LAURA 099: pas touche à mon homme

En août 1976 avec J.Pierre mon mari nous partons en vacances dans une location que nous avons réservée dans une station balnéaire du sud. La résidence dans laquelle nous logeons est en forme de U et chaque appartement a un balcon, nous avons vue sur ceux situés en face de notre appartement.

Sur la plage j'adopte le maillot deux pièces ou bien je ne porte que le slip.

En ville et dans l'appartement je porte un maillot échancré ou à bretelles et soit une mini jupe légère ou un short seyant.

Je veux paraître sexy mais pas indécente.

En face de nous réside un couple dont la femme brune Sonia pas mal faite est en maillot de bain du matin au soir, comme elle a une forte poitrine on se demande comme ses seins arrivent à rester en place dans son soutien-gorge qui paraît mini.

Rapidement je m'aperçois qu'elle se livre à un manège qui me déplaît.

Quand J.Pierre est seul sur le balcon j'ai remarqué qu'automatiquement la femme vient sur le sien et soit elle s'allonge sur un transat en prenant des poses lascives jambes écartées ou elle s'accoude à la rambarde et regarde fixement longuement mon mari en souriant.

Il ne lui faut que peu de temps pour agrémenter la vue que mon mari a sur elle. Au bout de deux jours elle commence à prendre systématiquement des bains de soleil avec ses gros seins nus quand J.Pierre se prélasse sur le balcon et qu'il est susceptible de l'apercevoir.

Ni ma présence sur mon balcon ni celle de son mari à ses côtés sur leur balcon ne semble beaucoup gêner cette salope.

Quand je suis occupée et que J.Pierre sort faire des courses ou se promener seul car je ne peux pas l'accompagner elle en profite pour le suivre et s'arrange pour croiser son chemin et lui faire du charme.

Sans se soucier de moi elle insiste bien qu'il ne semble pas se préoccuper de son manège.

Elle ne tarde pas à venir s'installer à côté de nous sur la plage et exhiber sa grosse poitrine.

Quand Pierre va se baigner elle en fait autant et s'arrange pour nager à côté de lui allant même jusqu'à le percuter pour pouvoir entamer la conversation avec lui.

L'attitude de Sonia a le don de m'énerver même si je ne dis rien.

Je suis peut être une salope et même une putain dans la vie courante mais j'ai la décence de ne pas draguer un homme devant sa compagne.

Après une semaine à ronger mon frein je décide de passer à l'action ce qui m'ennuie car en vacances j'ai pour principe de ne me consacrer qu'à mon mari et profiter du beau temps et de la mer.

Je pense que pour l'atteindre je dois m'attaquer à son mari, je ne connais qu'une manière de le faire et la pute qui sommeille en moi refait surface.

Les jours suivants quand Anthony son mari quitte seul leur appartement, habillée d'une jupe ultra courte et d'un maillot à bretelles ajusté, sans soutien-gorge (une bonne partie de mes seins est apparente et les tétons pointent à travers le tissu léger) je le suis puis je le rejoins.

Pour commencer je lui dis bonjour et je lui souris puis quand je constate qu'il s'intéresse à moi (surtout à ce qu'il voit de mon corps) je commence à l'aborder.

Si au début nos conversations sont un peu laborieuses elles deviennent plus libres ensuite.

Nous en arrivons à boire un verre ensemble, c'est lui qui m'a invitée.

Au bout de deux jours je lui fais du rentre dedans et je commence à le draguer ouvertement.

Il n'est pas insensible et ses yeux ont du mal à quitter mon anatomie mais de là à arriver à conclure ce n'est pas gagné.

Puis je m'aperçois qu'un changement survient dans son attitude car à la moindre occasion il me cherche du regard, il me sourit et recherche ma compagnie quand je suis seule en ville.

Je ne risque pas d'être dérangée par son épouse, elle est bien trop occupée à faire du charme à J.Pierre et mon absence et celle de son homme l'arrange.

Maintenant je suis pratiquement sure de parvenir au but que je me suis fixé, je pars faire des courses certaine de croiser Anthony et effectivement je le rencontre et l'accoste.

Certaine qu'il ne me résistera pas longtemps je prends un air enjôleur.

- bonjour, tu te promènes seul! tu vas où? je peux te tenir compagnie? -

- si tu veux! je n'ai pas de but précis -

En chemin nous parlons de tout et de rien puis j'oriente la conversation sur le plan sexuel.

- les vacances c'est le meilleur moment pour faire l'amour, tu ne crois pas -

M'entendre dire ces mots l'étonne mais ne semble pas le choquer.

- je ne sais pas, pourquoi dis tu ça -

- parce que c'est bien connu que c'est la période où les couples font plus souvent l'amour et que se créent les couples illégitimes -

- tu as certainement raison -

- ça va avec ton épouse question cul -

- oui! pourquoi tu me demandes tu ça -

Il est décontenancé mais sa réponse n'est pas franche.

- ça ne t'intéresses pas une petite incartade, moi j'y pense -

- moi aussi quand je vois toute cette chair fraîche dans les rues et sur la plage mais je n'ose pas me lancer -

- si l'occasion se présente moi je fonce et tu m'intéresses si ça te dit -

- je ne vais pas tromper ma femme ici -

- on peut faire ça discrètement, personne n'en saura rien et je ne te parles pas du grand amour juste d'une petite récréation qui nous fera du bien à tous les deux -

- si ma femme l'apprend je risque gros -

- qui ira lui dire: pas toi ni moi et ici les gens ne nous connaissent pas -

- je voudrais bien mais j'ai peur que par le plus grand des hasards elle me surprenne avec une autre femme qu'elle -

- à nous d'être discrets, il n'y a pas de risques si nous n'en parlons à personne et prenons des précautions -

Nous passons dans une rue ou il y a un renfoncement qui me semble assez discret.

Je tire Anthony par le bras, je me colle contre lui et passe mes bras autour de son cou.

Ma bouche est sur le sienne et ma langue force le passage et cherche la sienne.

Il finit par réagir et participer.

Pendant que nos langues se mêlent dans de longs baisers je frotte mon ventre et ma poitrine contre lui, rapidement son short se retrouve bien déformé par son sexe qui est gonflé par l'envie.

Il m'enserre dans ses bras et prolonge les baisers qui nous unissent.

Quand nous nous séparons il est gêné car son érection est bien visible et il veut attendre seul qu'elle se résorbe avant de reprendre son chemin.

Le lendemain je le revois, je l'embrasse sur la bouche en guise de bonjour tout en me frottant contre lui.

- il va falloir faire quelque chose, j'ai trop envie de toi. Fais quelque chose pour éteindre l'incendie qui couve dans mon ventre -

Il finit par accepter un rendez-vous pour le surlendemain matin dans le local ou est rangé le linge sale de la résidence.

Le lendemain Anthony quitte son appartement pour aller se promener, avant d'aller le rejoindre j'en profite pour venir glisser un mot sous la porte de leur appartement.

Sur le papier j'ai marqué: rendez-vous demain à 10 heures dans le local ou est entreposé le linge sale, signé celui qui a l'air de te plaire et qui brule de te connaitre plus intimement.

Respectant le jour et l'heure du rendez-vous je me rends dans le local de la résidence ou ils stockent le linge sale et les produits d'entretien, Anthony m'y attend déjà.

Après que nous ayons échangés quelques paroles je me colle à lui.

Nous nous étreignons, ma bouche se colle à la sienne et nos langues se cherchent puis se mêlent, je fais durer les baisers.

Une main caresse ma poitrine, mon ventre puis mon sexe par dessus les vêtements.

Sa main passe sous mon maillot, déplace mon soutien-gorge et caresse mes seins pour ensuite soulever ma mini jupe et se glisser dans mon slip de bain et caresser mon sexe.

Il s'agite frénétiquement ne voulant pas perdre de temps.

j'en fais autant sur son torse et son sexe par dessus ses vêtements puis ma main s'insinue dans son short et je masturbe doucement sa queue.

Je retire mon slip de bain puis je baisse son short et son caleçon qui tombent à ses pieds, il lève les jambes pour s'en débarrasser.

Sa petite verge est bien dressée, je continue à la masturber.

Il est impatient de me pénétrer, j'essaie de faire durer les préliminaires.

Comme la personne espérée ne pénètre toujours pas dans le local il va donc falloir que je passe à la casserole.

Cela m'inquiète que sa femme à qui j'ai donné rendez-vous ici en me faisant passer pour mon mari soit en retard.

Que Anthony me saute ce n'est pas grave et je n'en mourrais pas car je ne suis pas à un coup de queue près.

Ce qui me contrarie le plus c'est qu'elle flaire le piège, ne vienne pas et aille trouver mon mari avec le mot que j'avais glissé sous sa porte.

Anthony s'adosse contre le mur, je passe mes bras autour de son cou. Il met ses mains sous mes cuisses et me soulève.

Il m'empale sur son petit pieu qui pénètre facilement dans mon intimité même si je ne suis pas transportée par les envies.

Je commence à remuer en m'aidant de mes bras et de mes jambes. La queue n'a pas fait beaucoup d'aller-retour dans ma chatte quand la porte du local s'ouvre,

Sonia entre dans la pièce et reste figée sur place et bouchée bée à nous regarder.

Dés qu'il la voit Anthony débande et me lâche, si je n'avais pas passé les bras autour de son cou je me serais retrouvée par terre.

Les cris et hurlements de Sonia commencent pendant que son mari reste là penaud ne sachant pas quelle attitude adopter.

Je ramasse mon slip de bain et je sors rapidement du local les laissant s'expliquer.

Je rejoins mon mari qui m'attend car nous partons en excursion en voiture pour la journée, j'avais programmée cette sortie pour éviter de le mêler à l'histoire afin de ne pas être là pendant la scène de ménage que j'ai provoquée et pour éviter les éclaboussures.

Nous rentrons tard le soir et quand le lendemain matin je regarde par la porte fenêtre je constate que l'appartement en face est vide.

Soulagée je regagne notre chambre, j'appelle J.Pierre qui déjeune.

- si tu avais des vues sur la femme d'en face c'est raté, le couple est parti, l'appartement est vide, il va falloir que tu reprennes ton plan drague avec une autre proie -

- je sais qu'elle me draguait mais elle ne m'intéressait pas -

- que tu dis -

- c'était une drôle de salope mais j'en ai une encore mieux à ma disposition avec qui j'adore faire l'amour -

- ce sont des paroles, prouves le par des actes -

Il ne se fait pas prier et me fait l'amour, excitée je me donne à fond dans notre étreinte.

Je ne sais pas si mon mari qui est souvent en déplacement me trompe mais je ne m'en soucie pas car à la maison il est parfait sexuellement et gentil avec moi.

Mais cette Sonia dépassait les bornes et je sais être méchante et sans pitié quand on me marche sur le pied.