Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 01

Informations sur Récit
Les deux acolytes prostituent une paroisienne.
5.6k mots
4.06
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1

Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/27/2007
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Le Pasteur poursuit sa carrière de maquereau

Pimped by Her Own Pastor

Coulybaca / Black Demon

************************

Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de « Violée et subjuguée pendant les vacances », « Le Pasteur se fait maquereau » et « Le Pasteur victime d'un chantage »

('Victim's Violated Vacation' & 'Pastor's a Pimp 1 & 2')

************************

Son voyage d'affaire à "Springfield" était couronné d'une totale réussite, elle avait vendu une pour une somme importante de matériel médical à l'hôpital local, et maintenant elle devait faire une petite étape à "Bridge-port" cet après-midi selon son agenda.

Puis elle rentrerait chez elle tard le lendemain par le vol du vendredi ma-tin pour dîner avec son fiancé.

Elle avait beau réfléchir, elle ne parvenait pas à se souvenir avoir pris ce rendez-vous, mais au fond d'elle-même, Kristin savait que monsieur Simpson l'attendrait à la sortie du terminal de l'aérodrome.

- Etait-il un administrateur de l"hôpital? .....

- Quel type d'équipement médical recherchait-il? ....

Elle n'en savait rien, en fait, elle se rendait-compte qu'elle n'était nulle-ment préparée à ce rendez-vous! ....

Julius Simpson qui venait de faire une dotation de 30.000 $ à la fraternité comptait bien en retirer les bénéfices très bientôt.

Plus tôt il avait attentivement observé le site web ouvert par monsieur Mollway au nom du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" qui l'avait rapidement convaincu de faire cette donation de 30.000$ à sa fondation.

- "Bordel quel coup de cul d'être tombé sur son site où il publiait des photos des plus jolies membres féminins de sa congrégation, c'est parmi ces photos qu'il avait choisi sa future proie... C'était vrai-ment incroyable! ..." Et il n'avait même pas besoin de se déplacer, cette salope vient à moi selon les dire de ce vieux pote de Mollway! ...." pensait Julius enthousiasmé.

Lorsqu'il avait feuilleté le livre de souvenirs de la congrégation sur le site de Mollway, Julius avait disposé de nombreuses photos des membres de la paroisse et lut les commentaires qui les concernaient.

Il y avait de nombreuses ravissantes jeunes femmes, mais l'annonce qu'il avait préférée était celle annonçant le futur mariage de Kristin Cor-bett avec son fiancé Mike Goodman.

Ce nom avait tilté dans sa tête, c'était celui d'une des jeunes femmes qu'il avait remarquée parmi les photos des membres, ce qui devait signi-fier que cette promise devait être ravissante! ....

Il était retourné rapidement vers la section photos du site, avait descendu la liste alphabétique sa bite s'était cabrée dans son caleçon à, la vue de la photo de la somptueuse jeune femme.

- "Bordel de merde, elle semble si douce, si naïve..... Peut-être bien qu'elle est encore pucelle! ...." se mit-il à espérer avec concupis-cence.

Lorsqu'un homme se présentant comme maître Mollway du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" à la fondation il recevrait en retour un enivrant remerciement. cet homme avait alors insisté :

- "Je ne veux pas vous faire perdre votre temps, aussi vais-je aller tout droit au but..... Je vais vous envoyer un mail avec une adresse pour répondre... Vous l'étudierez, puis vous nous direz de quelle façon nous pourrons vous exprimer notre gratitude pour cette généreuse donation que nous sollicitons! ...."

Quelques jours plus tard, un dimanche après-midi il rappelait monsieur Mollway l'avisant :

- "J'ai vu une photo d'une ravissante beauté, Kristin Corbett, sur le site que vous m'avez conseillé de consulter... Fait-elle partie de l'offre? ..... C'est elle que je voudrai! ......" demandait Julius nerveu-sement.

- " Ah cher ami, un excellent choix! ...... Je pense que vous avez vu qu'elle devait bientôt se marier..... Bien sur qu'elle fait partie de l'of-fre, vous pourrez en disposer quand vous le voudrez! ..... Voulez vous l'essayer avant son mariage? .....Ou après? ....." lui répliqua alors l'ex-pasteur Mollway.

- "Vous voulez dire que je pourrai vraiment me la faire avant son mariage? ....." s'enquit Julius d'une voix chargée de désir.

- "Bien entendu... Nous sommes là pour réaliser vos vœux, dans ce domaine tout au moins..... M%ais cela veut dire qu'il va falloir hâter les choses! .... Ne pensez-vous pas qu'une seconde donation de 5.000 $ viendrait appuyer votre désir? ....."

Il donna aussitôt les instructions en ce sens, il ne lui restait plus qu'à at-tendre le coup de fil qui lui donnerait le feu vert et les conditions de la "livraison".

En traversant le terminal de l'aéroport, Kristin se sentait accidentellement nerveuse, elle ne parvenait pas à se rappeler les raisons de son rendez-vous.

- Pourquoi ai-je retenu une chambre d'hôtel? .....

- Pourquoi ne l'ai-je retenue q'alors que mon voyage d'affaire avait com-mencé, d'autant plus que je n'en sais pas plus sur cette opportunité! ....

- Qui est ce monsieur Simpson que je dois rencontrer? .... se demandait-elle nerveusement, elle n 'avait aucune idée de ce qui l'attendait, elle ne savait même pas comment il la reconnaîtrait, elle ne se rappelait pas lui avoir parlé une seule fois au téléphone.

Pourtant c'était bien elle qui avait inscrit ce rendez-vous sur son agenda, elle reconnaissait parfaitement son écriture et le talon de la réservation de la chambre qu'elle avait retenu à l'hôtel de l'aéroport pour ce jour.

Habituée à emporter peu de bagages, d'autant plus que généralement elle partait une journée, Kristin avait été embarrassé pour faire sa valise la veille au soir.

Elle contenait un petit sac de voyage, un élégant soutien-gorge assortie à une affriolante petite culotte et une froufroutante chemise de nuit, elle était loin d'emmener de tels articles habituellement.

Encore qu'elle ne comprenait pas pourquoi ce voyage d'affaire serait si différent.

Mais elle avait revêtu une très élégante tenue pour ce rendez-vous, elle portait une jupe bleue, un veston classique un chemisier blanc et des hauts talons noirs.

Pourquoi n'ai je pas pris de tenue d'affaire pour demain? ..." se deman-dait-elle intriguée.

En sortant du terminal, Kristin chercha des yeux qui pouvait bien l'atten-dre.

Mais lorsqu'elle vit s'approcher, un noir musclé très élégant portant un costume gris sombre sur une chemise orange elle fut transportée de joie à l'idée de le rencontrer.

Il lui semblait familier, mais elle était incapable de se rappeler quand elle l'avait rencontré, cependant elle était certaine qu'il s'agissait bien de ce monsieur Simpson avec qui elle avait rendez-vous.

Cœur battant la chamade il lui sembla être plongée dans une espèce de transe lorsqu'il lui dit :

- "Mademoiselle Corbett, Julius Simpson.... L'homme qui va faire de vous une femme aujourd'hui! ..... Suivez-moi"

Sa valise à la main elle le suivit docilement jusqu'à sa voiture parquée devant l'aéroport.

Dès qu'elle fut assise dans le siège passager, il lui demanda :

- " Dans quel hôtel nous as-tu réservé une chambre? ...."

- "A l'hôtel de l'aéroport! ...." répondit Kristin, se demandant pourquoi elle se sentait obligée d'accompagner cet homme qui s'était montré si grossier en l'accostant prétendant entre autre faire d'elle une femme.

Frémissante elle ne se trouvait pourtant incapable de repousser la main de ce pervers qui tenait la sienne commentant :

- "Quelle belle bague de fiançailles...... Ton fiancé s'est-il mis à ge-noux quand il t'a demandé en mariage? .... Et qu'il t'a glissé cette bague au doigt! ....."

Kristin se contenta de souffler un timide oui.

La main pendant le long de la console séparant les deux sièges, elle frémit lorsqu'elle toucha la cuisse droite du conducteur, mais ce n'et pas sur sa cuisse que sa main s'était instinctivement refermée.

- "Mon Dieu que suis-je en train de faire? ....." se demandait Kristin en son fort intérieur, voila qu'elle empoignait la bite de set étranger au travers du tissu de son pantalon, c'était une chose qu'elle avait peut être fait deux malheureuses fois avec Mike.

Il l'encouragea vulgairement :

- "Oh oui ma petite chérie, fais connaissance avec cette bite que tu suceras bientôt! ...." Elle ne parvenait pas en croire ses oreilles, comment pouvait-on se montrer aussi vil.

Cependant elle ne pouvait s'empêcher d'agripper sa bite, mesurant de la main sa taille et son épaisseur se demandant toujours :

- "Mon Dieu que suis-je en train de faire? ....."

Dans un total état de sidération, Kristin descendit de voiture lorsqu'ils stoppèrent devant l'entrée de l'hôtel puis elle le remonta le vestibule menant au bureau des réservations comme le lui avait intimé monsieur Simpson.

Et elle obéit avec complaisance réclamant la clef de la chambre qu'elle avait réservée, une fois la chambre payée sur sa carte bancaire, elle retourna alors à la voiture avec la clef magnétique en main et lui donna la direction à suivre pour se rendre à leurs chambres.

Peu après que la voiture ait été garée, Kristin se retrouva seule avec Monsieur Simpson, un homme qu'elle n'avait jamais rencontré auparavant et qui cependant semblait exercer une forte emprise sur elle.

Elle savait que c'était fou, que cela ne pouvait pas arriver, et pourtant elle ne parvenait pas à briser cette espèce de sortilège qui lui interdisait de lui désobéir quoi qu'il lui demande de faire.

Les yeux braqués sur cet homme, elle n'écoutait plus que sa voix, rien d'autre que cette voix ne semblait exister pour elle.

Elle paraissait en transe, elle ne remarqua pas qu'il plaçait son portable sur la table, braqué sur le lit, il avait commencé prendre des images de-puis qu'ils avaient quitté le hall de l'hôtel, se focalisant sur la bague de fiançailles à sa main gauche.

A de nombreux kilomètres de là, dans la petite ville de Presswood, un portable recevait les images qui étaient immédiatement transférées sur un ordinateur, pour l'instant, on voyait, sur l'écran, la ravissante Kristin Corbett déboutonner avec hésitation le haut de sa veste bleue.

- "Allez chérie, enlève-moi ce veston! ..." dut-il répéter pour l'encourager à poursuivre.

Le premier bouton déboutonné, les doigts nerveux oeuvrèrent alors sur le second, puis le troisième... Jusqu'à ce qu'elle enlève l'élégante veste.

- "Et maintenant les chaussures ma chérie! ...." elle obéit docile-ment?

Les yeux rivés sur cet homme qu'elle ne connaissait pas une heure plus tôt, elle poussa la première chaussure avec l'autre et l'ôta et se retrouva bien vite pieds nus.

- "Au tour de ta jupe maintenant! ...." lui intima-t-il avec autorité.

Une fois qu'elle se fut exécutée, il reprit

- "Le corsage! ...."

Quelques instants plus tard, la fiancée de Mike Goodman se tenait pres-que nue devant un complet étranger, un musculeux noir qui s'était offert les charmes de cette succulente jeune femme.

Les deux hommes avaient les yeux rivés sur l'écran de l'ordinateur, ils observaient la ravissante jeune femme qui tremblait d'effroi alors que Jules Simpson faisait un pas en avant tendait sa grosse main vers l'af-friolant soutien-gorge en dentelle qui voilait les tétons de la future ma-dame Goodman.

La fragile beauté effrayée semblait figée sur place, incapable de se débattre ou de résister de quelque manière que ce soit, haletant de dé-tresse alors que ce bâtard lubrique palpait ses miches.

- "Ohhh t'as vraiment de beaux nichons! ...." lui dit-il tout en la pelo-tant allégrement.

Le soutien -gorge en dentelle enlevé, il se pencha sur son torse embou-chant l'un après l'autre les tétons dardés de la ravissante jeune femme en état de sidération.

- "Ooooooooooooooooohhhhhhhh... " soupira-t-elle extasiée alors qu'il suçait divinement ses deux jumeaux.

- "Ummmmmm... Chérie... Est-ce que ton connard de fiancé joue souvent avec tes superbes tétons? ...." lui demanda-t-il alors qu'il les lui mignotait de la langue et des dents.

- "Oooooohhhh, ohhhhhhhhhh... Non..... Non, jamais... Je... Je lui ai dit d'attendre! ..... D'attendre... Qu'on soit marié! ....." répondit la pantelante innocente beauté.

Un instant plus tard, il la poussa à s'agenouiller, alors qu'il guidait ses mains vers son entrecuisse.

D'instinct elle descendit la fermeture éclair de sa braguette, tremblante de nervosité elle s'escrima pour pêcher la grosse mentule cachée dans son caleçon, elle grimaça en serrant la grosse bite entre ses doigts.

Une fois le caleçon bien ouvert et l'épaisse mentule dénichée, elle la tint de la main droite, sa main gauche descendant palper ses grosses couil-les.

- "Ahhhhhhhhhh... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii..." grogna Julius comme elle le branlait allégrement sinon habilement.

Alors qu'elle observait avec attention le gland turgescent de Julius, elle avala sa salive à la vue d'une perle blanche se formant à la commissure de son méat.

Sa bite gonflait de plus en plus, elle frôlait maintenant la moquette, il po-sa alors une main sur sa nuque l'attirant sur son ventre jusqu'au moment ou ses lèvres frottèrent contre la peau tendue de son gros bourgeon de chair.

Bien vite ses lèvres luirent doucement, il avait étalé sur elle la perle de pré sperme qui avait goutté de son méat.

Assis les deux macs observaient avec attention la future épouse ouvrir la bouche pour enfouir l'épaisse byroute du noir dans son innocente bou-che, Rich saliva à la pensée qu'il était l'outil principal de sa déchéance, c'est lui qui l'avait mise en évidence parmi ses ouailles.

Le vieux Mollway le poussa du coude en s'exclamant :

- "Tu devrais être fier de toi mon cher ami..... Son propre pasteur, l'homme chargé de célébrer leur cérémonie de mariage... C'est le même homme qui l'a précipité dans les griffes de ce bâtard de Ju-lius Simpson! ....."

Ils entendirent alors résonner la voix de Julius :

- "Oh chérie, tu apprends drôlement vite... Te feras une excellente fellatrice! ...."

Là bas, dans la petite chambre la ravissante future mariée était agenouillée sur la moquette face à la grosse bite noire, elle apprenait de première main comment une femme pouvait dispenser du plaisir à un homme avec sa bouche.

Plus d'un croyait qu'elle attendrait la nuit de ses noces pour apprendre de telles choses, ce jour où elle serait toute vêtue de la longue robe blanche au collier de permes autour de son cou en passant par sa petite culotte, son soutien-gorge et ses bas.

Et le pasteur qui célébrerait la cérémonie se demanderait :

- "Mike Goodman voudrait-il toujours épouser sa ravissante fiancée si on lui donnait un instantané de cette érotique scène, qu'en pen-serait-il au fond de lui-même? ...."

Julius Simpson sur de son emprise sur la ravissante apprentie fellatrice, tira doucement sur sa chevelure extirpant sa grosse bite palpitante de sa bouche qui l'aspirait comme une ventouse.

Il saisit son poignet gauche pour lui faire cesser son branle tant il avait peur de juter prématurément et la saisit sous les genoux pour l'emmener sur le sofa, et l'allongea dessus tout en accrochant la ceinture élastiquée de sa petite culotte de dentelle blanche.

Le visage de la ravissante jeune femme affichait de l'incrédulité, lorsqu'il posa ses doigts sur les lèvres de sa fentine, à première vue elle réalisait avec horreur ce qui se passait à l'instant même, mais elle était toujours incapable d'opposer la moindre résistance alors qu'il la dépouillait de son affriolante petite culotte.

Elle était en pleine confusion mentale, incapable de penser rationnelle-ment à ce qui lui arrivait, depuis qu'elle avait posé les yeux sur Julius Simpson dans l'aéroport, elle était plongée dans un état hypnotique qui avait été implanté dans son cerveau quelques temps plus tôt.

Cette emprise mentale lui avait été infligée le jour où elle avait assisté pour la première fois au cours de préparation au mariage auquel le pas-teur Knowlton lui avait conseillé de participer.

Ces cours étaient conduits par un conseiller marital nommé monsieur Mollway. Il l'avait hypnotisée à son insu ce jour là, il l'avait pré condition-née pour le jour où elle rencontrerait l'homme dont elle avait eu la photo sous les yeux, il s'agissait de la photo de Julius Simpson bien entendu ce généreux donateur sensible à ses charmes.

Les yeux rivés sur le moniteur, les deux maîtres chanteurs, regardaient attentivement la jeune beauté tremblante serrer timidement ses cuisses l'une contre l'autre, tout en croisant les bras sur sa poitrine dénudée.

Elle braquait les yeux au plafond totalement paniquée dans la crainte ré-vérencieuse de cet étranger, cet homme qui l'avait choisie en contrepartie de sa donation tenait maintenant son affriolante petite culotte entre ses doigts et, la portant à ses narines il en humait les troublantes flagrances.

Il la prit sous les genoux et écarta ses cuisses en grand, cela fait elle émit un long soupir :

- "Ooooohhhhh,..... Ohhhhhhhhhhhh.... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh....." alors que ce bâtard plongeait sa tête entre ses cuisses commen-çant à lui bouffer le gazon.

Alors qu'ils le regardaient procéder habilement, ils virent la jeune beauté décroiser ses bras pour les laisser tomber le long de son corps, ses mains se crispant et se décrispant dans la literie.

- "Ohhhhhhh.....Ohhhhhhhhhhhh.... Ahh... ahhhhhhhhhhhhhhh..... Arrrrghhhhhhhhhhhhhhhhh...." grommela-t-elle alors que son corps était secoué de spasmes incontrôlables, à l'évidence un orgasme d'une exceptionnelle intensité la terrassait.

Julius Simson se tenait à coté du lit, sur lequel la jeune femme gisait épuisée, amollie, Mollway et Rich Knowlton regardait l'athlétique noir se dépouiller de ses vêtements.

C'est alors que Mollway confia à Rich un petit secret qu'il détenait depuis peu lui disant seulement :

- "Attend quelques minutes, ça va devenir succulent d'ici peu! ...."

- "Dès qu'elle réalisera qu'il va fourrer cette épaisse queue dans son étroite foufoune, elle va frémir d'horreur... et ça ne va pas tarder! .... Simpson le sait, c'est lui qui me l'a suggéré, il veut que cette prude jeune femme, soit pleinement conscient de qu'elle se fait vio-ler..... »

Julius Simpson empoigna ses chevilles et lui leva haut les jambes de fa-çon à disposer de son compas grand ouvert, il caressa tendrement ses plantes de pied avant d'écarter en grand ses cuisses.

Il se pressa lors dans son entrecuisse sachant pertinemment que bientôt son esprit sombrerait à nouveau, Julius parcourut lentement sa fentine du bout du gland lubrifiant sa bite et lui annonça cruellement :

- "Je vais faire de toi une femme ma petite chérie! ... Je vais cueillir ton précieux pucelage... Que va dire ton mari, lorsque le jour de ta nuit de noce il découvrira qu'à l'évidence sa promise s'est donnée à un autre homme? ....."

Kristin, en sentant l'épais bourgeon découvrir les replis intimes de son vagin se réveilla totalement et chercha à se libérer de son emprise.

- "Mon Dieu que fais-je ici? ..... Et avec cet homme! ... Ce noir! ...... Mon Dieu mais je suis entièrement nue! ..... C'est trop grave..... Ca ne peut pas m'arriver..... Non... Pas ça! ....."

Elle se dit alors qu'elle allait s'éveiller et sortir de ce terrible cauchemar.

- "Je suis prêt à faire de toi une vraie femme! ....." entendit-elle alors cet homme annoncer.

Et comme il pressait son épais gland contre sa chatoune affolée forçant son chemin dans son tunnel, Kristin réalisa qu'il ne s'agissait pas d'un cauchemar, qu'elle était vraiment en train de se faire dépuceler.

- "Arrêtezzzzzzz..... Arrêtezzzzzzzzzz... Je vous en prieeeeeeeee... Je vous en prie........... Ne me violez pas..... Je ne veux pas......." sanglotait Kristin dans un ultime effort de faire cesser son viol.

Mais relevant la tête vers son agresseur, elle comprit que ses cris, ses plaintes, ses pleurs ne faisaient qu'accroître son plaisir de la forcer.

Elle tenta encore de lutter pour lui échapper, mais il la tenait fermement aux hanches, elle ne pouvait bouger que de quelques centimètres, elle hurla de peur lorsque de ses fortes mains il l'attira à lui pour que son gland turgescent s'introduise dans son fourreau inexploré, elle essaya une dernière de le repousser de toutes ses forces.

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