Le Cameraman 03

Informations sur Récit
Marie déborde du cadre.
3.4k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 05/31/2024
Créé 05/04/2024
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En partant au travail, Benoît a emmené sa femme Marie chez sa sœur Lise, de l'autre côté de la ville.

En fin d'après midi, Marie reçoit un SMS de son mari. Il lui dit, qu'il ne pourra venir la reprendre chez sa sœur. Il est convoqué pour une réunion qui finira très tard dans la soirée.

Pour rentrer chez elle, Marie prendra le bus. Un arrêt n'est pas très loin de sa maison.

Sa sœur lui donne deux tickets pour le trajet de retour.

Il est déjà presque dix-sept heures trente, elle descend pour faire le trajet de retour, elle ne sera pas rentrée avant vingt heures. Arrivée dans la rue, elle aperçoit le bus au loin, il ne faut pas qu'elle traîne. Elle tente de courir pour traverser la rue en direction de l'arrêt de bus, bien peuplé à l'heure de la sortie des bureaux.

Elle arrive tout de même à l'arrêt de bus avant que ce dernier ne stoppe, sous le regard des hommes qui attendent eux aussi, le bus. Le bus stoppe et la porte s'ouvre devant elle.

Marie composte son ticket, comme il y a plein de monde, elle se dirige vers le fond du bus. Le trajet jusqu'à son arrêt va être long.

Prise dans ses pensées, elle se cale tant bien que mal au milieu de tout ce monde, elle arrive à se faufiler jusqu'à se mettre face à la vitre pour ne pas avoir le nez collé aux dessous-de-bras des hommes qui l'entourent. Les gens montent et s'agglutinent autour d'elle. Marie se retrouve bien vite entourée de plusieurs hommes de bureau en costume, d'ouvriers en tenue décontractée.

La chaleur dans le bus n'arrange rien, elle sent soudain un gros ventre se caler contre ses reins en-dessous le bas de son veston. L'arrêt suivant n'arrange rien, peu de monde descend, et de nouvelles personnes montent. L'homme au gros ventre se colle un peu plus à elle. Marie commence à avoir chaud dans ses reins et sous sa veste. Elle arrive à la retirer, pour la faire mettre sur la barre devant elle. Le bus aborde un peu vite un virage et l'homme qui la colle par-derrière, la pousse dans le dos, plaquant ses seins contre la vitre. Elle sent la respiration du gros bonhomme sur sa nuque. Elle sent une bosse en train de gonfler contre ses fesses. Mais? Il est en train de bander le gros bonhomme.

Elle tente de se dégager, mais deux autres hommes la bloquent de chaque côté. Elle croise le regard de celui en costard sur sa droite. Il se contente de lui faire un petit sourire. Alors, elle tourne la tête sur la gauche, elle ne trouve qu'un jeune bronzé qui mate ses seins compressés contre la vitre sous le poids du gros bonhomme. Ce dernier s'écarte un peu pour recaler son gros ventre sur les reins de Marie. Mais? Qu'est-ce qu'il a remué dans son dos ?

Oh? Il fait quoi là? Il est en train de glisser une main sous sa jupe. Elle remonte sur le haut de la cuisse droite? Pour ensuite, commencer à lui caresser sa fente, par-dessus son string, avec son gros doigt boudiné.

Il remonte ensuite, son autre grosse main le long de ses côtes. Il la glisse sous son sein, passe deux doigts entre l'ouverture de sa chemise. En l'absence de sous-vêtement, il lui titille la pointe du téton, en passe. Ensuite, il se met à lui pincer la pointe et à la tordre entre ses gros doigts. La situation insolite commence à émoustiller Marie. Elle n'ose pas se rebeller et crier par peur du scandale.

Devant le silence de la femme, il passe ses doigts sous le string. Les doigts sur sa fente appuient sur les lèvres gonflées, les écarte, expose son clito, et commence à le masturber. Le salaud, il sait y faire ! Elle sent le plaisir monter dans son ventre.

La grosse boule collée à ses fesses augmente encore de volume? Le bonhomme bande dure.

Marie ferme les yeux, rejette la tête en arrière, sent sa respiration chaude et haletante sur la nuque, il vient de lui introduire deux doigts dans son paradis. Le bronzer sur sa gauche vient de déboutonner sa chemise, exposant le sein toujours maltraiter par les gros doigts. Le gros bonhomme lui libère le téton, que le bronzé s'empresse de malaxer à son tour. Il le pince bien fort, le tort, presse le sein. Marie pousse un petit râle de plaisir, elle sent alors, la main gauche du gros bonhomme descendre son string sur ses genoux. Il remonte sa jupe, dégage sa queue, et commence à se masturber entre les lèvres de la moule baveuse de Marie.

Il lui écarte un peu plus les lobes fessiers, il positionne son gland à l'entrée de sa turbine à chocolat. Marie s'affole. ( Mais qu'est-ce qu'il fait ; Il va quand même pas m'enculer en public ? )

Le gros bonhomme avec sa queue en appui sur l'entrée des reins de Marie. Deux doigts lui branlent le clito, les autres tourne en cadence dans l'antre de son paradis. Le bus fait une brusque embardée et dans le remue-ménage, la queue vient de la pénétrer d'un seul coup de reins. Maintenant qu'il l'a enculé, il la sodomise avec de petits mouvements rapides. En appui sur la barre de maintien, Marie fait des efforts surhumains pour ne pas râler fort de plaisir, sous les caresses du bronzé et les coups de queue de l'inconnu. Marie baisse la tête, elle pince ses lèvres entre elles pour taire son plaisir. Elle entrouvre les yeux? Elle aperçoit un chauffeur-livreur à la vitre ouverte de son véhicule. Il filme avec son portable ce qui ce passe à l'intérieur du bus. Parce que le bus est arrêté à un feu rouge. Là, une femme est les seins a l'air en train de se faire peloter par un bronzer et de se faire enculer par un gros bonhomme derrière elle.

Le jeune bronzé se tourne d'un quart de tour vers Marie? Il lui attrape la main et la dirige vers sa queue, qu'il vient de sortir de son jean. Le feu passe au vert et le livreur démarre son camion à contrecœur. Marie commence tout de même à branler la bite qui grossit et durcit sous ses caresses.

Si Benoît ne l'avait pas initié à baiser avec plusieurs hommes, elle ne serait sûrement pas là, à se laisser faire avec des inconnus.

Le bronzer pose une main sur la tête de Marie et appui pour la faire descendre sur sa queue.

Elle voit une queue de belle taille. Lorsque sa bouche arrive devant le gland. Mécaniquement, elle ouvre la bouche et aspire la tête du braquemart entre ses lèvres. Sa position ne se prête pas à une bonne pipe, en plus l'autre est toujours en train de la sodomiser. Le gros bonhomme a dû comprendre la situation, il se retire, et la retourne face à lui?

D'une pression sur une épaule, Marie s'accroupit entre les deux hommes, les cuisses bien écartées. En femme soumise, elle aspire la bite du gros entre ses lèvres et recommence à branler celle du bronzé. Dans l'état d'excitation où elle se trouve. Machinalement, elle descend sa main libre entre ses cuisses. Elle reprend la masturbation de sa moule. Elle s'enfonce deux doigts dans son paradis et se branle de plus en plus fort. Des gouttes de mouille glisse le long de ses doigts et tachent le sol du bus d'une petite flaque. Un troisième larron a déballé, lui aussi sa queue, que Marie s'empresse d'aspirer à son tour. Elle suce les deux bites, chacune leur tour et continue de branler le bronzer.

Alors qu'elle reprend la pipe du gros bonhomme, ce dernier lui attrape la tête à deux mains. Il lui enfonce violemment la queue au fond de la gorge, jusqu'à la garde. Il se met à lui baiser la bouche, écrasant le bas de son ventre contre le visage à chaque coup de rein. Soudain, il écrase son visage contre son pubis. Il vide ses couilles au fond de la gorge de Marie qui ne peut qu'avaler sa jouissance. Marie qui est en train de s'astiquer la moule, peine à reprendre son souffle tellement les derniers jets de sperme au fond de sa gorge l'ont déstabilisée. Les deux autres hommes finissent de se branler et éjaculent simultanément une dizaine de giclées de sperme chaud sur ses seins, Juste au moment où le bus s'arrête à son arrêt.

Les portes s'ouvrent, affolée, elle se relève en laissant son string sur le sol. Elle attrape de justesse son veston accroché à la rambarde, elle descend du bus en quatrième vitesse. Marie se retrouve sur le trottoir, la chemise ouverte, les seins a l'air maculés de sperme, la moule dégoulinante de mouille et l'anus agité de spasmes. Le bus repart, les passagers de derrière sourient et la photographie, ou la filme sur leurs smartphones, le sourire aux lèvres.

Les seins couverts de sperme et ne disposant ni de serviette, ni de mouchoir en papier. Elle reboutonne sa chemise sur ses seins maculés de sperme encore tiède.

Marie reprend doucement ses esprits, elle réajuste ses vêtements.

Elle devrait être couverte de honte, cependant elle doit bien s'avouer qu'elle adore que des inconnus lui maltraitent les seins et lui astique la moule. Elle aime le goût du sperme sur sa langue et la texture bien visqueuse. Comment avait-elle pu passer toutes ces années sans connaître de tels plaisirs ? Mais, elle va rattraper son retard, ça, c'est sûr ! Elle va en bouffer de la queue et avaler du sperme.

Son mari n'arrivant pas avant vingt et une heures ce soir-là. Le temps est lourd et son corps est moite. La circulation automobile est rare, la rue calme. Absorbée par ses pensées, elle baisse la tête et voit du sperme sur une chaussure vers laquelle, Marie se penche pour l'enlever. Elle reçoit une tape et un violent coup entre les cuisses, suivi d'une impression de chaleur sur son périnée. La surprise l'a fait pousser un cri. En me retournant, elle voit qu'il s'agissait d'un chien de bonne taille, que l'odeur de sa moule suintante a attiré.

Elle houspille ce chien pour le faire partir. Pourtant, il continue de la suivre. A chaque fois qu'il le peut, il essaye de coller son museau sous sa jupe pour la lécher. Plus, elle le chasse plus, il la colle, prenant sans doute ses cris pour un jeu. Agacée, elle décide faire un petit détour pour rentrer chez elle. Le chien la suit et ne la lâche pas.

Sur le parcours qui mène à la maison il y a une résidence en chantier. Alors qu'elle crie après le chien qui a réussi à lui mettre un coup de langue supplémentaire, un homme sort d'une cabane de chantier servant de bureau de vente. Il réussit à écarter le chien et l'invite à patienter quelques instants en sa compagnie et celle de deux autres hommes présents.

Il fait chaud dans le bureau et ils se souviennent d'elle.

L'homme explique aux deux autres ce qui se passe. Ils lui proposent une bière qu'elle accepte. La chaleur et aussi l'alcool de la boisson lui font tourner la tête rapidement. Dans un faux mouvement, son petit sac à main tombe au sol. Instinctivement, elle se penche pour le ramasser, elle découvre ses seins par-devant au regard de l'un et son cul par-derrière au regard des deux autres. L'un proclame qu'elle a de beaux appâts, l'autre, en voyant l'absence de string, clame qu'elle a aussi de belles fesses. Aussi gênant que cela puisse paraître, elle sent qu'elle mouille bien. Elle les remercie pour leur compliment. Sans savoir pourquoi, elle rajoute qu'il faut toujours être prête à toute éventualité. Tous les trois prennent ses mots pour une invitation. L'homme qui l'a recueilli, l'attire à lui, il l'embrasse, elle ne le repousse pas.

Très vite, elle se retrouve nue. La porte du bureau fermée, les rideaux tirés. Marie a encore envie de baiser. C'est la faute de son mari qui lui a fait découvrir la baise à plusieurs devant sa caméra. Elle va avoir de nouvelles queues à satisfaire.

Le chien continue de japper à l'extérieur, peut-être qu'il sent au travers des cloisons du bungalow ce qu'il s'y passe?

Les trois hommes se collent à Marie pour la peloter, l'embrasser. Ils se déshabillent rapidement et elle se retrouve en levrette avec une belle bite dans sa grotte d'amour et une autre dans la bouche. L'homme qui la baise s'est couvert de capote et la baise à grand coup de reins très lents, en la serrant par les hanches. Il la projette à chaque pénétration vers la bite de celui qu'elle suce. La bite sent fort, mais ce n'est pas désagréable. Ils changent plusieurs fois, elle est toujours en levrette. Sa moule dégouline de mouille. Chacun l'insulte en la traitant de bonne salope et de bonne de pute.

Comme à chaque fois, cela fait monter la tension et la partie de baise ne s'en trouve que plus chaude. Devant sa réceptivité à se faire baiser, l'un d'eux a varié les plaisirs, lui introduisant un doigt dans l'anus. Voyant le peu de résistance de sa part, il en met un second, puis se servant de sa mouille comme lubrifiant, il l'encule. Comme, elle suce toujours une bite et en voyant son cul aller à la rencontre de la queue. Ils comprennent qu'elle est habituée à baiser avec plusieurs partenaires. Chacun leur tour, ils l'enculent. Le temps passe, alors que le chien jappe toujours à la porte.

Marie n'arrête pas de jouir. Ils la font se relever, l'un s'allonge sur la table basse et lui demande de s'empaler dessus sa queue. Elle comprend tout de suite ce qu'il va faire, elle s'y soumet bien volontiers. Elle se retrouve avec une bite dans sa grotte, une dans le fion et une autre dans la bouche. Marie jouit encore immédiatement. Ils jouent avec son corps pendant encore un bon quart d'heure. Le premier à lâcher est celui qu'elle suce. Il lui envoie sa jouissance au fond de la gorge au moment où elle lui met un doigt dans le cul.

Comme elle aime à présent le goût du sperme. Elle lui nettoie bien la queue avec sa langue agile. Elle a encore la bite dans son anus et l'autre dans son paradis. Ils ont adopté une cadence régulière, pompant un coup sa grotte, un coup son cul. Curieusement, elle n'est pas fatiguée de prendre du plaisir. Elle serre les fesses, forçant son enculeur à jouir rapidement, ce qu'il n'apprécie qu'à moitié.

Il ne lui restait plus que son baiseur, qui semble plus résistant. Elle se met à sauter sur son ventre, et dans sa frénésie, elle n'a pas entendu la porte s'ouvrir.

Par contre, elle sent le souffle chaud et la langue râpeuse du chien lui lécher les fesses. La sensation est nouvelle et pas désagréable. En femme soumise, elle laisse les choses se faire. La tension monte encore d'un cran dans le bungalow, quand les hommes constatent sa passivité aux coups de langue du chien. L'homme qu'elle chevauche, l'encourage par des mots salaces. Le chien récupère de sa langue, la mouille qui coule de son paradis. L'un proclame qu'elle en a peut-être pas encore assez. Il pousse le chien vers moi. Elle sent le souffle de l'animal dans son dos.

D'un coup, le chien saute sur ses reins, entourant ses hanches de ses pattes. Son partenaire l'approuve en lui titillant les seins. Marie sent que le chien donne des coups de reins dans le vide. Contre toute attente, elle est excitée par ce qui va se passer et par sa passivité. Les trois hommes l'encouragent à se laisser faire. Elle sent des giclées de liquide chaud s'écraser contre ses fesses et couler jusqu'à l'entrée de sa grotte d'amour. L'un des deux s'approche, il saisit la verge du chien. Il grogne un peu, néanmoins il se laisse faire. Comme sa grotte est pleine, l'enfoiré la dirige vers son trou de balle.

Heureusement que tous les trois l'ont bien rodée. La verge est énorme, bien plus grosse que la leur. Le chien que la situation excite depuis un bon moment a déjà formé son bulbe. Quand, il s'enfonce toute sa verge au fond de son boyau. Alors, le bulbe vient se stopper à l'entrée de son cul s'en pouvoir pénétrer. Le chien se déchaîne dans un rythme frénétique. Marie sent qu'il lui envoie des giclées de liquide chaud dans son boyau. Sa grosse queue La fait jouir sans discontinuer. Son partenaire a lâché sa semence dans la capote dès le début, s'extirpant non sans mal de dessous la Marie pour jouir visuellement du spectacle.

Malgré elle, elle cambre son cul, baisse ses épaules sur la table basse pour que le chien puisse l'enculer plus profondément. Enfin après quelques minutes, il se cramponne à Marie de ses pattes avant, il reste collé et lui envoie des jets chauds et saccadés dans ses entrailles.

Les trois hommes ébahis par le spectacle ne disent pas un mot. Cependant, avec leur portable à bout de bras, ils filment la scène. Marie continue de jouir. Elle apprécie la chaleur de sa semence dans ses entrailles, comme une liqueur apaisante. Le chien se décolle et après s'être léché la queue, il lui vient lécher ses parties intimes. La porte s'ouvre à cet instant sur un homme habillé d'un uniforme. Il stoppe net sur le seuil. Il laisse échapper le chien qui l'acte accompli sent qu'il est de trop. Le nouveau venu est le vigile du chantier qui vient prendre son poste de nuit. Il est très surpris de les voir tous les quatre nus? Marie les seins collés à la table avec le cul a l'air. Le chien qui l'accompagne ne se pose pas de question lui. Les odeurs qui flottent dans la pièce sont explicites pour lui.

D'une Brusque détente, la laisse s'échappe de la main du maître. Sans qu'elle ait le temps de faire quoi que ce soit. Tout de suite, sa grotte d'amour qui bâille encore, se retrouve envahie d'un nouveau sexe. Moins gros que le premier, le chien la saillie avec encore plus d'ardeur. Elle sent sa verge au moins aussi volumineuse que celle de son congénère taper au fond de son puits d'amour. Il renforce sa prise avec ses pattes avant, et d'une poussée plus forte, elle sent une grosse boule rentrer dans son ventre. Marie a la moule écartelée, le souffle coupé. L'amant canin prend appui sur son dos, ses pattes arrière ne touchent plus le sol.

Il se vide dans sa grotte d'amour. Elle sent les jets chauds de sa semence dans son ventre. Marie, les yeux exorbités est secouée par un orgasme incroyable. Le bulbe du chien dans son paradis grossi et l'orgasme n'en fini pas. Pendant qu'ils sont unis par leur sexe, Marie suce son maître. Elle avale la jouissance du vigile au moment où le chien se désolidarise de son corps dans un bruit de ventouse. Pendant que sa semence coule sur ses cuisses, elle se lèche les lèvres du jus de son maître, en regardant le gros bulbe rentrer dans son fourreau.

Sur le chemin du retour, les jus canins s'écoulent sur ses cuisses en les lubrifiant. Dix minutes de marche séparent le chantier de sa maison. En marchant, elle sent le vent refroidir ses cuisses maculées de semence canine. Il est environ plus dix-neuf heures trente quand elle arrive. Son mari est là. Comme à son habitude, il l'attire à lui pour l'embrasser, et il passe une main entre mes cuisses. Étonné de trouver autant de sécrétions sur l'entre-jambes de sa femme, il portait ses doigts à son nez pour s'assurer que c'est bien ce qu'il pense. Devant son air interrogatif, elle lui fait part de sa dernière aventure.

Il est étonné, quand elle raconte son retour dans le transport en commun. Ensuite, elle lui narre aussi comment les trois hommes du chantier l'ont baisé. Après, un long moment d'hésitation, elle lui parle des chiens et avoue en baissant la tête, qu'elle y a prise du plaisir. Elle a peur sa réaction et elle s'attend à des reproches. Cependant, elle est très étonnée en comprenant qu'il aurait bien aimé être là pour filmer en se faisant saillir par un chien.

Excité par son récit, il passe derrière sa femme. Il lui relève sa jupe, la fait se courber et la sodomise sans préambule. Cela fait jaillir de son anus des reliquats de semence canine. Il lui demande de lui décrire dans les moindres détails ce qu'elle a ressenti. Elle doit lui avouer qu'elle a joui très fort. Que? Oui! Elle a aimé et que oui aussi, elle est prête à recommencer. Après cet épisode qui l'a comblé, ils ont passé une période d'un bon mois où à chaque occasion son mari lui reparle des chiens.

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