LAURA 069: je cède au chantage 08/13

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Prostituée et torturée
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Partie 69 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Le jeudi le tapin marche bien pendant une partie de la journée.

Les automobilistes et routiers qui empruntent régulièrement la route nationale racontent à leurs connaissances qu'une prostituée s'est installée à l'entrée d'un chemin forestier.

Donc aidée par le bouche à oreilles je commence à être connue.

Soudain en début d'après-midi il se met à pleuvoir, je suis vite trempée comme une soupe même en m'abritant sous les arbres.

Quand enfin la pluie cesse je me change, je m'aperçois que j'ai bien fait d'apporter des vêtements de rechange.

Je suis arrivée vêtue en rose et je porte maintenant une tenue noire ce qui n'est pas l'idéal pour être bien vue des automobilistes.

Je reprends le travail mais les clients refroidis par le mauvais temps sont moins nombreux.

Quand mon maître vient me chercher en fin de journée, pendant qu'il m'observe, un seul client vient me solliciter pour lui faire une pipe.

De retour chez Mathieu celui-ci compte les préservatifs usagés et les billets que je lui tends et se montre très déçu.

- c'est loin du compte, qu'est ce que tu as foutu -

- c'est à cause de la pluie, les automobilistes n'avaient pas envie de s'arrêter -

- c'est une excuse bidon, quand on est motivé ce ne sont pas quelques gouttes d'eau qui nous arrêtent -

Mathieu est en rage, je sais qu'il va me punir.

- avec ce qui va t'arriver tu vas comprendre qu'il vaut mieux m'obéir et te mettre dans la tête que tu n'es pas en vacances même si tu profites du bon air pendant tes journées dans les bois -

Cela ne m'empêche pas d'apercevoir une énorme bosse dans son pantalon au niveau de son sexe, il est bien monté et me martyriser l'excite.

- à genoux connasse -

J'obéis et anticipant la suite peu réjouissante je retrousse ma mini-jupe.

Les claques pleuvent sur mes fesses pendant que je serre les dents et essaie de ne pas bouger malgré la douleur, les larmes coulent sur mes joues.

Les coups cessent et aussitôt je me retrouve avec la queue de mon maître qui force l'entrée de mon anus.

Je n'ai pas eu besoin de le faire bander, me martyriser a suffi à le mettre en érection.

Les mains agrippées à mes hanches il appuie avec le poids de son corps et sa verge s'enfonce sans douceur dans mon cul en repoussant les chairs.

Tout de suite il donne des coups de reins violents.

Mon orifice n'a pas le temps de beaucoup se dilater pendant les va-et-vient du membre qui rapidement grossit encore et envoie des jets de sperme dans mon fondement.

Il se retire, se relève puis s'essuie.

- allez la chienne tu vas retrouver ta niche -

Je comprends que le dîner ce ne sera pas pour moi.

Nous gagnons le chalet où sans attendre je me déshabille. Mathieu me bâillonne puis me dit de m'allonger sur le plancher en bois qui me sert de lit.

- couches toi sur le ventre -

Je dois replier mes jambes puis il attache mes poignets et mes chevilles ensemble.

- dors bien et sois en forme au réveil car demain tu tapineras plus longtemps, tu as de l'argent à récupérer -

Il s'en va en fermant à clé la porte du chalet.

Les membres ankylosés et douloureux je dors très peu.

Je ne suis pas fraîche quand Mathieu vient me chercher le lendemain matin, il me demande de beaucoup me maquiller car j'ai une tête à faire peur.

J'enfile ma tenue composée d'une mini-jupe noire en skaï, d'un maillot à bretelles qui laisse voir une bonne partie de mes seins et d'une paire de chaussures à très hauts talons.

- maître avec ce type de chaussures ce ne va pas être commode dans la forêt, les talons vont s'enfoncer dans la terre -

- aujourd'hui tu vas tapiner en ville, je t'ai négocié une chambre et un bout de trottoir -

En voiture il m'emmène dans plus grande ville située à une demie heure de sa propriété. Nous arrivons dans un quartier qualifié de "chaud" où après s'être garé il me montre un trottoir.

- l'emplacement que tu vois là sera ton domaine pour tapiner, ne t'aventures pas ailleurs sur le territoire d'autres prostituées -

Il m'emmène ensuite dans un vieil immeuble proche, je constate que même à l'intérieur c'est vétuste.

Je le suis dans l'escalier en bois qui grince sous nos pieds. Il ouvre une porte et me fait entrer dans une pièce qui aurait besoin d'un bon rafraîchissement.

Il y a un lit en fer avec uniquement un matelas, une vieille armoire sans porte avec des porte manteaux, une chaise, un bidet et un lavabo.

Dans un angle de la pièce il soulève une lame de parquet.

- dans la journée tu planqueras le fric dessous -

Il ne s'attarde pas et en sortant me dit de me mettre au travail tout de suite même si à cette heure matinale les clients ne seront pas nombreux.

Sans attendre ni demander mon reste je vais arpenter le bout de trottoir qui m'est dévolu.

A cette heure ci ce sont des hommes pressés qui vont à leur travail et des ménagères qui font leurs courses et me regardent avec un air méprisant.

Imitant les deux autres prostituées qui officient dans le secteur je souris et aguiche les hommes qui passent devant moi.

Nouvelle dans le quartier je n'ai pas de difficultés à attirer la clientèle.

Je passe ma journée à faire des pipes ou me faire prendre allongée sur le lit tout en essayant de soutirer des suppléments à mes clients que je compte planquer dans mes chaussures sous mes plantes de pieds pour que mon maître ne voit pas les billets supplémentaires que j'ai gagné .

En fin de journée mon maître vient me chercher et de retour chez lui il semble satisfait de ma recette.

Quand on me ramène et après que je me sois déshabillée, avant qu'il ne mette le collier clouté autour de mon cou, je range rapidement mes affaires et surtout les chaussures dans le placard.

Ensuite pendant la semaine mes journées se passent de la même manière.

En général c'est Amandine qui me ramène dans ma geôle toujours accompagnée de Max son chien.

Je dois satisfaire l'animal en le caressant et masturbant puis le faire éjaculer dans ma bouche, ma chatte ou mon cul suivant ce que souhaite ma tortionnaire.

Souvent le soir je dois encore faire l'amour sur mon lit (plancher en bois) à un ou plusieurs hommes que Mathieu trouve je ne sais où.

Que je sois fatiguée après une longue journée passée à arpenter le trottoir ne le dérange pas il veut toujours que je lui rapporte plus d'argent avec des clients supplémentaires.

Un après midi je viens de faire jouir un client en lui faisant une pipe je retourne arpenter le trottoir.

Un black grand et super baraqué au visage peu avenant m'aborde.

- viens avec moi -

- pourquoi, je ne sais pas ce que tu veux que je te fasse et je ne t'ai pas dit combien je prends -

- pour moi c'est gratuit. Je m'appelle Djawad et ton mac me connait bien, c'est moi qui lui prête la piaule où tu te fais baiser -

- excusez moi monsieur, je ne savais pas -

- tu n'as pas à le savoir. En compensation quand j'en ai envie je peux me servir de toi. Alors suis moi -

Même si je le voulais je ne peux pas me permettre de refuser, nous entrons dans l'immeuble où je reçois mes clients et montons l'escalier, l'homme ouvre une porte.

J'entre derrière lui et je referme la porte.

Dans la pièce je vois un lit métallique, un bureau, deux chaises, un vieux meuble avec dessus un réchaud à gaz. Il ne prend pas de gants avec moi qui pensais qu'il allait me baiser puis me laisser repartir.

- pour commencer tu vas te déshabiller en me faisant un striptease -

- cela va être difficile car je n'ai pas beaucoup de vêtements sur moi -

- je suis sur que tu peux me faire quelque chose de bien -

Je me déhanche, tourne sur moi même et prends des positions mais après avoir enlevé mon maillot et ma jupe je suis nue.

- putain tu es vraiment nulle, tu ne me fais même pas bander, ce serait moi je t'aurais dressée autrement mieux que l'a fait Mathieu -

je me ramasse une bonne paire de gifles qui me font vaciller et le suis un peu groggy.

Puis Djawad sort un martinet à larges lanières plates d'un meuble et m'en colle un coup sur les fesses. Il m'a fait mal, je me trémousse et sautille.

- maintenant tu vas danser pour moi et appliques toi -

Je fais bouger et onduler mon corps.

Insatisfait il manie le martinet qui cingle la partie de mon corps qui se trouve à proximité de lui à ce moment la.

C'est beaucoup plus la douleur que l'envie de danser qui me fait améliorer ma chorégraphie.

Je me déhanche de façon désordonnée ce qui est loin de plaire à Djawad car les coups de martinet pleuvent même sur ma poitrine.

Enfin il en a assez de me frapper.

- ça suffit, comme danseuse aussi tu es lamentable -

Mon calvaire ne s'arrête pas là.

Il prend une règle métallique dorée sur son bureau puis me demande de présenter mes mains tournées paumes vers le haut et de réunir mes doigts.

La règle s'abat sur mes doigts, c'est très douloureux et je retire mes mains mais je dois me remettre en position.

Insensible à mes cris et pleurs il continue à frapper mes doigts ou mes paumes en tenant fermement avec sa main libre la mienne pendant qu'il frappe.

Quand il cesse de me frapper mes doigts sont très rouges et me font mal.

Il pose l'instrument de torture sur le sol et il me dit de me mettre à genoux sur la règle avec les mains sur la tête.

Pendant ce temps il vaque à ses occupations et j'entends de l'eau couler dans la salle de bain.

C'est très douloureux mais j'évite de bouger pour ne pas amplifier la souffrance

Enfin Djawad me donne l'ordre de me lever, mes genoux sont bien marqués par la règle.

L'homme m'attrape par les cheveux et me traîne dans la pièce jusqu'au lit métallique. Dessus il y a juste un sommier fait de fils métalliques tressés.

- couches toi -

Je m'allonge, c'est très inconfortable, les fils pénètrent dans la peau de mon dos.

Il m'attache les bras et les jambes aux barreaux côté tête et pied du lit.

A genoux à côté de moi il me met un foulard autour du cou et serre de plus en plus fort en prenant son temps tout en regardant mon visage.

Au début je me débats puis ma vue se brouille et je commence à perdre connaissance.

Il desserre le foulard et quand je suis remise il recommence l'étranglement avec le même résultat.

Il recommence cette torture plusieurs fois, je vois de étoiles quand je garde les yeux ouverts

Il enlève son pantalon et son slip, j'aperçois une très grosse queue bien érigée.

Il s'allonge sur moi, son pénis bute contre mon sexe, il pèse de tout son poids pour le faire pénétrer dans ma chatte dans laquelle il s'enfonce brutalement en forçant les chairs.

Il prend dans une main un linge qu'il applique en même temps sur ma bouche et mon nez pour me couper la respiration.

Rapidement je manque d'air, je remue pour essayer d'échapper à la torture, je recommence à voir des étoiles.

Quand il sent mon corps ramollir et ma résistance diminuer il me permet de reprendre ma respiration puis applique de nouveau le linge sur mon nez et ma bouche me privant d'air.

Il recommence l'opération plusieurs fois et quand il arrête la torture et que je retrouve mes esprits je constate qu'il a éjaculé dans mon vagin et je comprends que c'est ce genre de torture qui l'amène à la jouissance.

Sa queue n'a jamais fait de va-et-vient dans mon intimité, c'est le plaisir qu'il a pris en me torturant qui l'a fait jouir.

Direction la salle de bain et là bout les mains attachées dans le dos je dois me pencher au dessus de la baignoire qu'il a remplie.

Il se place derrière moi et introduit sa queue dans mon anus après l'avoir enduit de produit et même avec ça son gros engin pénètre difficilement et déchire les chairs quand il coulisse dans mon cul.

Il m'attrape par les cheveux et d'un mouvement brusque plonge ma tête dans l'eau. Je panique mais il me maintient fermement pendant un moment, j'avale de l'eau et je suffoque puis je perds ma lucidité.

Il me relâche, je relève ma tête, je respire bruyamment et je tousse. Il me plonge de nouveau dans l'eau et c'est moi en me débattant fait bouger son pénis dans mon cul.

Il arrête la torture avant que je ne perde connaissance. Il recommence plusieurs fois et ne me libère que quand il a éjaculé dans mes intestins.

C'est bien ma veine je suis tombée sur un sadique.

Satisfait de ce qu'il m'a fait il me renvoie faire le trottoir, j'y vais sans entrain pas encore remise de la torture et avec le cul défoncé qui me brule.

Je tapine et fais jouir plusieurs hommes mais je reste traumatisée par les tortures que m'a infligé Djawad.

Mathieu arrive. Avec un sourire narquois mon maître me demande:

- alors tu a fait la connaissance de mon ami Djawad -

- oui maître! mais ça s'est mal passé, il a été violent et j'ai cru qu'il allait me tuer -

- tu exagères -

- non maître! je vous jure qu'il est allé trop loin -

- tu es toujours en vie, non! et puis je ne vais pas me fâcher avec lui. Prends sur toi car c'est lui qui me prête la piaule dans laquelle tu te fais baiser -

Je ne dis plus rien, ce serait inutile d'insister.

De retour dans la propriété de mon maître il compte ma recette et le nombre de préservatifs usagés. Il y a moins qu'espéré mais vu que c'est à cause de Djawad à qui il ne peut rien refuser il ne me reproche rien.

- pendant plusieurs jours tu en feras plus pour récupérer ce que tu as perdu -

- oui maître je vais faire ce qu'il faut -

Je passe le reste de la semaine à me prostituer mais de nouveau en bordure de la route à grande circulation ou j'ai commencé à pratiquer le métier.

C'est le train-train, à longueur de journée soit je fais des pipes soit je me fais prendre en levrette.

Je vois toutes sortes d'hommes dont certains ont une hygiène repoussante ou un comportement de rustre mais il faut bien travailler.

Un jour en fin de journée je m'aperçois que le jardinier a commencé à monter un chalet à côté de celui que j'occupe.

Amandine qui me sert de garde chiourme me renseigne sans que je lui demande quelque chose.

- tu vas être contente, tu vas avoir une collègue, la semaine prochaine ton maître va mettre sur le trottoir une certaine Viviane que tu dois connaitre -

- oui madame je la connais -

- elle est ici, confinée dans le sous sol, comme pour toi elle en bave car son dressage a débuté depuis un moment -

Elle est contente de me raconter ça. Je ne vois pas quoi lui répondre et je n'en ai pas envie.

- après il y en aura d'autres car Mathieu a des vues sur trois autres femmes dont une qui se prénomme Nadine, il l'a appâtée et va commencer son dressage dés que la connasse (Viviane) fera le trottoir -

Je constate que mon maître n'a plus de limites, il est enivré par sa réussite avec moi et veut augmenter son cheptel de prostituées.

Le weekend arrive et le samedi c'est le rituel habituel:

Le matin je m'occupe du sexe du chien qui se soulage dans ma bouche.

Ensuite je fais l'amour à Jacques l'obèse.

L'après-midi je me fais sauter par un groupe d'hommes.

Le soir je fais de nouveau jouir le chien dans ma chatte.

Même quand je ne fais pas le trottoir ma bouche, ma chatte et mon cul sont bien occupés.

Le dimanche matin je viens à peine de me laver après avoir fait jouir dans ma bouche Max le chien d'Amandine que mon maître vient me chercher dans le chalet qui me sert de prison.

Il m'amène tenue en laisse dans sa maison ou l'attend un couple, une femme de ma taille blonde à grands cheveux et forte poitrine, un homme brun grand et mince.

Il leur parle de moi.

- je vous ai parlé d'une putain, voilà c'est elle -

- elle est belle -

- si on veut, d'accord ce n'est pas un boudin mais on trouve facilement mieux. Elle va mettre en pratique avec vous ce qu'elle sait faire -

- elle va nous montrer tout ce qu'un couple fait ensemble pour que chacun de nous ait du plaisir -

- oui, c'est une putain et une prostituée et ça elle sait faire -

Mathieu s'adresse à moi.

- toi la putain tu vas faire l'amour à Jenny puis à Sébastien et leur apprendre tout ce qu'ils doivent savoir car ils sont novices et ne savent pas trop quoi faire ni comment s'y prendre -

En voyant le couple je comprends sans difficultés pourquoi ils ont besoin d'être instruits sur les pratiques sexuelles et je pense qu'ils ont aussi besoin de conseils dans d'autres domaines.

- bien maître, je vais m'occuper d'eux -

- emmènes les dans une des chambres et mets toi au travail, essaies de ne pas les décevoir -

- monsieur et madame si vous voulez bien me suivre -

Je les précède dans le couloir et les fais entrer dans une chambre.

Je m'approche de la femme et passe mes bras autour de son cou puis pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue pénètre dans sa bouche mais il lui faut un moment avant de réagir.

Enfin nos langues se mêlent. Comme elle a tendance à abréger le baiser je l'embrasse plusieurs fois tout en caressant par dessus les vêtements ses seins, son ventre puis son sexe.

Tout en continuant à l'embrasser je frotte mon ventre contre le sien. Ce n'est pas gagné, elle se tient raide.

Je commence à la déshabiller en commençant par son corsage et au fur et à mesure que j'enlève un de ses vêtements je lèche et embrasse la partie de son corps qui est dénudée.

J'insiste sur les gros seins puis sur les tétons que je mordille, elle ferme les yeux et respire plus vite.

J'en fais autant sur son ventre sur lequel je promène ma langue et mes lèvres..

Je me mets à genoux et fais glisser sa culotte sur ses chevilles, elle a un mouvement de recul. Je lèche et embrasse son entre-jambes en l'obligeant avec mes mains à écarter ses cuisses puis j'en fais autant sur sa chatte de blonde très peu poilue.

Je la pousse pour qu'elle tombe sur le lit, ses jambes écartées pendent dans le vide.

Toujours à genoux je place ma tête entre ses cuisses, je lèche sa chatte puis ma langue s'introduit à l'intérieur et la fouille pendant un moment, elle apprécie en soupirant. Elle commence à humidifier ma langue avec sa mouillure.

Je délaisse sa chatte et tout en l'embrassant je caresse ses seins et maltraite ses tétons ce qu'elle apprécie vu les mouvements de son corps.

Je caresse son ventre puis son sexe. De nouveau ma bouche et ma langue s'occupent de sa chatte puis de son anus et enfin de son clitoris.

Je m'allonge tête-bêche sur elle.

- madame, vous pouvez me faire la même chose que ce que je vais vous faire -

Pendant qu'avec une main je masturbe son clitoris avec l'autre main je lui doigte en même temps la chatte et l'anus. Elle caresse ce qu'elle peut atteindre de mon corps puis aux mouvements de son corps je constate que le plaisir monte dans son corps.

Elle m'enserre de ses bras, plaque sa bouche contre mon sexe et sa langue pénètre dans mon intimité qu'elle explore; ensuite une de ses mains caresse une de mes fesses avant qu'un doigt ne pénètre mon anus et s'amuse à l'agrandir.

Je mets de l'ardeur à la masturber et la doigter. Elle est très réceptive, son corps se soulève et prise de spasmes elle jouit arrosant mes doigts avec la cyprine qui sort de son vagin.

Je me déplace et l'embrasse tout en caressant son corps.

Ma bouche retourne sur son sexe dégoulinant de mouillure et ma langue le pénètre et le fouille de nouveau pendant un moment puis des doigts d'une main je recommence la masturbation du clitoris et avec les doigts de l'autre main je lui doigte la chatte et l'anus.

Comme je mets de l'ardeur dans ce que je lui fais elle part dans des orgasmes de plus en plus rapprochés. Je pense que son mari, qui se déplace autour du lit et se penche pour ne rien perdre de ce que je fais subir à sa femme en a assez vu.

Je me relève et attends au pied du lit qu'elle reprenne ses esprits.

- ne vous inquiétez pas monsieur votre épouse va bien, elle va vite se remettre, c'est naturel pour une femme de jouir et elle en a besoin pour s'épanouir sexuellement -

- ah bon! je ne savais pas -

- Plus vous l'amènerez à l'orgasme et plus elle sera heureuse -

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