LAURA 066: je cède au chantage 05/13

Mitraillée par un photographe 2/2

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L'homme au gabarit imposant genre rugbyman qui s'approche de nous se prénomme Greg.

- si réellement tu es bien monté tu es notre homme car les photos seront plus parlantes avec une grosse bite -

- en quoi consiste mon rôle -

- dans des positions différentes que le photographe et moi allons t'indiquer tu vas mettre ta queue devant la bouche de la putain puis la faire pénétrer un peu et ensuite l'enfoncer au maximum, tu répéteras l'opération pour sa chatte puis son cul -

Je reçois l'ordre de déshabiller Greg qui se tient raide, la présence de spectateurs le bloque.

Effectivement c'est un beau morceau que je trouve entre ses cuisses que je mets à l'air mais une fois que l'homme est nu et devant l'assistance il ne bande pas.

Quelques spectateurs n'hésitent pas à se proposer disant que bien que n'ayant pas un pénis de même gabarit ils sont tout de suite aptes car assister à ce qui se passe les fait bander comme des cerfs et ça je peux le constater en regardant au niveau de leur bas ventre.

- on va se contenter de ta grosse verge Greg et ça tombe bien pour ce qu'on veut montrer -

Mathieu s'adresse à moi.

- la putain mets toi au travail et soit efficace, Sacha va en profiter pour faire des photos pendant que tu vas le faire bander -

Accroupie je caresse puis masturbe patiemment la verge jusqu'à ce qu'elle réagisse et grossisse pendant que j'entends les déclics d'un appareil photo.

L'homme évite de regarder vers l'assistance et je suis sure qu'il essaie de penser à des choses érotiques et de se concentrer sur ce que je lui fais afin de surmonter sa gêne.

J'embrasse et lèche partout le pénis qui a maintenant une taille imposante et les testicules puis j'enfonce difficilement le membre dans ma bouche que j'ouvre au maximum car c'est vraiment gros.

Lors des différents séjours chez Mathieu (ceux imposés par mon mari pour expier mes fautes) jamais cet homme n'a été présent car je n'aurais pas oublié un pénis de cette dimension si je l'avais eu dans la bouche, la chatte et surtout dans le cul.

- ça suffit, vous n'allez pas faire l'amour ici devant tout le monde. Maintenant vous allez faire uniquement ce que je vous demandé -

L'homme s'allonge dans l'herbe.

A genoux puis positionnée de différentes façons par rapport au corps de l'homme cela passe d'abord par des bisous et du léchage sur différents endroits des testicules puis du pénis ensuite j'approche mes lèvres de sa très grosse queue puis je la fais un peu pénétrer dans ma bouche avant d'en enfoncer un maximum jusqu'au fond de ma gorge en essayant de contrôler mon envie de vomir.

Je dois me conformer aux différentes poses dictées par mon maître quand ensuite c'est ma chatte qui doit être utilisée, j'ai le souffle coupé pendant que le monstre s'enfonce dans mes parties intimes en repoussant les chairs.

Puis c'est au tour de mon anus et là je souffre en serrant les dents pendant la difficile pénétration sans préparation sérieuse, le produit qu'un homme a préalablement mis sur et dans mon anus en se servant de ses doigts a juste un peu favorisé le glissement du membre mais pas ouvert l'orifice.

Les poses continuent, je me couche sur le côté jambes repliées lui derrière moi ou face à face, puis l'homme sur moi,ensuite moi sur lui, moi à genoux lui derrière moi, debout l'un contre l'autre ou moi grimpée sur lui.

Le photographe exige aussi que l'on prenne le temps d'une photo d'autres positions difficilement tenables.

Ensuite plusieurs hommes qui se portent volontaires se succèdent, je dois les faire éjaculer en les masturbant et là ce sont des photos de leur sperme qui gicle.

Ils doivent se soulager sur mon visage, sur mes seins, sur mon ventre, sur mon sexe ou entre mes fesses.

Quelqu'un a amené un seau d'eau, une éponge ainsi que des serviettes de toilette pour qu'à chaque fois après avoir été arrosée de sperme je me nettoie avant la photo suivante.

- c'est bon les gars, maintenant vous allez la baiser de toutes les manières possibles mais faites ce que Sacha vous demande pour qu'il puisse prendre de belles photos -

Plusieurs voyeurs qui n'attendaient que ça deviennent participants. Ils se débarrassent prestement de leurs vêtements.

J'ai le temps de regarder leurs corps, cela va du maigre au grassouillet avec un ventre bien proéminent quand aux pénis il y a de tout.

A genoux au dessus d'un mâle je me retrouve avec une queue dans la bouche, une dans la chatte et une dans la cul sans compter celles que je dois tenir dans les mains en même temps.

C'est plus l'homme qui fait aller et venir la verge dans ma bouche que moi qui suce pendant que je ressens les va et vient des pénis dans ma grotte et mon fondement. Mon corps se déplace constamment à cause des coups de boutoir de celui qui me sodomise.

Les participants sont un peu frustrés de devoir se conformer aux demandes du photographe donc de calmer leur ardeur afin qu'il puisse prendre les photos les plus parlantes possibles.

Il indique les positions que je dois prendre pendant que je me fais défoncer par plusieurs hommes en même temps. Ils sont autorisés à éjaculer dans mon corps sans précaution car il leur dit que c'est mieux si le sperme coule de mes orifices.

Arrive le moment où les hommes trop excités ne se retiennent plus et me défoncent sans retenue tous les orifices sans se soucier du photographe.

Les verges se succèdent dans mon corps car n'importe qui parmi les spectateurs, qu'il soit beau ou laid, bien ou mal monté, peut venir prendre son plaisir dans mon corps.

Sacha continue à mitrailler la scène en tournant autour de nous, en se contorsionnant ou se mettant à genoux.

Ne tenant plus et tenaillé par des envies il finit par se mêler aux autres et à pénétrer mes différents orifices puis y laisser son sperme.

A force d'être pénétrée et comme c'était à prévoir je ne peux pas éviter les orgasmes qui devenant de plus en plus rapprochés me fatiguent.

Je me fais défoncer longtemps avant que mon calvaire cesse faute de combattants.

- Sacha prend en photo sa chatte et son cul défoncés ainsi que son corps plein de cochonneries -

Le photographe fait ce que Mathieu demande. Il mitraille les endroits de mon corps où les participants ont laissé du sperme.

Il se fait aider par des hommes pour me faire prendre des positions où l'on voit bien que ma chatte ou mon anus sont très ouverts.

- allez les gars vous avez bien profité de ma putain, il faut la laver maintenant -

Peinant à me remettre je suis toujours allongée le cerveau embrumé et les yeux femés.

Des hommes me prennent par les bras et les jambes, ils me soulèvent puis me portent jusqu'à l'endroit où il y a un robinet.

Ils branchent un tuyau d'arrosage. Le jet d'eau est dirigé sur moi.

Ils se marrent et plaisantent pendant que se relayant ils m'arrosent longuement partout me demandant aussi d'écarter les jambes. Ils insistent entre mes cuisses et entre mes fesses.

L'eau n'est pas chaude, je suis gelée et je grelotte mais ça ils s'en fichent.

Enfin on me tend des serviettes mais comme je ne me montre pas très active on m'essuie et me frictionne pendant un moment.

Le gros collier clouté pour chien avec sa laisse refait son apparition et est mis autour de mon cou. Tenue en laisse on m'emmène à travers le parc.

Nous arrivons dans un endroit derrière l'habitation où des tables ont été dressées, de la boisson et des victuailles trônent dessus.

Je m'accroupis et mon maître accroche ma laisse à un pied de sa chaise. Sur le sol il pose une assiette dans laquelle il a mis de la nourriture.

- mange comme la chienne que tu es -

Je mange en m'aidant de mes doigts puis pour la boisson ce sont des hommes qui viennent me faire boire de force de l'eau et même du vin tout en ironisant ce qui amuse tout le monde.

Les heures passent, les bouteilles vides s'amoncellent et les hommes sont de plus en plus échauffés par l'alcool, les propos qu'ils tiennent n'ont plus aucun sens.

Une belle femme blonde vêtue très sexy fait son apparition. Avec Mathieu ils se font la bise.

La femme qui se prénomme Sonia regarde vers moi.

- c'est elle la putain avec qui je dois faire l'amour -

- oui, elle te plait -

- elle n'est pas mal mais il faudrait qu'elle s'arrange un peu -

- c'est prévu -

Je reçois l'ordre de retourner dans le chalet qui me sert de geôle me laver et me maquiller puis de remettre les vêtements que je portais dans la matinée.

Dés que je suis de retour la séance photos peut commencer et pour cela nous sous rendons d'abord dans une chambre.

Sacha s'y trouve déjà et ses instruments sont prêts.

Sonia s'approche de moi et debout nous nous embrassons et caressons par dessus les vêtements. Elle passe une main sous mon maillot puis sous ma mini-jupe puis j'en fais autant sur elle.

Chacune déshabille l'autre doucement vêtement par vêtement, pour elle c'est facile je ne porte que le maillot et la jupe, pour Sonia je dois en plus enlever son soutien-gorge et son string.

Toujours debout chacune caresse et embrasse la partie du corps dénudée de la partenaire.

Ensuite allongées sur le lit côte à côte nous nous embrassons et caressons puis elle se couche sur moi et frotte son corps contre le mien, je dois ensuite faire la même chose.

Je m'allonge sur le lit à l'inverse de Sonia.

Brusquement elle se lève et s'exclame.

- je ne vais pas faire l'amour avec elle, ce n'est pas possible pour moi -

- pourquoi -

- vous l'avez complètement défoncée, tu as vu dans quel état est son sexe et son cul, on croirait des bouches de métro, cela ne me donne pas envie -

- je n'avais pas réfléchi, j'aurais du commencer par le côté lesbien -

- oui! mais maintenant que je suis là autant que ce soit utile, je vais faire un effort et juste prendre les poses pour que tes clientes éventuelles voient qu'elle est bisexuelle -

- d'accord mais uniquement de la simulation avec des poses brêves -

Nous passons au léchage de sexe jambes écartées, elle allongée sur moi puis moi allongée sur elle. Ensuite l'une entre les jambes de l'autre. A genoux c'est le léchage du dos puis de l'anus.

Ensuite c'est le doigtage réciproque de la chatte, du clitoris et de l'anus en nous positionnant de différentes façons.

Enfin elle se sert sur moi, dans ma bouche, ma chatte et mon cul, de différents godemichets. je ne lui fais pas la même chose car elle ne veut pas être pénétrée que ce soit par un pénis ou un objet quelconque. Pour terminer nous nous conformons à quelques demandes du photographe.

Mon maître remet mon collier autour de mon cou et m'affuble de la muselière/bâillon ce qui amuse Sonia. Ils retournent tous les trois s'installer sur la terrasse pour boire un verre. Mathieu et Sonia discutent en compagnie de Sacha.

- comment utilises tu ta putain actuellement -

- pour le moment je finis son dressage et je la loue à des connaissances ainsi qu'à leurs amis car ils me font de la publicité et de fil en aiguille avec les rumeurs des hommes intéressés qui entendent parler de la putain prennent contact et veulent se la taper en payant. Je vais bientôt la mettre sur le trottoir -

- que vas tu faire de son book -

- le diffuser sur divers sites pour la faire connaitre -

- quelles seront ses spécialités -

- elle accéptera de faire tous ce qu'on lui demandera même d'être torturée si ça paie bien -

- tu blagues -

- non! si on la démolit après m'avoir grassement payé je m'en fiche, des putains on en trouve à la pelle. Quand elles sont inutilisables on les jette et on en reprend d'autres -

- tu vas devoir fixer un tarif pour ses différentes prestations sexuelles et bdsm -

- oui! j'ai déjà des idées après avoir vu ce qui se pratique sur certains sites -

- il arrive parfois qu'un client veuille acheter la prostituée -

- si on m'en propose un très bon prix je la vendrais que ce soit à un client pour son usage personnel ou même pour qu'elle travaille dans un bordel en France ou à l'étranger, une putain ça se remplace mais un bon pactole ça ne se refuse pas -

En entendant cela je panique et je me demande comment me sortir de cette situation. J'ai du mal à réfléchir et je ne trouve toujours pas de solution.

J'entends un bruit derrière moi. Amandine apparaît, je pense qu'elle vient chercher son chien qui est enfermé dans la cage faite de barreaux métalliques.

Je me trompe, elle tient un fouet, un martinet et une cravache dans ses mains. J'ai compris que cela allait être ma fête et que sans raison valable j'allais être battue.

Sacha qui savait ce qui allait se passer a repris un appareil photo en main.

- cela va être un plaisir pour moi de te foutre une raclée la putain, ils m'ont laissé la meilleure partie du programme -

J'ai d'abord droit à la cravache, les coups qu'elle donne sans retenue pleuvent sur mon corps pendant que je suis debout puis à genoux essayant d'esquiver et finalement couchée et recroquevillée.

C'est l'accalmie mais de courte durée. Je reçois l'ordre de me relever, Amandine me frappe maintenant avec le martinet et cela me fait très mal car elle ne retient pas ses coups.

Je dois encore changer plusieurs fois de position pour mieux présenter mon corps à la sadique qui prend son pied en me frappant.

Je pleure et crie mais les sons sont atténués par mon bâillon. Je finis encore recroquevillée sur le sol.

Ensuite debout puis couchée dans l'herbe j'ai droit au fouet et là toutes les partie de mon corps sont atteintes, parfois la lanière s'enroule autour de mon corps.

Quand les coups cessent enfin, mon corps est bien marqué et très douloureux.

- tu aime ça la putain, si tu en veux encore tu n'as qu'à demander -

- pitié madame! j'ai trop mal! je vous en supplie arrêtez! -

- tu croyais que j'allais faire semblant, tu fais moins la fière espèce de connasse qui te crois supérieure -

Mon maître qui a quand même tenté de la calmer pendant qu'elle me frappait lui dit que ça suffit, qu'elle a pris assez de plaisir et qu'elle m'a un peu trop démolie. Puis il s'adresse à moi -

- alors la putain tu préfères quoi: recevoir ce traitement tous les jours ou faire le trottoir, tu as le choix -

- le trottoir maître et le plus tôt possible, je vous jure que je ne vous décevrais pas -

- alors puisque tu insistes tu commenceras à tapiner la semaine prochaine -

Ma tortionnaire qui jubile boit un verre cul sec puis part chercher son chien avant de retourner chez elle.

Je n'en peux plus. Je touche à peine à mon écuelle du soir.

Mon maître me ramène dans le chalet et m'attache sur le plancher en bois qui me sert de lit.

Les douleurs dues aux coups que j'ai reçu sans parler des pensées qui tournent en boucle dans ma tête contrarient mon sommeil, ma nuit est peuplée de cauchemars.