Le Donjon de Natacha

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Natacha me soumet à ses désirs.
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Depuis longtemps, j'adore porter de la lingerie car cela me procure toujours autant d'excitation de me contempler en femme devant ma glace.

J'ai appris depuis longtemps à mémoriser les gestes et attitudes féminines en étant perchée sur mes escarpins.

Je sais aussi me maquiller, ajuster mes perruques, choisir les robes et jupes qui me mettent en valeur pour devenir une fille crédible.

Je pose sur mon lit les dessous que j'ai choisis pour passer le week-end avec Natacha.

C'est une dominatrice qui réside prés de Paris.

Au téléphone, je l'ai trouvée si proche de mes attentes que j'ai accepté avec joie son invitation.

Face à ma coiffeuse, je contemple mon corps épilé par des séances de laser en traquant à l'aide d'un rasoir les derniers poils sur ma verge et la raie de mes fesses.

C'est avec un plaisir sans cesse renouvelé que plusieurs fois par semaine je vis en femme chez moi ou à l'hôtel lors de mes déplacements.

Toute à ma joie de retrouver Natacha, j'agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant aux quatre paires de jarretelles.

Je rentre mes bourses dans mon ventre (tucking)

Ensuite, je place ma queue entre mes cuisses en la fixant avec des bandes adhésives pour mettre en valeur mon mont de vénus.

Puis, je garnis les bonnets ma guêpière de somptueux seins en silicone avant de remonter sur mes hanches une culotte fendue.

Après m'être maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré, je me glisse dans deux jupons vaporeux posés l'un sur l'autre afin de gonfler ma jupe évasée qui laisse entrevoir mes jarretelles à chacun de mes pas.

Je me suis habillée tout en blanc en espérant bien être «en foncée» d'ici ce soir...

Satisfaite de mon apparence, je fais quelques pas dans ma chambre en contemplant mes cuisses gaînées de nylon et mes bas à coutures.

Puis, je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet sport décapotable.

Tout en roulant sur l'autoroute par une chaleur estivale, je relève mes jupons jusqu'à la taille pour m'offrir délibérément à la vue des routiers.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour me donner en spectacle.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d'une vue plongeante sur la lisière de mes bas.

Ils me rendent aussitôt un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m'accompagne tout au long du trajet.

Quelques instants plus tard, mon GPS m'arrête devant une grande villa au cœur d'un parc arboré à l'entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d'entrée s'ouvre devant moi et c'est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m'attend sous le porche.

Je suis d'emblée impressionnée par sa taille car elle dépasse le 1,80m.

C'est une beauté slave ayant un visage aux pommettes saillantes et des lèvres sensuelles.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Elle porte sa tenue de Dominatrice.

Les bonnets de son corset en cuir peine à contenir ses seins magnifiques.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j'admire son corps souple et musclé.

Il se dégage d'elle une forte sensualité qui m'attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses.

- Ne me touche pas, me dit-t-elle d'une voix forte en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout devant moi, les jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Lorsqu'elle dégrafe sa jupe en cuir, je découvre l'impressionnant gode ceinture qui est fixé sur ses hanches.

Je regarde cette queue massive se balancer lourdement entre ses cuisses.

En observant son gland épais et bien formé, je sais par expérience qu'il va me donner du plaisir.

La féminité de Natacha contraste avec ce sexe monstrueux sortant de son ventre.

Semblant lire dans mes pensées, elle me lance d'une voix moqueuse:

- Soit rassurée, je ne vais pas te violer maintenant...

Mon amazone ne portant pas de string, je remarque que la sangle centrale du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Relève toi et suis moi m'ordonne-t-elle en m'entraînant dans son Donjon.

Nous descendons un large escalier s'ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s'attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit avec des menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d'arçon, une cage métallique avec des suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement...

Au mur sont fixés des barres d'écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des lances de différentes tailles se dressent menaçants dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur m'annonce déjà le programme:

"Sodomie du soir, repos des mâchoires, fellation du matin repos du vagin..."

Natacha vient se coller contre moi en faisant glisser ses mains de mon cou jusqu'à la fourche de mes cuisses.

Elles explorent ma lingerie en s'attardant sur mon bas ventre et mes fesses.

- Retrousse ta jupe, finit-t-elle par me dire.

Je lui obéis en la relevant sur ma taille tout en écartant les jambes.

Je frémis en sentant sa main me caresser les cuisses.

Puis, elle la glisse dans la fente de ma culotte pour en sortir ma queue.

Satisfaite de son examen, elle me dit:

- Je vais pouvoir commencer ton initiation.

- Lorsqu'elle sera terminée, tu seras invitée aux nombreuses soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

-Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles sauront que tu es formée à satisfaire tous leurs caprices.

- Maintenant déshabille toi.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d'une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d'escarpins de huit centimètres.

J'attends debout, soumise, les yeux baisés et les mains croisées sur mes seins.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir afin d'apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j'étais ressemble maintenant davantage à une fille de la rue Saint-Denis.

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d'halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d'autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je remarque avec satisfaction qu'à tous moment, je pourrai me voir dans l'une d'elles.

Natacha me tire de mes pensées en me disant:

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d'hommes et de femmes venus assistés à ton dressage derrière ces glaces sans tain.

- Ils feront clignoter leurs lampes quand ils voudront t'encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mes présumés voyeurs, je prends quelques poses suggestives en voyant des lumières s'allumer sous mes yeux.

- Ne fais pas attendre tes admirateurs plus longtemps, me dit-t-elle en m'allongeant sur sa table médicale.

Natacha m'attache les mains et m'enfonce une de ses culottes en satin dans la bouche en me bâillonnant avec l'un de ses bas.

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m'attendent lorsqu'elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d'un fouet, elle commence à me frapper doucement, puis de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la pièce pour m'impressionner avant de l'abattre sur moi.

Sous les coups, je gémis de douleur.

Puis, elle rapproche la table médicale des miroirs pour offrir au public une vue plongeante sur ma queue et ma chatte épilées.

Pendant de longues minutes, elle s'acharne sur moi avec une précision diabolique.

L'intérieur de mes cuisses et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Elle me pompe la queue avec sa bouche aux capacités infinies.

Instinctivement, je me cambre pour m'offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Devant mon érection spectaculaire, elle saisit sur une étagère un plug urétral qu'elle lubrifie soigneusement.

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 5 mm de diamètre dans mon urètre. Elle la guide entre ses doigts en la laissant s'enfoncer d'elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habilement ma hampe entre son pouce et son index pour la faire glisser jusque dans ma vessie.

Je regarde fascinée les trente centimètres de l'insert disparaître dans mon sexe.

Soudain, un jet d'urine sort de la tige creuse lui indiquant qu'elle a atteint son but.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir l'insert en métal dans ma verge.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l'empêcher de remonter.

Lorsqu'elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimètres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite l'expérience.

Je suis au bord de l'orgasme quand elle m'enfonce son majeur dans l'anus en me pressant la prostate.

Mettant à profit ma forte érection, elle se met à califourchon sur mon ventre en frottant sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma verge.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Me voyant sur le point de craquer, Natacha serre fortement la racine de mon sexe en me disant:

- Je ne veux pas que tu jouisses maintenant!

Avec perversité, elle m'excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J'essaye désespérément de me retenir en voyant perler quelques gouttes de sève sur mon gland.

J'ai un frisson lorsque sa main remonte le long de mes cuisses en se refermant sur mes bourses.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend un instant avant de passer à l'action.

Puis, elle exerce une pression insupportable en me broyant les testicules entre ses doigts.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

- C'est un bon début, je suis satisfaite de toi, me dit-t-elle en me retirant l'insert.

Ensuite, elle m'allonge sur un lit situé dans un coin de la salle,

Puis, elle saisit un autre plug urétral.

Il s'agit du fameux prince Albert qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 8 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle rentre avec maîtrise l'insert dans ma verge.

- Tu as bien mérité une récompense, me dit-t-elle en saisissant un puissant vibro qu'elle pose sur mon plug urétral.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j'explose en recouvrant le sceptre princier d'épaisses coulées blanchâtres.

Ma Maîtresse m'ayant interdit toute activité sexuelle pendant plus d'un mois en m'obligeant à porter une cage de chasteté, ma source de vie se répand en abondance sur mon corset en coulant à l'intérieur de mes cuisses.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

Elle sort la tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J'aime goûter le sperme de mes soumis car il a toujours un goût différent, m'assure-t-elle.

- Désormais, je t'interdis de jouir, me dit-t-elle en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l'intérieur, tu seras punis sévèrement.

- Je vais te mettre à l'épreuve, me chuchote-t-elle à l'oreille.

Retirant son string, elle s'assoit face à moi.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d'une voix menaçante.

Elle me masturbe en frottant sa chatte brûlante de désir contre mon sexe tout en me caressant les bourses.

J'essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s'active sans trêve sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

J'ai l'impression d'être la proie d'une mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s'arrêter.

- J'espère pour toi que tu n'as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m'avoir désobéis, m'assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

Puis, elle s'allonge sur moi en pressant ma queue entre ses cuisses gainées de nylon.

Les frottements de ses bas sur mon gland décalotté me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s'empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu'elle fait rouler ses hanches en tortillant des fesses.

Elle se penche alors sur moi en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha me comprime les carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s'activant à nouveau sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions sadiques de ma Maîtresse.

La peur qui m'envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu'elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

Elle se trémousse d'une manière irrésistible tout contractant ses muscles intimes sur ma queue.

Ses yeux rivés aux miens, elle m'immobilise par le poids de son corps en m'écrasant les carotides jusqu'à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m'emporte en faisant jaillir ma sève en jets puissants dans son ventre.

Dans le même temps, un voile noir tombe sur mes yeux.

Natacha desserre rapidement le foulard pour éviter que je perde connaissance.

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

Ma Domina m'installe ensuite sur un étrange cheval d'arçon.

Son extrémité est équipée d'un carcan qu'elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je suis totalement en son pouvoir.

Elle contemple un moment ma croupe offerte sur laquelle est pointé un gros cône en métal qui va m'empaler.

- Avec un tel calibre, ça va vraiment être un viol, m'assure-t-elle

- Comme tu as le bassin aussi large qu'une femme, ça devrait passer.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal finit par s'enfoncer lentement dans mon fourreau anal.

Ma douleur est intense et mes sphincters sont dilatés à l'extrême lorsque son socle vient se souder contre mes fesses..

Natacha le sort de mes reins en me disant:

- Tu es maintenant suffisamment ouverte pour passer à la suite.

Je me demande ce que va encore inventer ma maîtresse lorsqu'elle m'allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un long gant en latex en plongeant sa main dans ma chatte restée béante.

Elle fait tourner son poignet de droite à gauche afin de passer la courbure de mon intestin.

Puis, avec beaucoup d'assurance, elle m'enfonce son bras jusqu'au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle en me fouillant le ventre de plus belle.

Au bout d'un moment, Natacha finit par retirer son bras en informant les spectateurs qu'elle va faire une pause.

En arrivant dans sa salle à manger pour se restaurer, elle m'habille en soubrette afin que je lui serve son repas.

Pendant qu'elle mange, je suis à ses genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n'es pas prête d'oublier!

Elle m'entraîne avec un rire de gorge évocateur au centre de son donjon.

- Lève les bras, m'ordonne-t-elle en m'attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves qui viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumises sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

Le spectacle que j'offre les excite fortement.

Je suis debout, les bras levés suspendus à des chaînes en étant perchée sur mes talons aiguilles qui font ressortir la cambrure de mes reins.

Mon corset qui m'enserre la taille accentue cette vision en leur offrant mes fesses.

Bien qu'étant enchaînée, je m'apprête à dominer ces superbes créatures en pensant qu'elles n'auront bientôt plus qu'un morceau de chair flasque entre les jambes quand je leur aurai vider les bourses.

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m'embrocher l'une après l'autre sans interruption.

Je me sens totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi en m'embrochant sur leurs queues gonflées de désir.

Je ne compte plus les fois où j'ai senti leur sève m'inonder les entrailles et s'écouler de mes fesses.

Soudain, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n'en peut plus d'attendre.

Elle ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d'une pulsion irrésistible, elle plaque mes cuisses sur ses hanches pour mieux m'empaler sur son sexe d'ébène.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser contre mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu'elle m'embroche d'un coup jusqu'à la garde.

Tout en m'embrassant, elle va et vient en moi en me fouettant l'intérieur des cuisses avec ses bourses jusqu'à ce que je jouisse sur ses seins..

Quelques instants plus tard, elle se vide à son tour longuement au plus profond de mes entrailles.

Ne boudant pas son plaisir, elle m'embrasse fougueusement en restant un instant soudée à moi.

Lorsqu'elle se retire, je vois d'épaisses coulées blanchâtres s'échapper de mes fesses et s'accrocher comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l'écoulement, elle m'enfonce un rosebud dans la chatte

- Tu vas pouvoir garder ma sève plus longtemps en toi, me dit-t-elle en souriant.

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m'attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J'étais très jalouse en voyant toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant sa cuisse contre ma queue.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m'enlace amoureusement en me murmurant à l'oreille:

- Tu es insatiable, je vais devoir te calmer.

Ses jambes bien ancrées au sol, elle pose ses mains sur mes épaules en me fixant de ses yeux de braise.

Soudain tout bascule, elle lance son genou avec une force inouïe entre mes jambes en m'écrasant les testicules.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s'affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

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