LAURA 062: je cède au chantage 01/13

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Il veut me soumettre et me prostituer.
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Partie 62 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Je n'aurais jamais pensé qu'un an après avoir été punie par mon mari suite à mon comportement indigne pour une femme mariée il y aurait une suite encore plus désagréable.

Après avoir été volontairement (?) et plusieurs fois séquestrée et maltraitée chez un homme prénommé Mathieu, obéissant aux ordres de mon mari, surviendrait une situation que je ne pourrais pas maîtriser.

Un jour je me promène en ville avec deux amies.

Par hasard (enfin c'était ce que j'ai pensé sur le moment car ensuite j'ai su qu'il me pistait) je croise Mathieu l'homme chez qui j'ai fais plusieurs séjours.

Il a été mon bourreau me réduisant au rôle d'esclave en m'enchaînant, me maltraitant et faisant de moi sa chose et je peux même dire sa prostituée.

Lors de mes séjours chez lui il en a profité pour vendre mon corps à tous ceux qui étaient prêts à le rémunérer pour ça que ce soit ses amis, ses connaissances ou ses collègues.

Je sais aussi qu'ayant mis des caméras un peu partout, quand il reçoit une femme qu'il retient en captivité et fait d'elle ce qu'il veut, il filme tout ce qui se passe dans sa propriété et vend les photos et les films.

J'essaie de m'esquiver mais marchant rapidement et me fixant en permanence il s'approche rapidement de moi.

Nous nous saluons puis sans se préoccuper de ma gêne il m'aborde.

- alors Laura, on ne dit pas bonjour à un ami -

- oh pardon! je ne vous avais pas reconnu -

- menteuse! j'espérais que tu reviendrais me voir -

Je suis gênée devant mes copines qui restent là à écouter se demandant qui est cet homme et ce qu'il me veut. Je ne veux pas qu'elles entendent la conversation qui va suivre et je m'adresse à elles.

- avancez, je parle à ce monsieur puis je vous rejoins -

Voyant qu'elles sont de trop elles s'éloignent tout en jetant des regards intrigués vers nous.

- alors la putain je t'attendais pour faire de toi ce dont je t'avais parlé -

- je ne veux plus être maltraitée et je ne veux pas me prostituer pour vous -

- ce n'est pas toi qui décide et j'estime que tu as une âme de tapineuse et tu peux me rapporter beaucoup d'argent -

- ce qui m'est arrivé chez vous c'est le passé et il n'est pas question que je vous obéisse de nouveau, oubliez moi -

- je te donne le choix, tu te fais une raison et tu viens demain matin chez moi ou bien je parle avec tes amis, ta famille et ton mari et je leur raconte tout de tes séjours chez moi -

- vous ne connaissez pas mon mari -

- ne me prends pas pour un imbécile, je sais beaucoup de choses -

Avec ce qu'il me raconte ensuite sur moi, ma famille et mon entourage j'ai la certitude qu'il m'a beaucoup espionnée. Je me sens mal.

- alors à demain ou je m'occupe de ta réputation -

Il s'en va me laissant sans réaction ne sachant pas quoi penser ni quoi faire, si les films qu'il a fait de ce que j'ai vécu chez lui sont diffusés dans mon entourage c'est la catastrophe.

Le lendemain matin je décide de me rendre chez Mathieu pour parler avec lui et lui faire entendre raison.

J'y vais en train et je marche pendant un bon moment car il réside hors du bourg et assez loin de la gare.

Je m'engage dans l'allée de sa propriété et je frappe à la porte, personne ne répond. Je ne sais pas quoi penser, j'attends un peu avant de décider de repartir.

Quand je tourne les talons, me dirige vers la sortie de la propriété et marche dans l'allée qui mène au portail extérieur j'aperçois une personne qui vient vers moi.

C'est Amandine qui arrive accompagnée de Max son chien un labrador à poils courts. Elle m'apostrophe.

- ça y est la putain tu es enfin revenue -.

Elle se plante devant moi et avant que je ne puisse réagir elle me colle plusieurs paires de gifles me frappant sans retenue, je suis déséquilibrée et je me retrouve allongée sur le sol avec les joues qui me cuisent.

- tu es encore habillée, pourtant tu sais qu'ici tu dois rester nue en permanence -

- je ne vais pas rester, je suis juste venue pour parler avec Mathieu, ensuite je repars -

- tu crois ça, tu ne repars pas alors déshabille toi sinon tu vas goûter à la trique que je tiens dans la main -

Je suis perdue et sans plus réfléchir je me déshabille et reste plantée là mes vêtements dans les mains.

- jette moi ça tu n'en auras plus jamais besoin -

- la violence ne sert à rien, je vais parler avec Mathieu et après je vais m'en vais aller -

La trique qu'elle tient dans une main s'abat plusieurs fois sur moi laissant une marque sur un sein et une hanche, la douleur est vive et je pousse des cris.

Je pose mes habits à côté de la porte.

- je vais les mettre à la poubelle, tu n'en auras plus besoin -

- si! je vais les remettre dés que j'aurais parlé à Mathieu -

Des coups de trique s'abattent de nouveau sur mon corps et marquent mes cuisses, mon torse et même mes seins.

Je sautille et danse car elle m'a fait très mal en ne retenant pas ses coups.

- effrontée où te crois tu pour me répondre de la sorte, tu as oublié ce qu'est l'obéissance et le respect dus aux êtres supérieurs -

J'évite de lui répondre afin de ne pas envenimer les choses.

- maintenant ton dressage va commencer, tu vas vite comprendre que tu n'es rien et que même un animal t'est supérieur -

Je la fixe et ça je n'aurais pas du le faire, elle me frappe de nouveau avec sa trique.

- tu te prends pour qui? ici tu n'es plus rien, juste une future prostituée. Tu quitte ton air supérieur et tu baisse la tête devant moi -

Le ton qu'elle emploie n'admet pas de contestation.

- puisque même Max est supérieur à toi tu vas d'abord t'en occuper et lui donner le plaisir qu'il attend de sa femelle ou bien je te mets une raclée qui te laissera des marques à vie, je te laisse le choix -

En revenant ici je me suis jetée dans la gueule du loup, je suis coincée et je choisis le moindre mal.

- je ferais tout ce que vous voulez madame -

Amandine ouvre la porte de l'habitation, pendant que j'attends immobile elle va dans le couloir puis en revient tenant dans une main le gros collier clouté pour chien et la laisse que j'ai déjà porté, elle me l'attache autour du cou.

- allez viens bonne à rien -

Elle tire sur la laisse et m'entraîne derrière elle.

Arrivées dans une partie du parc boisée c'est dans une grande cage faite de barreaux métalliques qu'elle m'enferme avec Max.

- maintenant occupe toi de celui qui sera ton mâle dorénavant et fait ça bien sinon je reviens et tu vas souffrir -

Les caméras ne manquent pas dans la propriété, je sais depuis longtemps que où que je sois je suis en permanence filmée.

Max ne perds pas de temps, il tourne autour de moi, je sens sa truffe humide qui frotte contre mes fesses et surtout mon intimité.

Je me mets à genoux à côté de lui, je le caresse longuement: d'abord la tête puis l'échine et ensuite le ventre.

Je le couche difficilement sur le dos car comme je l'ai laissé me lécher le sexe, il veut continuer à le faire et résiste.

Tout en tenant sa tête avec mes mains j'embrasse sa truffe et ses babines ce qui n'est pas facile car il sort sa langue et me lèche la figure.

Ma main caresse son ventre puis son sexe et ses testicules, je sens son corps tressaillir.

Mes caresses et ses envies portent rapidement leurs fruits, le pénis de couleur allant du rose au violet sort de son fourreau en prenant du volume pour atteindre une belle taille.

je caresse ses testicules et le masturbe un peu tout en continuant les caresses sur son corps.

Les tremblements de son corps et ses plaintes me montrent qu'il apprécie ce que je lui fais.

J'approche ma figure de son sexe peu ragoûtant qui perd du liquide, je l'embrasse puis le lèche partout longuement avec application.

Le corps de Max sursaute quand je prend son pénis dans ma bouche et que je lui fais une fellation sans m'occuper du liquide qui coule en permanence.

Au bout de quelques minutes je ma place à genoux l'échine bien courbée et les reins creusés.

Ayant pris certaines habitudes avec moi dans le passé et n'ayant pas oublié il comprend et se place derrière moi, ses pattes avant viennent se poser sur mon dos qu'elles griffent.

Avec une main je l'aide à pénétrer mon vagin car son pénis butte et se déplace contre mes fesses sans trouver l'ouverture pendant qu'il remue sur moi.

Je sens le sexe bouger dans mon intimité pendant que le chien s'agite pendant un petit moment puis une boule gonfle dans ma chatte et bonne quantité de sperme y coule.

Enfin vidé de sa semence il se retire et son pénis sort de mon vagin avec un bruit de succion.

Pendant qu'il va se coucher un peu plus loin le liquide coule de ma chatte et se répand sur le sol sans que je cherche à le retenir.

Je m'allonge dans l'herbe à côté du chien car il ne fait pas très chaud et collée contre lui il me réchauffe un peu, résignée j'attends.

Le temps passe lentement, au bout d'un moment Max recommence à se frotter contre moi.

Il veut me lécher, j'écarte les jambes puis je sens sa langue qui se promène sur ma chatte avant d'essayer de s'introduire à l'intérieur.

Je le laisse faire car sa langue me procure des sensations agréables.

Je passe une main sous son ventre et caresse son sexe, la verge sort complètement de son fourreau et prend de belles dimensions.

Je m'allonge sur le dos puis je replie et écarte mes jambes, il vient se mettre entre mes cuisses ses pattes avant sur mon ventre.

Avec une main j'attrape son pénis et le place à l'entrée de ma grotte dans laquelle il s'enfonce sans peine. Le corps de Max s'agite pendant qu'il fait bouger son membre dans mon ventre.

Ayant déjà éjaculé une fois il lui faut plus longtemps pour conclure. Je le repousse difficilement car il ne veut pas lâcher sa femelle et je change de position pour arriver à mettre ma tête sous lui.

Le tenant avec une main je prends son pénis dans ma bouche et je le suce et le masturbe en même temps.

Son corps se raidit et tremble, il pousse des petits cris puis des giclées de sperme coulent dans ma bouche, surmontant mon envie de vomir j'avale le liquide pendant que vidé il se couche à côté de moi.

De nouveau je patiente. Amandine fait son apparition tenant deux gamelles dans ses mains.

- c'est pour qui la bonne pâtée -

Elle ouvre une trappe et pose les écuelles sur le sol.

Je vois que j'ai droit à la même chose que son chien, je lui laisse ma part qu'il mange après avoir englouti rapidement ce qui se trouvait dans son écuelle.

- tu n'auras rien d'autre connasse, tu te prends pour une princesse, je vais t'apprendre à vivre -

Amandine ouvre la porte de la cage.

- viens ici la putain -

Ne voulant pas la contrarier je sors.

- ouvre la bouche salope -

Elle enfile sur ma tête une muselière qui est garnie d'une boule qu'elle enfonce dans ma bouche puis elle fixe les lanières qui se trouvent à l'arrière de ma tête.

Comme c'était déjà le cas auparavant dans un passé récent des chaînes traînent à côté de la cage, elle me les fixe aux poignets et aux chevilles.

- comme ça tu ne chercheras pas à te sauver, je ne peux pas faire confiance à une putain comme toi -

Me tenant en laisse elle m'emmène à travers la propriété, j'ai du mal à marcher car je dois traîner les grosses chaînes.

Je comprends que nous nous dirigeons vers l'endroit où j'ai été plusieurs fois prisonnière dans un carcan en bois. Arrivées sur place je vois que l'engin de torture est bien là.

Je dois me pencher en avant, mon cou et mes poignets se retrouvent prisonniers du carcan dans la position la plus basse possible.

Elle fixe à mes chevilles des bracelets en cuir reliés à des chaînes ancrées dans le sol.

- patience, tu vas bientôt pouvoir t'amuser veinarde -

Au bout d'un moment qui m'a paru interminable j'entends des voix puis deux hommes s'approchent de moi.

- Mathieu n'avait pas menti, tu vois comment il la dresse son esclave -

- oui! en la voyant on se croirait au moyen âge avec ses tortures -

- tu as vu les marques sur sa peau, elle s'est pris une bonne raclée -

- oui je vois! cela doit faire partie de sa mise en condition car Mathieu dit qu'il va la mettre sur le trottoir -

- Mathieu a raison, ce n'est pas par la douceur qu'on peut dompter ce genre de salope -

- je suis d'accord avec toi, il n'y a que la manière forte pour les rendre dociles et celle-ci va bientôt se comporter comme un toutou avec son maître -

Ils me pelotent partout, malaxent mes seins et martyrisent les tétons ou enfoncent leurs doigts dans ma chatte et mon anus.

- on a envie de t'enlever ton bâillon pour que tu nous fasse des pipes, est ce que tu vas en profiter pour ameuter le voisinage ou mordre nos bites -

Je secoue la tête pour dire non.

Dans la position où je suis pourquoi m'époumoner, personne ne réside assez près pour m'entendre hurler et mordre une de leur queue serait une mauvaise idée, j'en subirais les conséquences.

Un des hommes retire ma muselière/bâillon.

Une verge s'enfonce dans ma bouche et une autre dans ma chatte.

Ne pouvant pas bouger je ne participe pas et les deux hommes doivent donner des coups de reins pour faire aller et venir leurs pénis dans ma cavité buccale et dans ma grotte.

Très excités par la situation peu courante ils se soulagent rapidement de leur sperme dans ma gorge et mon vagin.

Ils échangent leur place et si une queue de belle taille s'enfonce dans ma bouche, l'autre après s'être déplacée entre mes fesses pénètre dans mon cul.

Les va-et-vient durent plus longtemps avant que les membres ne tressautent dans mes orifices y laissant du sperme.

Pas encore satisfaits ils se masturbent pour remettre et garder leur pénis en érection.

Puis la queue d'un des hommes s'enfonce dans mon cul et y fait des aller-retour pendant un moment avant que le deuxième ne lui demande de lui laisser la place.

La sodomie recommence puis les deux compères se relaient pendant un bon moment sans éjaculer.

Je patiente pendant qu'ils me défoncent le cul à grands coups de reins tout en parlant entre eux et se gaussant.

Prétextant que le temps va leur manquer un premier décide d'en finir et accélère les va-et-vient de sa queue dans mon corps pour finir par éjaculer.

C'est au tour de son compère de me défoncer à grands coups de reins jusqu'à ce que sa verge soit prise de tremblements et se vide de sa semence dans mon fondement.

Tout en commentant ils renfilent les vêtements qu'ils avaient retirés pour être à l'aise et surtout ne pas les tâcher pendant les ébats. Puis consciencieusement ils me bâillonnent.

Je reste seule, le temps passe.

Enfin Amandine apparaît.

- ça suffit, je ne vais pas te laisser flemmarder ici -

Elle me libère du carcan et refixe les grosses chaînes à mes chevilles et poignets.

Tirant sur ma laisse elle me conduit vers la maison.

Dans la cuisine elle pose mon dîner sur le sol et libère ma bouche.

Ce que je vois dans mon écuelle n'est pas appétissant. La faim me tenaillant je dévore rapidement le repas puis elle me libère des chaînes pour que j'aille me laver.

Je suis de nouveau bâillonnée et enchaînée et tenue en laisse nous traversons la propriété jusqu'à l'endroit ou un palan équipé d'une barre métallique avec deux crochets est fixé à une grosse branche d'arbre.

- tu seras bien ici pour ta première séance de dressage -

Elle me libère des chaînes mais me laisse les bracelets en cuir qui sont attachées à mes poignets et les fixe aux crochets soudés sur la barre métallique du palan.

Amandine manœuvre la palan, mes bras se soulèvent puis mon corps est étiré avant que mes pieds ne quittent la sol.

Je me retrouve pendue ce qui devient vite douloureux.

Ma tortionnaire qui s'était un peu éloignée revient tenant une trique dans une main ce qui n'est pas rassurant.

Là je dérouille, elle frappe sans retenue mes fesses, mes cuisses et mon dos.

J'ai très mal, je pleure et je crie beaucoup mais avec le bâillon les sons sont très atténués.

Je gigote beaucoup et je tourne sur moi même mais cela n'empêche pas Amandine de continuer à me frapper.

Quand enfin le martyr cesse mon corps me cuit et est douloureux.

- tu viens de goûter à ce qui sera ton traitement quotidien jusqu'à ce que tu devienne bien docile -

Je reste pendue pendant que mon bourreau s'en va.

Je n'en peux plus et ma tortionnaire met du temps avant de revenir, la nuit est tombée quand elle daigne enfin réapparaître.

Libérée du palan les grosses chaînes sont de nouveau accrochées à mes chevilles et mes poignets.

Tenue en laisse elle m'emmène vers le lieu ou je dois dormir.

Notre destination est un chalet en bois que le jardinier avait construit lors de mon précédent séjour. Amandine ouvre la porte et me pousse à l'intérieur.

- ce ne serait que moi je t'aurais laissée passer la nuit dehors mais Mathieu lui est trop bon avec une putain comme toi -

Mon regard fait le tour de la pièce, je vois un placard, un tabouret, une petite table, un lavabo, un WC et un plancher en bois surélevé sur lequel des sangles son fixées.

Amandine me débarrasse du collier mais pas de la muselière/bâillon. Elle me montre le plancher.

- c'est ton lit, allonges toi dessus -

Je fais ce qu'elle me demande puis je dois présenter mes poignets et mes chevilles qui se retrouvent prisonniers des sangles en cuirs.

Elle en passe aussi une autour de mon cou, je ne peux pratiquement plus bouger.

- ainsi tu ne risques pas de te sauver, passes une bonne nuit connasse et rêves à ton futur qui s'annonce joyeux -

Elle sort en se marrant après avoir éteint la lumière puis la clé tourne dans la serrure de la porte.

Je n'arrive pas à dormir à cause de mon corps douloureux et aussi trop inquiète car j'ai le sentiment que ma situation ne va pas s'améliorer et j'ai beau réfléchir je ne trouve pas de solution pour me sortir de ce guêpier.

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