Le Club - Partie 03

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Le juge entre en scne.
3.5k mots
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3
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 38 pièces

Actualisé 02/07/2022
Créé 08/15/2009
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Jérôme n'en menait pas large. Déjà le fait de s'être fait pincé encore une fois en train de dealer n'était la meilleure des choses quand on était une petite frappe de seconde zone comme lui mais l'idée de se retrouver confronté au juge de Saint Servier, considéré par son avocat comme le plus inflexible de la cour était encore plus inquiétant. L'espèce d'abruti qui s'occupait de son affaire avait bien tenté de faire juger son affaire par un magistrat tout aussi incapable et surpassé que lui en comparution immédiate autant pour lui éviter une peine trop lourde que pour se décharger au plus vite d'une affaire qui ne ferait pas trop avancer sa carrière mais visiblement le destin ne lui souriait pas et désormais c'était la prison qui semblait l'attendre et pour un bon bout de temps.

Il avait passé deux nuits en prison quand il rencontra enfin ce juge.

- Mon client ne nie pas ses erreurs monsieur le juge mais il faut avoir conscience de sa jeunesse et qu'il a aussi des contacts en vue de reprendre des études, bonimenta son avocat. Il veut sérieusement s'amender et nous devrions lui donner sa chance.

- C'est ce qu'on fait mes deux confrères devant lesquels il a comparu l'an dernier, lui répondit sèchement le juge depuis sa position surélevée d'inquisiteur, mais je ne suis pas aussi laxiste et il est majeur désormais.

L'avocat marqua un temps d'arrêt bien trop long au goût du juge. Jérôme compris qu'il n'avait pas prévu d'autres arguments que ceux -- là. Sa situation était désespérée.

- Monsieur le juge, je vous demande de lui laisser...

- Le temps n'est plus aux demandes, ni aux espoirs avec les voyous de la nature de votre client, maître. Je ne vois que la fermeté qui puisse lui inculquer le sens des réalités. Je vais cependant mettre mon jugement en délibéré. Je vous rendrais ma décision demain.

L'avocat parut surpris d'un tel sursis. Jérôme lui était totalement détaché, il retournait en prison et visiblement pour un certain temps.

La nuit était tombée depuis un certain temps quand un gardien tira Jérôme de sommeil. Comme le veux l'habitude, il n'avait pas été ramené à la prison mais dans une cellule du palais de justice. Le gars le conduisit sans un mot dans une salle d'interrogatoire où il fut surpris de se retrouver en face du juge qui semblait l'avoir condamné dans la journée.

- Eh que voulez -- vous, fit le jeune voyou. Je veux voir mon avocat!

- Tais -- toi donc petit con, cria le juge, si tu veux sortir libre de cet endroit tu ferais mieux de m'écouter!

Jérôme considéra ce juge. Il était vieux. Plus de cinquante ans certainement ; presque chauve mais assez grand et surtout il avait un regard bleu acier qui le transperçait. Il décida de se taire et d'écouter ce qu'il avait à dire.

- Assieds -- toi, ordonna le juge. J'ai relus ton dossier et il n'est vraiment pas bon. La quantité de drogue que tu possédais sur toi était suffisante pour que je puisse te condamner à 10 ans de réclusion.

- 10 ANS!!!! s'énerva Jérôme en se levant.

- Rassis -- toi! tonna le juge en le transperçant de son regard dur.

Jérôme se rassit, comprenant que le juge n'avait pas provoqué cette rencontre sans raison.

- Je peux t'envoyer en prison pour 10 ans et crois -- moi, il y a de nombreux petits dealers qui croupissent actuellement en prison pour avoir eu le malheur de me rencontrer. Cependant, tu as de la chance, le temps où j'appliquais la loi sans me poser de question est derrière moi. Désormais, je l'adapte à... mes désirs.

- Et vos désirs sont? s'affola Jérôme en s'écartant du ostensiblement du juge.

- Rassure -- toi, fit le juge au bord du fou -- rire, je ne mange de ce pain -- là. Mais tu as posé la bonne question. Tu n'es qu'un petit loubard mais un petit loubard qui a la chance d'avoir dans ses relations ce que je veux. Il me semble que tu sors actuellement avec la dénommée Madeleine Bonnet.

- Madeleine? Cette coincée? C'est une de mes poufs oui mais pas la meilleure. Elle est loin d'être la plus amusante, elle pense qu'à ses études. Bon sang, m'sieur le juge, si vous voulez une gonzesse, j'en connais des plus engageantes.

- Décidément, tu ne comprends rien à rien et c'est normal. Celle que je veux c'est Madeleine et je la veux pieds et mains liés. C'est à cette seule condition que tu retrouveras la liberté et même quelques menus avantages. Crois -- moi, je suis un homme puissant et je peux t'ouvrir bien des portes.

- Tout ça, juste si je vous apporte Madeleine? Mais je vous le fais dès demain.

- Tut! Tut! Pas si vite, je ne veux pas de violence. Dis -- moi un peu, cette jeune fille, elle est amoureuse de toi ou non? Ne me mens pas car si je peux t'ouvrir des portes, je peux aussi définitivement t'enterrer.

- Ouais, elle m'adore. Le vrai problème, c'est sa putain de famille. Ses parents s'imaginent que sous prétexte qu'elle a de super notes à l'école, elle va réussir et devenir avocate ou un truc comme ça. Résultat, elle a 18 ans et pas moyen de sortir le soir ou des choses comme ça. En plus, elle était déjà à faire des projets et moi j'en veux pas, c'est pas la seule nana avec laquelle je sors.

- Très bien alors tu vas bien m'écouter.

Madeleine était folle. Cela faisait maintenant presque une semaine que Jérôme était sorti de prison et il n'avait plus donné signe de vie. Elle ne comprenait plus rien. La veille de son arrestation, il lui jurait encore qu'elle était la femme de sa vie et maintenant sa sœur Sarah affirmait qu'elle l'avait vu en compagnie de cette garce de Félicia. Le pire était qu'elle ne pouvait même pas en avoir le cœur net tant sa mère la surveillait. Avant, elle n'arrivait à voir Jérôme que parce qu'ils rusaient tous les deux et que ce dernier venait la voir au pied de son immeuble après ses cours. Un samedi après midi alors qu'avec sa mère et sa sœur, elles faisaient des courses dans un centre commercial, elle eut l'immense chance de le croiser. Il l'ignora mais elle profita de la distraction de sa mère pour le suivre ; elle voulait une explication. Elle le rattrapa alors qu'il arrivait dans un couloir et l'attrapa par le bras. Il se retourna et la dévisagea d'un air surpris.

- Madeleine, fit -- il. Comment vas -- tu?

- Tu me le demande, s'énerva -- t -- elle, alors que je n'ai plus aucune nouvelle depuis des semaines.

Il afficha un air contrit, regarda derrière elle comme s'il craignait que quelqu'un l'ai suivie puis l'entraîna vers un endroit plus discret. Soudain, il l'embrassa.

- Je suis désolé, mon amour, s'excusa -- t --il, mais je n'ai pas le choix. Je suis piégé. Nous ne devons plus nous voir, nous n'avons pas d'avenir ensemble.

Madeleine, encore sous le coup de ce baiser, bafouilla sans réussir à réorganiser ses esprits. Jérôme reprit.

- Regarde -- toi, tu es une jeune femme pleine d'avenir et moi je ne suis qu'un loser perdu. En plus tes parents font tous pour nous séparer.

- Mais..., je ne...

- Chut! Je t'aime et tu le sais mais tant que nous resterons dans cette situation, rien ne sera possible.

- Mais dans quelques mois, j'aurais mon bac et je partirais à la fac, je quitterais alors ma maison.

- Et ça ne changera rien. Tu dépendras toujours financièrement de tes parents et je serais toujours un petit loubard sans avenir.

Madeleine voulait lui crier que cela n'avait aucune importance, qu'elle voulait renoncer à tout ça pour lui quand il ajouta quelque chose.

- Bien sûr, si je réussissais à mener mon projet à bien alors tout changerait.

- Ton projet?

- Oui mais c'est compliqué et j'ai besoin de l'aide d'une femme, d'une vraie, une femme prête à tout pour moi... une femme comme Félicia.

Folle de rage à l'énoncé de ce nom, Madeleine s'entendit prononcer des paroles dont elle serait cru incapable.

- Félicia n'est rien, je ferais tout pour toi.

Il resta silencieux quelques secondes comme s'il réfléchissait puis il dit.

- Tu le veux vraiment?

- Oui, s'enflamma -- t -- elle persuadée de vivre une véritable passion.

- Alors je te retrouverais ce soir à l'endroit habituel. Je t'expliquerais tout.

Le soir même, elle retrouva Jérôme dans un débarras en bas de son immeuble. Ses parents pensaient qu'elle était sagement endormie dans la chambre.

Jérôme était déjà là. Dès qu'elle arriva, elle se jeta sur lui, l'embrassa et sa main plongea immédiatement en direction de son bas ventre. Ils avaient déjà fait l'amour dans cet endroit bien peu romantique mais elle s'en fichait, elle l'avait retrouvé. Etrangement, il s'écarta doucement d'elle.

- Je n'ai pas beaucoup de temps, s'excusa -- t -- il. La prochaine fois. Nous devons parler de notre avenir.

La seule évocation de leur avenir ensemble suffit à calmer sa déception et elle s'assit prêt de lui. Il caressa doucement ses cheveux châtains blonds et descendit vers son opulente poitrine mais s'arrêta soudainement pour parler.

- Dans notre situation, nous sommes désespérés. Sans argent, je suis condamné à végéter dans ce quartier paumé et toi à rester sous la coupe de tes parents qui me haïssent.

- Tu te trompes sur mes parents, ils ne sont pas aussi mauvais que tu le penses.

- Ah bon alors pourquoi m'ont -- ils dénoncé à la police?

Elle resta sans voix devant cette accusation.

- Tu ne me crois pas. Ce n'est pas grave, ce sont tes parents. Il reste que si tu m'aimes et que tu veux vivre avec moi, nous devons devenir rapidement indépendants tous les deux et tu le sais.

Elle ne pouvait pas nier cette affirmation. Si elle partait à la fac pendant des années, elle savait qu'il finirait par l'oublier et elle ne le voulait pas.

- Quel est ce projet dont tu m'as parlé?

- J' ai un ami qui est sur une grosse affaire. On lui a proposé d'acheter une cargaison de plusieurs kilos de drogues, ça vaut une fortune.

- De la drogue? s'affola Madeleine.

- Calme -- toi, je ne veux pas faire ma vie dans ce milieu mais il suffirait d'une seule vente pour financer tout notre avenir : tes études et mon projet de garage et même une maison pour vivre ensemble.

Madeleine se tut. Elle réfléchit en pensant qu'ainsi elle pourrait avoir ce qui la faisait rêver.

- Mais pourquoi te ferait -- il ce cadeau?

- Ce n'est pas un cadeau. Il n'a pas l'argent pour acheter la cargaison aux producteurs. Ces derniers ne veulent que 10% du prix à la livraison car ils sont pris par le temps. C'est une occasion unique. On leur payera le reste avec les bénéfices de la vente mais ça reste une somme conséquente. J'ai besoin de cet argent et c'est là que tu interviens.

Il s'arrêta une seconde pour s'assurer qu'elle écoutait bien.

- J'ai rencontré un homme, c'est un juge et c'est surtout un homme riche. Il serait prêt à me donner cet argent mais en échange, il veut passer du bon temps avec une jeune fille.

Madeleine ouvrit la bouche en comprenant ce qu'il lui demandait.

- Tu veux que je fasse la pute! Tu es fou!

Il s'approcha d'elle et la serra fort.

- Ce ne sera qu'une fois et ensuite nous serons tranquilles.

- Non! Je ne suis pas comme ça!

- Je comprends, fit -- il. J'aurais dû m'en douter d'ailleurs. Félicia avait accepté elle. Je pense que je peux lui redemander, elle veut tellement changer de vie.

Le sang de Madeleine ne fit qu'un tour et de nouveau ses paroles devancèrent sa pensée.

- Jamais! Laisse cette salope où elle est. Je le ferai!

Le visage de Jérôme s'illumina alors et il l'embrassa.

- Mon amour, tu verras, nous allons être très heureux.

Madeleine retrouva Jérôme le samedi après midi. Elle avait de nouveau menti à sa mère pour retrouver Jérôme dans le petit appartement qu'il partageait avec un autre jeune homme. Quand elle arriva, affreusement stressée, elle sentit immédiatement l'odeur de Marijuana qui la mit mal à l'aise. Jérôme vint à sa rencontre et l'embrassa.

- Je te sens tendue, lui dit - il. Détends -- toi, tout va bien se passer. Assieds -- toi.

- Il va venir ici? Demanda -- t -- elle.

- Le juge? Non, quelqu'un va te conduire à sa garçonnière.

- Tu ne viens pas? s'affola -- t -- elle.

Il l'enlaça et se rendit compte qu'elle restait toujours tendue comme une corde.

- Il faut que tu te relaxes sinon tu vas vivre un vrai enfer, lui assura -- t --il.

- Facile à dire pour toi, lui répondit -- elle sèchement.

Il ne releva pas et lui tendit une pipe.

- Tiens fume, tu te sentiras mieux après.

- Qu'est -- ce que c'est?

- Fume et ne pose pas de questions. Tu poses trop de questions, ce n'est pas bon.

Elle hésita une seconde et décida de céder. Elle avait accepté déjà bien des choses par amour pour lui. Elle fuma et quelques secondes plus tard, elle se sentit étrange comme emportée dans un fleuve. Quand elle rouvrit les yeux, Jérôme lui tendait la main.

- Tu te sens mieux?

Elle ne put répondre encore sonnée par l'excitation apportée. Elle prit sa main et il l'emmena. Il la fit monter dans une voiture discrète conduite par un chauffeur africain qui leur fit traverser une bonne partie de la ville. Encore dans les vapes, elle ne réussit pas à identifier les rues qu'ils traversaient.

Finalement, ils se garèrent devant un petit immeuble bourgeois. L'africain descendit, lui ouvrit la portière et lui tendit la main. Elle la prit et il l'entraîna dans ce grand immeuble qui abritait visiblement des appartements cossus et surtout discret. Ils montèrent dans l'ascenseur qui stoppa au troisième étage. Il ouvrit une porte qui se trouvait juste en face et ils se retrouvèrent dans un immense hall d'entrée. Un homme en robe de chambre bordeaux apparut alors et Madeleine crut s'étouffer en constatant qu'il devait avoir 60 ans. Il s'approcha d'elle en souriant.

- Enchanté, mon enfant, fit -- il. Je suis tellement heureux de te rencontrer enfin.

Il l'enlaça et elle eut une envie de vomir à l'idée qu'elle allait devoir coucher avec cet homme. Il s'écarta d'elle et se tourna vers l'africain.

- Merci Christian, ce sera tout pour le moment.

Sans un mot, le chauffeur sortit, les laissant seuls. Il l'entraîna alors vers le living room. Elle se rendit compte que cet endroit était immense et que tout l'appartement de ses parents pouvait tenir dans cette seule pièce.

- Je m'appelle Madeleine, dit -- elle alors qu'il l'avait lâchée et s'était assis dans un des immenses sofas.

- Je sais et moi je suis monsieur le juge.

Elle voulut s'assoir.

- Non, reste debout, je veux te voir.

De plus en plus mal à l'aise, Madeleine restait immobile devant lui.

- Qu'est -- ce que tu attends, s'énerva soudainement le juge. Déshabille -- toi!

Le malaise de Madeleine s'accentua encore un peu plus mais elle sentit qu'elle ne pouvait plus reculer. Elle avait accepté de se vendre. Elle défit son chemisier et le posa sur le sofa placé derrière elle.

- C'est bien, approuva le juge. Continue comme ça! Prends ton temps!

Elle dégrafa sa jupe noire qui rejoignit le chemisier. Entre l'effet de la substance qu'elle avait inhalé qui ne s'était pas encore totalement estompé et la situation horrible de devoir se retrouver en lingerie devant cet homme qui avait l'âge d'être son grand père, elle se sentait au bord de l'évanouissement.

- Ne fais pas ta timide, tonna le juge. CONTINUE!!!

Ce cri la fit sursauter et la tira un peu de son état. Elle dégrafa alors son soutien gorge dévoila son imposante poitrine juvénile puis comme pour ne pas sombrer à nouveau, elle se dépêcha de retirer la culotte blanche dévoilant une touffe mal entretenue. Le juge sourit alors et défit les pans de sa robe de chambre. Il était nu en dessous et il prit son engin en les mains tout en la détaillant de son regard concupiscent.

- Tourne sur toi -- même, ordonna -- t -- il. Je veux voir tes fesses.

Condamnée à obéir à cet homme qui tenait leur avenir entre ses mains, elle pivota sur elle -- même heureuse de ne plus avoir à supporter le regard de ce vieillard. Elle resta immobile pendant de long instant quand elle sentit un souffle sur son cou et des mains qui se glissaient sous ses aisselles. Elle eut un geste de recul.

- Ne bouge pas bon sang, ragea le juge. Laisse -- toi faire!

Elle abandonna sa résistance et le laissa lui tripoter les seins tout en se frottant contre ses reins. Elle sentait la force de son érection et priait pour qu'il jouisse immédiatement en se disant que si cela arrivait il ne serait plus capable de rien et que son calvaire serait terminé. Malheureusement pour elle, le juge avait l'expérience pour lui et il savait se contrôler. Il commença à lui lécher le cou alors que ses mains descendirent vers son intimité. Elle ferma les yeux alors que ses doigts s'inséraient dans sa fente. Elle avait envie de pleurer, de hurler mais elle se retint par peur de la réaction du juge. Puis soudain, il la força à se retourner et d'un coup l'embrassa de force. Sa langue s'insinua dans sa bouche recherchant la sienne. Elle manqua s'étouffer de surprise et elle comprit qu'elle devait lui rendre ce baiser si elle voulait reprendre son souffle. Cette horreur dura de trop longues secondes et elle cracha pour retrouver de l'air pour retrouver sa respiration. Le juge ne sembla pas s'inquiéter de cette réaction, il était entièrement concentré sur tout autre chose.

Il la fit allonger sur le sofa qui se trouvait derrière elle et plongea sa tête entre ses jambes. De ses mains, elle tenta de repousser cette langue qui s'insinuait dans sa fente intime mais la drogue et la gêne lui avaient ôtées toute force. Elle commença alors à sentir une terrible chaleur monter dans son bas-ventre. Son corps, contre elle -- même, réagissait aux caresses du vieil homme qui semblait avoir une certaine expérience à ce petit jeu de langue. De nouveau, elle tenta de le repousser pour ne pas céder à ce plaisir qui montait en elle, en vain et elle fut envahie par un orgasme qui la remplit immédiatement d'une honte immense.

Le juge retira son visage de son entrecuisse pour la dévisager et y déceler les traces du plaisir qui venait de la ravager. Visiblement satisfait, il s'avança alors et se plaça de façon à la prendre. Encore assommée, elle fut incapable de résister. Profitant d'une cavité vaginale désormais parfaitement lubrifiée, il la pénétra sans ménagement avant de s'affaler sur elle. Allongée sur le sofa, les yeux révulsée, elle laissait ce vieux vicieux profiter de son corps sentant son sexe allant et venant en elle, ses mains triturant ses seins et sa langue se promenant sur son cou et son visage. Puis soudain, il se retira et elle crut que son enfer était terminé mais sans ménagement, il la tira par les cheveux et la força à s'agenouiller. Elle pensa qu'elle allait devoir achever par une fellation quand il l'obligea à se retourner et à se pencher en avant sur le sofa et là, elle comprit le sens du mot douleur. D'un coup sec, il força la résistance de son anus et pour la première fois de la soirée, elle ne put plus réprimer ses cris. Le juge se figea puissamment dans ses entrailles avec une vitalité au moins aussi forte que précédemment et il reprit son limage dans une intimité qui n'avait jamais connue de pénétration.

- NON, hurla -- t -- elle. NON, JE NE VEUX PAS!!! CE N'ETAIT PAS PREVU!!!!

Le juge la tira alors par les cheveux et approcha sa bouche de son oreille droite.

- Je paye, petite pute alors je décide de ce qui est prévu.

Elle éclata en pleurs alors qu'il reprenait ses allers retours ravageant son anus sans aucune pitié. Elle perdit la notion de temps puis soudain elle sentit un liquide chaud et visqueux couler dans ses entrailles et elle comprit qu'il venait de jouir entre ses fesses. Ses pleurs s'intensifièrent autant par désespoir que par le soulagement de comprendre que son calvaire allait enfin prendre fin.

Une demi -- heure plus tard, le juge l'avait laissé prendre une douche et elle s'était rhabillée le plus vite possible. Son corps était perclus de douleur et surtout son anus qui la brûlait horriblement. Le chauffeur africain l'attendait en bas de l'immeuble pour la raccompagner. Dans la voiture, elle se remit à pleurer et ne retrouva la force de faire cesser ses larmes qu'en se disant que désormais toutes cet enfer était du passé. Elle ne savait pas qu'elle n'était qu'au début de sa déchéance.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 14 ans
genial

très bonnes histoires, vivement la suite. faisons connaissances avec les 2 autres membres du club ...

merci

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