Le Chevalier Pervers 03

Informations sur Récit
La guerre!
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00

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/15/2018
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3

La guerre. Le sang et la gloire. Les sabots des chevaux écrasant la boue du champ de bataille dans leur course folle. Ça c'était pour l'histoire. Notre bataille eut lieu en un coin du nom d'Engueville. C'est avant un pont, qui pouvait permettre à l'ennemi de déferler sur les plaines à grain derrière la forêt. Le pont était une ruine qui menaçait de s'effondrer au passage de trois ânes de bâts. J'avais jugé plus prudent de faire traverser mon armée de dix hommes trois par trois. Je montais une barricade à la sortie du village. Des pas lourds approchaient.

Je me plaçais juste derrière le tas de bois que nous nommions barricade. Une petite dizaine d'anglais, menés par un sergent avançaient vers nous. En fait d'anglais, il s'agissait de gars d'un peu plus loin. Ils n'avaient pas envie de mourir pour le pont, dont tout le monde se foutait éperdument. Et nous, nous n'avions pas envisagé de crever pour préserver le pont. On s'installa avec une coupe de vin. Et après la seconde bouteille, on décida de la suite des évènements. Fermer le village fut une affaire de dix minutes. Rassembler les hommes dans l'église ne prit que quelques minutes de plus. Regrouper les femmes à l'auberge ne fut guère plus long. On mit les vieilles dans la cave et on se prit les portables.

J' empoignais une belle rouquine et lui arrachais sa robe. Elle hurla. Je la giflais. Je la couchais sur la table et lui écartais les jambes. Je la pris et lui volais son pucelage par la même occasion. Elle ne cessait de crier. Un des autres avait basculé une grosse à quatre pattes et la bourrait sans ménagement. Je me redressais, l'affaire faite et laissais ma place à l'un de mes hommes. Le gars gicla avant même de rentrer tant il était excité. Gontran se tourna vers moi avec le rouge au front. Je ris et lui tendit une flasque de brûle gueule.

Gigi avait pris sa place et la secouait brutalement, lui arrachant un cri à chaque fois qu'il tapait son ventre contre celui de la fille. Alors que le coït marquait le pas, tous nos soudards ayant soulagé leur rage dans un ventre ou l'autre, je retournais la rouquine sur la table.

Du foutre avait coulé de son con et lui mouillait le petit. J'entrais donc sans difficulté. Elle hurla de nouveau, puis me supplia de cesser de lui péter le cul. Je n'en tins aucun compte, bien sûr. Ses cris et ses suppliques ponctués de pleurs sonnaient à mes oreilles comme le plus doux des chants. Quand la tension se fit trop forte, je lachais-je mon foutre dans son fondement.

J'abusais d'elle encore une fois après cela. Je la mis à genoux et elle me suça. Elle y mettait du coeur, tandis que sur les tomettes une flaque sourdait de ses entrailles. De la lèvre et de la langue, elle tira ma sève encore une fois. Je vis une plusieurs soldats commençaient à s'endormir. Je les réveillais à coup de bottes. Ils se levèrent en maugréant. Je leur rappelais que les hommes étaient en vie et qu'ils entendaient leurs femmes se faire violer. Il existe peu d'hommes qui entendent ce genre de bruit avec plaisir. Et ceux de ce village ne faisaient pas exception. Je me rendis à l'église. Mon apparition déclencha une certaine panique.

-La guerre s'invite dans votre cabouin. Les routiers veulent passer tout le monde au fil de l'épée. Commençais-je. Moi pas. Je préfère que vous disiez partout que le chevalier Dendraille vous a sauvé de l'armée anglaise.

-Comment pouvez-vous nous demander cela? Demanda un petit gris tout rouge.

Je songeais qu'avec ses cheveux poil de carotte, je connaissais sa fille.

-Vous ne savez pas qui je suis! Tonna-t'il. Je suis le sénéchal Gaudit, envoyé pour la perception des taxes par le seigneur d'Erval, devant lequel vous aurez à répondre.

Je lui fis sauter la tête d'un revers de lame. Le corps s'effondra.

-Le sénéchal est mort en héros sur la barricade contre l'anglais. Dis-je. Faites lui une belle tombe.

-Comptez y ,messire , dit le curé. Mais que faire de son cheval?

-Il s'est enfui, terrifié par le fracas de la lutte. Répondis-je.

Nous quittâmes le bourg perdu dans la forêt. Quelques lieues plus loin, je vis une forme blanche qui nous suivait. La rouquine de l'auberge se précipitait à notre suite. Elle arriva jusqu' à moi.

-Sauvez moi, messire. Suppliait elle. Je ne peux rester chez ces rustres. Ils veulent me marier à un porcher.

-Maintenant que ton père est mort, il te suffit de te rendre chez d'Erval et de réclamer son héritage.

-Mon oncle était un serf de sieur d'Erval qui avait appris à lire avec le curé de son village. Il ne laisse rien.

-Epouse ton porcher, c'est un bon métier, sinon tu finiras catin.

-Je pourrais être là votre, dit elle en se collant à moi.

De retour au camp, je lui dis de m' attendre et allais à la tente de commandement pour faire mon rapport. J'entrais, souillé de la terre du chemin. Le commandant lisait un petit papier.

-Ah, cher Dendraille. Vous voici. Soyez béni. Grâce à vos efforts, l'anglais a été stoppé. Le curé du village a envoyé un pigeon pour narrer vos exploits. Votre nom a été cité à la table royale. Après lames lourdes pertes essuyées par l'ost principal, votre exploit sauvé la campagne.

Je revins au campement avec un tonnelet de vin, un peu de fourniment et un mouton rôti,le tout dans une carriole tirée par un âne.

Mes hommes saluèrent mon retour par une ovation. Je rentrais dans ma tente. Elle m'attendais et releva sa jupe en écartant les jambes. Elle serra ses chevilles derrière mes cuisses lorsque je la pénétrais. Elle poussa un petit cri lorsque mon vit butta au fond de son intimité. Je la retournais ensuite, et me positionnais contre son petit. Elle avait peur et tremblait, comme une biche aux abois. Je poussais doucement, pour profiter de l'intromission lente, et voir mon sexe brun entrer entre ses fesses blanches.

Son anneau s'ouvrait petit à petit sous mon effort, tandis que son fluide matriciel aidait au glissement. Mon gland disparut dans son trou, et je coulissais jusqu'au bout de son fondement. Elle gémissait doucement et tourna vers moi un visage ravagé de larmes. Je lui souris et la pris avec force. Ses pieds décollaient sous mes coups de reins. Je la besognais avec ma force nouvelle, celle qui m'avait fait passer de paria à héros quand j'ouvrais les vannes de mon vit dans ce cul complaisant, je riais de joie mauvaise.

Le lendemain, un nobliau vint m'apporter mon étendard. Comme mon blason avait simplement été copié , une chauve souris solitaire étendait ses ailes sur fond d'or.

Je sortis de Catherine pour le saisir.

Je le donnais à mon vieil écuyer, qui le ficha en terre. Il flottait fièrement dans le vent.

Je dirigeais vers la forge du camp et passais une commande à l'artisan.

*********

Je courais dans le sous bois. Les hommes me suivaient en ahanant. Les deux gros rochers nous dissimulerent . Le pas de chevaux se fit entendre. Je jetais un coup d'œil aux fourrés. Mes hommes avaient l'art de l'invisibilité. Les premiers cavaliers nous dépassèrent. Ils étaient lourdement armés, sur leurs chevaux caparaçonnés autour de la voiture qui portait un blason que je ne connaissais pas, aux deux lions sur fond rouge une troupe d'une trentaine de soldats marchait, la lance sur l'épaule.

Une pluie de flèches s'abattit sur eux, puis avec un cri de guerre à mon nom, les assaillants sortirent de derrière les rochers. La mêlée se constitua de suite sur le chemin. Comme prévu, les cavaliers firent demi tour pour nous charger. Ils s'élancèrent avec fracas, portés par leurs destriers de guerre. Le câble se leva en sifflant et emportés par leur élan, ils le touchèrent de la poitrine. Les chevaliers vidèrent les étriers et atterrirent sur la chaussée romaine avec fracas. Je me précipitais et en saignais un en lui passant ma dague au dessus de son col de mailles. Les autres se mirent à crier "rançon, rançon", le mot magique. J'ordonnais de faire cesser la lutte. Les soldats anglais étaient terrifiés, entourés par mes ruffians hirsutes.

Je les fis dépouiller par mes hommes et les relâchais vers leur camp. Les chevaliers furent également dépouillés. J'ouvrais enfin la charette. Une grande dame me toisait avec angoisse, à côté d'une jeune nonne et d'une servante. Je les fis descendre de là.

Les femmes gémirent vite que la marche était pénible, et je dus les menacer du fouet pour les faire taire. Notre camp au cœur de la forêt était au bord d'une jolie rivière claire, dans une clairière plane. Nos tentes étaient semées un peu au hasard, selon le bon plaisir de chacun. Au centre, juste devant ma tente, un espace libre avait été aménagé, avec deux troncs d'arbres pour bancs et une planche tirée d'un chariot pour table.

Un bon feu ronfla bientôt à côté; le toit en feuilles protégeait de la pluie et filtrait la fumée. Les hommes se baignaient dans la rivière, et chassaient dans les sous-bois. Un certain nombre d'entre eux étaient des braconniers notoires, et le gibier ne manquait jamais à notre table. La guerre nous laissait nous arranger avec la loi. Au pire, étant moi-même noble, j'avais le privilège de la chasse.

La servante se nommait Karine, la nonne répondait au nom de soeur Marie. La noble était Anna Godfried, fille d'un baron bordelais, qui venait de la lointaine Aquitaine pour épouser le duc de Mercillac, afin d'affermir l'allégeance de ce dernier au roi d'Angleterre, suzerain du Bordelais. Les hommes avaient faim et soif, mais avant tout, je les fis enchaîner les chevaliers à un chêne.

Les nobles s'offusquaient de ne pas bénéficier du confort d'une tente. Je me dirigeais vers eux, tandis que leur collier de fer était serti à leur cou. Ils ouvraient de grands yeux et je dus leur expliquer que nous exercions notre guerre un peu en marge, et donc étions obligés de prendre quelques libertés, notamment au niveau des rançons et du butin. En vérité, le commandant m'avait laissé libre choix sur la méthode à condition qu'aucun anglais ne puisse traverser en armes. Les paysans du cru m'appréciaient car j'avais éradiqué le brigandage sous les frondaisons et que je rémunérais leurs informations. Un gamin reçut avec de grands yeux un écu d'or pour nous avoir donné ce convoi. Je le chargeais également de me signaler la venue de l'émissaire des familles. Il disparut en vitesse. Je regardais mes hommes;

-La dame dans ma tente est de noble lignée, beaucoup trop haute pour vos vulgaires vits. Proclamais-je. La nonne et la servante sont à vous.

Des hourras accueillirent mes paroles. Je regardais mes chauve-souris tourner autour des deux malheureuses. Mes hommes s'habillaient de sombre et ressemblaient à des petits ours tournant autour d'une biche aux abois.

La sœur criait son indignation, car s'en prendre à une nonne coiffée envoyait directement en enfer. Le rire général qui lui répondit la tétanisa. Un homme fit voler sa coiffe qui alla atterrir dans la glaise. Des mains avides arrachaient sa robe dénudant sa poitrine grosse mais un peu tombante. Lorsque sa robe ne fut qu'un chiffon boueux sur le sol, les hommes marquèrent un temps d'arrêt. La nonne portait un pantalon court sous ses vêtements, comme un prêtre. Les brigands et les paysans mal dégrossis qui constituaient ma troupe n'avaient jamais vu ce genre de dessous touchaient le tissu,cherchant comment virer cet étrange objet. Octave trouva un bouton et le fit sauter en tirant dessus. La soeur hurla sa terreur lorsque son sexe brun, assorti à ses cheveux court apparut .Ses poils remontaient sur son ventre et décoraient un peu le haut de ses cuisses. Ce sacré tablier de sapeur excitait la convoitise des hommes .

Elle fut étendue sur la table, et un sexe lourd se fraya bien vite un chemin à l'intérieur du sien. Elle criait sa honte et sa douleur mêlées et un des violeurs la fit taire en lui plaçant sa bite dans la bouche. Elle émit un gargouillis et ils durent la relever car elle aspergeait tout d'un vomi liquide. Sous des gifles retentissante, elle fut menée, poussée et portée, vers la rivière.

Ses fesses rebondies tremblaient sous les claques des soudards . L'eau glacée lui arracha une exclamation. Les soldats la placèrent auprès du feu, pour lui éviter la pneumonie. La servante,Karine ne parlait pas le français, mais les intentions des hommes qui l'entouraient ne lui laissaient aucun doute , surtout que la bonne soeur ahanait sous les coups de reins d'un homme gras vautré sur elle. Elle dit quelques mots incompréhensibles d'une voix suppliante.

Ses vêtements volèrent rapidement et elle tenait ses mains croisées sur son con pour le cacher. Deux hommes lui écartèrent les bras et la basculèrent en arrière en la tenant debout. Virgile, le chef de mes archers, un braconnier capable de piquer un lièvre en pleine course d'une flèche, lui plaqua sa main puissante sur le sexe et lui introduisit l'index. Elle cria avec un petit sursaut, et il prit un air songeur.

-Chef, dit -il, la drôlesse est pucelle! Je sens sa membrane!

Je m'arrachais à mon fauteuil de bois avec un sourire gourmand. J'avais institué ce rituel. Une pucelle méritait un noble pour lui ouvrir la chatte. Et j'aime l'air désespéré de ces pures gamines que d'un coup de vit, je change en catin. J'ouvris mon haut de chausse et mon sexe bandé surgit devant elle sous les acclamations de mes subordonnés. Je leur fis signe de la relever, et portée par des bras puissants et rugueux son ouverture recouverte d'un fin duvet noir se leva à la bonne hauteur. Je me penchais et lui sussurai, dans sa langue;

-Tu vas être femme, ce soir.

Elle gémit des dénégations suppliantes mais je n'en tins aucun compte. Je plaçais le bout de mon sexe sur le trou affolé et je poussais mon avantage. Je sentis la résistance. Elle poussa un cri de folle lorsque son pucelage se brisa. Je sentais ses chairs secrètes palpiter. Je tins ses cuisses et m'enfonçais avec délice. C'était étroit et doux comme un pré juste fauché. Je la pistonnais durement , alors qu'elle criait dans discontinuer. Je me retirais après avoir inondée, et un mélange de foutre et de sang coula de son con labouré.

Un de nos chiens léchait les gouttes qui tombaient sur le sol. Je ris. Je pris l'animal au col et lui fit récolter sa douceur à la source. Elle pleurait d'humiliation tandis que la grande langue rose mouillait ses poils. Je virais le corniaud.

-Frères de la forêt, le chemin est ouvert! Proclamais -je.

Les cris de la servante se mêlèrent bientôt à ceux de la nonne.

Je me dirigeais vers ma tente. Un jolie chatoune m'y attendait.

La tente était éclairée par un feu dans un plat de fer, qui lâchait sa fumée par un orifice dans le toit. Quelques lanternes à bougie complétaient l'illumination des lieux. La douce Anna était assise sur un banc, à côté de la petite table où demeuraient son gobelet en bois et un pichet d'eau de vie, le reste de son repas ayant été débarrassé par la rousse Catherine qui m'accompagnait en campagne et s'assurait de mon confort, matériel et sexuel. Elle n'allait pas tarder à porter un bâtard de mes œuvres, vu l'arrosage de sa matrice depuis le début de la campagne, trois mois auparavant.

Mais ce n'était pas elle l'objet de ma convoitise, ce soir là. Anna portait ses cheveux bruns sous un filet d'argent semé d'épingles et assemblés en un chignon lâche. Sa robe de velours vert cachait plus qu'elle ne soulignait ses formes que je devinais menues. Je me posais sur le bord de la paillasse de paille emballée de toile.

-Votre pucelage vaut rançon, lui dis-je. Vous ne serez pas en peine de souffrir les assauts de la troupe.

Son soulagement s'exprima par un soupir contenu. Elle avait un réel savoir vivre.

-Mais il existe bien d'autres manières de contenter un homme sans céder son sang.

+

Elle me regarda les yeux grands ouverts.

-Je pensais d'abord à vos lèvres du haut. Ajoutais -je. Ces petits coussins peuvent engloutir les plus gros chibres sans problème, très chère.

En parlant, j'avais enlevé mes bottes et à présent me débarrassais de mes chausses. J'avais le sexe à demi érigé.

-Catherine va vous en faire la démonstration.

Catherine se pencha et se plaça à genoux devant moi, tandis que je faisais asseoir Anna à mes côtés. La noble regarda ma catin rouquine emboucher sans frémir mon sexe sali par le sang de la servante. Catherine fit coulisser ses lèvres, effaçant les traces et me faisant durcir. Elle me mit quelques petits coups de langue sur le bout, comme une chatte nettoyant son petit. Je repoussais doucement la rouquine par les épaules.

-A vous, Anna. Dis-je.

Elle se recula avec horreur. Un cri aigu se fit entendre dehors.

-Si vous préférez rejoindre ma troupe, libre à vous.

Elle baissa les yeux, et des larmes cristallines ourlaient ses longs cils. Elle se mit à genoux sur la peau de sanglier qui ornait mon sol et se pencha sur mon sexe. Je sentis ses lèvres coulisser le long de mon gland, et la chaleur de son souffle l'envelopper.

-Et bien, faites bouger votre tête, ordonnais-je.

Elle commença un prudent et lent va et vient, les yeux fermés. Je me cambrais légèrement pour amplifier le mouvement et elle fut soulevée d'un haut le coeur.

-Mettez du coeur à l'ouvrage. Ordonnais-je.

La menace implicite l'encouragea à accélérer.

-Mais servez vous de votre langue, bon sang! Jurais je.

Elle fit se tortiller sa langue autour de mon membre. Je la voyais pleurer et réprimer son dégout. Ce fut cela, plus que la sensation physique qui me fit cracher. Je lui tenais la tête, mais ses lèvres ne retinrent pas le flux, qui me mouilla les testicules et l'entrecuisse.

-Sale souillon, regarde ce que tu as fait! Dis-je en lui empoignant la chevelure.

Elle sanglotait, éperdue. La gifle la cueillit sur la pommette. Elle me regarda des ses grands yeux noirs.

-Nettoie, salope,lui criais-je au visage. Avec ta langue!

Elle sortit son organe rose et commença à bien mettre au propre mes bourses velues. Lorsque le résultat me convint,je la repoussais.

-Avale tout, la prochaine fois, catin, dis je. Tu dois apprendre à me tenir content. Ne sors pas de la tente seule, mes hommes te feraient un mauvais sort.

Elle ne me regardait pas, mais ses sanglots se suffisaient à eux même. Je m'étirais avec langueur.

Je regardais quelques instants le spectacle dans le camp. La nonne recevait le gros Germain dans le cul et ne hurlait plus, elle émettait des râles rauques intermittents,quand une poussée plus vigoureuse enfonçait toute la longueur de notre cuistot au fond de ses entrailles. La servante ne faisait guère de bruit, bâillonnée par la chair d'un vit fiché dans sa bouche, alors que deux autres besognaient l'un son con et l'autre son petit, qui s'ils poursuivaient trop longtemps,ne pourrait plus porter ce nom. Je ris et allais pisser. Je remettais de l'ordre, et les deux malheureuses se blottirent sous une couverture auprès du feu. Le camp retomba dans son silence nocturne habituel, seulement troublé par les ronflements sonores de quelques uns. Je dépassais la palissade et m'aventurais jusqu'au premier poste de garde.

-Salut Gaston. Dis-je à celui qui veillait sur le chemin principal.

-Salut chevalier.

-Les captives sont à notre main. Dis-je. Elles seront à ceux de garde demain.

-Même la laady? Demanda-t'il en exagérant la prononciation

-Son pucelage doit valoir rançon. Elle ne chauffera que ma couche.

Le voleur marqué au fer hocha la tête. J'aimais bien ce gars sans âge, qui ne montrait jamais de peur. Comme presque tous mes soldats, je l'avais recruté à deux pas de l'échafaud, et il m'était personnellement fidèle. Il ne cherchait pas la gloire ou l'anoblissement mais juste un bol rempli chaque jour.

La nuit était très noire, sous les arbres séculaires.

-Qu'est ce qu'on a? Demanda Gaston

-Une servante, une nonne et la noble. La servante et la nonne ont beaucoup connu de compagnons. La noble m'a juste bisé la queue. Et je l'ai prévenue qu'une sortie dans le camp se solderait par la perte de sa fleur.

-Vous pariez sur qui?

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