Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.
Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.
Cliquez ici
Je peux enfin sortir de la cage et aller récupérer mes affaires mais Amandine s'y oppose.
- avant que tu ne dégages je vais me faire un dernier plaisir que cela te plaise ou non -
J'avais vu qu'elle tenait une cravache dans une main. Elle commence à me frapper, je me déplace dans la cage mais elle me suit et me coince dans un angle.
Je fais le dos rond et essaie d'éviter les coups mais c'est peine perdue.
Elle ne fait pas semblant de frapper et plus je crie et plus je pleure, plus cela l'excite.
Quand mon calvaire cesse enfin mes fesses, mes cuisses et mon dos sont très douloureux et me cuisent.
- Mathieu est trop bon, il n'y aurait eu que moi je t'aurais enfermée dans ma cave et tu y serais restée de longues années enchaînée.
- je voudrais téléphoner pour qu'on vienne me chercher -
- tu as du culot, tu trahis Mathieu après tout ce qu'il a fait pour toi et tu as encore des exigences -
- je voudrais me laver avant de partir -
- il y a le robinet là bas, ce sera suffisant pour une putain comme toi -
Après m'être lavée sommairement, je retrouve devant la porte de l'habitation mon sac à main, les quelques affaires que j'avais apportées et les vêtements sages mais sexy que j'avais en arrivant chez Mathieu.
Je m'habille puis escortée par Amandine je me dirige vers l'allée, c'est vers une porte dérobée située à l'arrière de la propriété qu'elle m'oriente.
Elle ne veut pas que je rencontre "les policiers" qui perquisitionnent l'habitation munis d'un faux mandat, elle me dit qu'ils ne trouveront rien car Mathieu a déménagé les enregistrements et photos compromettants, il a vidé les chalets pendant la nuit et les autres prostituées ont été conduites ailleurs.
Je sors de la propriété sans me soucier du regard noir qu'Amandine pose sur moi ni des insultes qu'elle profère puis je longe un champ de maïs avant de me retrouver sur la route.
Arrivée sur la route je fais de l'auto-stop.
Une voiture s'arrête, le conducteur dont ce n'est pas l'itinéraire prévu veut bien m'emmener si je suis gentille avec lui. Je ne suis plus à ça près avec tout ce que j'ai pris dans le cul ces derniers temps.
En route il stoppe dans une allée forestière et sans discuter, une fois qu'il a mis son pénis à l'air, je lui fais une pipe puis allongée sur le siège arrière je retrousse ma robe et j'écarte ma culotte pour qu'il me pénètre, il fait bouger son corps et sa verge va et vient dans mon ventre puis rapidement sa queue tressaute dans mon ventre et il éjacule dans mon vagin.
Satisfait il me dépose là où je voulais. Je rentre chez moi et je constate avec soulagement que mon mari n'est pas encore revenu de son déplacement à l'étranger mais je vais devoir me justifier et trouver une excuse car il a laissé des messages sur le répondeur du téléphone.
Il ne me reste plus qu'à remercier de la seule façon que je connais les deux hommes qui se faisant passer pour des policiers m'ont sortie de la galère.
Ca ce n'est pas le plus difficile et mon amie Martine leur a déjà donné un acompte: ils l'ont sautée chacun leur tour puis ils ont recommencé une fois mais les deux ensemble.
Un samedi matin, un peu plus de trois mois plus tard, mon mari m'appelle.
En lisant le journal qu'on nous livre tôt chaque matin un article a retenu son attention.
- lis l'article que j'ai entouré, je pense qu'il parle de l'homme chez qui je t'ai emmené plusieurs fois pour y être punie -
Je lis et effectivement l'article parle de Mathieu mais également d'Amandine, ils ont été arrêtés accusés de séquestration, mauvais traitements et proxénétisme notamment.
Avec mon mari nous discutons, il me dit que j'ai eu de la chance car je m'en suis bien tirée par rapport aux autres femmes que Mathieu et sa complice ont séquestrées et asservie.
Mais je ne lui révèle pas ce que j'ai subi avec ces deux tortionnaires.
J'attends qu'il parte acheter du pain pour téléphoner à mon amie Martine.
Elle me révèle qu'à son instigation, sans m'en parler ne voulant pas que je replonge, et ne voulant pas que Mathieu s'en sorte elle a demandé aux deux faux policiers d'espionner l'homme pendant leur temps libre afin de monter un dossier contre lui.
Elle a d'ailleurs activement participé à la collecte de preuves.
Mathieu ne voulant pas renoncer à la manne que représentait les prostituées n'avait pas tardé à remettre Viviane puis Nadine et Jenny sur le trottoir et a poursuivi sa recherche de nouvelles proies.
Un des faux policiers qui a dans sa famille d'un gradé de la gendarmerie, lui en a parlé en lui remettant une copie tout ce qu'ils avaient collecté.
Une enquête a été ouverte et une longue surveillance mise en place puis un matin de bonne heure une perquisition a eu lieu dans la propriété de Mathieu.
La pêche a été fructueuse: photos, films, argent, indices dans les chalets et le sous-sol.
Et surtout en ratissant la propriété une femme prénommée Aurore a été retrouvée attachée et bâillonnée allongée dans l'herbe le corps marqué par des coups.
Amandine qui amenait Max son chien pour qu'il s'occupe d'une des prisonnières dans un chalet, avait réussi discrètement à emmener Viviane, Jenny et Nadine chez elle.
Elle les avait enfermées dans sa cave sans se douter qu'elle n'échapperait pas elle aussi à la perquisition.
Le témoignage des quatre femmes, mais aussi de certains clients repérés lors de la surveillance de la propriété et des lieux de prostitution en ville et en bordure de route, a été accablant.
Parmi tout ce qui a été trouvé chez Mathieu et Amandine rien ne se rapporte à ma personne car si les autres victimes ont parlé de moi elles ne savaient pas qui j'étais dans la réalité.
Suite à ma fausse arrestation le prédateur se méfiant des suites possibles avait du détruire ou cacher ailleurs les photos et films sur lesquels j'apparaissais.
