreur si elle passait dans les bras de cet homme et pourtant elle venait de prendre sa décision.

À moins que cette séance ne soit juste destinée pour qu'elle refuse de le faire afin qu'elle rende l'argent.

Non, il était hors de question qu'elle redonne un seul euro même si pour cela elle devait se faire déchirer. S'ils voulaient la faire renoncer, c'était perdu d'avance car elle serait plus forte qu'ils ne pouvaient le penser.

Noël, en voyant la jeune femme, se rapprocha d'elle, accompagné du photographe.

- Clarisse, je te présente Samuel, un ami passionné de photos et Joseph avec qui tu vas poser.

- Heu... bonjour

- Vous êtes magnifique, lui dit le photographe qui ne pouvait détacher ses yeux de son corps dénudé.

- merci

Samuel lui montra le lit, lui expliquant que pour commencer elle serait photographiée toute seule. Employant tout naturellement le tutoiement, il lui dit.