Le Mauvais Chemin 02

Informations sur Récit
L'enfer commence pour Nathalie.
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1

Partie 2 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2016
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Ce texte est écrit en collaboration avec Juis Karlos, mon co-auteur, j'espère qu'il vous plaira.

Attention, ce texte est violent, il décrit avec une certaine réalité, l'enfer du viol et des tournantes subit par certaine femmes, dans notre pays ou ailleurs. Le premier chapitre est assez calme, ne servant qu'à mettre en place l'histoire et les divers personnages. La suite sera plus difficile à lire. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, ne le lisez pas, sinon ce sera à vos risques et périls. Il n'est nul question ici de faire l'apologie du viol. Nous condamnons, mon co-auteur et moi même le viol, ainsi que toutes violences faites aux femmes. Nous condamnons également la misogynie, ainsi que toutes formes de racismes sur quelques formes que ce soit. Ce récit est purement imaginaire, et, aucunement, n'est une apologie ou glorification à quoique ce soit. Il vise plutôt à avertir les consciences, sur certaines violence atroce qui vise certaine femmes dans notre pays. Il n'accuse personne, ne fais pas preuve de xénophobie.

Nous avons tenté de faire ressembler notre récit, à la réalité, tout en incluant des passages purement exagérer, afin de bien montrer qu'il n'est qu'imaginaire. Je le répète, si vous n'aimez pas les histoires violentes, basée sur le viol, ne lisez pas ce qui suit, sinon, bonne lecture. Et n'oubliez toutes formes de violences sexuelles est passible de lourdes peines de prisons, bien que à notre goût, ces peines soit trop légère. N'oubliez pas, non plus, qu'en France, un pays développé, 240 femmes sont violée chaque jours, ce qui est un chiffre abominable. Une seule serait déjà une de trop. De plus les propos xénophobes prônait par les deux héroïnes sont eux aussi condamnable. Il est écœurant, que de nos jours de telles pensées puisse encore exister. Cette fois encore, ces propos dégueulasse ne sont inclus que pour le bien de l'histoire. Nous ne faisons pas l'apologie de quoique ce soit. Nous la condamnons même avec la plus extrême fermeté. Bien entendu, tout ceci est imaginaire, et toute ressemblance avec des personnes ou des événement ayant existé, serait purement fortuite. Bonne lecture.

Le géant s'approcha des deux femelles, il les regarda attentivement. Il semblait hésiter, puis il caressa doucement la joue de la plus jeune qui sursauta.

- Déshabille-toi!

- Pitié... Je vous...

La fin de sa phrase se termina dans un hurlement. Igor venait de lui saisir la main gauche, lui brisant le petit doigt.

- Tu ne me dis pas non, tu ne discutes pas mes ordres, tu n'hésites pas. Vous allez avoir mal, après c'est a vous de choisir. Soit vous avez énormément mal, soit vous avez juste mal. Alors je me répète, déshabille-toi. Obéis moi cette fois ou je te brise un autre doigt, ce serait idiot surtout que tu n'as pas grand chose à enlever.

Stéphanie pleurait à grand sanglots, sa mère le souffle coupé, regardait la scène sans ne rien pouvoir faire ou dire. Avec horreur, elle vit sa fille, qui tremblait tellement qu'elle avait du mal à rester debout, faire descendre la bretelle restante de sa robe. Cette dernière tomba à terre, dévoilant son magnifique corps au regard des voyous. Ses seins bien ronds et fermes étaient magnifique. Igor siffla entre ses dents.

- Tu as un corps superbe, fais pour le sexe, allez encore un petit effort, enlève ton string.

Stéphanie hésita, mais l'horrible douleur de son doigt lui rappelle ce qu'elle risque si elle résiste inutilement. Elle coche ses pouces dans les lanières de son string, pleurant tellement qu'elle en bavait. Son petit morceau de tissu fut rapidement descendu, dévoilant un mont de vénus où courait une fine toison de poils blond. Igor s'approcha d'elle, se mettant pratiquement contre la fille.

- Écarte les jambes!

Stéphanie lui obéit, lâchant un petit cri quand elle sentit la main du mafieux se poser contre sa toison pubienne. Son cri augmenta de volume quand un doigt écarta les lèvres de son sexe, avant de rentrer doucement en elle. Igor rigola :

- Putain les gars, cette chienne est vierge.

Un murmure parcourut le groupe des jeunes de la cité. Igor parla à Stéphanie, le doigt toujours dans sa chatte, contre son hymen.

- Comment ça se fait qu'un canon comme toi soit encore vierge?

- Je... Je veux rester vierge... Jusque au mariage...

- Dommage pour toi, du coup c'est moi qui vais te déniaiser. Tu verras, je vais faire de toi une femme. Mais je te le promets, je ne t'épouserais pas!

- Je vous en prie...

Ta gueule, tu as le droit seulement de répondre, je ne veux rien entendre d'autre, compris?

- Oui.

- Bien. Tu as déjà sucée au moins.

- Non...

- Truc de dingue, je vais te dépuceler de partout, de tout les trous! En plus ça fait longtemps que je n'ai pas baisé une vierge, au moins quinze jours. La dernière fois c'était une connasse de dix-huit ans, je l'ai dépucelée le jour de son anniversaire, devant ses parents. Après j'ai forcé son père à la prendre. Il a aimé le con, car il la baise toujours, tandis que sa femme fait la pute pour moi sur les chantiers...

A la fin de son histoire, Igor partit dans un grand rire. Il retira son doigt de la chatte de Stéphanie. Le géant recula de quelques pas.

- Sale pute, tu vas venir t'agenouiller devant moi. Tu vas défaire ma braguette et ma ceinture, puis tu descendras mon pantalon. Pour le caleçon tu vas le descendre avec les dents, ensuite tu me suceras comme la chienne que tu es. Tu n'auras pas à me faire bander, je suis déjà dur. Mais je veux que tu prennes ma bite en entier dans ta bouche, je veux sentir ton nez contre mon ventre. Quand je jouirais dans toi, je veux que tu gardes mon sperme, tu me montrera en ouvrant ta gueule de pute, avant de tout avaler. Si tu ne fais pas tout ce que je te dis, je te brise tout tes autres doigts de la main.

- Nooooooooon! Laissez ma fille tranquille.

Igor sourit en regardant Nathalie.

- Qu'est-ce-qu'il y a la vieille? Tu veux prendre la place de ta fille? Tu veux que je te baise toi à sa place?

- Non, non, pas moi. Elle mais pas moi.

Stéphanie regarda sa mère horrifiée :

- Maman...

Un violent coup de poing dans le ventre la plia en deux. Igor avait frappé fort.

- Je t'ai dis de ne parler que pour me répondre. Puis quand on est une fille sage, on écoute sa maman.

Igor se recula, souriant à Stéphanie. Il enleva sa chemise, dévoilant un torse hyper-musclé, mais couvert de cicatrices. Stigmates de ses nombreuses bagarres. Igor n'avait pas un gramme de graisse.

- Allez, viens, ne me force pas à répéter.

En tremblant, la jeune fille s'approcha du géant. Elle posa ses mains qui tressautèrent sur la ceinture de son futur violeur, essayant tant bien que mal de la défaire. Finalement, avec le plus grand mal, elle y arriva. Défaire le bouton fut encore plus difficile, mais heureusement pour elle, la braguette était un zip. Elle descendit ensuite le pantalon de l'homme à mi-cuisse. Elle attrapa le haut du caleçon avec ses dents, le faisant descendre. Un sexe de belle taille en jaillit, la frappant au front. Il était dur, dressé, énorme. A l'image du bonhomme, son sexe était géant. Une belle bite de vingt-cinq centimètres pour sept de diamètre. Proportionnellement à sa taille et son poids, son engin était normale. Igor aurait mesurait un mètre soixante-dix, son pénis n'aurait mesuré que dix-huit ou dix-neuf centimètres, mais voilà, il mesurait deux mètres onze, son braquemart était à sa mesure. Ou plutôt à sa démesure. Stéphanie se dit avec horreur que jamais elle ne pourrait avaler un truc d'une telle taille, qu'il allait lui briser la mâchoire, lui défoncer les poumons. Alors elle ouvrit grand la bouche, et tenta de gober le gland de son tourmenteur. Elle eut le plus grand mal à en avaler seulement la moitié, ses commissures étant au bord de la déchirure, sa mâchoire menaçant de se déboîter. Mais Igor était vraiment excité, il attrapa Stéphanie par les oreilles, il la la fit aller et venir le long de sa bite, enfin de la moitié de sa queue enfoncée dans la bouche de la fille. Stéphanie eut de la chance, enfin si on peut parler de chance quand on se fait violer la bouche... En moins de dix aller-retour il éjacula dans sa bouche, la forçant à tout avaler. Igor reprit un peu de lucidité, il lâcha sa victime, qui toussait, recrachant un peu de sperme.

- Rhabille toi pouffiasse. Fais le vite avant que je ne change d'avis et que je ne te défonce la chatte.

La jeune fille ne se le fit pas dire deux fois. Terrorisée, la jeunette lui obéit, contente de pouvoir recouvrir son corps exposé à la vue de tous. Elle se releva difficilement, et remit string et robe.

Igor avait remarqué que les jeunes étaient de plus en plus excités, surtout après avoir vu le viol buccale de la fille, qu'ils se rapprochaient dangereusement des deux femmes.

Même les chiens des mecs paraissaient excités eux aussi.

Aussi avant que ce soit trop tard, que l'on atteigne le point de non retour, Igor décida en chef qu'il était. Il donna ses directives:

- Du calme les jeunes on aura tout le temps de s'amuser vraiment avec ces deux pétasses. Mais avant il faut penser aux choses sérieuses! Moussa demande à ces deux chiennes si elles ont des portables, où elles les ont mis.

Moussa demanda donc mais il n'obtient aucune réponse. Ce qui eut pour effet de mettre Igor très en colère.

Il s'avança et il gifla Stéphanie avec une grande violence. Une grande baffe, un aller retour qui fit tourner la tête de la jeune femme comme si elle allait se détacher de son corps.

De plus il lui avait entaillé la pommette avec sa grosse chevalière.

Nathalie voulu prendre la défense de sa fille.

Mais là encore, un violent coup de poing à l'estomac, au plexus, plia Nathalie en deux, lui coupant sa respiration. Elle tomba à genoux sur le sol.

Igor la releva par les cheveux, il lui intima l'ordre de répondre.

Cette fois il posa lui même la question

- Où sont vos portables.

Devant l'hésitation des deux femmes il leva la main sur Stéphanie en faisant comme s'il allait la frapper à nouveau.

Mais comme la petite oie blanche était trop terrorisée pour répondre, qu'elle pleurait comme une madeleine, ce fut Nathalie qui répondit à sa place.

- Nos portables sont dans nos sacs à mains, ils sont restés dans la voiture.

Igor fit un signe à Moussa qui récupéra les deux sacs à main et les tendit à Igor.

Igor vida les deux sacs sur le sol, il en examina soigneusement les contenus. Il sorti les portables, les portefeuilles et autres.

Il examina les papiers d'identité et dit à l'assistance :

- EH eh, Vous savez les mecs, la vieille a 50 ans aujourd'hui, la plus jeune a à peine 20 ans, on va bien s'amuser...!!!!! On va lui faire un super cadeau d'anniversaire pour ses 50 ans à cette chienne!!!!!!!! Mais avant il faut penser aux choses plus sérieuses.

Il donna ses ordres :

- Moussa toi qui est le plus intelligent tu pars avec Brahim. Vous sortez de la cité, vous allez dans le centre ville afin de brouiller toutes les pistes. Tu utilise les portables pour le bornage et ensuite tu récupère la carte SIM, tu détruit tout. Idem avec les cartes bleus. Il ne faut pas qu'il y ait un lien avec nous, tu a compris?

Oui Moussa avait compris. Surtout de ne pas transiger les ordres d'Igor.

- Avant de partir, tu vas voir « Wifi », tu lui dis qu'il recopie les téléphones, qu'il t'en donne une copie. Qu'il prenne un portable neuf pour ça. Je veux le répertoire, le journal d'appels et tout les SMS. Tu lui dis aussi qu'il efface le détour GPS qu'elles ont fait par ici. A la place il les fait aller directement en centre-ville.

« WIFI » était un petit génie de l'informatique, âgé de seulement vingt-deux ans. Il était capable de pénétrer n'importe quel réseau, même celui de la CIA ou de la NSA. Le jeune homme était en cavale depuis deux ans. Igor lui avait offert une protection contre certains services. Personne ne viendrait le chercher dans la cité, on lui fournirait aussi toutes les filles qui lui plaisait. En plus de ces talents de hacker, « WIFI » était un pervers, les filles qu'il baisait n'en sortait jamais indemne. C'est lui d'ailleurs qui avait installé le brouilleurs GPS dans la cité. Il avait également installé un système empêchant d'appeler les numéros de la police, qu'elle soit nationale ou municipale. Il avait également une entrée dans chaque fournisseur d'accès internet. Cela permettait de retrouver toutes personnes que Igor recherchait. Notamment les personnes assez folle pour vouloir témoigner contre Igor. Cela expliquait aussi, pourquoi notre cher géant n'avait jamais connu la prison. Mais cela est une autre histoire. Revenons un peu à nos deux petites connasses.

- Bien chef. On le paie comment?

- Tu ne le paies pas. Par contre tu lui demande si il veut une autre fille, si oui, laquelle il veut, tu envoies des gars la chercher et qu'il la lui ramène avant de venir ici.

- Bien Igor, j'y vais.

- Toi Youssef, tu récupères la voiture de ces deux bourges, tu vas la où tu sais. Ali, tu le suis en scooter, tu le récupère après. Allez, exécution, on se retrouve tous où vous savez et n'aillez pas peur, on vous attendra pour commencer les amusements.

Quand il vit que Ali et Youssef avaient compris, il se retourna vers le reste des voyous :

- Aller les autres, chargez moi ces deux pétasses dans le coffre de ma caisse.

Plusieurs jeunes saisirent Nathalie et Stéphanie, ils les portèrent, sans oublier au passage de bien les peloter. Les jeunes les déposèrent, ou plutôt les jetèrent littéralement dans le coffre du gros 4X4 d'Igor. Ce qui avait eut pour effet de retrousser encore plus et de mettre en désordre leurs vêtements. Enfin, surtout ceux de Nathalie, Stéphanie ne portant pas grand chose, puis tous avaient déjà put la voir nue.

Une fois les filles chargées correctement, Igor referma le coffre

Les véhicules sortirent du parking. Le 4X4 d'Igor, les autres véhicules des jeunes et enfin la petite Austin Cooper de Nathalie.

A la sortie du parking dans la cité tous les véhicules se dispersèrent, chacun allant vers leurs missions respectives.

Youssef amena la voiture de Nathalie dans une casse appartenant à une relation d'Igor.

Le véhicule serait démonté, tout ce qui pouvait être vendu, pneus, roues, poste, GPS, siège seraient récupéré, le reste serait découpé au chalumeau et ensuite broyé avec d'autres carcasses de voitures.

Plus aucune traces de l'Austin.

Comme convenu, Ali suivait l'Austin, il récupéra son pote Youssef dans la casse.

Moussa et Brahim partirent voir WIFI qui réalisa ce que Igor voulait. Nos deux compères, après avoir envoyer trois voyous chercher la fille que voulait le Hacker, quittèrent la cité. Ils partirent pour le centre ville, dans les quartiers chics, dans des galeries marchandes remplies de boutiques de luxes.

Là, Moussa passa quelques coups de téléphones avec les portables de Nathalie et de Stéphanie à quelques numéros trouvés dans les listes de contacts, mais sans parler, en cachant le numéro. Ensuite Moussa et Brahim se téléphonèrent chacun avec les portables des deux nanas, comme si elles s'appelaient entre elles, comme si elles se cherchaient dans les grands magasins. Puis sans se faire voir par les caméras, ils allèrent aux distributeurs de billets retirer l'argent des cartes bleues, avec les codes que les femmes avaient données sous les menaces d'Igor.

En respectant scrupuleusement les ordres de leurs chef, les portables furent cassés sur le parking de la grande surface, les puces furent enlevées , un portable fut jeté dans une bouche d'égout, l'autre dans un gros container à ordures.

C'était dommage pour des Iphones de cette valeur qui auraient pu être facilement revendus. Mais les ordres d'Igor ne ce discutaient pas.

Les puces des téléphones seraient détruites, brûlées donc plus aucune trace.

Les traces de Nathalie et de Stéphanie se perdraient dans le centre ville, dans les superbes magasins des beaux quartiers, loin de la cité et sans aucun lien avec elle.

Igor, lui avait pris plaisir à se promener longtemps, faisant des détours, roulant le plus brutalement possible. Cela avait pour but que les deux meufs dans son coffre ne sachent plus où elles se trouvaient, qu'elles aient perdues tous leurs repères. Mais c'était surtout pour brouiller toutes les pistes, juste au cas où.

Cela avait également pour manœuvre de les mater, des les laisser le plus longtemps possible dans leurs incertitudes, dans leurs craintes, dans leurs peurs.

Les deux femmes ne savaient plus où elles étaient, elles ne savaient pas ce qui allait leur arriver, ou plutôt si, elles le savaient parfaitement, mais espéraient toujours un peu que cela ne se passe pas. Le viol buccale de Stéphanie leurs avaient données une bonne indication sur le sort qu'on leurs réserve, mais l'espoir léger que l'on viennent les sauver, emplissait toujours le cerveau des deux femmes.

Pendant toutes la durée du trajet, où elle étaient restées dans le coffre, les deux filles avaient pratiquement perdues la notion du temps mais surtout de l'endroit où elles pouvaient se trouver.

Elles étaient secouées, ballottées, malmenées dans le coffre du véhicule. Stéphanie pleurait. Nathalie n'en menait pas large elle non plus.

En plus elles étaient engourdies dans l'étroitesse et la noirceur du coffre qui leur donnait un sentiment de claustrophobie.

Plusieurs fois Stéphanie avait failli vomir, elle avait eu des hauts le cœur, des renvois aigres avec toute la quantité de sperme qu'elle avait été obligée d'avaler. Sans compter la douleur émanant de son doigt cassé.

Nathalie avait plusieurs fois tentée de rassurer sa fille, mais sans trop de succès. D'ailleurs comment aurait elle pu apaiser Stéphanie, puisque elle même n'était pas rassurée du tout.

La voiture c'était arrêtée, les deux prisonnières avaient entendu comme le bruit d'un portail métallique qui s'ouvre en grinçant.

Le véhicule semblait avoir fait quelques mètres, puis elles avaient entendue le portail qui semblait se refermer.

Le véhicule avait roulé un bon moment sur une route en très mauvais état ou sur chemin qui semblait être défoncé, caillouteux, avec plein d'ornières, car les deux kidnappées étaient secouées, ballottées dans tous les sens dans le coffre du 4x4.

Encore un arrêt. Encore un portail métallique qui grinçait en faisant beaucoup de bruit en s'ouvrant. Encore quelques mètres avant un autre arrêt, le même bruit de métal rouillé du portail qui se refermait.

Quelques mètres encore, ensuite l'arrêt complet. Un arrêt qui semblait être définitif puisque nos deux prisonnières avaient entendues des portières s'ouvrir et se refermer en claquant. Elles avaient l'impression d'entendre des voix.

Le coffre avait été soudainement ouvert.

- Allez descendez les pétasses!!!! leur avait dit Igor.

Mais elles n'avaient pas pu bouger, car elles étaient trop ankylosées et engourdies, leurs corps leur faisait mal. Tandis que leurs jambes étaient comme morte, paralysées par le fait qu'elles étaient restées longtemps recroquevillées dans l'étroitesse du coffre.

Comme les deux étaient restées longtemps dans l'obscurité, les deux victimes étaient comme aveuglées, éblouies par la lumière de l'endroit où elles se trouvaient.

Intelligemment, Igor avait bien compris cela mais il s'en foutait complètement.

Il jeta un ordre:

- Allez les mecs, sortez moi ces deux putes du coffre!

Aussitôt dit, aussitôt fait.

La bande de mecs se précipita sur elles, ils les attrapèrent, les saisirent sans ménagements.

Les deux femmes furent littéralement empoignées, agrippées, elles furent brutalement sorties du véhicule, littéralement extirpées et arrachées. Mais surtout avec de très nombreux pelotages, tripotages, des commentaires grossiers et orduriers.

Les deux filles s'étaient retrouvées debout devant Igor, solidement maintenues par les bras et les épaules par des jeunes surexcités.

Nathalie avait compris qu'elles se trouvaient dans une sorte de hangar, ou d'usine abandonnée. Il y avait des carcasses de voitures, des machines outils rouillées et d'autres immondices divers. De véritables ordures, déchets et débris divers. Si Stéphanie semblait amorphe et molle, qu'elle ne bougeait presque pas, Nathalie, elle au contraire se débattait et bougeait dans tous les sens, elle se tortillait comme un ver de terre afin d'éviter les attouchements et les tripotages de plus en plus avides et brutaux des jeunes.Puis Igor avait dit quelque chose et plusieurs jeunes avaient lâchés Nathalie et Stéphanie à regrets. Mais les ordres d'Igor ne se discutaient pas.

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