LAURA 057: les infidélités se paient

Informations sur Récit
Séquestrée et exploitée sexuellement 9/13
2k mots
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Partie 57 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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LES INFIDELITES SE PAIENT 9/13

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Troisième séjour en enfer 4/8

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Je viens de passer la nuit dehors à la belle étoile couchée sur la paille, les membres écartelés et attachés par des lanières à des piquets plantés dans le sol.

Après m'avoir entravée puis sodomisée mon maître, que ma chatte ne semble plus intéresser, a enduit les tétons de mes seins ainsi que mon anus, ma chatte et mon clitoris de produit qui m'a échauffé les sens pendant un bon moment et cela m'a donné des grosses envies de bite m'empêchant de dormir.

Premier mercredi de captivité

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Après avoir fait la matinale et quotidienne fellation à mon maître, sans oublier d'avaler son sperme, satisfait de son esclave il m'ordonne de déjeuner puis de faire ma toilette.

Mathieu ne m'affuble pas des grosses chaînes mais je garde autour de mon cou le collier pour chien, et la laisse.

Il met une ceinture de cuir autour de ma taille, elle est équipée de deux bracelets dans lesquels il emprisonne mes poignets. Pour ne pas changer il me réduit au silence avec la muselière/bâillon.

Me tenant en laisse il m'emmène jusqu'à son garage.

Il ouvre le coffre de sa voiture et me dépose à l'intérieur en me soulevant comme une plume. Il referme le coffre et je me retrouve recroquevillée dans le noir.

Ma situation n'est pas idéale et je ressens les cahots pendant que le véhicule roule.

Heureusement la voiture s'arrête rapidement, mon maître m'extrait sans douceur du coffre.

Jacques l'obèse nous attend sur le pas de sa porte un sourire heureux aux lèvres, il se saisit de ma laisse.

- je reviens chercher la truie vers treize heures. Amuse toi bien avec elle et ne la ménage pas mais ne l'abime pas -

- OK, à tout à l'heure -

Jacques me fait entrer chez lui me tirant par la laisse puis il referme la porte et nous gagnons le salon.

- mets toi à genoux ici et attends moi sans bouger -

J'obéis. Il quitte la pièce et revient quelques temps après, il s'est changé et a revêtu une robe de chambre qui a du mal à cacher ses bourrelets de graisse et son ventre très proéminent.

Il s'assoit sur le canapé.

- pour commencer tu vas me sucer, après on s'amusera -

Obéissante je me lève et m'approche de lui afin qu'il retire ma muselière et libère mes poignets.

Ensuite je me mets à genoux entre ses jambes, je dégrafe la ceinture de sa robe de chambre et en écarte les pans puis je caresse son pénis qui est en érection.

Comme d'habitude je mets ma tête sous les bourrelets de son ventre et en repoussant ceux-ci ma bouche se trouve au niveau de sa queue.

J'embrasse la verge, la lèche pendant un bon moment puis la prends dans ma bouche ce qui le fait sursauter. J

e serre au maximum mes lèvres sur son sexe pendant que je le suce et rapidement avec des soubresauts celui-ci arrose ma gorge de sperme.

j'avale et continue à sucer un peu puis je me retire et m'accroupis à coté du canapé attendant la suite.

Ensuite commence ce qu'il appelle s'amuser. Je dois aller chercher une cravache dans un placard et lui amener en la tenant dans ma bouche.

- embrasse la, elle va te caresser les fesses -

Je fais ce qu'il me dit ce qui le fait rire.

- tu vas faire des tours de la pièce à quatre pattes et passer à chaque fois près de moi -

Je m'exécute et à chaque fois que je passe devant lui il me demande d'aller plus vite et des coups de cravache s'abattent sur mes fesses.

Au bout d'un moment je fatigue mais je continue tant qu'il ne me dit pas d'arrêter.

- maintenant la même chose en rampant -

Et c'est reparti, les coups de cravache pleuvent car il me trouve trop lente.

- maintenant tu vas prendre des poses et bien me montrer tout ce que je veux voir -

Je prends les poses qu'il me demande: à genoux, couchée sur le dos puis sur le ventre, jambes levées ou repliées, sur le sol, sur le canapé, il me même faire le poirier.

Ensuite je m'allonge sur la table et prends encore les poses qu'il exige. Je dois ouvrir au maximum ma chatte avec mes deux mains, masturber mon clitoris, me doigter la chatte et l'anus. Il n'arrête pas de prendre des photos.

Pendant que je lui offre des vues imprenables sur mes parties intimes il en profite pour enfoncer ses gros doigts et aussi le manche de la cravache dans ma chatte et mon cul.

Il est enfin satisfait et m'emmène dans sa chambre car il a de nouveau des envies.

Je l'embrasse longuement puis j'embrasse et lèche son corps en commençant par le visage et descendant lentement vers son ventre puis ses cuisses.

A genoux entre ses jambes après avoir léché son pénis ,qui est gluant à cause des secrétions causées par son excitation lors de la séance de poses, je lui fais une fellation.

Rapidement je me positionne à califourchon sur lui et introduis sa queue dans ma chatte, il soupire beaucoup pendant que sa verge fait des aller-retour dans mon intimité.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu'il ne se crispe et en râlant n'éjacule en moi.

Je me retire, caresse puis masturbe longtemps son pénis gluant de sperme avant qu'il ne recommence à bander mollement puis tout en tripotant et malaxant ses testicules je le suce pendant un bon moment jusqu'à obtenir une érection satisfaisante.

De nouveau je me mets au dessus de lui mais en lui tournant le dos et tenant sa queue dans une main je la positionne contre mon anus puis je fais laisse descendre mon corps pour m'empaler et enfoncer entièrement la verge dans mon cul.

Il soupire de plus en plus fort, il me traite de salope, de putain et d'autres noms peu reluisants pendant que je remue et que sa queue va et vient dans mon fondement, pour une fois il ne débande pas pendant le coït.

Je dois beaucoup m'employer, la sueur coule au creux de mes reins et il s'écoule beaucoup de temps avant qu'il ne parvienne à jouir, ce qu'il fait finalement en poussant un long râle pendant que son corps se crispe et tremble.

Sa queue tressaute et envoie quelques gouttes de sperme dans mon cul. Je me retire et me lève puis j'attends debout qu'il récupère.

Il se rhabille et nous retournons dans le salon ou il me dit que je suis une putain très douée pour le sexe. et qu'à la place de Mathieu il me ferait faire le trottoir

On sonne à la porte, il va ouvrir. Il revient avec des plateaux repas.

- Mathieu m'a dit de ne pas te donner à manger mais comme tu as été bien obéissante je vais passer outre -

Il m'autorise à m'asseoir en face de lui et nous mangeons, cela me fait bizarre de prendre un repas à table assise sur une chaise en face d'un de mes tortionnaires.

- tu vas bientôt partir, je vais te préparer pour que Mathieu ne perde pas de temps -

Il remet la ceinture de cuir autour de la taille et immobilise mes poignets dans les bracelets puis fixe la muselière sur mon visage après avoir fait pénétrer la boule dans ma bouche.

- tu es une bonne putain bien soumise et j'aime bien baiser avec toi -

A genoux sur le sol j'attends.

Mon maître arrive, il boit un verre avec Jacques. Puis me tenant en laisse il m'amène jusqu'au coffre de sa voiture dans lequel il me couche recroquevillée.

Vue la disposition des lieux et la haie d'arbuste qui entoure la propriété on ne peut pas nous voir de la rue. Retour chez Mathieu.

De nouveau les chevilles et poignets affublés des bracelets en cuir il me pend par les poignets les pieds ne touchant pas terre au palan puis il remonte dans sa voiture et retourne travailler.

Je commence à avoir l'habitude de souffrir et de pleurer.

Enfin j'aperçois une personne qui se dirige vers moi. C'est le jardinier, un homme maigre et âgé.

- monsieur Mathieu t'en fait baver, il dit que tu aimes ça -

Il n'attend pas de réponse vu que je suis bâillonnée. Il manœuvre le palan et libère mes poignets.

Il mesure le tour de mon cou et de mes poignets.

- je suis en train de travailler pour toi, tu verras c'est une belle surprise, tu vas adorer -

Il me débarrasse de la muselière.

- monsieur Mathieu m'a dit que tu allais me faire quelque chose en plus -

Il étale un plaid qu'il avait amené puis s'allonge dessus après que j'ai baissé son pantalon et son slip d'un blanc douteux.

Je l'embrasse ce qui lui plait car il en redemande puis j'embrasse et lèche son sexe avant de lui faire une fellation ce qui le fait se trémousser, je suce jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche en gémissant.

Je caresse et masturbe sa queue ramollie pendant un bon moment avant qu'elle ne reprenne vie puis je la suce de nouveau énergiquement.

Je me mets à califourchon sur lui, je fais pénétrer sa verge dans mon vagin puis je m'active pendant un moment, il ne semble pas être prêt à jouir alors après de lui avoir fait une nouvelle fellation.

Ensuite je fais pénétrer la queue dans mon anus puis je fais monter et descendre mon corps pour imprimer des mouvements de va-et-vient à son pénis dans mon cul.

Il n'arrête pas de crier

- oui! c'est bon! continues -

Il se passe du temps avant que son corps ne se cambre et qu'en poussant un long cri qui ressemble à une plainte il ne jouisse sans que beaucoup de sperme ne coule dans mes intestins.

Il n'en peut plus et me repousse quand après l'avoir laissé récupérer je commence à caresser sa verge.

Après m'avoir remis la muselière/bâillon il rattache mes poignets au palan et le fait monter sans aller jusqu'à me faire décoller de terre.

- maintenant je vais aller travailler pour toi, j'ai envie de te faire plaisir et j'espère que tu seras contente de ce que je te prépare -

En fin d'après-midi je vois arriver le jardinier qui tient une planche percée d'un gros trou et de deux petits trous.

Je constate que ce sont en fait deux planches reliées ensemble par des boulons.

Il manœuvre la palan et détache mes poignets du crochet de celui-ci.

- je vais regarder si ton nouveau jouet te va bien, mets toi à genoux -

Il libère mon cou du collier et mes poignets des bracelets en cuir. Il désolidarise les deux morceaux qui constituent la planche puis les réunit de nouveau emprisonnant mon cou et mes poignets dans les trous, il revisse les boulons.

Je comprends qu'il a construit un carcan, il ne manquait plus que ça pour mon bonheur d'après lui.

- ça va, les trous ne sont pas trop justes -

En bougeant la tête je dis non.

- c'est parfait, j'ai scellé les montants dans le sol, demain tu pourras l'utiliser. Tu es contente de ce que j'ai fais pour toi -

Je hoche la tête pour dire oui.

Il actionne le palan, mes bras sont étirés vers le haut et mes pieds ne touchent plus le sol.

- excuses moi, ce sont les ordres. J'ai horreur de faire des misères à une femme surtout aussi belle que toi -

Il part me laissant seule en pleurs avec le corps douloureux.

Enfin mon maître arrive, il me libère du palan et me sodomise à genoux.

Après avoir de nouveau accroché les chaînes à mes poignets et mes chevilles il tire sur ma laisse et nous prenons la direction de sa maison où j'attends à genoux de dîner.

Quand il me sort pour que je passe la nuit dehors il pleut, me laissant seul sous la pluie il rentre mettre un imperméable et chausser des bottes.

- tu ne vas pas me demander de te laisser dormir à l'intérieur comme une chochotte -

Je fais non avec ma tête, pourtant j'aurais apprécié un peu d'humanité de sa part.

Il m'installe sur la paille mouillée bras et jambes écartés, poignets et chevilles attachés aux piquets plantés dans le sol.

Je grelotte, j'ai froid. les heures passent avant que la pluie ne cesse enfin mais trempée et frigorifiée je passe une mauvaise nuit.

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