LAURA 065: je cède au chantage 04/13

Mitraillée par un photographe 1.2

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Ce matin je suis réveillée par le bruit de la clé qui tourne dans la serrure de la porte du chalet qui me sert de geôle.

Comme d'habitude j'ai passé la nuit couchée sur le plancher en bois qui me sert de lit sans pouvoir beaucoup bouger car afin d'éviter que je tente de m'enfuire j'ai les poignets, les chevilles et le cou pris dans des sangles fixées sur le plancher.

Je suis aussi réduite au silence avec la muselière/bâillon qui ne me quitte pas souvent et à cause de cet engin très gênant je bave beaucoup.

Mathieu mon maître entre dans le chalet suivi par un homme.

Ils portent des trépieds, des spots et des sacoches.

Je connais l'homme, il se prénomme Sacha et m'a déjà sautée plusieurs fois lors de mes précédents séjours dans cette propriété.

- tu vois que ma putain est très bien installée et que je la traîte comme une reine -

- effectivement elle ne peut pas se plaindre de ses conditions de détention, tu prends soin d'elle -

- oui! elle devrait même me remercier. Passons aux choses sérieuses, tu peux déjà commencer son book ici -

- d'accord! je vais déjà faire de belles photos d'elle dans cet endroit et montrer ce qu'elle aime comme condition de vie -

Il positionne ses spots et les branche dans les prises électriques fixées dans les cloisons.

Insatisfait il change plusieurs fois de place les spots et modifie l'orientation de l'éclairage.

Enfin satisfait il monte sur un escabeau que vient de lui apporter Mathieu et prend quelques photos de moi entravée sur la planche qui me sert de lit.

- enlèves lui sa muselière qu'on voie bien son visage, il faut que ceux qui verront les photos puissent la reconnaitre et constater qu'elle n'est pas trop moche -

Ce qu'il vient de dire ne présage rien de bon pour moi ni pour mon avenir.

Mathieu fait ce que le photographe demande et de nouveau j'entends les déclics de l'appareil que je trouve sophistiqué.

Sur ses appareils, loin d'être des modèles pour amateur, Sacha montre à mon maître les photos qu'il a prises, celui-ci semble satisfait.

Une fois libérée des sangles qui m'immobilisent je dois me lever.

- je vais replier le plancher en bois, dessous il y a des chaînes, je vais l'attacher de plusieurs façons pour qu'elle ait vraiment l'air d'une prisonnière -

Une grosse chaîne est accrochée d'abord à mon collier puis d'autres à mes chevilles et enfin à mes poignets.

Je dois obéir aux ordres que je reçois et rester debout puis ensuite m'assoir, m'accroupir et enfin me coucher sur le sol tout en regardant dans la direction du photographe ou bien en baissant la tête pour montrer ma soumission.

Mathieu place un tabouret contre la cloison du chalet où des sangles en cuir sont fixées à différents endroits et à différentes hauteurs.

- montes dessus la putain, tu sais comment tu dois te mettre pour que je puisse t'immobiliser avec les sangles -

Je grimpe sur le tabouret puis j'écarte les bras et les jambes.

Obéissante je place mes poignets dans les sangles que mon maître referme sur mes membres puis il retire le tabouret sur lequel mes pieds étaient en appui.

Je me retrouve pendue les poignets sanglés contre le mur et uniquement retenue par les sangles.

Après avoir déplacé les spots Sacha fait cliqueter un de ses appareils photo.

Le poids de mon corps tire sur mes bras et c'est douloureux, je serre les dents et grimace.

- là c'est intéressant, on voit qu'elle souffre, ça va faire de belles photos -

- souffrir et obéir sera sa vie pendant un bon bout de temps -

Pendant qu'il officie je dois d'abord regarder vers lui pour qu'il saisisse le mieux possible l'expression de mon visage puis dans un deuxième temps je dois garder la tête baissée.

Je suis soulagée quand Mathieu me détache et que je pose le pied sur le sol.

Mathieu accroche une laisse sur le gros collier clouté pour chien qui est autour de mon cou. Il me bâillonne et me menotte.

Après que Sacha ait de nouveau pris quelques photos mon maître tire sur ma laisse.

- suis nous la truie -

Je ne peux pas faire autrement que de le suivre dans le parc de sa propriété. Comme d'habitude je suis nue mais cela ne me dérange pas.

Nous nous retrouvons devant la grande cage faite de tubes métalliques.

Une fois débarrassée de la muselière/bâillon je pénètre à l'intérieur.

je suis prise en photo debout mes mains agrippées aux barreaux puis assise et aussi couchée au centre de la cage et enfin prostrée telle une personne qui n'a plus d'espoir.

- allez sors maintenant, il y a encore beaucoup de choses à faire -

Tout en me demandant ce qu'il a encore inventé j'obéis à ses ordres.

- suis nous la truie, nous allons prendre au passage Max le chien d'Amandine, je l'ai attaché là où nous allons -

Bizarre, pas de collier ni de bâillon. Je suis les deux hommes et comme il l'avait dit au passage mon maître récupère le chien puis nous allons dans une partie de terrain herbeuse.

Je suis surprise car je vois cinq hommes qui attendent en discutant. Je comprends qu'ils sont là pour assister à mes exhibitions pendant les séances photos qui sont loin d'être teminées.

- mets toi ici la putain, approche du chien puis suis nos instructions -

Il enlève la laisse de Max et comme d'habitude dés que la bête est à proximité de mon corps elle se colle contre moi, renifle et lèche mon entre-jambes.

Les ordres fusent et pendant que je les exécute le photographe s'affaire et tourne autour du couple que je forme avec le Labrador.

Debout je me penche et caresse son dos, son ventre et sa truffe.

Accroupie je fais la même chose puis je l'embrasse pendant qu'il cherche à lécher ma figure.

Je dois m'allonger, replier les jambes et les écarter pour qu'il puisse bien lécher mon sexe avant de mettre ses pattes sur mon ventre.

Je me mets à genoux et Max me lèche les fesses et l'anus.

Je couche Max sur le flanc, je caresse son ventre puis ses bourses et son sexe qu'ensuite j'embrasse en me penchant au dessus de lui. Evidemment comme il est habitué à copuler avec moi son pénis sort du fourreau et grossit rapidement.

Je le pelote et le masturbe un peu. A genoux je lèche puis prends le pénis dans ma bouche, je lui fais une fellation que je dois arrêter avant qu'il n'éjacule.

Puis viennent les pénétrations, couchée sur le dos jambes repliées il met ses pattes sur mon ventre et je l'aide à pénétrer ma chatte puis je sens son pénis bouger dans mon ventre pendant qu'il tremble.

Il n'a pas le temps de beaucoup faire bouger son membre dans ma grotte, deux hommes se saisissent de la bète et font en sorte qu'elle me lâche, ce qu'elle fait en grognant n'appréciant pas d'être privée de sa femelle.

Je me positionne à genoux: Max pose ses pattes avant sur mon dos, je prends son pénis dans une main et le place contre mon anus.

Je l'aide à me pénêtrer et avec un peu de difficulté il introduit son membre dans mon cul et s'agite, rapidement les deux hommes l'empêchent de continuer insensibles à ses grognements car il est contrarié.

Le chien est de nouveau couché sur le dos, je caresse son pénis toujours en érection puis je le prends dans ma bouche et lui fais un fellation, son corps tremble pendant que je caresse. J'ai reçu l'ordre d'aller jusqu'au bout alors je suce sans retenue.

Peu de temps passe avant que je sente la boule du pénis beaucoup grossir dans ma bouche puis je reçois une bonne quantité de sperme dans ma cavité buccale.

Une fois que le membre est sorti de ma bouche je dois en laisser couler une petite quantité sur mon menton avant d'avaler le liquide.

Je ne me préoccupe pas des rires, réflexions et quolibets qui proviennent de l'assistance, avec tout ce que je subis tous les jours je suis blindée.

- tu dégoûtes les personnes qui sont là, vas te laver. Maquilles toi en essayant de ressembler à une reine de beauté, ce que tu es loin d'être, puis habilles toi avec la tenue rouge et les cuissardes qui sont dans le placard -

- oui maître -

- ensuite tu viens nous rejoindre en amenant tout ce que j'ai mis dans un sac et posé sur ton lit ainsi que les chaussures à talons -

Je retourne dans le chalet sans escorte. Ma toilette faite, je me pomponne et enfile les vêtements.

C'est une mini-jupe rouge fluo, un haut blanc sans manches et très décolleté qui devient presque transparent au soleil. Le plus difficile c'est d'enfiler les cuissardes assorties.

Fin prête et ayant l'air de ce que mon maître veut que je sois "une putain ou tapineuse" je retourne là où je suis attendue.

- tu en as mis du temps -

Je suis prise en photo sur le gazon en prenant les poses qu'on me demande: debout, adossée à un arbre une jambe repliée, penchée en avant, allongée, assise, jambes écartées ou repliées, montrant en partie ma poitrine et ou mon sexe.

Je dois aller prendre des poses derrière des grands plantes fleuries puis derrière un tronc d'arbre mais en ne cachant que partiellement mon corps.

- retire les cuissardes et mets les chaussures à haut talons -

Je fais ce que mon maître demande je puis prends sensiblement les mêmes poses.

Je dois encore recommencer dans différentes positions sur le muret en pierres qui sépare l'allée à la partie herbeuse.

Ensuite je retire mes vêtements et mets un soutien-gorge, un string plus un short tout ça de couleur lilas et c'est d'abord vêtue ainsi que je pose dans différentes positions sur le muret.

Puis c'est habillée du soutien-gorge et du string sexy, ensuite uniquement avec le string et enfin avec seulement le soutien-gorge que je suis prise en photo.

- déshabilles toi entièrement et on va recommencer les mêmes choses -

Bien que j'en aie marre j'obéis immédiatement et je prends des poses identiques à celles que j'ai prises en étant vêtue.

Je dois introduire un puis des doigts dans ma chatte, mon cul et aussi me caresser les seins ou triturer mes tétons mais également me masturber le clitoris.

Ensuite c'est un des hommes qui vient me faire la même chose avant de remplacer ses doigts par des godemichets qu'il introduit dans ma grotte et mon anus, séparément ou en même temps.

Puis je dois ouvrir ma chatte avec mes mains et ensuite écarter mes fesses pour faire des gros plans de mon anus.

Je me retrouve mains attachées dans le dos puis côté ventre, parfois avec un foulard ou différents bâillons dans la bouche.

Couchée sur le dos jambes repliées puis sur le ventre jambes repliées et en l'air, la cheville gauche attachée avec le poignet gauche, le poignet droit et la cheville droite attachés ensemble.

Ensuite tous mes membres sont attachés ensemble.

Je sature, j'en ai assez surtout que contrairement aux hommes présents cela ne m'amuse pas.

J'ai beau me retenir, une envie devient pressante.

- maître il faut absolument que j'aille aux toilettes -

- connasse, il faut toujours que tu me poses des problèmes, si tu as envie de pisser fais le ici, attends que Sacha soit en position pour te prendre en photo pendant que tu fais tes cochonneries -

Je m'accroupis et pendant que j'urine le photographe fait cliqueter son appareil en se déplaçant rapidement pour obtenir différents points de vue.

- pour cet endroit ça suffit, on va continuer ailleurs -

Je connais bien l'endroit vers lequel nous nous dirigeons. c'est au tour du carcan de servir de décor pour le photographe, je me retrouve le cou et les poignets emprisonnés.

La seule chose qui varie pendant que les photos sont prises c'est le positionnement en hauteur du carcan ce qui me fait plus ou moins courber le dos, je me retrouve même à genoux.

Pendant les poses on n'arrête pas de me mettre ou retirer le bâillon.

Quand Mathieu demande des volontaires les voyeurs se précipitent et prennent du plaisir à me saucissonner à l'aide de cordes puis avec des chaînes, je suis photographiée debout tenue par deux hommes puis assise et enfin allongée.

Ensuite je suis photographiée debout d'abord les poignets seuls menottés puis les chevilles également entravées avec des menottes ayant une chaîne plus longue, tout ça avec ou sans bâillon.

Ensuite d'autres types de menottes avec des chaînes plus ou moins lourdes sont utilisées

Me tenant par le bras mon maître m'emmène vers l'endroit où se trouve le palan. Le photographe et la bande de voyeurs nous suivent.

Je suis d'abord pendue ne touchant plus le sol les poignets attachés ensemble et accrochées au crochet du palan.

Puis la même chose mais bras écartés, poignets accrochés à chaque extrémité de la barre métallique qui elle est accrochée sur le crochet du palan.

Ensuite je doit m'allonger sur le sol, ils me font la même chose mais ce sont mes chevilles qui sont accrochées et une fois qu'ils actionnent le palan je me retrouve la tête en bas les bras ballants puis les poignets attachés dans le dos.

Allongée sur le sol à plat ventre, ils lient ensemble mes poignets et mes chevilles qu'ils attachent. au palen avant de me faire décoller du sol.

Ensuite je me trouve accrochée soit aux extrémités de la barre si mes membres côté gauche sont attachés indépendamment de mes membres côté droit, soit directement au crochet de l'engin quand les quatre membres sont liés ensemble avant de mettre en marche palan et de me faire décoller puis monter à la hauteur voulue par le photographe.

En même temps ils font des photos de moi avec et sans bâillon.

Puis je dois me coucher sur le dos et ils recommencent les mêmes choses.

Sacha veut que je sois pendue à une branche d'arbre pour faire plus vrai. Les poignets et (ou) les chevilles attachées à une corde je me retrouve pendue de différents façons.

Je n'en peux plus de leurs jeux débiles surtout que c'est souvent douloureux.

Retour dans la partie de terrain herbeuse.

Un homme est assis sur une chaise en fer. Je dois d'abord introduire sa queue dans ma chatte et m'assoir sur lui en lui faisant face. Ensuite c'est dos tourné que je fais la même chose mais avec la verge enfoncée dans mon anus.

- maintenant on va montrer qu'elle aime ça quand on est violent avec elle -

Debout puis à genoux ensuite allongée sur le dos puis le ventre un homme cagoulé fait semblant de me frapper avec un fouet puis une cravache.

Un homme s'assoit sur un banc et je dois me mettre à plat ventre sur lui. Ce sont des photos de fessées et de coups de martinet qui sont prises.

- qui a la plus grosse parmi les personnes présentes -

- pourquoi -

- les photos que je vais faire maintenant seront plus parlantes -

- on va voir notre visage et ça ce n'est pas bon pour nous -

- non! rien à craindre Sacha va flouter le visage des hommes mais pas celui de la putain qui doit être bien visible et reconnaissable -

Connaissant Mathieu je suis sceptique, oui il va bien leur montrer des photos floutées mais sur ce qu'il va vendre ou diffuser le visage des hommes sera bien visible.

- bon pour le gros sexe je pense que c'est moi -