LAURA 024: le mari de mon amie

Je fréquente régulièrement Carole une excellente amie.

Chez elle je rencontre souvent Cédric son mari qui travaille en équipe soit le matin, soit l'après midi.

Quand il est là il tourne en rond dans le salon sans vraiment participer à la conversation pendant que nous buvons un café installées dans des fauteuils. Carole ne comprend pas son comportement, quand ils sont seuls chez eux il trouve toujours un prétexte pour partir on ne sait où.

De plus elle trouve il n'est plus très attentionné avec elle. Je lui conseille de parler avec lui, de se montrer insistante pour qu'il lui donne les raisons de son comportement.

Lors d'une de mes visites suivantes elle aborde tout de suite le sujet.

Elle me raconte qu'elle a parlé avec son mari et que je suis la cause de son comportement étrange. Il fait une fixation sur moi et s'imagine souvent en train de faire l'amour avec moi.

En gros il fantasme sur moi. Cette révélation m'ennuie. Elle ne voit pas comment lui enlever les idées bizarres de sa tête.

J'avais remarqué qu'il me regardait souvent (mais ça j'en ai l'habitude avec les hommes surtout qu'avec mes jupes ou robes courtes je montre facilement mes cuisses) et qu'il restait beaucoup dans les parages quand je venais. Il a un Physique de sportif, il est attirant.

En riant je réponds:

- il n'a qu'a faire l'amour avec moi et ça le calmera -

- Oh non! on ne va pas aller jusque là, que deviendrait notre amitié -

- je blague -

Je lui donne des conseils pour qu'ils se rapprochent: des habits sexy, voire du très peu ou pas habillée. Adopter une attitude provocante, jouer à la salope une attitude qu'aiment les hommes.

Quand ils sont proches oser des gestes et pratiquer des actes inopinés. Pour résumer faire tout pour l'allumer en changeant ses habitudes pour ranimer la flamme de Cédric en le surprenant.

Mais j'ai ma petite idée pour lui faire passer son fantasme, je ne peux pas en parler a Carole, mais je pense connaitre la manière d'y arriver.

Par expérience je sais que lorsque on obtient quelque chose que l'on désire ardemment au point d'être obsédé, le regard sur cette chose change.

Par Carole je sais ou il se rend souvent en ville, je m'arrange pour trainer souvent dans les parages du bar qu'il fréquente. Deux jours après l'inévitable se produit, je tombe nez a nez avec Cédric évidemment par hasard.

- bonjour, que fais tu dans le coin -

- je me promène au hasard des rues -

Il m'invite à boire un café dans un bar proche. Nous parlons un moment de tout et de rien. Il me dévisage beaucoup, je vois qu'il est attiré par moi.

Quelques jours plus tard je m'arrange pour le croiser de nouveau dans la rue et je l'invite à boire un verre Installés à une table dans un bar je démarre le scénario que j'ai concocté.

Je lui dis que je dois me rendre le lendemain, un mardi, dans une administration à Compiègne, que c'est urgent, je ne sais pas comment y aller mon mari est en déplacement en Belgique. C'est honteux de ma part le parcours est bordé de forêts qui serviront pour je l'espère arriver a mes fins.

Il me propose de m'emmener. Je lui dis que Carole ne sera pas forcément d'accord. Il me répond qu'elle n'a pas besoin de le savoir, qu'il vaut mieux que je passe ça sous silence.

Nous discutons du lieu et de l'heure du départ. Nous quittons le bar et après des bisous sur les joues nous nous séparons. Sans se méfier, ne me connaissant pas, il marche à fond dans ma combine, le piège se referme.

Le mardi je m'habille sexy: bas, porte jarretelles, jupe courte seyante, soutien gorge seins nus et maillot très ajusté. Les tétons de mes seins pointent a travers le tissu. Je me dis que je suis une sacrée salope.

A 14 heures j'arrive au rendez vous. Il m'attend dans sa voiture et m'ouvre la portière.

En montant je retire ma gabardine et m'assois, ma jupe remonte. Ses yeux se fixent sur moi, il est très intéressé par mon corps.

- tu es mignonne aujourd'hui -

En souriant je lui réponds:

- c'est normal pour une fois que je sors avec toi, c'est pour te plaire -

A son visage je vois qu'il marque le coup. Il démarre et continue à jeter des regards vers mes cuisses puis en route nous parlons de sujets divers.

Nous arrivons dans les endroits boisés, je commence mon numéro, je me déplace sur le siège en ouvrant au maximum les cuisses. Je suis satisfaite quand ma jupe a bien remontée pour arriver au niveau de mon sexe.

Il s'empourpre et ne peut détacher son regard de mon entre-jambes étonné et attiré par ce que je lui montre. Il balbutie:

- tu n'as pas de culotte? -

- non! je n'en mets pas toujours, ça ne te plait pas, tu veux que j'en mette une -

- non! ce n'est pas nécessaire -

Mes yeux se posent sur une certaine partie de son corps, une belle bosse m'indique dans quel état je l'ai mis.

Je lui demande de se garer dans un chemin.

- pourquoi -

- tu ne vas pas conduire dans cet état, j'ai prévu de te remercier pour le déplacement -

- je ne veux pas d'argent -

- qui parle d'argent il y d'autres façons de remercier quelqu'un, je suis sure que tu préfères profiter d'autre chose comme de mon corps par exemple -

Il ne s'attendait pas à ça, tout doit s'embrouiller dans son cerveau.

Comme je l'avais prévu l'envie de me sauter devient trop forte. Il s'engage dans un chemin et freine brutalement pui il coupe rapidement le moteur.

Je ne le laisse pas réfléchir et me déplace vers lui et rapidement mes lèvres se posent sur les siennes. Ma langue s'enfonce dans sa bouche et recherche la sienne, il répond à mon baiser. Ma main se déplace vers la partie gonflée de son pantalon et caresse son sexe par dessus le tissu.

Il accède à ma demande et n ous sortons de l'auto. rapidement pour ne pas le laisser se raviser je retire mon maillot et dégrafe ma jupe qui tombe sur le sol. Il est médusé par tant d'audace et son regard reste fixé sur mon corps nu, je ne fais pas dans la demie mesure.

Prenant toujours les initiatives je m'attaque a son pantalon puis son slip. Je sors une belle queue bien raide que je caresse.

je me mets a genoux, je lèche le pénis et les testicules puis j'entreprends en m'appliquant une fellation pendant qu'il caresse mes cheveux et mon visage. Rapidement il se raidit et arrose ma gorge, j'avale et continue a sucer un petit moment.

Je continue à prendre les initiatives. Nous montons à l'arrière de la voiture, il s'allonge sur la banquette.

Je m'accroupis sur lui (me plaçant au mieux vu le manque de place), avec une main je prends son pénis et l'introduis dans mon vagin. Nous bougeons ensemble et nous nous embrassons. Je caresse son torse et lui mes seins, mon dos et mes fesses.

Au bout d'un moment sa queue tressaute dans ma chatte et il arrose mon ventre de sperme. je me retire.

Il prend un mouchoir en papier pour s'essuyer le sexe et un autre qu'il me tend pour que je puisse essuyer ma chatte.

Je recommence a le caresser, ses mains s'occupent particulièrement de ma chatte et de mon clitoris pendant que je suce sa verge qui prend petit a petit des dimensions honorables.

Quand je suis satisfaite de mon travail je sors, je me penche en avant et me positionne en levrette debout les jambes écartées et la tète appuyée sur le siège.

Cédric se met derrière moi et sa queue pénètre mon vagin, il s'active en caressant mon dos et mes seins qu'il déforme en tirant sur les tétons puis ses mains caressent mes cuisses et un doigt s'agite sur mon clitoris.

Je caresse ses testicules et ses cuisses. Les va et vient du pénis dans ma grotte durent un bon moment. Je mouille beaucoup et il finit par éjaculer dans mon vagin.

Nous nous essuyons et rhabillons, pour contenir le sperme qui commence a couler je mets la culotte qui se trouve dans mon sac à main.

Nous reprenons la route et pendant que nous roulons j'ai droit a ses commentaires. Il est ravi mais trouve que je suis une drôle de nana, oser faire ça a sa copine il ne comprend pas. Je lui rétorque que c'est lui qui me cherchait quand j'allais voir Carole.

Je l'assure qu'avec moi elle ne saura pas ce qui vient de se passer et qu'il fallait bien que je le récompense pour ce qu'il fait pour moi.

Arrivés à Compiègne il se gare devant une administration suivant mes indications. Pour ne pas éveiller ses soupçons je pénètre à l'intérieur, il y beaucoup de monde qui attend. Assise sur une chaise je laisse passer du temps pour paraître crédible puis je sors de l'immeuble.

Il m'attend, m'ouvre la portière et nous prenons la route du retour en devisant. Quand nous approchons de l'endroit ou nous avons fait l'amour je lui propose de se garer et lui dis que l'on peut se faire encore un petit plaisir. Il ne se fait pas prier et se gare dans le chemin.

Nous sortons de l'auto, je me déshabille puis m'évertue à sortir son sexe de son pantalon. A genoux je commence une fellation avalant voracement sa queue. n'ayant pas encore récupéré après nos étreintes pendant le parcours aller je dois beaucoup m'employer pour le faire bander.

Je me relève, mets mes bras autour de son cou, l'embrasse. J'écarte les jambes.

Je lui demande de mettre ses mains sous mes fesses et de me soulever. Il m'empale sur son pénis, il recule et s'appuie le dos contre un arbre. A l'aide de mes bras et des muscles de mes cuisses, pendant qu'il me maintiens fermement en place, je fais monter et descendre mon corps pour faire aller et venir ma chatte sur sa queue.

Notre accouplement dure pendant un moment dans cette position pas très confortable, ll tient la distance puis commence à s'essouffler. Enfin je sens qu'il se raidit puis sa queue tremble dans mon ventre et sa semence coule dans mon vagin.

Il me garde un moment empalé en m'embrassant, puis je sens son membre mollir et rétrécir pour enfin sortir de ma chatte. Il me dépose à terre.

Je remets mes habits et lui son pénis dans son pantalon.

Nous reprenons la route. Il est content, trouve que je suis un bon coup, que je fais très bien l'amour et que je n'ai pas froid aux yeux. Il veut me revoir en toute discrétion.

J'accepte quelques rendez vous assez espacés car Carole ne doit pas se douter de ce qui se passe. Nous nous revoyons encore trois fois, nos ébats ont lieu au même endroit mais sont plus intenses.

Nos rendez-vous ont toujours lieu un mardi, puis notre histoire se termine. Entre nous ce n'était que sexuel, il n'y avait pas de sentiments amoureux.

Je continue à voir Carole qui me raconte les efforts qu'elle fait pour se rapprocher de son mari, les moyens qu'elle emploie et qui portent leur fruit. Le comportement de Cédric change à son égard:

Il ne lui connaissait pas ce coté salope et apprécie ce que par son audace et ses initiatives elle le surprenne inopinément à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit.

Il lui raconte qu'au travail il bande en pensant à ces choses. Elle me dit qu'il ne lui parle plus de moi, d'ailleurs quand je me rends chez elle on ne le voit plus.

Elle met sur le compte de la fatigue du travail que certains mardi (les jours où j'appliquais ma thérapie) elle n'arrivait pas à mettre son pénis en forme.

Si elle savait ce qui s'est passé elle m'en voudrait à mort, mais il fallait ça pour remettre son couple sur les rails, le résultat est là. J'aime beaucoup Carole et le but n'était pas de mettre son couple en péril, bien au contraire.

Quand on a goûté au fruit défendu il n'a plus la même saveur.

C'était le but de mes manigances pour que Cédric ne fasse plus de fixation sur moi, on ne regarde plus de la même façon quelque chose qu'on a désirée une fois qu'on l'a eu et pour avoir vécu certaines situations avec des hommes qui m'obsédaient je sais de quoi je parle.