Le Club - Partie 07

BÊTA PUBLIQUE

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- Regarde cela! dit -- elle à Jérôme en sortant une petite chemise grise.

- Qu'est -- ce que c'est? Demanda Jérôme faussement curieux.

- C'est facture d'un établissement psychiatrique. Il s'agit d'une chambre pour Madeleine. Ils l'ont faite internée.

Jérôme lui prit les documents et fit mine de les lire. Il adopta son expression la plus horrifiée.

- Tu as raison. Visiblement, elle est internée depuis qu'elle a été libérée. Regarde, il y a la décision de placement en HP signé du juge. Et ce n'est pas tout.

Il lui tendit la dernière page, l'estocade programmée. Il s'agissait d'une lettre manuscrite signée du soi -- disant directeur de cet établissement psychiatrique qui relatait un événement tragique.

- Elle a tenté de se suicider et elle est désormais dans un état grave.

Elle hurla et, de rage, fit tomber tout ce qui se trouvait sur le bureau placé au centre de la pièce. Jérôme se jeta sur elle pour la retenir.

- Arrête -- toi! fit -- il pour la calmer. Tu vas nous faire repérer.

- Elle est presque morte par leur faute! lui cracha -- t -- elle au visage. Ils l'ont faite enfermée au lieu de l'aider...

- Je sais mais si on se retrouve en prison, on ne pourra rien pour elle.

- Pour elle?

Elle le regarda incrédule. Il prit son expression de « chevalier blanc » qui avait si bien fonctionné avec sa sœur.

- Tout n'est pas perdu, affirma -- t -- il.

Il lut immédiatement dans son regard qu'il avait fait un pas vers son cœur mais il n'avait pas le temps de pousser plus loin son avantage. Il l'entraîna en dehors du bureau, refermant derrière lui. Ils quittèrent le bâtiment en très peu de temps.

Ils se retrouvèrent à leur point de départ. Jérôme sentait Sarah fébrile après toutes ces révélations. Tous ces documents déposés là par un agent d'entretien payé par le juge avaient vraiment joué leur rôle à la perfection. Il était hors de question d'en rester là.

- Tu as dit qu'il restait un espoir, lança -- t -- elle avec suspicion.

- Je t'ai déjà dit que j'ai un ami juge. S'il est au courant du danger que court Madeleine, il acceptera de m'aider et je pourrais me servir de lui pour faire pression sur tes parents.

Il la vit reprendre espoir et, presque à sa surprise, elle se jeta dans ses bras. Etonné par ce geste, Jérôme décida de profiter de l'aubaine. Il l'embrassa alors et au début il sentit qu'elle lui rendait son baiser mais rapidement, elle le repoussa.

- Non, fit -- elle. Ce n'est pas bien.

- Oui, reconnut -- il tout à sa frustration. Je suis désolé. C'est l'émotion.

Il la sentit hésitante et il craignit de perdre tout l'avantage de cette soirée et il ne le voulait surtout pas.

- Je vais tout faire pour sortir Madeleine de sa prison, mentit -- il avec ferveur, et je vais faire vite. Promets -- moi de venir me voir demain soir chez moi, je te jure que j'aurais des nouvelles.

Elle le considéra un instants, indécise.

- D'accord, concéda -- t -- elle. J'y serais.

Et sur cet engagement, elle disparut dans la nuit. Jérôme n'insista pas mais il avait pris une décision. Il avait comprit pourquoi le juge désirait tant cette jeunette. Elle était vive, intelligente et surtout inexpérimentée. Bien que court, leur baiser lui avait appris qu'elle n'avait sans pas embrassé beaucoup de garçon et il acquit la certitude qu'elle était encore vierge. Voilà ce que voulait ce vieux vicelard, une pucelle.

Malheureusement pour lui, il n'aurait pas ce qu'il désirerait. Jérôme avait goûté au fruit défendu et il comptait bien aller jusqu'au bout. Demain soir, il ferait de Sarah Bonnet une femme qu'elle le veuille ou non. Il s'arrangerait avec le juge ensuite, ce vieillard saurait bien se contenter des restes comme il l'avait fait avec Madeleine.

Théodora Lupa vivait un véritable calvaire. Allongée sur le ventre sur une table en bois installée au centre du salon du juge pour l'occasion, elle était en train de se faire sodomiser brutalement par le chauffeur africain de ce dernier. Le juge avait exigé qu'elle se présentât chez lui en début de soirée et elle savait que cela signifiait une nouvelle séance infernale mais elle ne s'était jamais attendue à ce qu'elle allait subir.

Dès qu'elle entra, elle trouva le juge assis dans son divan, vêtu de son habituelle robe de chambre. La malheureuse Madeleine qui devait subir ce monstre quotidiennement se trouvait à ses côtés, nue comme toujours.

- Déshabillez - vous! lui ordonna le juge

Ayant depuis longtemps renoncé à toute velléité de résistance, Théodora obéit sans un mot et se retrouva donc elle aussi totalement nue devant ce vieillard. Ce dernier tourna la tête vers la petite table en bois et elle vit qu'il y avait fait installer des sangles. Elle frissonna mais se dirigea vers elle.

- Allongez -- vous sur le ventre!

Le juge continuait à la vouvoyer tout en utilisant ce ton impérieux qu'il utilisait désormais en permanence en sa présence. Il aimait jouer ainsi sur les paradoxes avec elle. Elle s'installa sur la table et vit que les sangles étaient destinées à ceindre son cou et ses mains à condition qu'elle mette ses bras le long du corps. Sans un mot Madeleine se dirigea vers elle à quatre pattes et l'emprisonna. Théodora se retrouva donc totalement dépourvue, prête à subir les assauts de vieux lubrique sans pouvoir résister. Mais pourtant, il ne bougea pas et au contraire ce fut Madeleine qui retourna vers lui et, écartant les pan de sa robe de chambre, commença de lui faire une fellation. Théodora commença à croire qu'elle était destinée à servir d'objet d'ornementation quand elle sentit une présence derrière elle, une immense ombre se posa sur elle. Elle força contre la sangle qui l'emprisonnait pour tenter de voir derrière elle et elle réussit à discerner le géant noir qui se tenait droit derrière elle, nu. Elle hurla quand elle comprit ce qui allait arriver.

Le juge profitait du spectacle de Kono ravageant les entrailles de Théodora. Doté d'un sexe plus que conséquent, le géant congolais avait commencé par travailler l'anneau de cette bourgeoise hautaine qui s'était immédiatement mise à hurler et à supplier ; en vain bien entendu. Quand le sexe noir commença à se frayer un chemin dans son intestin, ses cris devinrent stridents et l'érection du juge, encouragée par le travail d'une Madeleine qui devenait de plus en plus experte, se renforça. Le juge n'avait jamais sodomisée Théodora et il pensait que cette dernière était vierge de cette orifice ce qui devait rendre cette première expérience encore plus traumatisante pour elle. Le visage impassible, Kono s'enfonçait en elle lentement mais surement sans se soucier une seconde des cris de sa victime. Le juge voyait l'immense bout de chair disparaître progressivement entre les fesses de Théodora et s'il n'avait pas déjà assisté à un tel spectacle, il aurait douté qu'il pusse totalement la pénétrer. Malheureusement pour Théodora, Kono ne s'arrêterait qu'une fois la sodomie totalement consommée. Cette dernière hurlait de plus en plus fort, tirait sur les sangles qui l'emprisonnaient mais elles étaient fait d'un cuir particulièrement solide et elle ne pourrait s'en libérer. Le pire fut que Kono arriva finalement à enculer totalement la pauvre femme. Il se tourna vers le juge qui se contenta d'un hochement de tête. Kono entama alors son mouvement de va et vient et Théodora qui croyait avoir connu l'enfer lors de son enculage, explosa littéralement. Son anus saignant, les yeux emplis de larmes, elle subissait cette horreur en hurlant toujours plus fort et en maudissant le nom du juge qui en riait.

Pris par son plaisir, il se baissa vers la petite chienne qui se trouvait entre ses cuisses.

- J'espère que tu es bien chaude ma petite Madeleine, fit -- il, parce que tu es la prochaine.

Il sentit les dents de Madeleine se crisper sur son sexe témoignant de la terreur qui venait de s'emparer de la jeune fille et il éclata de rire.

Kono ne sodomisa pas Madeleine ce soir-là. Il laissa Théodora totalement ravagée, toujours attachée sur la table de bois. Sitôt l'immense sexe retiré de son anus en sang, la malheureuse avait sombré dans l'inconscience et le juge avait ordonné à Madeleine d'aller prendre une douche. Après la terreur qu'elle avait subie, l'idée de ne se faire sodomiser que par le sexe normalement constitué du vieillard fut presque un soulagement. Elle fit couler l'eau et attendit de plus en plus anxieuse, l'intrusion du juge ; une intrusion qui ne vint jamais. Pour la première fois depuis qu'elle était devenue le jouet du juge, Madeleine termina une douche sans se retrouver pliée en deux, une queue figée dans son anus. Elle prit cela comme un cadeau et sortit de la douche avec le sourire. Son sourire s'effaça quand elle entendit le juge l'appeler dans le salon et elle imagina alors se retrouver face au chauffeur noir. Elle hésita, voulut se recroqueviller au pied de son lit mais elle savait que ce serait une protection bien inutile.

Tremblante, elle passa le pas de la porte de sa chambre et elle constata, soulagée, que Kono n'était pas revenue. Théodora était toujours sanglée et inconsciente. Le juge était tourné vers son écran de télévision et regardait une vidéo qui semblait le passionner.

- Viens donc, mon enfant, lui dit -- il. Cela va t'intéresser.

Elle s'approcha et ne fut pas surprise de constater qu'il s'agissait d'un film porno. Un couple de jeunes gens faisait l'amour dans une petite chambre discrète, rien de bien particulier en réalité. Pourtant elle le trouva étrange, cette chambre lui paraissait familière et l'homme lui rappelait quelqu'un. Son cœur s'arrêta quand elle comprit qu'il s'agissait de Jérôme, son Jérôme, en train de s'envoyer en l'air dans son appartement. Le juge vit qu'elle avait comprit.

- Ton petit ami ne s'ennuie pas lui non plus et ce n'est pas tout.

Il appuya sur la télécommande et l'image changea. C'était la même chambre mais le couple était différent. Jérôme était toujours là avec une autre fille. Le juge appuya une nouvelle fois et ce fut une troisième fille. Madeleine cria.

- Ton copain t'as vite remplacé et pas qu'une fois, reprit le juge. Et il compte bien continuer. Je peux même te dire le nom de sa prochaine conquête, tu la connais très bien : Sarah, ta petite sœur.

C'en fut trop pour Madeleine, elle craqua. S'empara du téléphone qui se trouvait juste à côté d'elle et elle frappa violement le juge à la tête. Ce dernier qui ne s'y attendait visiblement pas, s'écroula. Madeleine récupéra alors les vêtements de Théodora, posés par terre et courut en direction de la porte. Elle voulait fuir loin de ce lieu infernal, loin de ce monstre. Elle traversa le corridor persuadée qu'avant d'atteindre la porte, elle serait agrippée par le géant noir qui la ramènerait vers la chambre où elle serait sévèrement punie mais elle voulait tenter sa chance. La porte n'était plus qu'à deux mètres...un mètre... elle posa la main sur la poignée et l'ouvrit pour déboucher dans le couloir, libre. Elle courut vers l'ascenseur et l'appela. Il s'ouvrit quasiment immédiatement et elle y entra. Alors qu'il descendait, elle s'habilla sans se soucier que les vêtements n'étaient pas tout à fait à sa taille. Puis les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et elle put rejoindre la rue et disparaître dans la nuit.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 14 ans
très bonne suite

très bonne suite je ne m'attendais pas à cela

1- très bonne idée pour la soeur ...

2- l'évasion aussi, je bne vois pas ce qu'elle peut faire, sinon la revenche du juge va etre ... un regal ...

merci pour cette histoire

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