LAURA 048: les vendanges

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Les vendangeurs profitent de mon corps.
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Partie 48 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Pour le deuxième année, en compagnie de J.Pierre mon mari, je fais les vendanges dans une propriété au vin réputé du département de la côte d'or.

Ce n'est pas très intéressant financièrement mais c'est plaisant et c'est une chose que l'on avait envie de faire depuis un bon moment.

Mais malheureusement cette année J.Pierre doit partir en déplacement avant la fin de la cueillette du raisin. Il reste une bonne semaine de travail pour en terminer.

Les gens du coin retournent chez eux après le travail, comme ceux qui résident assez loin nous logeons sur place.

En plus de nous cinq hommes (Paul, Alain, André, Marc et Pascal) partagent le même dortoir.

Une cloison mince sépare la partie femmes où se trouvent deux lits d'une personne et où je couche avec mon mari, je suis la seule femme et nous sommes le seul couple à loger dans le dortoir.

De ce fait nous faisons l'amour succinctement en évitant de faire du bruit car les lits métalliques grincent.

La dernière semaine commence et J.Pierre est parti de bonne heure pour l'Allemagne. Il fait beau en ce mois de septembre et je me rends dans la vigne vêtue d'un maillot ajusté, d'un short qui moule mes fesses et je suis chaussée de tennis. Une tenue habituelle pour moi.

Le matin nous faisons une pose casse-croûte, des hommes me draguent ouvertement.

Je constate que maintenant que je suis seule les hommes deviennent beaucoup plus entreprenants, mon air de salope doit y être pour quelque chose.

Le midi comme tous les jours une table est dressée dans un chemin, les victuailles sont posées dessus, nous mangeons ensemble debout ou assis dans l'herbe.

Le repas terminé je vais dans un endroit tranquille entre les rangs de vigne pour satisfaire un besoin naturel ce qui n'est pas évident pour une femme que pour un homme qui n'a pas besoin de beaucoup se cacher.

Quand je me relève et rajuste mon short André, un homme qui partage le dortoir surgit devant moi.

- qu'est ce que tu fais là! Tu m'as matée pendant que je pissais? -.

- je viens d'arriver, à ton avis, je viens faire avec toi ce qu'un homme et une femme font ensemble -

- tu es fou, on est là pour travailler ce n'est pas le lieu pour ça et on ne se connait pas -

- on va faire connaissance et se faire du bien, là ou ailleurs quelle différence y-

Malgré que mes paroles ne lui laissent pas d'espoir il insiste. Il se colle contre moi, je me dérobe plusieurs fois mais il finit par passer un bras autour de ma taille et me tient fermement.

J'hésite, est ce que je crie et alerte les autres vendangeurs. J'essaie encore de me dégager mais il ne relâche pas sa prise.

Je cesse de me débattre et me pose une question: est il utile de faire un scandale.

Ses lèvres sont sur les miennes et sa main libre caresse ma poitrine. Je capitule, j'ouvre la bouche et mêle ma langue à la sienne.

Une main s'insinue difficilement dans mon short ajusté et vient caresser mon sexe. Il déboutonne mon short et le baisse puis il en fait autant avec mon string. Je lève une jambe pour me dégager des vêtements et les laisse sur la cheville de l'autre jambe.

Il me demande de me mettre à genoux sur le sol puis placé derrière moi il me pénètre en levrette après avoir sorti son sexe de son short. Il s'active et rapidement éjacule dans mon vagin.

Il se retire et se rajuste pendant que je m'essuie puis je me rhabille.

- salaud, je vais rester les fesses mouillées par ton sperme toute la journée -

Il sourit et part retrouver les autres puis j'en fais autant après avoir un peu attendu. Aux regards que me lancent les vendangeurs je vois qu'ils ont compris ce qui s'était passé.

Je passe l'après-midi le cul mouillé et avec le short bien tâché entre mes cuisses.

Le soir ceux qui dorment sur place dînent ensemble puis nous parlons un moment, je suis la seule femme avec cinq hommes, et je passe dans une salle de bain sommaire installée près des dortoirs avant d'aller me coucher en pyjama.

Je commence à m'assoupir quand on pénètre dans ce qui me sert de chambre, l'intrus se glisse dans mon lit et me dit tout bas:

- chut c'est Paul, on va passer un bon moment tous les deux -

- vas t'en, je n'ai pas envie de ça, on va nous entendre et qu'est ce que vont dire les autres -

- la même chose qu'ils on dit quand tu t'es fait sauter par André ce midi -

Ma curiosité est la plus forte.

- et qu'est ce qu'ils ont dit -

- que tu as l'air d'être une sacrée salope, qu'on doit bien s'amuser avec toi et que tu ne dois pas faire de difficultés pour écarter les cuisses -

- merci pour le compliment et les commentaires -

Il soulève ma veste de pyjama et caresse mon corps sans s'attarder à un endroit précis.

Rapidement il se débarrasse de son caleçon et s'allonge sur moi après m'avoir retiré le pantalon sans que je résiste, je me soulève même pour lui faciliter la tâche salope que je suis.

Il ne perd pas de temps en préliminaires. Sa queue bute contre mon sexe et cherche l'entrée de mon intimité dans laquelle elle s'enfonce.

Il se met en action et les va-et-vient de son pénis dans mon vagin sont rythmés par le bruit du lit qui grince. Ses collègues ne doivent plus ignorer ce qui se passe s'ils ne le savaient pas déjà.

Rapidement il éjacule dans mon vagin, se retire et à genoux sur moi présente sa verge au dessus de mon visage attendant que je lui fasse une pipe. je m'exécute et ma bouche avale son membre que je suce énergiquement jusqu'à ce qu'il juge que c'est suffisant.

Il se rallonge sur moi, me pénètre de nouveau et me défonce pendant un moment à grands coups de reins ne se préoccupant pas du bruit maintenant très audible que fait le lit.

Je mouille mais mon plaisir n'est pas très important.

Il se soulage encore dans mon ventre puis se lève et s'en va après m'avoir souhaité bonne nuit.

Après avoir enfilé une chemise de nuit (je ne veux pas tâcher de sperme le pantalon de pyjama) je retourne dans le coin toilette et me lave.

Quand j'en sors Pascal est devant moi.

- je t'attendais, tu es partie trop vite et je n'ai pas eu le temps d'arriver dans ta chambre avant que tu ne viennes ici -

- pourquoi, j'ai sommeil et je n'ai pas envie de parler -

- parler ne m'intéresse pas, c'est pour baiser avec toi, moi aussi j'ai envie de profiter de ton cul -

Il insiste et me plaque debout contre le mur m'obligeant à écarter les jambes et une fois qu'il a retroussé ma chemise il me pénètre et remue en donnant de bons coups de reins pour rapidement inonder ma chatte.

Pesant sur mon dos avec une de ses main il me force à me pencher en avant et se positionne derrière moi puis me prend en levrette. Pendant qu'il me défonce je me cramponne au mur.

Sa queue fait des aller-retour pendant un moment dans mon vagin avant de l'arroser.

Il remet son pénis dans son short et sans s'attarder va se coucher. De nouveau je me lave avant de retourner dans mon lit puis je m'endors.

Le lendemain matin les hommes font comme ci rien ne s'était passé.

Pendant la matinée nous travaillons normalement.

Le midi une fois que nous avons mangé André me fait signe de le suivre, je ne bouge pas, il insiste et je finis par lui obéir de peur qu'il ne se manifeste bruyamment devant les autres.

Dans les vignes il s'assoit sur le sol et me mettant à genoux entre ses jambes je le fais éjaculer en lui faisant une fellation, je recrache le sperme puis je reste toujours à genoux pendant qu'il me prend en levrette et après peu de temps mon vagin reçoit des giclées de sperme.

Je suis loin d'avoir pris du plaisir.

Correctement rhabillés nous retrouvons le groupe de vendangeurs en affrontant leurs sourires ironiques et les remarques.

C'est surtout moi qui suis concernée car je passe pour une grosse salope qui a le feu au cul.

Le soir une fois couchés c'est Marc qui fait irruption dans mon lit. Comme je pressentais que quelque chose allait encore m'arriver je suis nue.

Il caresse un peu mon corps puis je satisfais ses besoins en lui faisant une pipe, il éjacule dans ma bouche puis il pénètre mon vagin et ne met pas beaucoup de temps avant d'y cracher des jets de semence.

Il retourne se coucher et quelques minutes après Alain s'invite dans ma couche, il m'embrasse et se montre un peu plus caressant allant jusqu'à masturber mon clitoris.

Il me pénètre et donne des coups de reins pour faire aller et venir sa verge dans ma grotte.

Quand la jouissance approche il vient se soulager dans ma gorge puis rapidement pour ne pas débander il se remet sur moi et enfonce sa queue dans ma chatte.

Il me défonce avec fougue pendant un petit moment avant d'arroser mon vagin de son sperme.

Je vais me laver et enfile mon pyjama puis je me couche.

J'ai compris qu'ils se sont entendus entre eux pour passer à tour de rôle dans mon lit sans s'occuper de ce que j'en pensais ni si j'étais d'accord.

La semaine se passe ainsi: tous les midi c'est André qui me saute dans les vignes, dés qu'il se lève et me regarde je le suis résignée sans me poser de questions.

Le soir un jour c'est Paul et Pascal qui se succède et me sautent puis le lendemain c'est au tour de Marc et Alain de me prendre faisant monter la température dans mon corps sans m'amener à l'orgasme.

Ils se soulagent trop rapidement dans mon intimité ou ma bouche sans prolonger l'étreinte plus que nécessaire ayant eu ce qu'ils veulent de moi.

Je suis frustrée car ils ne cherchent pas à me procurer le plaisir que je suis en droit d'espérer mais je n'ose pas me caresser et ni me masturber de peur que le bruit du lit ne leur révèle ce que je suis en train de faire.

Je reste avec mes envies inassouvies et chaque soir j'attends que le calme revienne dans mon ventre avant de m'endormir.

Dans les vignes, libérés par mon exemple deux couples illégitimes se sont formés. Un qui s'isole le midi après le repas et qui copule dans les vignes et l'autre qui attend que nous partions en fin de journée pour s'accoupler.

Je ne suis plus la seule femme à être montrée du doigt et critiquée.

C'est la fin des vendanges, le midi un repas ou le vin ne manque pas nous réunit, les tables sont installées sous des arbres dans la propriété des viticulteurs.

Pour l'ambiance on ne peut mieux et même celles et ceux qui étaient plus ou moins coincés pendant la cueillette s'y mettent.

Quand nous quittons le domaine je monte dans la voiture de Marc qui a proposé de me déposer dans la ville voisine.

En route il s'arrête dans un chemin et m'invite à descendre. Des autos stoppent derrière nous et les cinq hommes qui ont profité de mon corps sont là.

- nous ne voulions pas partir sans te dire au revoir et garder un petit souvenir de toi -

- je ne comprends pas ou vous voulez en venir -

En fait je ne comprends que trop bien.

Malgré mes protestations ils me déshabillent, je me retrouve nue couchée sur le dos sur le capot de la voiture de Marc puis pendant que André me pénètre et me défonce les autres me pelotent et torturent les tétons de mes seins.

Puis les queues se succèdent dans mon vagin y éjaculant chacun leur tour. Une fois leur envie assouvie ils m'embrassent sur la bouche, remontent dans leurs voitures et partent.

Je reste seule avec Marc à qui je dis:

- si tu veux que je paie pour le transport il n'y a pas de problème mon sexe est disponible -

Il ne se le fait pas dire deux fois et s'adosse à une portière, à genoux je lui fais une fellation puis il me demande de me pencher en avant en m'appuyant sur le capot, placé derrière moi il me prend en levrette et s'active pendant qu'indifférente j'attends que mon intimité soit encore arrosée ce qui ne tarde pas à arriver.

Marc essuie sa queue avec un chiffon puis me tend une bouteille d'eau et un autre chiffon, je me lave les fesses puis je récupère ma robe et mes sous-vêtements qui ont posés sur le toit de l'auto et je me rhabille.

Il me dépose devant un hôtel dans la ville voisine et me quitte après m'avoir embrassée.

L'après-midi je passe dans une laverie ou je lave et sèche mes vêtements sales, surtout mes culottes.

Le soir J.Pierre mon mari arrive et me rejoint dans la chambre.

Il me demande comment s'est passée ma semaine et je lui réponds que sans lui ce n'était plus pareil en omettant de lui parler que j'ai servie de vide-couilles aux occupants du dortoir.

Une semaine de rapports sexuels sans éprouver de plaisir ça ne vaut pas la peine d'en parler.

Il me dit que s'il inspectait mes culottes il y trouverait des traces suspectes. J'ouvre ma valise dans laquelle il trouve mes vêtements propres et bien pliés, me connaissant il est étonné.

Nous allons dîner dans un restaurant puis revenus à l'hôtel il me fait l'amour et bien jouir pendant la nuit.

Entre deux étreintes j'embrasse et lèche longtemps son dos ce qui le fait frémir, il adore ça.

Le lendemain matin nous prenons la route pour revenir chez nous tranquillement. Notre expérience comme vendangeurs s'est arrêtée là.

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