LAURA 063: je cède au chantage 02/13

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Séquestrée et en cours de dressage
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Partie 63 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Il est tôt ce samedi matin quand la clé tourne dans la serrure du chalet où depuis la veille au soir je suis enfermée et immobilisée par des sangles en cuir fixées sur la planche qui me sert de lit.

La porte s'ouvre et Amandine entre dans la pièce accompagnée de Max son chien.

Elle me libère des sangles qui m'immobilisent mes bras et mes jambes puis elle me débarrasse aussi de la muselière bâillon.

- alors la putain on a passé une bonne nuit -

Je reste silencieuse, à quoi bon répondre à cette méchante personne qui je le sais n'attend pas de réponse.

- assez paressée au lit, ta journée ne sera pas de tout repos -

Elle a le culot d'appeler "un lit" ce plancher en bois inconfortable sur lequel je dois supporter des douleurs et essayer de dormir.

Ankylosée je n'ai pas le temps de me lever que le chien qui a sauté sur ce qui me sert de lit a déjà fourré son museau entre mes jambes.

Il ne perd pas de temps, il renifle et lèche mon ventre et surtout mes parties intimes.

J'ai compris qu'Amandine l'a amené pour que je lui donne du plaisir.

Ne voulant pas l'énerver je ne peux cependant pas le laisser mettre longtemps sa langue dans ma chatte et me la lécher, ce qui est pourtant la seule chose que j'aime bien et qui me donne des sensations agréables.

Ne voulant pas braquer ma tortionnaire je me mets à genoux et embrasse comme et quand je peux les babines de l'animal pendant qu'avec sa grande langue sortie il tente de lécher ma figure.

Je commence à le caresser partout pendant que ma tortionnaire nous observe avec son air moqueur assise sur le tabouret.

Le chien est réceptif aux caresses, il se laisse faire quand je le couche sur le dos, je caresse ses testicules et son sexe, aux couleurs peu engageantes, qui en grossissant rapidement sort de son fourreau, grandit et prend de bonnes dimensions.

Je le masturbe puis jugeant que l'érection est suffisante je lèche partout pendant un moment le pénis d'où du liquide s'échappe en permanence.

Puis je l'enfonce dans ma bouche et je commence une fellation d'abord avec des aller-retour lents puis de plus en plus rapides en serrant bien mes lèvres.

Je me relève et me déplace pour qu'il me pénètre mais Amandine intervient:

- qu'est ce que tu fais la putain, continue, ce que tu vas avaler fait partie de ton petit déjeuner de ce jour et il sera de même tous les matins -

J'hésite me demandant si je dois refuser ou obéir mais voyant la cravache qu'Amandine tient dans une main et mon corps étant encore douloureux et marqué suite aux raclées que j'ai ramassées la veille je décide de me soumettre.

Sans enthousiasme je recommence la fellation en m'appliquant sans m'occuper des tremblements du corps de mon partenaire canin.

Au bout d'un moment avec l'augmentation du volume de la boule annonciatrice je sais que ce n'est plus du liquide de lubrification qui s'échappe du sexe mais une grande quantité de sperme.

Malgré ma répulsion et les haut le cœur j'avale du mieux que je peux tant qu'il continue à éjaculer puis je garde le membre pendant un moment dans ma bouche.

Je finis en léchant le pénis mais soulagé Max que je n'intéresse plus se dérobe et va se coucher plus loin sur le sol.

- allez! lèves toi, tu vois ce n'était pas terrible mais on a autre chose à faire -

De nouveau bâillonnée et équipée des grosses chaînes Amandine m'emmène vers la maison en me tenant en laisse pendant que je suis incommodée par le goût et l'odeur tenaces du sperme de Max dont après ma bouche, la boule/bâillon est maintenant imprégnée.

Elle me libère des chaînes puis me tire dans l'habitation.

En maugréant car je lui donne du travail supplémentaire elle prépare mon petit déjeuner qu'elle pose sur le sol et que je prends à genoux une fois ma bouche libérée.

Ensuite je vais me laver.

Après m'avoir harnachée avec le bâillon et les chaînes elle m'emmène dans l'allée ou elle attache ma laisse à un poteau d'éclairage.

- ne sois pas impatiente, on va bientôt s'occuper de toi -

Je tremble et j'ai la chair de poule car il ne fait pas bien chaud.

Le temps passe puis j'entends des pas lourds dans l'allée.

En tournant la tête je vois que c'est Jacques l'homme obèse qui arrive, c'est le client des samedi matin à qui comme d'habitude je vais devoir faire l'amour.

- bonjour la putain, on va s'amuser un peu tous les deux, tu dois être contente de me retrouver -

Il détache ma laisse et m'entraîne vers la maison, il a du mal à marcher vu sa masse et son important surpoids.

Amandine très souriante le reçoit, elle lui demande s'il est content de se taper à nouveau le déchet de l'humanité que je suis.

Il répond que je lui manquais mais regrette que mon corps porte de bonnes traces de coups ce qui gâche un peu son plaisir.

La mégère me libère des chaînes et du bâillon puis sans résister je suis Jacques jusqu'à la chambre ou habituellement je lui fais l'amour.

Faisant fi de l'odeur désagréable de sueur qu'il dégage je passe mes bras autour de son cou et je colle mes lèvres sur les siennes.

Ma langue cherche la sienne et elles se mêlent dans des baisers que malgré moi je fais durer.

Je commence à le déshabiller puis je caresse, j'embrasse et lèche son corps (disons ses bourrelets de graisse) en partant de sa poitrine pour finir sur ses cuisses.

Je caresse son pénis puis je lui demande de s'asseoir sur le lit.

J'écarte au mieux ses cuisses, je passe ma tête sous son ventre et je la relève repoussant le bourrelet pour atteindre sa verge gonflée par l'envie, que je lèche consciencieusement partout tout en caressant et triturant ses bourses.

J'enfonce au maximum le pénis dans ma bouche et je commence une fellation, il soupire. Les va-et-vient de ma bouche sur sa queue sont de plus en plus rapides.

Il ne résiste pas longtemps, sa verge s'agite et envoie des jets de sperme dans ma gorge.

Ne tenant pas compte de ma révulsion j'avale tout en continuant à sucer.

Il s'allonge tout en laissant une partie de ses jambes pendre dans le vide et je me mets à califourchon sur lui.

Avec une main je dirige le pénis vers l'entrée de ma grotte puis je me baisse pour la faire pénétrer.

A grands coups de reins je fais aller et venir mon vagin sur son membre, l'accouplement dure un moment pendant que mon amant soupire de plus en plus.

Je me relève un peu, sa queue quitte ma chatte, je la positionne contre mon anus puis je m'empale dessus, Jacques gémit.

Je recommence les mouvements de va-et-vient jusqu'à ce qu'il se raidisse et éjacule en moi.

A genoux à l'inverse de lui je fais mon possible pour qu'il bande de nouveau et cela me prend un moment.

Je caresse son corps, je masturbe, lèche et suce sa queue flasque et enfin elle réagit. Je continue mes manœuvres jusqu'à ce qu'il bande correctement.

De nouveau j'introduis la queue dans ma chatte puis je remue pendant un moment avant de changer d'orifice et de me la mettre dans l'anus.

Il me faut beaucoup de constance et de patience car il a tendance à débander et je dois le remettre plusieurs fois en forme avec mes mains et ma bouche, je fatigue et suis en sueur à force de donner des coups de reins.

C'est un soulagement quand enfin en râlant il a un semblant d'éjaculation.

Je me lève et debout au pied du lit j'attends qu'il récupère et se rhabille.

Me tenant en laisse il me ramène dans le salon ou Amandine attend, ils boivent un verre ensemble.

- alors Jacques satisfait de la putain -

- oui! comme d'habitude, elle a été absente trop longtemps et elle m'a beaucoup manqué -

- elle n'est pas prêt de repartir. Pour ce qui est du sexe elle s'y connait et c'est pour ça que Mathieu va la foutre sur le trottoir mais je pense que pour le reste c'est une bonne à rien -

Je me retrouve enchaînée dans la pièce du sous-sol transformée en geôle. La seule chose que j'ai pu faire avant c'est me laver un peu à l'eau froide avec une éponge.

Le midi j'ai droit à ma gamelle de nourriture.

En début d'après-midi Mathieu qui est de retour vient me détacher et me demande d'étaler un plaid sur le sol.

- es ce que tu as bien compris que tu m'appartiens? es tu consciente que je vais faire de toi ce que je veux aussi longtemps qu'il me plaira? -

- je ne suis pas votre esclave, vous et votre amie n'avez pas le droit de me garder captive -

Je reçois une paire de claques qui me font vaciller.

- s'il faut que j'emploie la force pour te faire comprendre que tu m'appartiens et que tu finiras sur le trottoir cela ne me dérange pas -

Etant en mauvaise posture je ne veux pas le contrarier et risquer de prendre encore une raclée, je fais le dos rond en attendant une occasion de me sortir de ce guêpier.

- oui maître je suis votre chose et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez mais pendant combien de temps comptez vous m'utiliser -

- jusqu'au jour où trop usée tu ne me rapporteras plus rien, alors je te mettrais dehors et tu devras te débrouiller pour vivre -

Ses paroles me glacent mais je me contiens pour lui répondre.

- c'est vous qui voyez maître, je vous appartiens. Pour aujourd'hui qu'avez vous prévu pour m'occuper -

- des clients seuls ou en groupes vont venir te retrouver, occupes toi bien d'eux qu'ils ne disent pas ensuite que ta réputation de putain est usurpée -

- oui maître je vais essayer d'être à la hauteur de ma réputation de putain ou plutôt de prostituée puisque les hommes vous payent pour avoir le droit de profiter de mon corps -

- enfin tu te décides à accepter le fait que tu es ma chose et ta condition de prostituée qui va durer pendant de longues années -

- oui maître -

Mathieu s'en va me laissant seule tourmentée par ce qu'il vient de me dire et que je fais semblant d'accepter pour qu'il me laisse un peu tranquille.

Peu de temps après le défilé de partenaires sexuels commence:

D'abord un homme seul arrive et je lui fais l'amour.

Ensuite je dois satisfaire sexuellement trois hommes ensemble dont un très bien monté qui éjacule six fois et me donne beaucoup de travail en exigeant que je le fasse bander après chaque jouissance.

Je n'en ai pas fini car ensuite deux mâles entrent dans la pièce.

Leur grand plaisir, en plus des fellations qu'ils exigent, c'est de me sauter en même temps et d'échanger leur place, une queue dans ma grotte et une dans mon fondement.

Une fois leurs bourses bien vidées ils s'en vont, avec tous ces hommes qui se sont succédés je ne suis plus très en forme.

Etant seule et libre de mes mouvements j'en profite pour me laver.

Pour finir c'est le coup de massue pour moi, ce sont cinq hommes qui viennent ensemble se soulager et là je n'en peux plus.

Je ne compte pas le nombre de pipes que je fais.

Ma bouche, ma chatte et mon cul, souvent en même temps, sont pénétrés par des queues et se font abondamment arroser de sperme.

Quand un homme me le demande je le remets en érection en le masturbant.

Même s'ils n'hésitent pas à pénétrer ma chatte, mon anus a leur préférence et doit ressembler à une bouche de métro.

J'apprécie beaucoup les doubles pénétrations (vagin et cul en même temps) pendant lesquelles je prends beaucoup de plaisir et où j'atteins même la jouissance.

Celui qui a été le moins performant m'a honoré trois fois, les autres je n'ai plus compté car à partir d'un moment ils se sont relayés en évitant d'éjaculer.

Cela fait un bon moment que le groupe de cinq hommes assouvit ses besoins dans ma chatte et mon cul, je ne suis plus du tout lucide et maintenant j'atteins de plus en plus rapidement l'orgasme.

Ils comptabilisent mes orgasmes et s'en amusent, c'est un concours pour savoir qui m'a fait le plus souvent jouir.

Ils commentent ce qu'ils voient de mon visage déformé par trop de plaisir, de mon regard trouble et mes yeux révulsés.

Le dernier partenaire s'est soulagé, je reste seule inerte allongée sur le lit les yeux clos essayant de récupérer.

Mon maître vient me chercher, il me demande de prendre une serviette de bain dans le placard et m'emmène tenue en laisse dans une pièce attenante à un atelier ou je vois un drôle d'engin .

Il retire mon collier. J'écarte les bras et les jambes, il m'attache les poignets et les chevilles à un cadre métallique puis il fait pivoter celui-ci et je me retrouve à l'horizontale.

Il met un moteur en marche et le cadre qui me supporte se met à tourner entraîné par un système de poulies reliées par une courroie.

Il ouvre un robinet et des jets d'eau froide provenant de rampes m'arrosent des pieds à la tête, je grelotte.

Attachée au cadre je fais des tours complets sur moi même pendant un temps qui me paraît interminable en serrant les dents pour ne pas trop crier pendant que les jets d'eau n'épargnent aucune parcelle de ma peau.

Enfin le supplice cesse, Mathieu fait basculer le cadre et je me retrouve debout, il me détache.

- tu es plus présentable maintenant, tu peux remercier le jardinier qui a conçu cet engin qui va servir à te laver chaque jour -

Il prend un grand collier plastique et m'attache les poignets ensemble puis il me remet le collier pour chien autour du cou et en tirant sur ma laisse il m'entraîne vers l'habitation.

Les poignets toujours attachés ensemble et à genoux je mange comme une morte de faim car cela faisait un moment que mon estomac réclamait.

Allongée recroquevillée à ses pieds comme une bonne chienne j'attends qu'il finisse son repas.

Mon maître me ramène dans le chalet, il me met la muselière/bâillon.

A genoux sur le plancher/lit en bois j'écarte les jambes, il se positionne debout derrière moi et sort sa queue.

Il la place et le fait glisser entre mes fesses et après avoir un peu tâtonné pour trouver l'entrée de mon anus il pèse avec le poids de son corps et son pénis s'enfonce sans difficultés dans mon cul dans lequel il fait des va-et-vient.

Pendant qu'il donne des coups de reins il me dit:

- ce n'est pas possible, ton cul est plus ouvert qu'une bouche de métro, comment veux tu que je prenne du plaisir la dedans -

Cela ne l'empêche pas de continuer ce qu'il a entrepris, il me défonce le cul pendant un moment puis sa queue tressaute et des giclées de sperme coulent dans mon fondement.

Obéissant à ses ordres je m'allonge sur le plancher et présente mes poignets et mes chevilles là où sont placées les sangles qui servent à immobiliser mes membres.

- allez! dors bien la truie -

Seule dans la noir j'essaie de m'endormir ce qui n'est pas facile même si je suis bien fatiguée à cause de ce que j'ai subi.

Ma chatte et surtout mon anus sont douloureux et en plus j'ai le dos endolori par le plancher en bois qui est loin d'être confortable.

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