Le Destin s’invite pour Noël

BÊTA PUBLIQUE

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Trévor :

Voyant qu'elle ne peut encore me parler à cause de ses émotions qui la submergent encore, je la fais glisser vers moi et sa fragilité me semble tellement évidente, que tout ce que je souhaite est de la protéger. Donc je presse doucement contre moi son corps frêle et tout froid. Puis, à travers quelques sanglots, elle réussit à me dire qu'elle a vu Kevin et Éloïse faire l'amour dans la chambre de cette dernière. Tout en la gardant serrée contre moi, j'explore le bas de ses jambes et ses pieds qui se trouvent sur la banquette, comme elle avait au début du repas, et je me rends compte qu'ils sont presque gelés. Je prends donc une couverture en arrière du banc et lui met dessus lui disant de m'attendre, le temps que j'aille chercher mes affaires et je lui suggère de penser à ce qu'elle veut faire dans les futures minutes.

Jennifer :

Tandis que Trévor est parti chercher ses affaires, je m'abrite sous la couverture et je réfléchis à ma situation, mais je n'ai aucune idée de ce que je veux, mais la chose que je ne veux pas est de rester ici. Je pense donc de le persuader de m'emmener chez lui. En lui promettant de partir dès le lendemain.

Trévor :

Mes affaires en main, je retourne vers le camion dont la cabine s'est réchauffée. Je monte dans le véhicule et me tourne vers Jennifer qui d'une faible voix hésitante me demande de l'apporter chez nous pour la nuit, me promettant de ne pas prendre de place et de partir dès le lendemain. Je me mets alors à rire, lui disant que ce n'était pas la place qui manquait, car j'avais deux chambres à coucher, un grand salon, une cuisine bien aérée et une grande salle de bain et qu'elle pouvait y rester le temps qu'il lui faudra. Sur ce, j'embraye la boîte de vitesse et affronte la tempête pour me rendre chez moi.

Jennifer :

Tandis que Trévor met en branle son véhicule, je me sers de mon sac à vêtements comme oreiller je me couche sur la banquette la tête côté portière et mes pieds, encore trempés et gelés, appuyés sur la jambe droite de Trévor à demi-somnolente.

Trévor :

Tandis que je sorts du stationnement je ressens les pieds humides et gelés de Jennifer s'appuyer sur ma jambe droite, je suggère à Jennifer de retirer ses bas de nylon, ce qu'elle me demande de faire en tirant dessus. Je m'exécute en tirant sur le pied de son bas côté droit qui glisse de sa jambe et le retire, puis, je fais de même pour le pied gauche. Puis, elle s'allonge à nouveau sur la banquette sur le dos, tête côté portière. Conduisant d'une main, je mets le bas de ses jambes et ses pieds froids sur mes cuisses et les réchauffe en les frictionnant et par thermocontact avec ma main libre.

Jennifer :

Vidée de mon énergie et épuisée par une surdose d'émotion intense, je le laisse me retirer mes bas de nylon ainsi que de mettre mes pieds sur ses cuisses. Je sursaute légèrement alors qu'il met une, mais sur mes pieds nus cependant, la chaleur, de ses mains, réchauffe mes pieds et contribue à me réconforter et m'endormir. Environ une heure plus tard, j'entends Trévor me dire de me réveiller me sentant trop confortable, je fais la sourde oreille et me contente de lui demander quelques minutes de plus dans une espèce de grognement. C'est alors que je sens Trévor me saisir les chevilles d'une main et faire glisser les doigts de l'autre main sous mes pieds. Étant très chatouilleuse, je me réveille en moins d'une seconde en riant et agitant frénétiquement mes pauvres petits pieds torturés par ces solides mains et ces doigts agiles. Il les relâche en me regardant d'un large sourire, il sort de la cabine, en fait le tour, ouvre ma portière et me prend dans ses bras. Je ne proteste pas, il m'emmène donc jusqu'à la porte, au troisième étage, la déverrouille et me conduit à l'intérieur de son appartement puis me dépose sur le sofa de cuir noir de son salon et retourne au camion pour y décharger nos affaires. Allongée là, je jette un regard autour de moi et je trouve que la décoration du salon est plutôt sympathique. Il n'y a pas de téléviseur, mais en face de moi, se trouve une tour ordinateur noire sur un grand bureau noir qui semble très récent, avec un écran de 24 pouces noir , deux enceintes acoustiques noires , une imprimante noire sur la partie droite du bureau, avec des contenants à crayons, et au-dessus de l'écran il y a un globe terrestre, des plantes ainsi que des boîtiers sur lesquels se trouvent des voyants lumineux verts, jaunes, bleus et rouges, probablement des appareils pour internet, le téléphone et le WiFi. À ma tête, il y a la cuisine qui est plongée dans le noir, ayant qu'un seul voyant qui indique « 2 :34 », ce qui est probablement l'heure sur la cuisinière. À la gauche du meuble d'ordinateur, il y a deux portes et une autre à la droite du meuble, toutes trois fermées. Dans le salon, il y a le sofa, sur lequel je suis allongée, un fauteuil à mes pieds assortit avec le sofa, une table basse dont le dessus est de verre sur lequel repose un journal, de la monnaie et des enveloppes ouvertes. Sur les murs, il y a des photos de la famille, une horloge et deux fenêtres sur le mur qui se trouve à mes pieds. Et autre que les meubles que j'ai décrits, il y a une petite table ronde entre le sofa et le fauteuil. Alors que je jetais un coup d'œil autour de moi, j'entends Trévor ouvrir la porte d'entrée. Je me retourne pour le voir déposer nos affaires sur le sol et se dévêtir de ses vêtements d'extérieurs. Je me lève pour aller l'aider, mais il me fait signe de rester, où je suis, et en me souriant il me demande de préparer le café à la place. Sur ce, il allume la lumière de la cuisine et il apporte mes affaires dans la chambre d'amis qui se trouve derrière la deuxième porte à la droite de l'ordinateur et ses affaires dans la sienne qui se trouve derrière la porte à la gauche de l'ordinateur. Je présume que la troisième est celle de la salle de bain.

Trévor :

Je stationne donc mon camion dans mon stationnement à côté de mon véhicule de civil, si l'on peut le nommer ainsi, et j'essaie de réveiller Jennifer la belle au bois dormant. Elle ne coopère pas facilement, j'imagine qu'elle doit être vraiment épuisée, mais je n'ai pas le choix, il faut aller à l'intérieur. Puis, ayant ses pieds nus sur mes cuisses, me une vilaine idée dans la façon de la réveiller, c'est trop tentant, donc j'agrippe ses chevilles d'une main et lui chatouille la douce et tendre peau de la plante de ses jolis petits pieds. Je suis alors surpris par l'efficacité de cette technique. Elle est donc bien éveillée, mais toujours les pieds et les jambes nues. Je décide alors de la porter dans mes bras pour ensuite revenir chercher nos affaires. C'est ce que je fais. Je la dépose sur le sofa de mon salon et retourne chercher les affaires. Alors que je reviens, je lui demande de préparer le café et je vais porter nos choses dans nos chambres respectives et mets les couvertures sur le lit de la chambre d'amis. Lorsque je reviens dans la cuisine, le café est presque prêt. C'est alors que je lui demande si elle se sent mieux et que si elle veut aller dormir maintenant, que sa chambre est prête.

Jennifer :

Dans la cuisine, avec des électroménagers blancs et des armoires de couleur acajou et des comptoirs de couleur noire en faux marbre. Le plancher y est en céramique noire ce qui est assez froid sous mes pieds. C'est alors que j'aperçois une part de pantoufles, style tricot de grand-mère, bleus et rouge. Je trouve facilement le café qui se trouve derrière la porte qui est au-dessus de la cafetière et les tasses sont derrière la porte à la gauche de la dernière. Alors que je patiente à côté la cafetière, Trévor vient me retrouver à la cuisine et me demande si je vais bien que si je veux dormir, que mon lit est prêt. Malgré l'état de fatigue dans lequel je me trouvais plus tôt, je ne me sens pas prête à aller au lit maintenant. Je lui réponds que je vais mieux et que j'apprécie vraiment ce qu'il a fait et continue de faire pour moi. Il rougit légèrement. Puis, je lui donne un rapide bisou sur la joue en lui disant que je dois aller à la salle de bain.

Trévor :

Je suis soulagé d'apprendre qu'elle va mieux. C'est alors qu'elle s'approche de moi et me donne un rapide bisou sur la joue avant de déclarer qu'elle doit aller à la salle de bain. Surpris, je ne dis rien. Le café étant prêt, je sers deux tasses une pour elle et l'autre pour moi. Je sors le sucre et le lait pour me verser une cuillère à thé de sucre et un peu de lait pour aller m'installer au salon et ramasse le journal et le lit.

Jennifer :

Après avoir été aux toilettes, je vais dans la chambre, qui sera la mienne pour cette nuit, pour mettre ma robe de nuit ainsi que mes propres pantoufles. Puis je sors de la chambre, les pantoufles que j'ai empruntées en main.

Trévor :

Alors que je lis le journal, j'entends Jennifer sortir de la salle de bain et entrer dans la chambre d'amis. Puis elle y ressort. Je lève mes yeux sur elle, elle porte une robe de nuit rouge satinée, sans manche, mais avec de fines bretelles rouges en dentelles qui recouvrent aussi le bas de la robe. Ses cheveux blonds en liberté retombent sur ses fines épaules en lui couvrant une partie de son corset à ses pieds, elle porte de jolies pantoufles mocassins rouges. Elle va porter les pantoufles, qu'elle avait probablement empruntées, à leur place, qui en fait, sont des pantoufles que je garde pour les invités, je lui dis que le café est prêt, elle fait donc un détour par la cuisine et prend la tasse qui lui est destiné, y prépare son café et vient me trouver au salon.

Jennifer :

Assis près de lui dans le salon, nous parlons de choses diverses et je lui raconte que je n'ai pas vraiment de famille, mes parents ne sont que des alcooliques et des drogués qui ne voyait en moi qu'une source de revenus supplémentaires via l'Aide à la famille et l'assistance sociale, que je n'avais ni frère ni sœur et que je n'ai connu aucun de mes oncles, tantes, cousins ou grands-parents et par conséquent, je n'ai jamais connu ce qu'était une vraie fête de Noël en famille. Et je lui avoue que c'est grâce à lui que j'ai finalement connu ce qu'est une vraie famille.

Trévor :

Je me sens triste de l'entendre raconter son histoire de famille. Lorsqu'elle m'affirme que je suis la cause de la réussite de son Noël, je lui souris et lui dit que je suis heureux pour elle. Puis je déclare que je dois me coucher et lui conseille de faire de même. Sur ce, je lui dis bonne nuit, je lui donne un baiser sur le front et je vais dans ma chambre.

Jennifer :

Également épuisée, je vais dans ma chambre et m'installe sous mes couvertures. Cependant, aussitôt que ma tête touche l'oreiller, me revient l'image de Kevin et Éloïse faisant l'amour et pour en mettre davantage, mon imagination rallonge la durée de ce film pornographique dans ma tête et mon cerveau y ajoute des effets spéciaux comme des sensations de picotement au niveau de mon entrejambes et de mes seins. J'ai chaud, et même en n'ayant plus aucune couverture sur moi, j'ai de plus en plus chaud. Je décide alors d'aller prendre une douche, souhaitant que cela m'aide.

Trévor :

J'enlève mes vêtements, je ferme la lumière et me glisse sous les couvertures en boxer, comme à mon habitude. Mais, aussitôt dans mon lit, je commence à bander comme un cheval. Dans ma tête défilent des images, de Jennifer, dont la majorité est très érotique. Ne pouvant pas dormir, j'allume ma lampe de chevet et je prends un livre qui traine sur ma table de chevet et le lit. Lire m'aide à m'endormir. Alors que je commence la dixième page de mon livre, j'entends la douche couler. J'imagine que c'est Jennifer qui l'utilise, ce qui ramène mes pensées érotiques. Je me concentre alors davantage sur ma lecture et finalement, la douche s'arrête.

Jennifer :

En prenant ma douche, la vidéo de Kevin et Éloïse dans ma tête s'estompe, mais simplement pour laisser place à une nouvelle vidéo dans laquelle Kevin et Éloïse sont remplacés par Trévor et moi. Sur ce, je retourne dans ma chambre, avec une serviette de bain autour de mon corps, et regardante dans mon sac à main, à la recherche de quelque chose sans savoir quoi, je retrouve le pendentif que Kevin m'avait offert ainsi qu'une petite boîte envelopper de papier de Noël, qui était destiné à Kevin. Je réfléchis un bon 15 minutes et je prends la décision de l'offrir à Trévor. Prenant mon courage à deux mains, je vais frapper à la porte de ce dernier.

Trévor :

Alors que ma lecture devient intéressante, j'entends Jennifer frapper doucement à ma porte. Je rabats mes couvertures sur moi et je lui dis d'entrer. Je vois la porte s'ouvrir et je vois Jennifer entrer couverte que par une serviette autour de son corps. Alors qu'elle s'avance, je lui demande si elle a besoin de quelque chose.

Jennifer :

J'entre dans sa chambre et apeurée, je lui dis que je voulais lui donner un présent qui était destiné à Kevin, mais qu'il ne mérite plus d'avoir. Je lui donne la petite boîte, avec comme principale crainte qu'il refuse le présent.

Trévor :

Surpris, j'accepte le présent, par politesse, mais je suis un peu embêté par le fait qu'elle se présente devant moi avec seulement une serviette sur elle. C'est déjà assez difficile pour moi de ne pas lui sauter dessus et elle vient me provoquer ici dans ma chambre, me doutant que si je cède à mes impulsions, je peux aussi bien me ramasser avec une accusation de viol sur le dos. Donc, j'ouvre alors la petite boîte surprise et j'y découvre un médaillon avec le signe astrologique de la Vierge. Je la remercie et lui dit que ni Kevin ni moi ne sommes Vierges.

Jennifer :

Je frotte mes mains nerveusement alors qu'il ouvre le paquet et alors qu'il m'annonce que ni lui ni Kevin ne sont Vierges, je ris nerveusement et lui dit que je sais qu'ils ne sont pas nés sous le signe de la Vierge, mais que moi oui je suis vierge... Puis, je garde le silence, me sentant rougir de la tête aux pieds et pris d'un violent tremblement, j'échappe la serviette qui me couvre, mais je ne fais rien pour la ramasser, étant pétrifié de la tête aux pieds.

Trévor :

D'abord, je ne comprends pas trop ou elle veut en venir ... Si elle est Vierge, pourquoi l'offrir. Puis je réalise qu'elle ne parle pas du signe astrologique, lorsqu'elle dit qu'elle est vierge, mais de sa virginité sexuelle. Je lève mon regard croyant qu'elle me donnerait des explications et là, devant moi, elle laisse tomber la serviette qui la recouvre, me dévoilant sa pleine nudité, dont ses petites mamelles roses et durcies, surmontant ses seins fermes et bien ronds, la courbe de ses hanches et la douceur de sa peau. Ne pouvant plus résister au désir qui me ronge, je lui souris et l'invite à prendre place à ma droite sous les couvertures et je l'embrasse tendrement.

Jennifer :

Sortant de ma stupeur, alors qu'il m'invite à le joindre, je monte sur le lit et je me glisse sous les couvertures. Alors que je suis étendue à ses côtés, Trévor se tourne vers moi et m'embrasse tendrement sur les lèvres. Je me laisse aller dans cette douce sensation de chaleur que ses lèvres déversent dans tout mon corps. Je lui prends alors la main gauche et la place sur ma poitrine. Je frémis au contact de sa main sur mes seins et mes mamelons qu'il caresse avec douceur et précision.

Trévor :

J'ai de la peine à croire que cette jeune femme est réellement là, nue et étendue à mes côtés alors que je m'abreuve de la douceur de ses lèvres. Elle me prend alors la main gauche et la pose sur ses seins fermes, mais délicats au toucher. Je les caresse tendrement tout en continuant à l'embrasser, mais avec un peu plus de passion.

Jennifer :

Sans décoller mes lèvres des siens, je monte sur lui afin de ressentir son corps irradier le mien. Nos cœurs battent de plus en plus rapidement en unisson alors que notre langoureux baiser devient de plus en plus passionné. Il caresse mon dos d'une main tandis que l'autre me caresse le popotin.

Trévor :

Je prends Jennifer et la mets sur le dos à côté de moi et je me place au-dessus d'elle et je lui bécote le cou. Puis je descends à la base de son pour descendre sur sa poitrine jusqu'à ce que j'atteigne ses seins puis ses mamelons rosés. Je les caresse du bout de mes lèvres, les mordiller tendrement et les cajoler du bout de ma langue.

Jennifer :

Je ris d'excitation alors que Trévor se positionne au-dessus de moi en me bisoutant du coup jusqu'au bout de mes seins qu'il caresse, mordille et léchouille alternativement. Puis, je frémis de plaisir, par anticipation, alors que ses lèvres glissent vers le bas de mon corps me faisant quelques fois m'esclaffer lorsqu'ils effleurent certaines zones plus sensibles. Enfin, je bous littéralement de désir alors qu'ils s'engagent entre mes jambes.

Trévor :

Les gloussements de plaisir et les rires de Jennifer sont de douces mélodies à mes oreilles qui se répercutent jusqu'à mon membre viril qui est raide comme une barre. Alors que je m'approche de son entrejambes, mes narines captent les douces émanations odorantes du jardin secret et inexploré de la jeune femme. Mais, avant d'explorer ce jardin fantastique, je m'attarde sur son bouton d'amour que je compte motiver à fond afin de bien lubrifier le sentier de son jardin secret, souhaitant que cela réduise la douleur qu'entraînera la déchirure de son hymen.

Jennifer :

Je ne peux m'empêcher d'agripper les courts cheveux de Trévor, alors qu'une onde de jouissance parcourant chaque fibre de corps. Je tremble, je mouille et je gémis obscènement tandis que les lèvres et la langue, de l'homme au-dessus de moi, attaquent sans pitié mon délicat et hypersensible clitoris qui n'y peut rien que d'arroser abondamment les intrus, mais en vain. Le désir de me faire pénétrer est devenu tellement puissant que cela en est insoutenable. Je décide donc de presser Trévor d'introduire son membre viril dans ma cavité féminine. Je lui agrippe la tête et le tire vers le haut.

Trévor :

Alors que je bois, avec délice, le nectar que rejette le bouton d'amour de Jennifer, celle-ci me force à me relever à remonter sur elle. En la regardant dans ses yeux verts, je comprends à travers l'intensité et la fermeté de son regard qu'elle est prête à passer l'étape ultime, celui de se faire déflorer. C'est avec une certaine euphorie mêler à une certaine crainte que j'enligne mon membre durci sur l'ouverture du passage intime et encore inexploré de Jennifer.

Jennifer :

Nous nous regardons l'un et l'autre d'un air complice alors que je ressens son pénis s'insérer entre mes grandes puis mes petites lèvres vaginaux pour enfin atteindre l'entré de mon vagin. Je ferme alors les yeux et me concentre sur sexe. Je ressens son pénis s'engouffrer dans mon vagin en pressant sur les parois de ce dernier. Doucement, il me pénètre de plus en plus profondément, millimètre par millimètre. Puis, il s'arrête alors qu'il a atteint le mur de ma virginité. J'ouvre les yeux et il me regarde en attendant une réponse ou un geste de ma part. Lui souriant, je hoche de la tête et ferme les yeux de nouveau.

Trévor :

Ayant l'accord explicite, de Jennifer, pour lui enlever sa virginité, je me demande si c'est mieux que ce soit rapide ou que ce soit lent. M'imaginant que c'est semblable à un pansement collé dans le poil que l'on retire, j'opte pour le faire d'un coup sec. Donc, alors que mon solide membre est appuyé sur cette délicate peau, je le pousse d'un coup sec à travers cette membrane que je traverse sans vraiment de résistance. Puis je m'immobilise en elle, en attendant de savoir comment elle avait vécu cet instant.

Jennifer :

M'attendant à souffrir, je ferme les yeux et je serre les dents. C'est alors que je ressens le pénis de Trévor s'engouffrer profondément dans mon vagin et heurter mon cervix,. Mais, à mon grand étonnement, la souffrance tant crainte ne s'est pas vraiment manifestée. Tout, ce que j'ai ressenti, n'a été qu'un pincement comme lorsque l'on arrache un poil pubien. Mais, ce laps de temps ne dure qu'une fraction de seconde. C'est alors qu'une violente onde orgasmique en provenance de mon vagin traverse mon corps et explose dans ma tête. La sensation est si intense que je hurle de plaisir tout en voyant des étoiles multicolores danser devant mes yeux. J'empoigne Trévor en plantant mes ongles dans son dos et le serre contre moi de toutes mes forces. Je crains de perdre connaissance à chaque instant.