Le Marin en Perdition 04

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Louis se laisse emporter dans la luxure.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 07/13/2022
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Après les récits de Marie, je décide de rendre visite à mon voisin Denis.

- Bonjour Louis, je te croyais en mer ?

- Bonjour Denis, je viens récupérer les photos que tu as faites de Marie.

- Alors, tu veux que je te donne les photos de Marie prisent un soir à l'auberge?

- Oui, c'est ça.

- Bon, écoute Louis ? Tu as aimé que l'on prenne Marie en sandwich, elle aussi a aimé ça. Donc si tu veux récupérer ses photos, il faut que je baise d'abord Marie à ma convenance. Alors, tu donneras ça à ta femme au petit déjeuner demain matin. Tu te débarrasses aussi de tes gosses d'abord.

En me disant ça il me donne un flacon de liquide ?

- Tu mets tout le flacon, parce que cette fois, je vais avoir besoin d'elle plus longtemps. Dès qu'elle est dans les vapes, tu m'appelles.

- Pourquoi ? Qu'est ce que tu veux lui faire ? - Écoute Louis ? Tu sais à présent ce que j'ai fait avec Marie. Surtout ne fait pas le mec outré, car je me doute bien qu'en escale, tu n'enfiles pas des perles avec les filles des ports. Tous les deux avec Marie l'autre soir, vous avez bien joui, tu n'étais pas le premier à l'enculer.

A ces paroles, je sens honteusement une prémisse d'érection.

Nous avons laissé les enfants chez ma sœur qui habite à vingt minutes de chez nous, sous un prétexte futile. Toute la soirée je suis partagé entre la culpabilité de ce que je vais faire le lendemain et l'excitation que cela me procure.

Je me réveille très tôt. Ne pouvant plus rester au lit, je me lève et vais préparer le petit déjeuner. Je verse le précieux liquide dans le café au lait de Marie, je lui amène le déjeuner au lit. J'observe très attentivement ma femme boire son café à grandes gorgées.

Un quart d'heure plus tard, elle est dans un état second, elle ne répond plus à mes questions, affalée sur le lit. J'enlève avec précaution le plateau et l'observe dans sa chemise de nuit. Je ne peux m'empêcher de défaire les boutons et de faire sortir ses beaux seins, aux aréoles larges et sombres. Je les attrape à pleine main, les malaxe assez fortement. Elle ne réagit toujours pas. Je sors alors mon sexe, enjambe le corps de ma femme, le frotte contre ses seins, son menton, sa bouche. Lui ouvre cette dernière, je me masturbe dedans, j'éjacule en quelques secondes, excité de pouvoir prendre ce qu'elle me refusait avant. Mon sperme disparaît entièrement au fond de sa gorge, elle déglutit par réflexe.

C'est un peu honteux et pris de remords que je rattache les boutons de sa chemise de nuit.

Je me dirige alors vers la porte d'entrée et dès que je l'ouvre, je vois celle du Denis s'ouvrir. Il devait guetter ma sortie. Je lui fais signe de venir, il se dirige vers moi.

Il passe devant moi, en rentrant dans la maison, il demande où est mon épouse. Je lui explique qu'elle se trouve dans notre chambre. Sans se faire prier il se rend dans la pièce en question.

Mon épouse n'a pas changé de position, les yeux toujours mi clos.

- Alors ma pute, tu attend ma grosse bite pas vrai? Tu meurs d'envie de te faire baiser? Il va te falloir être patiente, tu vas avoir ta dose de sperme pour plusieurs mois, ne t'inquiètes pas. Pour le moment, on va t'enlever cette chemise de nuit.

Comme je l'ai fait quelques minutes auparavant, il défait les boutons les uns après les autres, enlève complètement son vêtement. La tête de mon épouse tombe légèrement sur le côté et un filet de sperme s'échappe de sa bouche.

- Regarde moi ça, cette salope a déjà goûté à du sperme ce matin. C'est avant ou après le produit?

- Après.

- Ah ! on dirait que tu commences à prendre goût à notre histoire. Bon, je vais lui choisir des vêtements pour notre petite virée.

Ravalant ma honte, je le regarde ouvrir notre placard pour sortir la robe de soirée noire, très décolletée et fendue sur la jambe droite. Il sort également les escarpins avec les talons les plus hauts que mon épouse possède.

- Aides moi à l'habiller, elle n'aura pas besoin de culotte et de soutien gorge, pour ce qui l'attend.

En l'habillant, il en profite pour lui peloter la poitrine brutalement et la pénétrer avec un de ses gros doigts. Il me demande de lui mettre ses chaussures pendant qu'il lui prépare une surprise. Je le vois alors sortir un plug de taille respectable, il crache dessus, et l'introduit d'un coup dans l'anus de mon épouse, qui résiste un peu avant de se détendre et d'accepter l'intrusion. Seul le bout aplati dépasse. Marie ne bronche pas, elle est dans un état léthargique. Il ajuste la robe, il met mon épouse debout.

Avec ses hauts talons et le plug dans le cul, elle a une silhouette très cambrée, ce qui avec cette robe la rend très sexy. Mon sexe commence à me faire mal dans mon pantalon. En la supportant chacun d'un côté, nous amenons ma femme jusqu'à ma voiture, où il l'installe à l'arrière à ses côtés, pendant que je prends le volant. Il me guide vers sa destination.

Tout en étant attentif à la route et à ses indications, je regarde dans le rétroviseur, je vois notre Denis qui a posé une des jambes de mon épouse sur ses genoux, il lui enfonce deux doigts dans le vagin, puis trois. La vue est imprenable, le sexe de ma femme est distendu par les gros doigts, elle reste toujours aussi impassible. Il ressort ses doigts pleins de sécrétions intimes, il les lui enfonce dans la bouche pour les nettoyer. Mon excitation est à son paroxysme.

Sur ses indications, nous nous engageons sur un chemin de terre, après un kilomètre un peu chaotique, le chemin débouche sur une clairière dans laquelle une cabane est plantée.

De nombreuses voitures et fourgonnettes sont garées là, je reconnais un repère de chasseurs.

Le voisin ouvre sa portière, rajuste la tenue de ma femme, il la fait se lever. En la tenant par le bras, il l'amène vers la cabane. Je suis derrière en contemplant mon épouse marcher difficilement sur un chemin caillouteux avec des hauts talons, une robe de soirée, un plug dans l'anus, en étant droguée. Je pense avec honte et délectation aux humiliations qu'elle va très certainement subir dans un avenir proche.

Lorsque Denis ouvre la porte, je peux distinguer nettement une douzaine de chasseurs attablés qui tournent la tête vers nous. Ils finissent apparemment de manger un casse croûte fortement arrosé de bière et de vin.

- Salut les gars, comme promis, je vous amène ma belle salope pour en faire ce qu'on veut toute la matinée.

Les commentaires vont bon train, tous plus grossiers les uns que les autres.

- Regardez comme elle est sapée cette salope.

- On va la défoncer.

- Quand on sera passé dans son cul, elle ne pourra plus t'asseoir.

Parmi les hommes présents, je reconnais Robert, le cantonnier, une personne très rustre, à la limite de la débilité. La mairie l'emploie pour faire preuve de charité.

Il ne dit rien, il regarde ma femme intenséments se touchant en même temps l'entrejambe.

Marie est emmenée au milieu de la pièce, des mains la frôlent, mais n'osent pas encore aller plus loin. Le Denis attrape ses deux seins et les fait jaillir de la robe, tout en tordant les tétons érigés. Cela donne le signal pour tous les autres qui se regroupent et tripotent mon épouse de partout. La robe est vite troussée autour de sa taille, présentant à tous ses fesses et sa toison. Le plug, visible, déclenche une salve d'insanités. Des doigts s'insinuent dans le vagin, le fouillent le plus profond possible. Un des chasseurs retire le plug et le remplace par deux de ses doigts. Tous veulent avoir leur part de cette femme qui leur est offert.

Ma femme est allongée sur la table, le premier chasseur présente son sexe, de taille respectable, à l'entrée de ses lèvres intimes. Il frotte doucement, presque délicatement, son gland sur le clitoris, avant de s'enfoncer d'un coup de toute sa longueur en jetant un : - ARH ! qu'elle est bonne cette salope ! Il positionne ses jambes sur ses épaules. Les autres s'arrêtent quelques secondes pour le regarder, ensuite, ils reprennent leurs attouchements. Y en a un, qui présente sa verge érigée à la bouche de ma femme, il lui bouche le nez pour qu'elle l'ouvre et l'enfourne immédiatement.

Les autres malaxent ses seins, se caressent ou prennent des photos avec leurs portables. Celui qui la baise lui met à présent de grand coup de boutoir, faisant tressauter ses pieds toujours chaussés d'escarpins à chaque va et vient. Celui qui s'occupe de sa bouche se contracte, il lui enfonce encore un peu plus son membre au fond de la gorge pour décharger sa semence. En voyant ça, celui qui la baise pousse un râle de jouissance et se repend dans son vagin.

Les deux sont vite remplacés par deux autres et ainsi de suite. Au bout d'une heure de ce traitement, seul le voisin et le cantonnier n'ont pas pris leur tour. Le Denis a sorti son sexe avec son gros gland, il se masturbe sur toute sa longueur, attendant son tour. Quand le dernier chasseur a pris sa part de plaisir, il place mon épouse sur le ventre, récupère sur ses doigts du sperme qui s'écoule de manière continue de son vagin, il les enfonce lentement dans son anus. Son anneau résiste un peu, puis il s'ouvre lentement, laisse pénétrer deux doigts, ensuite trois.

Marie pousse de petits gémissements, qui ressemblent à du plaisir Après plusieurs aller retours, il présente son gland et appuie de tout son poids. L'anus s'ouvre et à mon étonnement absorbe l'énorme insertion assez facilement. Une fois le gland passé, l'ensemble du sexe disparaît. A la vue de la scène, plusieurs chasseurs se masturbent, surtout à l'écoute des mots crus qui suivent :

- Alors sale petite pute, tu ne pensais pas que j'allais t'enculer comme une chienne, quand tu me regardais de haut. Ça te fait quoi d'avoir une grosse bite dans le fion, espèce de salope?

Et effectivement, pour la première fois, ma femme semble avoir une réaction, elle pousse des petits cris qui ne peuvent être que de plaisir pour finir par un gros râle de jouissance lorsque Denis se déverse en elle en proférant des insanités. Les chasseurs qui se masturbent jouissent sur sa tête, son visage, s'essuient avec ses longs cheveux. Quand Denis sort son sexe du fondement de Marie, un bruit se fait entendre, alors un flot de sperme jaillit.

C'est alors que le cantonnier défait son pantalon, il en dévoile une anatomie inhumaine. Son sexe arrive à ses genoux, il doit mesure au moins quarante cm, c'est très gros, il n'est pas bandé, car cela semble physiquement impossible. Le voisin éclate de rire en voyant ma surprise, il me dit :

- On te présente Jumbo. La nature lui a mis dans le caleçon ce qu'elle ne lui a pas mis dans la tête!

Étant donné l'engin, j'en conclus qu'il est encore plus attardé que je ne le pensais.

Il s'approche de ma femme, et sans dire un mot, tenant son membre à deux mains, il frotte son gland sur les lèvres déjà lubrifiées par les éjaculations précédentes et le fait pénétrer, lentement. Il pousse au maximum, mais seulement la moitié de sa verge a pénétré le vagin distendu. Il commence alors des va et vient, pousse chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin.

Pendant ce temps, Denis prend des photos et des films avec son appareil.

Au bout de dix minutes de ce traitement, les trois quarts de son engin sont acceptés par la grotte de ma femme. Il saisit alors, une canette de bière vide et l'enfonce dans l'anus, déjà bien distendu par l'enculage du Denis. Il alterne ensuite les coups de butoir et l'utilisation de la bouteille comme godemiché. Marie pousse des cris de jouissance de plus en plus fort, emplissant la cabane du son de sa voix. Ce traitement dure une vingtaine de minutes, alors que mon épouse pousse ainsi des râles ininterrompus, un liquide transparent jaillit de son sexe, se répandant sur ses cuisses et par terre. Le Denis me déclare alors :

- Je suis sûr que tu ne savais pas que ta salope est une femme fontaine. Rien de tel que de la laisser aux mains de Jumbo pour la dévoiler. Son corps est plus réceptif que son cerveau de bourge.

Jumbo décharge peu de temps après, il sort son sexe juste après et le colle à l'anus entrouvert. Je m'approche pour l'empêcher de détruire l'anus de Marie, Denis me retient ? Jumbo se contente simplement de finir d'envoyer son jus dans le boyau de ma femme. Puis il se colle encore plus prêt, sans renter son gland, il urine dans les entrailles de Marie.

La chaleur de l'urine dans son ventre, la fait râler une dernière fait de plaisir.

Même si elle n'est pas lucide, elle perçoit quand même les commentaires des chasseurs, Ils disent qu'elle est une grosse salope, une putain à qui il en faut beaucoup et d'autres qualificatifs pas très glorieux pour elle, ils précisent tout de même qu'ils ont rarement l'occasion de se taper une femme aussi belle et bien foutue qu'elle.

Elle ne sait pas combien d'hommes se sont servi de son corps.

Denis fait descendre Marie de la table, elle s'écroule par terre, terrassée par la jouissance. Je cherche de quoi essuyer les sécrétions masculines et féminines qui la souillent, mais le voisin intervient :

- Laisse, on a un moyen infaillible.

Il ouvre alors la porte et fait rentrer la meute de chiens qui se pressent autour et nettoient de leur langue avide tout le corps de mon épouse, s'insérant dans tous ses orifices. Après quelques minutes de ce traitement, elle est luisante de salive canine, mais propre.

Ses seins sont durs, les tétons toujours érigés et douloureux à force d'être torturés.

Son sexe est dans un triste état et très sensible.

Elle reste allongé et inerte, sans forces, elle est complètement vidée.

Denis m'aide à la remettre dans la voiture enveloppée d'une couverture. Il me tend les photos du forfait en me disant qu'elle l'a bien mérité :

- Je n'ai pas l'impression que cette aventure ne t'as pas trop déplu, alors si tu as envie qu'on essaie de rendre ta femme plus salope, d'un point de vue volontaire cette fois, n'hésite pas à m'appeler, je pense avoir un moyen pour cela.

Je ramène mon épouse à la maison, je lui donne un bain et la met au lit.

Quand elle se réveille, elle me demande pourquoi elle est encore au lit en cette fin d'après midi. Je lui raconte le pourquoi de sa situation, tout ce que j'ai accepté pour récupérer les photos de son égarement à l'auberge.

- Je m'excuse, je n'ai pas pu les retenir, ils étaient trop nombreux et beaucoup trop excités.

- Oh ! tu n'es pas responsable, je n'aurai pas dû accepter avec de couché avec notre voisin, j'avais bu, je n'étais pas assez lucide et les regrets ne changeront plus rien. Ils étaient combien à m'avoir passé dessus.

- Il y en eut une bonne douzaine, c'est beaucoup, tu ne crois pas, même les mariés ont voulu profiter de la situation.

- Tu te rends compte ce que mon sexe a subi, ils ont éjaculé chacun deux ou trois fois. Ce n'est pas possible que j'ai subi fait ça.

- Oui ! Je m'en rends compte, cependant tu as joui plusieurs fois comme une folle, de mon côté, j'ai joui en regardant le spectacle.

Elle me dit qu'elle a mal partout, qu'elle va rester couchée, pour reposer ses deux puits d'amour. Les autres jours, elle essaie de retrouver une forme correcte pour son mari, elle se lave souvent le sexe avec du citron pour qu'il revienne à un état normal.

Nous avons longuement parlé de ce qui nous arrive ou plutôt ce qui arrive à mon épouse et de ses sentiments vis-à-vis de moi, de Denis ainsi que du plaisir qu'il est capable de lui donner surtout. Je comprends qu'elle y est devenue accro, il me faut bien reconnaître qu'ils sont exactement sur la même longueur d'ondes pour les choses du sexe. Je suis tout à fait conscient de ne pas pouvoir rivaliser. Ma femme pourtant finit par me dire que si je lui demande de ne plus le revoir, elle le fera, car c'est moi qu'elle aime.

C'est tentant cependant ma décision est vite prise. Je ne peux me résoudre à la priver de quelque chose que je ne suis pas en mesure de lui offrir, car je l'ai vraiment vu de mes propres yeux, s'éclater comme jamais avec lui. Je l'aime moi aussi et je ne pourrais lui faire l'amour qu'en imaginant, pour arriver à jouir, qu'elle pense peut-être à Denis.

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