LAURA 091: sexe en forêt

Un bateau de pêche est amarré dans le port et un des chaluts est déroulé et étalé sur le quai, les marins s'affairent à réparer les mailles détériorées par des rochers.

Mon mari qui discute de temps en temps avec ces marins reste à regarder le spectacle qui va durer un bon moment.

J'en profite pour me promener dans le port où comme tous les jours des personnes sont soit debout, soit assises sur des sièges ou sur le bord du quai occupées à surveiller le bouchon de leur canne à pêche ou leur balance.

Je remarque un homme, il loge dans l'hôtel qui m'emploie à temps partiel pendant la saison estivale.

Il a dans la cinquantaine, de taille moyenne, au physique pas déplaisant et les cheveux grisonnants.

Je m'arrête non loin de lui et je reste un moment à l'observer uniquement dans le but de voir ce qu'il sort de l'eau.

Il remarque ma présence, il me connait car nous avons déjà échangé quelques mots à l'hôtel.

Après quelques minutes il commence à me parler.

- alors terminé le travail!, vous aimez la pêche? -

- pas tellement, ça manque d'action et ça demande trop de patience -

- c'est apaisant, vous devriez vous y mettre -

Sans réfléchir je lui réponds:

- moi c'est surtout la chasse que je pratique -

- ah bon! on peut chasser par ici -

Je ne cherche pas midi à quatorze heures, tout en souriant et en le regardant droit dans les yeux je lui réponds directement:

- mon gibier ce n'est pas les animaux mais plutôt les mâles -

Il est surpris par ma réponse, pensant avoir mal compris il me dit:

- je ne comprends pas bien ce que vous voulez dire -

- c'est simple, ce sont des hommes que j'aime bien accrocher à mon tableau de chasse -

En voyant la tête qu'il fait j'ai envie de rire.

- vous blaguez? vous n'êtes sérieuse? -

- je ne blague jamais quand il s'agit de sexe, vous pouvez me croire sur parole -

- c'est quoi votre type d'hommes -

- très varié du moment qu'ils font bien l'amour -

Il se prend au jeu.

- vous m'intéressez, est ce que j'entre dans vos critères -

- c'est possible, mais ce n'est pas à moi de le prouver mais à vous de le démontrer si vous pensez être à la hauteur -

Il se prénomme Rémi, de taille moyenne avec un physique que je qualifierais de standard.

Nous parlons un bon moment et finalement rendez-vous est pris pour le lendemain matin mais pas dans l'hôtel car son épouse est imprévisible concernant son emploi du temps et peut devenir un obstacle.

Le point positif c'est qu'elle ne partage pas la passion de son mari pour la pêche.

Le lendemain matin, mon travail terminé, je quitte l'hôtel en passant par la réception.

Rémi est assis sur un fauteuil, il lit un journal, quand il me voit il se lève.

Pour se débarrasser de sa femme qui est assise en face de lui il prend prétexte qu'il va pêcher dans la rivière à quelques kilomètres de là.

Comme en général il le fait souvent elle ne trouve rien de bizarre dans son attitude.

Il sort de l'établissement et je le suis à distance jusqu'à sa voiture qu'il a pris soin de garer hors de la vue de l'hôtel.

Le temps que je le rejoigne il a mis le moteur en marche, il m'ouvre la portière passager.

Je monte dans le véhicule et m'installe et sans gêne je laisse ma jupe remonter jusqu'en haut de mes cuisses jusqu'à montrer ma culotte.

Il démarre mais en route il ne peut pas s'empêcher de mater ce que je lui montre intentionnellement.

Je caresse sa cuisse droite puis ma main s'égare allant jusqu'à se poser entre ses cuisses ou je constate que je lui fais de l'effet.

Après avoir roulé un moment il stoppe en bordure d'une forêt de pins qui borde les plages de Saint Hilaire de Riez.

Je m'approche et me penche vers lui.

Je passe mes bras autour de son cou et pose mes lèvres sur les siennes. Sa langue vient à la rencontre de la mienne et elles se mêlent dans un long baiser.

- on ne va pas rester en bordure de la route, ça manque de discrétion -

- effectivement il y a beaucoup de passage sur cette route, on va prendre le chemin qui est un peu plus loin et trouver un coin tranquille dans la forêt -

Nous sortons du véhicule, empruntons le chemin et une fois assez loin de la route nous nous enfonçons dans la forêt puis nous nous arrêtons une fois que nous sommes sûrs d'être bien hors de vue des promeneurs éventuels.

Après nous être enlacés nous nous embrassons, je prends un malin plaisir à faire durer les baisers et surtout à frotter mon ventre contre le sien pour sentir à travers son short son pénis grossir et déformer le vêtement.

Il me caresse partout sans mettre ses mains sous mes vêtements, j'en fais autant en insistant sur son entre-jambes ou une bosse m'indique que son sexe est bien en érection. Je malaxe l'objet.

Très excité il passe aux choses sérieuses.

Avec ses mains il saisit le bas de mon maillot et le soulève, je mets mes bras de façon qu'il puisse me délester sans peine du vêtement qu'il laisse tomber sur le sol.

Il dégrafe mon soutien-gorge qui atterrit sur le maillot.

il déboutonne ma jupe et tire la tire vers le bas avec ses mains pour la faire descendre, elle tombe sur le sol.

Il baisse ma culotte et la fait glisser le long de mes jambes, elle se retrouve à mes pieds que je soulève un à un pour qu'il m'enlève la jupe et le sous-vêtement qui rejoignent le soutien-gorge.

Je suis nue maintenant, enfin pas tout à fait car il me reste les chaussures.

- tu as un beau corps et c'est un plaisir de le regarder. Comment veux tu qu'un homme n'aie pas envie de toi -

- s'il je te plais profite bien de ce que je t'offre -

Il caresse ma poitrine et agace mes tétons avec ses doigts.

Une de ses mains glisse sur mon ventre, mes cuisses puis arrive entre mes jambes que j'écarte machinalement. Il caresse mon sexe déjà humide.

Un doigt s'insinue dans mon intimité et s'agite dedans dans tous les sens puis il s'en prend à mon clitoris d'abord doucement puis plus violemment.

Je baisse son short et son caleçon dont il se débarrasse ensuite en levant les pieds.

Il martyrise mon sexe pendant un moment faisant monter le plaisir dans mon ventre puis un doigt pénètre mon anus et cherche à l'élargir pendant que je caresse puis masturbe doucement sa verge de belle taille qui est bien dressée.

Il prend l'initiative. Je me retrouve adossée contre un gros tronc d'arbre les jambes écartées.

Il plie un peu les jambes pour que sa verge soit à bonne hauteur, elle bute contre mon sexe, avec une main je la dirige à l'entrée de mon intimité dans laquelle il l'enfonce en se plaquant contre moi.

Les bras autour de ma taille, presque collé à moi, il fait bouger son bassin pour faire aller et venir la queue dans mon intimité tout en m'embrassant pendant que je passe un bras autour de son cou et qu'avec l'autre je caresse son dos.

Il ne faut pas très longtemps avant que son pénis ne soit agité de soubresauts et que je sente les giclées se sperme éclabousser mon vagin. Il se retire.

Je me baisse et pose mes mains sur ses cuisses.

Pendant ce temps le sperme sort de ma chatte et coule sur le sol sans que cela ne me préoccupe.

Je lèche partout sa queue gluante mais toujours raide en insistant sur le gland que je suçote longuement ensuite.

Une fois que je l'ai bien agacé je prends son membre dans ma bouche et lui fais une fellation avec des aller-retour rapides en faisant pénétrer presque complètement la queue dans ma bouche.

Ses mains sont sur mes épaules et la pression de ses doigts varie en fonction de ce qu'il ressent.

Ensuite j'alterne les va-et-vient rapides ou lents de ma bouche sur sa verge pour faire durer la caresse buccale.

Au bout d'un moment il se crispe et ne peut plus se retenir, ses ongles entrent dans la peau de mes épaules pendant qu'il déverse son sperme dans ma gorge.

Il appuie sur ma nuque pour que je reste en place, mais je n'ai pas besoin de ça pour boire sa semence.

Sa queue diminue de volume et se ramollit.

Toujours accroupie je la caresse et la masturbe pendant un bon moment jusqu'à ce que je finisse par obtenir un résultat.

Le pénis grossit de nouveau.

Je le reprends dans ma bouche et lui fais une nouvelle fellation en m'appliquant.

Au bout d'un moment il repousse ma tête et veut passer à autre chose.

Je me relève et comme il me le demande je lui tourne le dos.

Je me penche en avant en creusant les reins pour mieux présenter mes fesses, les mains posées contre un tronc d'arbre et écartant les jambes.

Il se positionne derrière moi et sa queue cherche l'entrée de ma chatte qu'elle finit par trouver.

Elle s'enfonce dedans puis y fait des aller-retour pendant qu'il donne des coups de reins ses doigts agrippés à mes hanches.

Au bout d'un moment la queue sort de mon intimité et s'égare entre mes fesses.

Je la saisis avec une main et la positionne contre mon anus, il pèse avec le poids de son corps pour la faire pénétrer dans mon cul dans lequel elle coulisse sans peine, car elle est bien gluante, elle s'enfonce dans mon corps jusqu'à ce que ses testicules viennent buter contre mes fesses.

Il me sodomise à grands coups de reins les mains toujours accrochées à mes hanches, pendant les va-et-vient de la verge dans mon cul ses bourses claquent contre mes fesses.

Une de mes mains quitte l'arbre contre lequel elle est appuyée et vient tripoter ses testicules. Il s'active un bon moment s'arrêtant de remuer de temps en temps quand il est prêt à éjaculer.

Je mouille de plus en plus surtout qu'il est décidé à me donner du plaisir, il me doigte la chatte et surtout il masturbe violemment mon clitoris.

Masturbation qu'il accentue quand il sent que mon corps se raidit.

Prise de spasmes je jouis pendant que des jets de cyprine s'échappent de mon vagin et arrosent sa main.

Satisfait il accélère les aller-retour de son pénis qui finit par augmenter encore de volume et s'agiter dans mon cul pendant qu'il y déverse sa semence.

Je me rhabille, il en fait de même.

Rémi est satisfait de notre petite récréation et souhaite recommencer mais dans un lit cette fois ou nous pourrons mieux faire l'amour.

Il doit s'arranger et trouver des stratagèmes pour que nous ne soyons pas dérangés par sa femme.

Nous regagnons la voiture et nous prenons la route pour retourner en ville.