LAURA 061: les infidélités se paient

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Séquestrée, soumise et maltraitée 13/13.
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Partie 61 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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LES INFIDELITES SE PAIENT 13/13

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Pour la troisième fois en enfer 8/8

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Troisième dimanche de captivité

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Vu que la pluie tombait à seaux la veille au soir et qu'il n'a pas voulu m'attacher allongée dans l'herbe car il ne voulait pas être trempé, mon maître qui est très (trop) bon avec moi m'a fait dormir dans la pièce qui sert de geôle avec Nadine qui comme moi est retenue captive mais ne subit pas le même traitement.

Elle a dormi sur le dos couchée sur le matelas, chevilles et poignets enchaînés. Moi sur un plaid étendu sur le sol couchée sur le ventre les poignets et chevilles attachés ensembles dans mon dos.

Avant d'aller se coucher, puis une autre fois pendant la nuit, Mathieu s'est soulagé dans la chatte de Nadine.

Moi j'ai eu droit à la torture d'un produit chauffant qu'il a appliqué en grande quantité sur mes tétons, dans ma chatte et dans mon cul, ce qui a mis le feu en moi pendant un bon moment et m'a donné des grosses envies de sexe masculin.

Il m'a dit en se moquant de moi:

- toi la truie tu as de la chance car tu as droit à traitement préférentiel -

Nous n'avons pas pu parler ensemble étant tous deux bâillonnées.

Le matin il est venu nous chercher pour déjeuner et faire notre toilette. Nadine lui a fait une pipe puis je lui en ai fait une deuxième qui a durée plus longtemps avant qu'il n'éjacule.

- c'est bien chacune à bu sa petite liqueur -

Pendant qu'il préparait notre déjeuner j'ai du lécher la chatte et l'anus de ma codétenue.

Ensuite moi enchaînée et elle menottée nous avons attendues le bon vouloir de mon maître accroupies à ses pieds.

On sonne à la porte, trois hommes entrent et serrent la main de Mathieu.

Mathieu a emmenée Nadine dans la geôle ou il l'enchaîne puis il revient dans la cuisine ou j'attends à genoux enchaînée et bâillonnée ma laisse attachée à un pied de table.

- on va s'amuser un peu avec la truie avant que vous ne la sautiez -

- on veut bien mais à quoi -

- j'ai préparé des ustensiles au sous-sol -

Libérée de mes chaînes Mon maître m'amène tenue en laisse dans la geôle au sous-sol.

Je dois me coucher sur le ventre directement sur le sol qui me paraît bien froid, un épais morceau de bois est placé en travers sous mon ventre ce qui a pour but de surélever mes fesses.

A coté de moi je vois un jerrican muni d'un tuyau d'un robinet, d'un tuyau transparent avec au bout une canule, je vois également une poire à lavement.

Je commence à comprendre et ce n'est pas réjouissant. Mathieu sort de la pièce et y revient presque aussitôt apportant un récipient.

- c'est de l'eau tiède, cela conviendra pour ce que l'on va faire subir à la truie -

Il remplit le jerrican et le pose sur un tabouret qu'il a placé à coté de moi. Après avoir fait couler un peu d'eau pour chasser l'air mon bourreau introduit la canule dans mon anus.

- toi la putain retiens toi le plus longtemps possible si tu ne veux pas prendre une raclée -

Il ouvre le robinet et le liquide commence à couler dans mes intestins jusqu'à les remplir. Cela devient vite désagréable avec l'envie de renvoyer tout.

Je suis gênée par les gargouillis et les douleurs qui commencent à torturer mon ventre.

Je me retiens pendant qu'ils chronomètrent. Cela devient insupportable et je me lève brusquement et cours vers le WC après avoir arrachée la canule de mon cul. Assise sur celui-ci je me soulage pendant que les hommes rient et commentent.

Les intestins vidés je reprends la même place.

La canule de nouveau en place dans mon cul ils ouvrent le robinet du jerrican de nouveau plein et l'eau remplit mes intestins puis le supplice recommence.

Surmontant au mieux les élancements dans mes boyaux j'essaie de tenir en serrant les fesses au grand amusement des trois spectateurs.

A bout je retire la canule et me lève mais je n'ai pas le temps d'aller bien loin, je ne peux pas me retenir et je lâche l'eau contenue dans mes intestins qui coule sur mes jambes et se répand sur le sol.

- tu nettoieras plus tard connasse, reprends ta place -

Une nouvelle fois ils remplissent mes intestins de liquide et après avoir résisté un bon moment je parviens à aller jusqu'au WC pour me soulager.

Je suis de nouveau allongée mais cette fois sur le dos, le billot de bois en travers de mon corps sous mes fesses.

- on va tester la contenance de sa chatte, avant on va agrandir son orifice chacun notre tour -

Un homme me doigte puis me pénètre et sa queue fait des va-et-vient dans mon vagin pendant un moment, il se retire avant d'arriver à l'éjaculation.

Mathieu enfonce la canule de la poire à lavement dedans et appuie sur la partie récipient en caoutchouc pour faire sortir le liquide que je sens couler dans mon intimité. Au bout d'un moment l'eau coule dans la raie de mes fesses.

- lèves toi, on va recommencer en surélevant encore ton cul -

Je suis à peine debout et bien que j'essaie de fermer l'orifice en pinçant les lèvres de mon intimité avec une main, l'eau coule sur le sol.

- tu ne peux pas te retenir connasse -*Une paire de claques s'abat sur mes joues qui me chauffent ensuite.

Je m'allonge les fesses encore plus surélevées, un autre homme me pénètre et me défonce sans aller jusqu'à la jouissance pour agrandir mon vagin. De nouveau la canule est en moi et l'eau tiède coule.

Quand mon vagin est rempli et que l'eau commence à goutter dans la raie de mes fesses. Ils comparent ce qui reste dans la poire par rapport à ce qu'il y avait au départ.

Mon maître place une cuvette sous mes fesses et en m'accroupissant l'eau contenue dans mon vagin coule en partie dedans et le reste sur le sol.

Ils sont déçus de la faible quantité de liquide.

Le troisième homme me pénètre et ils recommencent l'expérience puis c'est au tour de Mathieu et l'eau coule de nouveau dans ma chatte.

Ils sont de nouveau déçus de la faible quantité (selon eux) que contient une chatte et de l'écart peu significatif par rapport à la dimension des différents pénis qui ont fait le passage.

- maintenant vous pouvez la sauter, son cul n'a jamais été aussi propre -

- on aimerait aussi sauter l'autre putain -

- non pour l'instant cette putain la je me la réserve, son dressage n'est pas fini, quand elle se comportera comme une vraie chienne on verra -

A genoux sur un plaid étalé sur le sol je suce l'un des hommes pendant que l'autre pénètre ma chatte, ils sont très excités et jouissent rapidement puis ils échangent leurs places et nos ébats reprennent, ils mettent plus de temps avant d'éjaculer.

Ensuite ils alternent les pénétrations vaginales et anales chacun leur tour.

Une fois qu'ils sont tous satisfaits et vidés l'un des deux va chercher mon maître qui est sorti de la pièce après avoir sautée Nadine.

- on va encore s'amuser un peu avec la truie -

Le jerrican est rempli d'eau froide Mathieu introduit l'extrémité du tuyau transparent dans ma bouche et tourne le robinet pour que l'eau coule doucement, je bois tant que je peux puis je m'arrête.

Je reçois des claques sur les fesses.

- connasse on ne t'as pas dit d'arrêter alors bois -

Je me force pour continuer et au bout d'un moment je sens que mon ventre gonfle. Je n'en peux plus et je m'arrête encore.

- maintenant on va voir combien de temps elle va tenir -

Ils chronomètrent le temps que je vais tenir avant d'uriner. Ils s'impatientent et me font de nouveau boire.

La quantité d'eau que j'ingurgite finit par être importante.

Dans ces conditions je ne tiens pas des heures comme en temps ordinaire et à un moment le ventre trop douloureux je me lève précipitamment et j'ai à peine le temps d'atteindre le WC que je pisse déjà.

Ils rient de bon cœur et trouvent qu'ils se sont bien amusés à mes dépens.

- tu n'es qu'une truie, tu ne peux rien faire proprement, nettoie ton chantier -

A genoux je passe la serpillière sur le sol mouillé. Peu de temps après j'urine encore.

Pendant tout ce temps, les yeux sui sortent de leur orbite, Nadine qui est enchaînée au mur a assisté au spectacle.

Ses invités partis notre maître nous remonte, tenues en laisse, dans la cuisine. Pendant qu'il prépare le repas il nous donne l'ordre de jouer les gouines.

Je me positionne à genoux tête bêche sur Nadine et le nez entre les cuisses de la femme je commence à lécher sa chatte et son clitoris avant de passer à son anus. Après un moment d'hésitation elle en fait de même sur moi et après un moment il faut que je reçoive une claque sur une fesse pour que nous nous séparions.

A genoux en face l'une de l'autre nous mangeons en silence puis nous sommes de nouveau bâillonnées. J

e me retrouve enchaînée contre le mur de la geôle bras et jambes étirés en croix et les pieds décollés du sol. Pendant ce temps dans le salon Nadine reste à genoux menottée, sa laisse attachée au pied d'un canapé.

Mon calvaire prend fin mais ma situation à venir n'est pas plus enviable quand accompagné de sept hommes mon maître entre dans la pièce tenant en laisse Nadine qu'il enchaîne à ma place tout en lui laissant de la liberté de mouvements et les pieds touchant le sol.

Mathieu déplace le matelas qui sert de lit à ma codétenue et étale un plaid.

- ça suffira pour cette chienne, allez y, défoncez la, elle se plaint qu'elle n'a jamais assez de bites cette truie -

C'est la ruée, ils me prennent à deux ou trois ensembles, tous mes orifices sont utilisés.

Les moments où je prends le plus de plaisir c'est quand j'ai en même temps une queue dans la chatte et une dans le cul.

Dès qu'un homme a joui en moi il est aussitôt remplacé par un autre.

Mon calvaire dure longtemps, au bout d'un moment le plaisir que je ressens deviens trop fort et l'orgasme arrive suivi par d'autres car les sensations dans mon ventre ne faiblissent pas.

Enfin les hommes me laissent tranquille après qu'un dernier partenaire ait éjaculé dans mon vagin, je peux récupérer un peu les yeux dans le vague quand je les ouvre.

- maintenant que vous en avez fini avec la truie et qu'elle est bien sale allez la laver -

Les hommes me transportent en me tenant par les jambes et les bras.

Ils m'allongent sur le dos dans l'allée du garage et me lavent avec le jet du tuyau d'arrosage puis ils me mettent sur le ventre et recommencent. L'eau est froide, je suis transie de froid.

De nouveau bâillonnée et enchaînée, tenue en laisse je rejoins Nadine dans la cuisine pour le repas du soir avant de passer la nuit entravée couchée sur la paille à l'extérieur, avec des pinces fixées sur les tétons de mes seins et sur les lèvres de ma chatte.

C'est douloureux mais je suis habituée à souffrir.

Troisième lundi, au matin et fin de captivité

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Avec Nadine l'autre putain qui a passé le weekend ici également captive, après avoir fait chacune une pipe à Mathieu, nous déjeunons à genoux sur le sol puis nous faisons notre toilette ensemble.

Rhabillée elle quitte les lieux après que Mathieu lui ait donné de l'argent et l'ait informée que si elle revient elle servira de vide-couilles aux hommes qu'il reçoit ce qui ne semble pas la gêner car elle prend date pour un prochain séjour.

Il me tend une boîte remplie de billets.

- comptes combien tu m'as rapporté pendant ton séjour -

Je comptes et et lui dis combien il y a, c'est une belle somme.

- ton cul est d'un bon rapport et c'est un plaisir de te martyriser car tu supportes bien la douleur. Tu peux revenir quand tu veux mais apportes des affaires car tu ne repartiras pas de sitôt, je te garderais jusqu'à ce que j'en aie marre de te voir -

- la prochaine fois je viendrais avec ma valise et vous ferez de moi ce que vous voulez maître, je vous appartiendrais -

- penses surtout à prendre des habits voyants et très courts qui ne cachent pas grand chose, ceux que portent les putains -

- mais pourquoi faire maître ici je vis nue -

- j'envisage de te mettre sur le trottoir, tu es faite pour ce métier -

Je baisse la tête et ne réponds pas soumise, j'accepte d'avance de lui obéir.

- si tu veux des films de tes prouesses pendant tes séjours tu le dis -

- ce n'est pas nécessaire Maître -

- en tous cas je sais qu'il vont bien se vendre, il y a beaucoup d'amateurs pour ce genre de films -

Il me tend ma robe et mes chaussures, je m'habille puis je m'approche de lui et pose mes lèvres sur les siennes. Il me repousse.

- pars maintenant, je t'ai assez vue -

Je sors frustrée et désorientée, pas décidée à quitter les lieux, je commence à être bien conditionnée.

J.Pierre mon mari m'attend un peu plus loin, il m'ouvre la portière arrière, je monte dans sa voiture et il démarre sans prononcer un mot.

Pendant le trajet je me couche sur le siège et je m'endors, quand je me réveille la voiture est dans le garage et je suis seule dans la maison.

Déboussolée il m'a fallu du temps pour me réhabituer à une vie normale, je pleurais souvent. Mon amie Martine, ma confidente, m'a bien aidée.

Depuis mon retour de pénitence mon mari ne m'a plus touchée, cela me désespère et je ne sais plus quoi penser quand à l'avenir de notre couple.

Je décide de lui écrire une longue lettre ou je l'assure de mon amour, je lui dis que je ne veux pas le perdre et que je suis prête à supporter beaucoup de choses par amour. Je mets la lettre dans sa voiture pour qu'il la trouve en partant travailler le lendemain.

Peu avant l'heure de son retour je me maquille, m'habille comme une putain. Dans l'entrée de la maison je dispose un martinet, une cravache et divers instruments de torture. A genoux j'attends son retour.

Il ouvre la porte et me regarde surpris.

- tu veux que je te frappes et te martyrises -

- fais ce dont tu as envie, je l'ai mérité et j'accepte tout de ta part mais ne m'abandonnes pas -

Il me tend la main.

- lèves toi, tu as assez payé -

Je me lève, il me prend dans ses bras, colle ses lèvres contre les miennes et nous échangeons de longs baisers puis tout en nous embrassant, caressant et déshabillant nous prenons la direction de la chambre.

Nous avons fait l'amour toute la soirée et une bonne partie de la nuit, j'ai beaucoup joui, une vraie lune de miel.

Nous n'avons plus parlé de de cet épisode de notre vie.

Après avoir été sage pendant une bonne période, doucement ne pouvant pas m'en empêcher j'ai recommencé à prendre des amants et aussi monnayer mes services mais en faisant plus attention pour que mon mari n'en prenne pas ombrage.

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