LAURA 067: je cède au chantage 06/13

Informations sur Récit
Mise sur le trottoir.
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Partie 67 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Deux jours après qu'un photographe ait réalisé mon book de future prostituée, ayant fini de déjeuner mon maître me dit de me laver correctement dans une salle de bain.

Quand je reviens vers lui je suis surprise quand Mathieu, après m'avoir retiré le gros collier pour chien qui est en permanence autour de mon cou ainsi que les bracelets en cuir fixés à mes poignets et mes chevilles, me tend les vêtements que je portais en arrivant chez lui.

- mets ça la truie et suis moi -

J'enfile la jupe et le maillot puis chausse mes escarpins mais il n'y a pas mes sous-vêtements, je ne pose pas de questions.

Je monte dans sa voiture, nous nous rendons en ville.

- nous allons faire les magasins, tu ne peux pas attirer des clients avec tes oripeaux et tu ne peux pas arpenter le trottoir nue -

- c'est gentil à vous maître de vous soucier de mon bien être, vous avez raison, je dois avoir une bonne présentation pour attirer les hommes et vous ramener beaucoup d'argent -

- tu n'as pas intérêt à ouvrir la bouche et n'essaies pas de t'échapper car ma vengeance serait terrible -

- je vous appartiens maître, je ferais tout ce que vous me demanderez sans parler -

Dans chaque magasin où nous allons je file dans la cabine d'essayage et me mets nue pendant que mon tortionnaire choisit des vêtements.

A chaque fois la vendeuse qui m'apporte ce qu'il a choisi s'étonne de me voir nue, je vois son regard étonné car mon corps porte encore bien marqué par les coups de martinet et de fouet que j'ai reçu deux jours plus tôt.

Mais ne voulant pas rater une vente elle se conforme à ce que Mathieu lui demande: s'assurer que les habits me vont bien.

Ce sont des jupes très mini, des maillots moulants et bien échancrés qui laissent apparaître une bonne partie de mes seins, tout cela de couleurs très voyantes.

Pour les bas auto fixant il n'y a pas de problème d'essayage mais une vendeuse hésite avant de m'aider pour un premier ensemble string et des soutien-gorge assorti et de ma taille que mon maître a choisi, il veut uniquement voir l'effet sur moi.

Elle dit à mon maître que je peux le faire toute seule mais il insiste disant qu'elle est plus apte à juger si la taille et le coloris sont adaptés, en lui demandant ça il me rabaisse mais c'est également vrai pour la vendeuse qui ne sait plus où se mettre.

Dans un magasin de chaussures nous tombons sur un vendeur.

Il m'aide à mettre des escarpins à hauts talons pendant je suis assise et ses yeux se portent vers mon entre-jambes, obéissant aux ordres j'ai revêtue une mini-jupe rose fluo qu'il vient de m'acheter mais pas de culotte.

Pendant qu'il me fait essayer différentes paires il se rince l'œil de moins en moins discrètement.

Les derniers essayages concernent des bottes qui montent à mi-cuisses. Après en avoir enfilé une paire je fais quelques pas pour que Mathieu se rende compte de leur effet sur moi.

- soulèves bien ta jupe que je vois mieux comme ça fait sur toi -

Là il abuse car ce n'est vraiment pas nécessaire vu qu'une bonne partie de mes cuisses est visible.

Je me rends compte qu'il veut simplement m'exhiber, j'obéis et retrousse ma mini jupe jusqu'à la taille puis je marche un peu et tourne sur moi même.

Le vendeur qui me regarde immobile, il reste pendant un moment la bouche ouverte et les yeux qui sortent de leur orbite.

Une fois que mon maître est satisfait des achats nous regagnons sa voiture et prenons le chemin du retour.

- tu m'as coûté pas mal d'argent aujourd'hui, tu as intérêt à être très obéissante et me rembourser au plus vite -

- oui maître, je suis consciente des gros efforts que vous faites pour que je sois présentable et je ne vous décevrais pas -

- ce sera en plus de ce que tu dois me rapporter chaque jour -

- je comprends maître, je ne vais pas compter les heures passées à tapiner -

De retour chez lui trois hommes nous attendent, disons que c'est plutôt moi qui les intéressent. Je leur fais l'amour sur le plancher/lit dans le chalet.

Libre de mes mouvements je me lave puis attends assise sur le tabouret. Mon maître vient me chercher et m'emmène chez lui pour ledîner puis il me ramène dans ma géôle.

Je passe la nuit allongée, jambes et bras écartés, sur mon lit qui est un plancher en bois sur lequel sont fixées des sangles qui me maintiennent le cou, les poignets et les chevilles. Comme la plupart du temps une muselière/bâillon me réduit au silence.

Le jeudi matin mon maître me libère de bonne heure et m'emmène chez lui tenue en laisse.

Arrivés dans la cuisine, après qu'il m'ait délivrée de la muselière/bâillon et du collier, je lui fais sa pipe matinale et j'avale son sperme.

Ensuite je déjeune à genoux accroupie sur le carrelage puis je passe dans la salle de bain.

J'obéis aux ordres reçus et me prépare soigneusement. Je me maquille outrageusement.

Je m'habille: bas résilles, soutien gorge blanc seins nus, string blanc, jupe très mini rouge fluo, maillot blanc fluo très ajusté afin que mes tétons soient visibles à travers le tissu, un blouson rouge (même matière que ma jupe) que je retirerai dés que la température sera bonne, bottines rouges à talons hauts.

Je mets une tenue de rechange dans un sac puis je rejoins Mathieu qui me tend deux boîtes de préservatifs, des mouchoirs en papier et deux sachets plastiques.

Il inspecte ma tenue puis soulève ma jupe, il me gifle ce qui me surprend.

- tu te moques de moi connasse -

- non maître, pourquoi -

- tu n'as pas à mettre de culotte, c'est une perte de temps et surtout des clients de perdus si tu passe ton temps à l'enlever et la remettre -

- je m'excuse maître, je n'avais pas pensé à ça et comme toujours vous avez raison porter une culotte serait une gêne et une perte de temps -

Je retire mon string et le range dans mon sac.

Une fois installés dans la voiture de Mathieu nous prenons la route et il passe son temps à me faire des recommandations et me donner des ordres que je dois suivre à la lettre.

Je l'assure que je suis consciente de ce qu'est le tapin et que je ferais ce qu'il faut pour satisfaire un maximum de client.

Cela fait un quart d'heure que nous avons quitté le domicile de Mathieu, nous roulons maintenant sur une route à grande circulation et traversons une forêt, la voiture s'arrête à l'entrée d'un chemin.

- tu vas tapiner ici, je reviens te chercher en fin de journée -

- d'accord maître si l'endroit vous convient. Je vais faire le nécessaire pour vous satisfaire -

- j'y compte bien surtout si tu ne veux pas prendre une raclée ce soir -

Il a du repérer les lieux auparavant car l'endroit boisé en bordure d'une route où beaucoup de voitures circulent parait bien adapté pour ce qu'il veut que j'y fasse.

Je descends de l'auto, il démarre me laissant seule.

J'inspecte les lieux et trouve un endroit discret pour cacher mon sac puis un endroit pour mon activité où je dispose les préservatifs.

Ne perdant pas de temps je me place au bord du chemin bien en vue des véhicules qui passent. Avec ma tenue il faudrait être aveugle pour ne pas me voir.

Il est tôt mais beaucoup de voitures ralentissent à ma vue.

Un auto grise qui était passée devant moi fait demi-tour et s'arrête, le conducteur un homme bedonnant vêtu d'un costume en descend et s'approche de moi.

- combien tu prends -

- pour une pipe ou pour faire l'amour -

- pour te mettre ma bite dans la chatte -

Je lui donne mon tarif qu'il accepte puis nous entrons dans la partie boisée que j'ai repérée et où nous serons tranquilles.

Après m'avoir payée il sort sa queue sur laquelle j'enfile un préservatif.

Je retrousse ma jupe, je tourne le dos à mon premier client et après avoir écarté les jambes je me penche en avant et creuse les reins les mains en appui contre le tronc d'un arbre

Il est contre moi, sa queue glisse entre mes fesses avant que je l'aide avec une main à atteindre mon intimité dans laquelle elle s'enfonce écartelant les chairs quand il donne un coup de reins les mains agrippées à mes hanches.

Il remue et je ressens les aller-retour de sa grosse verge dans ma chatte pendant quelques minutes avant qu'il ne se crispe et n'éjacule tout en donnant encore quelques coups de reins.

Il se débarrasse du préservatif, remet de l'ordre dans ses vêtements tout en me parlant de son métier puis une fois de retour au bord de la route il me quitte en me disant à bientôt.

Dans la matinée je me fais moins souvent pénétrer que je ne fais de pipes (beaucoup d'hommes adorent se faire sucer).

Assise au pied d'un arbre je mange mon repas avant de rapidement reprendre le travail.

En début d'après-midi je vois des autos qui passent et repassent plusieurs fois devant moi avant que le conducteur ne se décide à m'aborder.

Les clients sont plus nombreux et des routiers en profitent pour faire leur pause obligatoire.

Il y a parfois jusqu'à cinq ou six hommes qui tournent autour de moi, voyeurs ou longs à se décider et m'aborder.

Bien que je finisse par trouver le temps long je continue à tapiner en attendant que mon maître vienne me chercher.

Enfin Mathieu arrive et se gare de l'autre côté de la route.

Je prends mes affaires et me dirige vers lui, il baisse sa vitre, je m'approche et me penche pensant qu'il veut me parler, je reçois une violente gifle.

- connasse qui t'a dit que ton travail était fini -

- maître je pensais que... -

Il ne me laisse pas le temps de finir ma phrase.

- retournes au travail je veux voir comment tu t'y prends -

Je retourne tapiner et après que j'aie encore satisfait deux clients (une pipe et une pénétration de mon vagin) il me fait signe de le rejoindre.

Je monte dans sa voiture et il me ramène chez lui.

Arrivés dans son salon j'ai ordre de me mettre nue et de laver mon visage de grosse putain qui le dégoûte avec mon maquillage outrancier puis il m'affuble du collier pour chien et de la laisse.

Je dois sortir un à un les préservatifs souillés de sperme qu'il compte en fonction de leur usage puis il compare avec ce que j'ai gagné et trouve que c'est juste mais que le lendemain je dois faire mieux.

Une fois ramenée tenue en laisse dans le chalet qui me sert de demeure, il me bâillonne.

Je me retrouve à genoux, les jambes écartées, sur ce qui me sert de lit. Il se positionne derrière moi et sort sa grosse queue de son pantalon et la positionne contre mon anus.

Avec ses mains il se cramponne à mes hanches et exerce une poussée avec son corps.

Son pénis pénètre et s'enfonce inexorablement dans mon cul en forçant les chairs.

Il se met en mouvement et avec des coups de reins il fait coulisser son membre dans mes fesses.

Il me défonce un petit moment puis je sens que sa verge augmente encore de volume et prise de soubresauts arrose mes intestins de sperme.

Il se retire et s'essuie, je me relève.

- tu t'assois et tu attends, ta journée n'est pas terminée je t'ai trouvé des clients pour ce soir -

- cela commence à faire beaucoup maître après la journée passée à tapiner -

- je m'en fiche, tu es ici pour te servir de ton cul quand il y en a besoin et s'il le faut 24 heures sur 24 -

- bien maître -

Comme ci je n'avais pas eu mon compte de bites pendant la journée, je trouve qu'il exagère mais je suis bien obligée d'accepter de faire selon sa volonté.

Il sort du chalet et verrouille la porte, assise je patiente. Au bout d'un moment la porte s'ouvre et trois hommes entrent.

- Mathieu ne nous a pas menti, elle est mignonne sa putain -

- oui! je crois qu'on va bien s'amuser avec elle -

Je me lève et je leur souris.

- bonjour messieurs. Je suis la putain mais surtout la prostituée de monsieur Mathieu mon maître. Je suis à votre disposition et je vais essayer de ne pas vous décevoir -

Ils mettent leurs queues à l'air.

Cela commence par une pipe, je les suce chacun leur tour passant de l'un à l'autre sans chercher à conclure, ce jeu dure un moment puis trop excités ils décident de s'occuper de moi.

Ils veulent me prendre tous les trois ensemble en utilisant tous mes orifices en même temps. Ils choisissent la position adéquate pour que j'aie en même temps une queue dans la chatte, une dans l'anus et une dans la bouche.

Vu comment je suis prise je ne peux que les laisser me défoncer et rapidement chacun d'eux se soulage dans l'orifice qu'il a investi.

Après avoir échangé leurs places ils recommencent à me défoncer, comme ils ne veulent pas éjaculer trop vite ils échangent plusieurs fois leur place pour mon plus grand plaisir car les sensations que je ressens sont de plus en plus fortes et je mouille beaucoup.

Le plus faible arrose ma chatte, du coup les deux autres accélèrent les va-et-vient dans ma bouche et mon anus pour ne pas être en reste.

Je dois les remettre en forme en masturbant et suçant les pénis ce qui est facile avec deux d'entre eux mais plus difficile pour le troisième.

De nouveau en érection ils essayent de me prendre dans le même orifice à deux ensemble mais même en insistant ce n'est pas concluant et ils abandonnent.

Ils se relaient pour me sodomiser sans conclure et avec mes mains et ma bouche je dois m'occuper d'entretenir l'érection de ceux qui attendant leur tour. Un premier finit par éjaculer dans mon cul avant de retirer sa queue de mon anus.

Mon fondement est de nouveau investi et les les deux autres compères se relaient et continuent à me défoncer pendant un bon moment avant de se soulager dans mes intestins.

Je remets encore chacun leur tour en forme les deux qui souhaitent continuer, je masturbe et ne suis pas avare avec les fellations, j'arrive à un résultat et de nouveau une verge s'enfonce dans mon anus.

Ils donnent des coups de reins violents et ils se remplacent souvent pour faire durer l'accouplement, ils me défoncent très longtemps le cul avant d'éjaculer dedans.

Je n'ose pas penser à l'état de mon anus qui doit être bien ouvert.

Satisfaits ils partent en me remerciant pour le plaisir qu'ils ont pris, ils ferment la porte à clé.

Je me nettoie au lavabo puis je replie le lit et m'allonge dessus, j'attends que mon maître vienne me bâillonner et m'immobiliser avec les sangles, ce qu'il vient faire au bout d'un moment.

Fatiguée je réussis à m'endormir assez rapidement.

Le mardi matin mon maître vient me chercher et comme cela se passera pour les jours à venir: je lui fais une pipe et j'avale son sperme, je déjeune. Je vais me laver, me maquiller sans modération pour avoir l'air de la prostituée que je suis réellement depuis lundi matin.

Je m'habille et aujourd'hui c'est mini jupe et bustier rouges ainsi que des cuissardes noires, donc pas de culotte ni de soutien gorge.

Mathieu inspecte ma tenue, soulève ma jupe extra courte.

- c'est bien d'être obéissante, tu as laissé à l'air ton cul de putain -

Je prends mon sac avec les affaires de rechange et celui qui contient mon repas. Nous sortons de la maison et gagnons sa voiture.

En route nous restons pratiquement silencieux. Il stoppe au même endroit que la veille.

- montres toi bien au bord de la route et aguiches bien les automobilistes, tu dois faire mieux qu'hier -

- oui maître, je vais faire de mon mieux -

- fais plus que mieux et gagnes un maximum d'argent, ne me déçois pas -

- maître je vais faire mon possible pour vous satisfaire -

Je sors de la voiture, il démarre rapidement sans un regard pour moi qui suis sa chose -

Pendant qu'il s'éloigne je vais mettre mes sacs à l'abri des regards et poser les préservatifs et mouchoirs en papier sur le lieu où je soulage les hommes.

Je me positionne au bord de la route pour être bien visible des automobiles.

Je vois le regard des conducteurs et aussi des passagers se tourner dans ma direction quand ils passent devant moi puis j'observe le manège des voitures qui ralentissent à ma vue et font demi-tour pour repasser devant moi puis s'arrêter sur le bas-côté.

Le matin les gens semblent plus affairés et j'ai moins de clients que l'après-midi ou par moments plusieurs autos stoppent devant moi presque en même temps et dans ces moments la je ne traîne pas pour pouvoir faire jouir un maximum d'hommes.

Ils sont toujours surpris, quand en levrette, avant de pénétrer ma chatte, ils soulèvent ma jupe et s'aperçoivent que je n'ai pas de culotte. Je dois à chaque fois leur dire qu'il est inutile que j'en mette une.

En fin de journée mon maître arrive et se gare sur le bas-côté attendant que j'en aie fini car plusieurs hommes viennent encore me voir pour que je les fassent éjaculer avec ma bouche ou dans ma chatte.

Enfin il me fait signe de le rejoindre, je vais chercher mes sacs puis je traverse la route et je monte dans sa voiture.

De retour chez Mathieu je me déshabille, il m'affuble du collier pour chien et de la laisse.

Il compte les billets que m'ont rapportées mes passes.

Puis c'est le comptage des préservatifs qui ont servi, c'est moi qui le fais car il ne veut pas se salir avec des capotes polluées par du sperme qui d'après lui n'est pas forcément sain.

Il compare avec ce que j'ai gagné et convient que c'est correct et que je n'ai rien détourné.

- tu as bien travaillé aujourd'hui, je vais te récompenser. Mets toi à genoux -

Obéissant à ses ordres je me positionne à genoux sur le canapé jambes écartées et lui présentant bien mes fesses.

Il me prend en levrette, sa queue pénètre ma chatte dans laquelle elle fait des aller-retour pendant un moment puis elle en sort et vient buter contre mon anus.

D'une forte poussée elle force l'entrée puis s'enfonce dans mon cul en repoussant les chairs. Quand ses testicules viennent buter contre mes cuisses il donne des coups de reins et je ressens les aller-retour du pénis dans mes fesses.

Il me défonce un bon moment s'arrêtant plusieurs fois quand il est sur le point de jouir. Je ressens du plaisir mais pas jusqu'à la jouissance car quand il décide que ça suffit il laisse sa verge sortir de mon fondement et me dit:

- tu as une gueule à avaler du sperme alors fait ce qu'il faut pour ça -

Je me tourne et toujours à genoux je prends sa grosse queue dans ma bouche et lui fais uns fellation en faisant varier la vitesse des aller-retour de mes lèvres sur le membre.

La queue grossit encore et tressaute dans ma bouche, il appuie sur ma tête pendant qu'une bonne quantité de sperme coule dans ma gorge.

J'avale puis continue à sucer avant de lécher partout le membre pour le rendre propre.

Je me recule et attends un ordre de sa part.

- je pense que tu as gagné ton repas de ce soir -

Il met de la nourriture dans une écuelle et la pose sur le sol. A genoux je mange comme je peux et ayant très faim je vais jusqu'à lécher le fond de l'écuelle ce qui fait rire mon maître.

- je n'ai plus besoin de toi ce soir, tu vas retourner dans ton antre -

Il menotte mes poignets puis tirant sur ma laisse il m'entraîne vers le chalet.

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